1.2.3.2. Période coloniale
Dès l'arrivée des missionnaires blancs au
Rwanda, parler des la sexualité est devenu un tabou. Tout ce qui est en
relation avec le sexe était dès lors
jugé « insanités »ce qui veut dire qui
est satanique.
Les églises ont continué et continuent
malheureusement à soutenir parfois cette mentalité
jusqu'à ce que ca entre dans la tête des parents qui la fait la
leur. C'est à partir de ce moment là que cette pratique de donner
ces informations de parents aux enfants à ce qui concerne la
sexualité a été abandonnée car ca ce voyait contre
la leçon de l'église.
1.2.3.3. Période postcoloniale
Pour le moment, avec la littérature sur la
sexualité, des photos dans des journaux, des films pornographiques, les
jeunes Rwandais surtout ceux qui vivent dans les zones urbains se sont
retrouvés dans la situation d'éducation très
délicate. Il s'agit ici d'une forme d'auto-anarchie, d'acculturation qui
a caractérisé la période postcoloniale, dans les
écoles, l'enseignement scientifique a remplacé l'éducation
familiale, l'école occupe une place très importante dans
l'éducation sexuelle des jeunes.
Dans les écoles, on donne les informations concernant
l'aspect anatomique et physiologique des personnes, hommes et les femmes. On
s'occupe des problèmes gynécologiques, on a connaissance des
grossesses, comment ca fonctionne, de l'avortement, des contraceptifs,
Les cadres familiaux ont été remplacé par
les livres, les films, les mass medias, qui donnent les modèles
étrangers qui acculent les jeunes filles. Ceci est incité par le
gout, l'imitation des valeurs étrangères, habillement impudique,
l'indépendance vis-à-vis de l'autorité parentale, le
manque de respect et la liberté sexuelle (KAMANZI, 2006 :26)
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