02. PROBLEMATIQUE
Les aspects économiques touchent plusieurs domaines de
la vie humaine. Le tiers monde s'est vu pendant plusieurs décennies
pousser à exporter ses matières premières en vue de
trouver des moyens de survie.
Malheureusement, plus les pays concernés envoient leurs
matières premières, plus ils ont besoin des produits
manufacturés.
Ainsi, ils sont obligés d'importés plus qu'ils
n'exportent et en conséquence leur dépendance vis-à-vis de
l'extérieur ne fait qu'accroitre, d'où une économie
extravertie.
Or, dans toute économie moderne, il faut une
maximisation des recettes à l'entrée tout comme à la
sortie des marchandises.
L'importation et l'exportation sont donc des outils essentiels
pour une croissance économique d'un pays car elles ont pour effet de
déclencher la croissance économique d'un pays. Notre pays ne
s'écarte pas de cette réalité. Il réalise des gros
revenus dans ce secteur de vie économique travers l'OCC.
Il faut aussi dire que, les opérateurs
économiques qui importent et exportent régulièrement les
produits et marchandises sont une catégorie des personnes très
importantes dans ce secteur.
Ils entrent en contact avec l'OCC à chaque coup de
leurs opérations étant donné que c'est ce dernier qui
contrôle toute entrée et sortie des marchandises.
La politique de l'OCC dans ce secteur est menée au
moyen des tarifs qui reprennent les sommes que doivent payer les importateurs
et les exportateurs.
Cependant, en examinant le système tarifaire de l'OCC
au cours d'une certaine période, nous avons relevé une certaine
instabilité qui ne nous a pas laissé insensible.
Face à ce problème, il nous a été
indispensable de nous poser les questions suivantes
1. Quelle est l'incidence de la reforme tarifaire des
importations sur les recettes globales à l'OCC ?
2. Sur l'ensemble des recettes produites par les
importations, quel a été le post qui a produit plus des recettes
?
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0.3. HYPOTHESE DU TRAVAIL
D'une part M.GRAWITZ défini l'hypothèse comme
étant une réponse provisoire à la question
posée4, d'autre part R.GHIGLIONE et B.MALTON la
définissent comme une proposition relative à l'application de
phénomènes admise provisoirement avant d'être soumis au
contrôle de l'expérience5.
Au regard des questions posées ci-haut, nous avons
formulé les hypothèses suivantes :
1. La reforme tarifaire aurait une incidence positive qui va
au-delà de 2% sur les recettes globales.
Nous supposons que la Grande barrière serait le
poste le plus productif. 0.4. CHOIX ET INTERET DU SUJET
Vu l'impotence des Entreprises publiques dans leur
capacité contributive au revenu national du pays. Notre étude
s'est intéressé à l'aspect financier d'une part afin que
les autorités de cette Entreprise publique voire du pays puissent
envisager les mécanismes pour une amélioration futur du climat
des affaires dans ce secteur une fois les résultats de cette
réforme aboutissent au néant et d'autre part les chercheurs
pourront trouver un outil de base sur lequel fondé leurs
études.
Les analyses méthodiques des données
récoltées sur le terrain, pourront nous permettre d'envisager les
mécanismes pour une amélioration future au cas où il
s'avérait que le service ne fonctionne pas normalement.
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