CHAPITRE 0 : INTRODUCTION GENERALE
Notre travail de fin de cycle porte sur un sujet
d'actualité, celui relatif à « la gestion du personnel
et son impact sur la productivité au sein d'une
entreprise »
Comme, pour toute entreprise qui se respecte et qui veux
être respecté, pour arriver à atteindre ses objectifs
ultimes, fera ou doit faire appelle aux différentes procédures
pour sa détermination et la réalisation de ses objectifs.
Ainsi, l'entreprise doit poursuivre plusieurs objectifs
à savoir :
Ø la survie
Ø la croissance
Ø le progrès
Ø etc....
Etant donner que l'entreprise ne soit créée non
pas pour disparaître, mais chercher à se maintenir, à
poursuivre un développement physique et financier et enfin, l'entreprise
capitaliste n'est pas un oeuvre ou une maison de la charité, d'où
elle doit réaliser le profit qui fournit le moyen de se maintenir et de
survivre et la fin, qui est même le but lucratif et la raison
d'être de toute entreprise.
Eu égard de tout ce qui précède, la
performance provient d'une gestion efficace et efficiente, bref rationnelle
et/ou la structure organisationnelle est bien planifiée.
0.1 ETAT DE LA QUESTION
Sur ce point, il est question de faire une nette
démarcation qui partant du sujet de notre travail avec d'autre sujet
déjà présentés et défendus.
Car, il serait de l'orgueil de se dire qu'on est le premier de
traiter sur ce sujet.
Ainsi, dans cet ordre d'idée, notre sujet prend sa
source dans la gestion du personnel et son impact sur la productivité au
sein d'une entreprise.
L'originalité de notre travail ou sujet réside
dans le champ d'investigation (SOGETEL) mais signalons que un autre sujet
pareil sur la gestion du personnel l'ont été dans d'autres
entreprises à savoir :
Ø A la SNEL sur «l'impact de la gestion du
personnel sur la productivité dans une entreprise publique» par
Madeleine Dédé NGONB NANSONG, où l'auteur à
essayé de donner le rôle de la gestion du personnel, les
stratégies utilisées pour l'atteinte des objectifs ou de la
productivité ainsi que les points forts et faibles de cette
gestion ;
Ø A la SNCC sur «l'impact de la gestion des
ressources humaines sur la productivité d'une entreprise de production
des services» où l'auteur Emmanuel YUMBA MULUME MUSOYA
s'attacherait à la manière à ce que l'entreprise
gère les ressources humaines et leur impact sur la
productivité.
Ø A la Gécamines sur «l'analyse de la
gestion pour la prise de décision dans une entreprise» par Philippe
MASEKA KAUTSHUNGU qui, à son tour s'est attaché aux
problèmes qui, à la base des difficultés et diminuant la
production de la société.
En outre. D'autres travaux ont été
présentés et défendus dont la liste ne peut être
exhaustive.
D'ou notre travail est basé sur la gestion du personnel
et son impact sur la productivité dans une entreprise (SOGETEL), ayant
des mêmes traits avec les autres, mais se diffère sur la
problématique ainsi que le champ d'investigation.
0.2. PROBLEMATIQUE
Selon l'exigence de tout travail scientifique, la
première étape de l'enquête que nous ne pouvons pas
ignorer, est l'existence d'un problème que le chercheur souhaite
résoudre, ou une question à laquelle il souhaite
répondre.
De façon générale, la
problématique est définie comme étant une structure
D'information dont la mise en relation engendre chez le chercheur un
écart se traduisant par un effet de surprise ou de questionnement assez
stimulant pour motiver à faire une recherche.1(*)
Elle est aussi définie par, L.ALTHUSSER comme
étant «une définition du champs de connaissances
théoriques dans lesquelles on pose le problème du lieu exact de
sa position des concepts requis pour le poser.2(*)
Eu égard aux définitions qui
précèdent et l'importance de la problématique dans tout
travail scientifique, Dans nos observations faites au sein de cette
société, Dans le cadre de ce travail, notre questionnement
s'articule aux différents points qui suivent :
Ø La première préoccupation consistera
à savoir si toutes les dispositions relatives à la bonne gestion
du personnel sont- elles en application;
Ø La deuxième préoccupation consistera
à appréhender les stratégies déjà
opérationnelles sur terrain
Ø La troisième préoccupation consistera
à savoir pourquoi la productivité est faible, est-ce un
problème de gestion du personnel ou y-a-t-il d'autres problèmes;
Ø La quatrième préoccupation consistera
à donner Les pistes des solutions pouvant permettre à cette
société d'atteindre ses objectifs entre autre la survie, la
croissance et la réalisation de profit.
0.3 HYPOTHESE
L'hypothèse est considérée comme un
argument explicite aux questions que l'on se pose au cours d'un travail
scientifique, elle permet aux chercheurs de tracer Une ligne à suivre ou
encore un point de vu donné pour connaître d'avantage ce dont on
est assoiffé de découvrir, l'hypothèse peut être
affirmée ou confirmée après une recherche3(*)
Elle est une proposition particulière dont un
système d'observation ou d'extermination, à pour but
d'établir la vérité, en claire « elle est une
idée directive ou une tentative d'explication des faits au début
de la recherche »4(*)
Elle peut aussi être définit comme une
présomption, une réponse à la question du recherche dont
on ne sait pas encore si elle est fondée ou contestée, Mais au
sujet de la quelle on croit que, les faits pourront établir soit la
ressemblance soit l'incertitude.5(*)
Selon CHEVALIER ET LOSHACK l'hypothèse est une
proposition des réponses aux questions que l'on se pose à propos
de l'objet de la recherche formulée en des termes tel que l'observation
et l'analyse puisse fournir une réponse.6(*)
En effet, comme l'hypothèse sert à faire
comprendre le raisonnement difficile, en proposant provisoirement certaines de
ses dimensions ainsi donc voici comment se présente la réponse
à notre questionnement:
Ø Au cours de nos observations faites, Nous avons
constates que les dispositions relatives à la gestion du personnel sont
en application;
Ø Dans se deuxième niveau la
société ne dispose pas des bonnes stratégies
opérationnelles sur terrain;
Ø Pour ce qui est de la productivité, faible
qu'elle est, n'est pas seulement fruit de la mauvaise gestion mais aussi suite
à la concurrence avec d'autre réseaux, d'où la
présence de la téléphonie cellulaire ou portable et qui
implique une préférence autant moindre aux fixes.
Ø Il est temps sur ce point, de tenter de donner les
pistes de solution aux problèmes qui gorgent l'entreprise dans la
réalisation de ses profits et cela sera vu dans la suite du travail.
0.4 CHOIX ET INTERET DU
SUJET
a) choix du sujet
Comme, il nous est toujours recommandé de donner les
raisons qui nous ont poussées à disserter sur ce sujet, et comme
le choix lui-même est fonction d'un constat, d'une préoccupation,
d'une curiosité à connaître un phénomène qui
se pose dans un groupe, une société et même dans une
communauté auquel on vit où le chercheur ne peut pas rester
indifférent sans réagir ou proposer une piste de solution.
Ainsi, nous dirons que ce travail nous donnera une idée
générale dans la pratique économique plusieurs
institutions, cette étude faite pourrait permettre de réviser les
processus décisionnels dans l'entreprise, car dans une entreprise la
hiérarchie doit arriver à avoir des relations avec les
travailleurs pour leur conformés aux objectifs visés par
l'institution et ainsi respecter les statuts de l'entreprise pour sortir notre
pays du marasme économique qu'il traverse.
b) intérêt du sujet
Cette étude revêt un
intérêt très important, surtout sur le plan scientifique
où elle nous donnera une occasion de confronter de
réalités diverses, ou connaissances apprises aux
réalités sur terrain et de manière à apporter notre
modeste contribution à des points ciblés afin d'aider les
employeurs des entreprises à bien s'en prendre dans le domaine pour
l'encadrement des sociétés.
Ainsi l'entreprise doit doter dans tout le centre de
télécommunication des bonnes gestionnaires qui consistera
à privatiser la gestion du personnel de chaque centre, et l'entreprise
doit faire face à la productivité en s'efforçant dans la
concurrence d'où le changement des stratégies.
0.5 METHODOLOGIE ET
TECHNIQUE
0.5.1 La méthodologie
Elle est définie comme étant«l'ensemble des
opérations intellectuelle par lesquelles une discipline recherche
à atteindre les vérités qu'elle poursuit, les
vérifie et les démontre»7(*)
Pour bien mener notre étude, nous nous sommes servis de
la méthode inductive et la méthode comparative.
a) L'induction ou la
méthode inductive
L'induction est un raisonnement dans lequel on tire une
conclusion universelle au départ des données
particulières, cette méthode part des faits observés,
d'expérimentation pour débaucher sur les lois
générales.
D'une manière brève, c'est partir du particulier
au général.
Cette méthode nous a servie de faire une étude
superficielle des agents qui oeuvrant au domicile des abonnés ou sur les
vois reliant les lignes téléphonique et ainsi la
généralisation de la société toute
entière.
b) La méthode
comparative
Auguste comte et Emil Durkheim considéraient la
comparaison comme la méthode fondamentale des sciences sociales,
où elle jouerait le rôle de l'expérimentation, dans les
sciences physiques ou biologiques l'expérimentation n'ayant qu'une
portrait très réduite à l'égard des
phénomènes sociaux,
L'analyse des ressemblances et des différences
entre les sociétés et les institutions est estimait comme le
meilleur moyen pour découvrir les lois sociologiques8(*)
D'où l'usage de cette méthode exige cependant
certaines précautions car l'on dit. « Comparaison n'est pas
raison.»
La méthode comparative consiste à
confrontée des faits pour déceler des ressemblances ou des
différences entre les faits séparés à fin de
dégager les factures générateurs de ressemblance ou
différent.9(*)
Le choix de cette méthode s'explique par le fait, que
nous ne devons pas comprendre la gestion du personnel d'une entreprise sans
faire une confrontation des faits se déroulant d'année en
année et ainsi faire de même avec d'autres sociétés
concurrentes et dégager les facteurs à la base de la chute ou de
la hausse de la productivité.
0.5. 2 Technique
«Les techniques sont l'ensemble des moyens misent
à la disposition des méthodes pour faciliter la
méthode»10(*)
Deux techniques ont servies à la récolte des
données ou informations nécessaire à la rédaction
de travail :
a)La technique documentaire
Cette technique consiste à lire ou récolter les
documents écrits relatifs aux sujets d'étude.
b) L'interview
Cette technique permet d'entrer en communication verbale avec
les personnes supposées compétentes dans les domaines de
recherche afin d'avoir leur avis et considérations.
Comme observation, c'est l'observation participative qui est
celle ou l'observateur doit se faire accepter par les membres
investigués au point de se faire oublié
0.6 DELIMITATION DU
SUJET
Le temps et l'espace formeront la circonscription de notre
étude, dans le temps, Notre étude s'étend sur la
période allant de 2004 à 2007.
Mais par contre l'espace se limitera à la
société générale de
télécommunication. Kolwezi d'où la gestion du personnel et
son. Impact sur la productivité au sein d'une entreprise féra
l'objet de notre travail.
0.7 SUBDIVISION DU TRAVAIL
Outre l'introduction et la conclusion, notre travail est
subdivisé en trois grands chapitres centré respectivement
sur :
- Approche conceptuelle et présentation du cadre de
recherche
- Théorie générale sur la gestion du
personnel et la productivité
- La gestion du personnel et son impact sur la
productivité au sein d'une entreprise.
CHAPITRE I : APPROCHE
CONCEPTUELLE ET PRESENTATION DU CADRE DE RECHERCHE
I.1 APPROCHE
CONCEPTUELLE
Le moment est venu pour nous dans ce travail de
présenter quelques éléments de définition de
concept de base.
Parce que certains mots ou phrases méritent
d'être adoptés a l'usage selon ce contexte à travers la
conceptualisation, à fin d'avoir la compréhension harmonieuse
avec les lecteurs.
R K MERTON note, que le concept est une recherche
consciente de ses besoins, ne peut passer autre à la nécessite de
clarifier les concepts car une exigence essentielle de la recherche est que les
concepts soient définis avec clarté suffisante pour lui permettre
de progresser11(*)
Nous pouvons ainsi dire que ce mot concept est définit
comme un déploiement d'effort en vue de pouvoir distinguer une
réalité donnée d'expliquer par rapport à une autre
qui est confuse.
Selon qu'on se situe dans un domaine ou dans un autre, La
science définit le concept de diverse manière pour ne pas tomber
dans les ambigüités sans notre travail. Nous tenterons de donner
les mots clés qui ont touche notre préoccupation majeure et qui
sont les suivants :
- la gestion
- la gestion du personnel
- la gestion des ressources humaines
- l'administration du personnel
- le personnel
- l'impact
- la production
- la productivité et l'entreprise
I.1.1 LA GESTION
Selon le dictionnaire encyclopédie, la gestion est
définit comme l'action d'administrer, d'assurer la
rentalité.12(*)
Elle peut aussi être définie comme étant
la direction, le commandement et le contrôle d'un groupe d'individus vers
un but commun et elle suppose la maitrise des processus suivant : la
planification, la supervision, l'organisation, le contrôle et la
mobilisation des ressources.13(*)
D'une manière large, nous pouvons aussi dire que la
gestion est l'ensemble des techniques de contrôle des activités
dans les organisations (entreprise, administration, association.
Elle comprend un ensemble d'activités permettant
à l'entreprise d'atteindre ses objectifs. D'ai on peut dire, qu'elle est
le fil conducteur dans toute entreprise ou organisation.
I.1.2 LA GESTION DU
PERSONNEL
Comme la dit l'assistant MULUMBIJI dans le cours de
gestion du personnel, que la gestion du personnel conduit à la
réalisation de la fonction personnelle qui est un ensemble
d'activité d'ordre opérationnel et d'ordre
énergétique réalisées en travail de fournir
à l'organisation ou à l'entreprise.14(*)
La gestion du personnel a pour domaine les problèmes
d'embauche, de rémunération, de formation, d'organisation du
travail, elle est un domaine disciplinaire indiquant la psychologie sociale, le
droit du travail, l'ergonomie, l'économie et la
comptabilité.15(*)
I.1.3. LA GESTION DES
RESSOURCES HUMAINES
Telque définit par le dictionnaire
économique contemporaine, la gestion des ressources humaines est
l'ensemble des moyens techniques alternatifs, appliques dans une entreprise ou
une organisation ou encore une administration pour utiliser de la
manière la plus rationnelle les différentes catégories de
salaries.
Où, il s'agit de l'étude des postes de travail,
de l'évaluation, de l'effort de chaque salarie, de la procédure
de recrutement selon des quantifications ou choix du type de formation
dispensée aux différents corps du métier, des
prévisions des besoins personnel, de promotion plus méritant et
organisation de licenciement et remplacement des départs.
Elle comprend aussi les prévisions pour les
années avenir en affectif salaries repartissent poste, métiers,
ateliers, bureaux, chantiers ainsi que l'éducation des salaries et celle
des besoins en formation du personnel.16(*)
I.1.4 L'ADMINISTRATION DU
PERSONNEL
Nous pouvons dire que l'administration du personnel est une
fonction d'expertise qui requière une très bonne connaissance de
l'ensemble des ressources humaines du droit du travail et des usages de
l'entreprise.
I.1.5. LE PERSONNEL
Le personnel est l'ensemble des personnes attachées
à un service public, a une entreprise.17(*)
La formation du personnel : d'une
manière générale est définit comme l'ensemble des
mesures adoptées par le perfectionnement professionnel au travailleur,
elle est une randomisation par l'acquisition des connaissances et technique
à des degrés divers que requiert la réalisation du travail
chez l'homme.18(*)
Ainsi nous pouvons dire que, le personnel est l'ensemble des
personnes oeuvrant dans une entreprise pour ainsi atteindre les objectifs
visés qui sont la production des biens et services.
I.1.6 L'IMPACT
L'impact est par définition un effet produit, une action
exercée.19(*)
Elle est donc un effet une conséquence, un poids et une
influence l'impact est indirect lorsqu'il y a un effet immédiat, diffus
lorsque les dépressions ne se font pas sentir directement aussi dire
qu'elle est l'étude d'accompagnement de grand travaux portant sur les
conséquences de ceux - ci.
I.1.7 LA PRODUCTION
Telque définie dans la théorie de
production, le chef des travaux LABY. Le définit comme les processus de
création des utilités qui sont susceptible de satisfaire les
besoins humains, ses utilités peuvent êtres les biens et
services.
Elle est la création des biens et services destines
à la consommation c'est- à- dire à la satisfaction des
besoins.20(*)
De notre par la production est l'activité
économique de création, de fabrication et de fourniture des biens
et services
I.1.8. LA PRODUCTIVITE
La productivité est définit comme la
capacité de produire, de rapport entre la quantité des produits
et les facteurs nécessaires pour cette production.21(*)
Elle est en autre un rendement technique qui exprime un
résultat par rapport à des prévisions.22(*)
Ainsi pour nous, la productivité n'est qu'une mesure de
l'efficacité de la production.
On distingue la productivité en volume (ou la
productivité physique) qui mesure le rapport entre le nombre
d'unités produites et la quantité des facteurs de production
utilises et la productivité en valeur (rapport entre la valeur de la
production et le coût des facteurs de production et dans l'approche
économique le terme productivité est considéré
en :
- Mesure : Elle est un ratio obtenu en divisant la
production par l'un des facteurs de production utilisé ou employé
pour l'obtenir.
- Travail : Qui est la production (en
termes de quantité des biens et services produits) obtenue pour chaque
unité de facteur de production « travail »
utilisé.
I.1.9 L'ENTREPRISE
Toute entreprise est créée non pas pour
disparaître mais plutôt se maintenir et survivre en faisant des
bonnes combinaisons de ses facteurs de production entre autre le travail, le
capital et la nature pour ainsi maximiser le coût et le profit.
Elle est ainsi définie comme étant une
organisation dans laquelle un entrepreneur affecte contre un revenu des
facteurs de production à la production des biens et services
destinés à l'échange en vue de réaliser un
profit.23(*)
Nous pouvons ainsi dire que l'entreprise est une structure
économique comprenant une ou plusieurs personnes et travaillant de
manière organises pour fournir des biens et des services à des
clients dans un environnement concurrentiel (le marché) et non
concurrentiel(le monopole) D'où, l'entreprise individuelle ou en nom
propre, qui est exploitée par une personne physique seule, elle n'a pas
de personnalité ni de patrimoine distincte à ceux de la personne
physique qui exploite.
Et selon THOMA SUAVET, l'entreprise est une organisation
constituant une unité économique destinée à la
production, à l'échange ou à la circulation des biens et
des services.24(*)
L'entreprise se différencie du simple projet dont
l'organisation est destinée à se dissoudre à son terme,
elle est plutôt conçue dans la durée et pour la conduite
de plusieurs projets similaires et cela implique une pérennité
des ressources (ex : les machines, les ressources humaines, les
actionnaires...)
Pour ceux, trois grands types d'entreprises existent dans
tout pays:
Ø Les entreprises privées à but lucratif
(petite et moyenne industrie et grandes entreprises;
Ø Les entreprises privées à non but
lucratif (relevant de l'économie sociale);
Ø Les entreprises publiques ( la SNCC, la SNEL ,
la REGIDESO,...) s'est sont des entreprises qui comme des organisations
à caractère industriels et commerciales placées sous
l'autorité ou la tutelle de l' Etat ou d'une collectivité
publique destinée à produire des biens et des services pour un
marché et dispose d'une autonomie de gestion.25(*)
I.2 PRESENTATION DE LA
SOCIETE GENERALE
DETELECOMMUNICATION(SOGETEL)
D'aucun ne peut ignorer que la communication est au jour
d'hui un facteur qui tend à amener le pays et le monde entier en une
performance totale, elle est l'épine d'une économie mondiale.
Elle est le devant de la scène et investit plusieurs
secteurs de la vie, les media, les entreprises, les constitutions politiques et
administratives, etc....
La télécommunication constitue dès lors
l'outil principal du développement économique des pays du monde
et en particulier la république démocratique du Congo.
I.2.1 HISTORIQUE
La société générale de
télécommunication (SOGETEL) en sigle est une
société privée à responsabilité
limitée (SPRL).
Elle ressort d'une ancienne division de
télécommunication de la générale des
carrières et des mines (GCM) en sigle à savoir la
TLC.
Cette entreprise a été créée le 15
mai 1998 et est composée de trois actionnaires à savoir :
- La GCM actionnaire patron
- LA SNCC
- Le groupe Forest ou la société MALTA
FOREST
I.2.2 FOND SOCIAL
Les actionnaires ont mis leur capital de la manière
suivante :
- La GCM : un apport des biens des matériels
représentant 98 % du capital ou actions
- La SNCC a apportée 1% d'action restant du capital
matériel.
- La société MALTA FOREST a fait à son
tour un apport en minerai représentant 1% du capital social.
I.2.3 OBJET SOCIAL
Son objet social est de donner un réseau public et
fiable de la communication accédant les centres urbaines, les provinces
et aussi l'extérieur du pays,
D'exploiter la téléphonie fixe et de pouvoir les
accès internationaux.
LA SOGETEL réseau de Kolwezi est autonome, sous les
contrôles se font par le Siège sociale se trouvant à
Lubumbashi.
Son réseau couvre toute la province minière du
Katanga et une grande partie de la ville de Kinshasa.
I.2. 4 L'ORGANISATION
ADMINISTRATIVE
Les activités de SOGETEL sont reparties dans quatre
centres, entre autre à savoir :
- Le centre de Lubumbashi (CLB)
- Le centre de Likasi (CLI)
- Le centre de Kolwezi (CKZ)
- Le centre de Kinshasa (CKN)
Chaque centre possède un central numérique de
type télécom 320 et l'existence des services à
savoir :
- Le service commercial
- Le service technique
- Le service de la trésorerie
- L'organigramme
général de SOGETEL
CENTRE DE LUBUMBASHI
DIRECTION GENERALE
CENTRE DE KINSHASAI
SECRETARIAT
CENTRE DE LIKASI
CENTRE DE KOLWEZI
DES
DRC
CLB
DFI
COM
INFORMATIQUE
CTG
TRG
Source : SOGETEL CKZ
- Organisation
administrative de SOGETEL KOLWEZI (CKZ)
Comme chaque centre est autonome et offre des services de
téléphonie fixe et de l'internet par câble et le modem.
- Organigramme. De. SOGETEL
CKZ
SECRETARIAT
CHEF DU CENTREDE KOLWEZI
COMMERCIAl
TRESORERIE
TECHNIQUE
TRANSMISSION
COMMUTATION
RESEAU
Source : SOGETEL. CKZ...
Le chef de centre de
Kolwezi
Entre autre, appelé directeur de SOGETEL centre de
Kolwezi, il s'occupe de la gestion de tout autre service de Kolwezi, il
coordonne les activités du centre.
La technique
Entre autre appelle le service de technicien qui s'occupe de
la réparation des machines (équipement de fonctionnement de la
télécommunication, du centrale, du faisceau...
Le commercial et la gestion
des clients
Se service s'occupe du marketing, de la commercialisation, des
raccordements des lignes SOGETEL et s'occupe aussi des services après
vente et tout les activités relative aux clients.
La trésorerie
Le service de la trésorerie à pour
rôle :
Ø d'assurer que toutes les dépenses qui engagent
la société sont régulières et conforme aux
institutions de la société.
Ø De contrôler régulièrement les
bordereaux de versement
Ø De s'assurer qui les documents transactionnel de
dépenses sont traites suivant les principes en vigueur en vue de
facilites les opérations comptable et le contrôle jusqu'à
leur transmission à la direction générale.
Le secrétariat
Pour la société générale de
télécommunication le secrétaire joue le rôle de la
gestion du personnel et des services qui sont propre au secrétariat et
cela au centre de Kolwezi seulement.
Bref tout ce qui, cités ci haut répond aux
exigences du centre mère ou la direction générale se
trouvant à Lubumbashi qui jouit de toute gestion de la
société.
CHAPITRE II : THEORIE
GENERALE SUR LA GESTION DU PERSONNEL ET LA PRODUCTIVITE
II. 1. THEORIE SUR LA
GESTION DU PERSONNEL
Il revient dans ce chapitre de faire une étude sur la
gestion du personnel qui est même la gestion des ressources humaines, tel
que définit dans le premier chapitre comme étant un ensemble
d'activité d'ordre opérationnel et d'ordre
énergétique réalisé en travail de fournir à
l'organisation ou à l'entreprise.
Tel que définit Fréderic WINSLOW TAYLOR
(USA,1856-1915),l'organisation du travail, la définition et l'adoption
d'une norme de travail « the on best way » dans
l'entreprise doivent permettre d'accroitre la productivité des
travailleurs pour dire mieux accroitre l'efficience et la rapidité de
production au moyen des machines et des ouvriers dans les usines.
Le Taylorisme a permis d'accroitre le profit, il fallait donc
accorder beaucoup d'avantages sociaux aux ouvriers.
Ainsi la gestion du personnel est l'une des fonctions
importantes que ce soit politique ou sociétaire comme bien même la
société générale de télécommunication
(SOGETEL/CKZ) qui est l'objet de notre travail.
La gestion du personnel ou la gestion des ressources humaines
permet de connaître les principes fondamentaux régissant
l'embauche, la supervision et le perfectionnement du personnel au sein d'une
entreprise c'est à ce niveau que se fasse la planification, le
recrutement, la sélection et l'évaluation du rendement du
personnel et cela en respectant l'aspect légal.
Eu égard à ce qui précède la
gestion du personnel peut comprendre plusieurs étapes tel que :
- La planification
- Le recrutement et la sélection du personnel
- L'évaluation du rendement du personnel
- Etc.
La liste est d'autant exhaustive mais nous nous limiterons
à cela.
II 1.1 LA PLANIFICATION
La planification est une fonction managériale primordiale
dans une entreprise,
Elle est nécessaire lors de la création de
l'entreprise, dans la gestion quotidienne dans une organisation ou une
entreprise.
Planifier c'est décidé à l'avance ce qui
dot être fait, comment ça doit être fait, quand cela doit
être fait et pour qui cela sera fait.26(*)
La planification exige de se fixer avec conviction
après avoir muri la réflexion sur les objectifs autour desquels
on doit mobiliser les gens, les ordonner par ordre des priorités,
rassembler les moyens, créer une stature d'exécution et
distribuer aussi clairement que possible la responsabilité des
contrôles.
Il revient de planifier par ce que, tout ne pas naturel dans
une entreprise ou une organisation, d'où nous avons les ressources qui
sont limités et leur utilisation doit être rationnelle; le temps
pas élastique et il faut courir après le temps pour produire;
l'environnement au travail nécessaire à tout temps le changement,
la planification réduit donc le coût d'exploitation et la peine du
travail.
Elle oriente l'entreprise aux objectifs poursuivit et facilite
la coordination des efforts, la coopération et le travail en groupe ou
équipe.
Il revient de savoir qu'est ce qu'on peut planifier et comment
planifier d'où planifier aussi les ressources humaines et bien
même les autres.
Dans la gestion des ressources humaines, la planification
consiste à placer la main d'oeuvre dans une perspective, elle consiste
à gérer l'incertitude de l'avenir.
Il convient de souligner que si l'on considère la main
d'oeuvre sous l'aspect de stock lorsque l'entreprise est stable tout au long
d'une période ou qu'il peut enregistrer une perte ou un profit en main
d'oeuvre et l'autre aspect considéré comme flux par le fait
qu'elle se renouvelle en enregistrant à la fois des arrivées et
des sorties qui modifient ses caractères.27(*)
II.1.2 LE RECRUTEMENT ET LA
SELECTION DU PERSONNEL
Le recrutement du personnel
Le recrutement du personnel est une étape de la gestion
du personnel
Qui favorise les entres dans l'entreprise.
L'entreprise peut ou ne pas décider de secrètes
des nouveaux agents et cela pour une idéale commune de
l'entreprise
Elle est un processus par laquelle l'entreprise engage les
gens pour un travail détermine C'est un processus par le quel on
acquiert une main d'oeuvre dans différentes catégorie de poste en
vue de la réalisation des objectifs que s'assigne l'organisation
Le recrutement comprend plusieurs étape dont :
Ø La description des postes
Ø L'analyse des contraintes des postes
Ø Les spécifications de la quantité pour
occupe les postes
Ø La détermination quantitative de la main
d'oeuvre
Ø La recherche des candidatures
Ø La sélection des candidats
Ø L'embouche
La description des postes
Elle est aussi appelée le job description, il s'agit de la
nature de la détermination du travail à effectuer, elle consiste
à fixer la nature du travail
L'analyse contrainte de
postes
Appelé aussi job analyses ou on distingue :
a) Les contraintes physiques
Il y a lieu de noter ici toutes les contraintes qui ont
très aux qualités physiques tel que ; l'endurance, la
robustesse, la transpiration, la résistance à la suffocation, aux
sommeils, aux odeurs...
Les contraintes
psychologiques ou sociales
la gestion du personnel ou ses dirigent en d'autre terme
le responsable du personnel dans une entreprise doivent veiller . Aux
risques de maladies toxiques, le climat de travail (la terreur), la tension
avec les collègues...), le risque d'accident et le risque de
surmenage.
Les contraintes morales
La contrainte de la morale veille dans l'éthique et le
secret professionnel, le respect des droits des autres, l'esprit
d'équipe ou le service de commandement.
3. La spécification de
la quantité pour occuper les postes (le job description)
Elle se fonde sur la classification des empois
déterminés par le job Description et fixer l'homme à
engager tel ou tel poste.
C'est dans ce cadre que l'on peut distinguer d'une part les
agents de commandement et d'autre part les agents de collaboration et enfin les
agents d'exécution.
Les agents peuvent aussi être classés suivant ou
selon le niveau d'étude.
4. La description quantitative
de la main d'oeuvre
Elle se réfère aux facteurs importants suivants
lesquels rendent le travail efficace et/ou efficient : on peut citer la
production, la productivité, le rendement et la rentabilité.
Ou :
- la production est égale à la quantité
de biens produits
- la productivité qui est la production obtenue
après augmentation d'
Une unité (par rapport au temps)
- le rendement qui est la production réalisée,
ou produit
5. La recherche des
candidatures
Les candidatures peuvent être d'une part
spontanées et d'autre part provoquée.
On peut dire que le recrutement peut être interne ou
externe. Il est interne lorsqu'à une poste vacante, on y place un agent
déjà existant dans la structure et externe lorsqu'à cette
place un agent venu en dehors de la structure ou de l'organisation.
Et cela conduit à deux types de problèmes d'une
part la perméabilité sociologique où l'agent
recruté amène sa culture ou ses mentalités au sein de
l'organisation et dans le second cas l'organisation essayent d'inculquer au
nouvel arrivant les règles de jeu de l'organisation et cela engendre
l'acculturation.
La sélection des
candidats
La sélection est par définition un choix des
personnes ou des choses en fonction des critères biens
déterminés,
Elle s'oppose à la comparaison, elle est donc
ambivalente c'est à dire reflète à la fois une chose et
son contraire à saisir le choix et le rejet.
La sélection professionnelle consiste donc en un choix
ou un rejet des candidats à un poste de travail.
Il s'agit de la comparaison, les exigences du travail et les
aptitudes des candidats.
Les phases de la sélection professionnelle :
Ø la phase de prise d'information
Qui assure : - le job description
- le job analyse
- le job spécification
Ø la phase de la présélection
Qui comprend :- l'étude préliminaire du
candidat (l'identité)
- la situation familiale
- le casier judiciaire
- la nationalité
- le sexe
- le niveau d'instruction
- l'expérience
professionnelle.
* Le ratio de sélection
Le ratio de sélection est le nombre de poste dans un
service sur le nombre des candidats, elle doit être inferieur ou
égale à 0,5
Ratio de sélection= nombre des poste/ nombre des
candidats
* Les moyens de
sélection
Le moyens de sélection sont regroupes en plusieurs
paramètres dont :
a) Selon l'aptitude à explores on distingue :
Ø Les tests d'intelligence
Ø Les tests de personnalité et le test
affectif
Ø Le test mécanique
b) selon mode d'application du test on distingue :
Ø Le test individuel
Ø Le test collectif
c) selon l'administration du test on distingue :
Ø La sévérité du test
Ø La sévérité et la
validité du critère de sélection
7. L'embauche
L'embauche est l'étape de la signature du contrat ou
au commissionnement qui ouvre la voie à une e période d'essaie ou
une période probatoire.
L'embauche fait ainsi du candidat une nouvelle unité de
l'entreprise et ainsi la fin du recrutement.
Avant de parler de l'évaluation du rendement nous
aimerions frôler à une étape qui est aussi important dans
la gestion des ressources humaines dont :
ü L'affectation
Qui est le choix de la fonction dans laquelle l'agent
embauché aura à réaliser le plein emploi :
Elle vise une meilleur utilisation des aptitudes, Elle doit
être attentive aux facteurs qui affectent la performance à
l'obsole scence et aux motivaxon .Elle sait également prendre en
compte ses horaire de travail, les absences, Les occidents et autres facteurs
qui laissent la performance, l'affectation est souvent suivie de l'accueil qui
permet de sécurités les nouvelles unités et surtout
facilite la perméabilité sociaux organisationnelle
ü la formation du personnelle
La formation du personnelle est l'activité par la
quelle l'agent apprend le métier qu'il a exercé.28(*)
Elle a pour objet :
- Epanouissement de l'agent
- L'adaptation ou la
réadaptation de l'agent
- La spécialisation ou le
perfectionnement de l'agent
- L'intégration
- Remonter la morale
professionnelle
a) le type de formation, sont regroupes en ceci ;
- L'information
- La perfectionnement
- La formation propre
- L'éducation
b) Les techniques de formation professionnelle
Les techniques de formation comprennent essentiellement 4
étapes
- La formation par les collègues
- La formation par correspondance ou dans une école
- Les séminaires de recyclage, les conférences et
les discussions en groupe
- L'auto-perfectionnement.
* La perte en personnel
La perte en personnel est cette étape qui pousse
l'entreprise en un manque en agent .Tel on peut note :
- Le recréait
- La démission
- Le licenciement
- La perte en effectifs à titre temporaire
* Le reclassement
Le reclassement consiste en une adaptation de
l'individu pour l'entreprise en tenant compte des aptitudes qu'il
présente
Le reclassement peut être horizontal ou vertical
Ø Horizontal lorsqu'on fait une mutation (même
grade mais le changement de service)
Ø Vertical : ascendant avec la promotion
professionnelle et descendant avec la dégradation.
II.1.3 L'EVALUATION ET LE
RENDEMENT DU PERSONNEL
II.1.3.1 L'EVALUATION DU
PERSONNEL
L'évaluation du personnel établit le
rapport entre le travail réalise par l'agent et celui attendu par
l'organisation ou l'entreprise.
Elle permet de vérifier le degré d'atteinte des
objectif de l'organisation au de l'entreprise, elle entre dans le cadre
général de contrôle de l'entreprise.
Les méthodes
d'évaluation
Les méthodes d'évaluation sont regroupées
en :
Ø L'auto évaluation
Ø L'évaluation par libre du chef
Ø L'évaluation par les collègues
Ø L'évaluation par comparaison successive ou par
paire
Ø L'évaluation directe
Ø La méthode d'évaluation par rang.
II.1.3.2 LA REMUNERATION
DU PERSONNEL
a) Définition : la
rémunération c'est le revenu du travail, c'est également
un avantage matériel et psychologique qui découle de la relation
d'emploi;
b) Les objectifs du système de
rémunération
Le système de rémunération à pour
objectif :
1. L'attraction des ressources humaines
2. La stabilité et la motivation du personnel
3. L'invitation à la promotion
4. La consolidation des efforts des employés vers les
objectifs de l'entreprise
5. Inviter les agents a l'esprit d'ingéniosité
et de créativité
6. Favoriser l'esprit d'équipes
7. Cree la tension salariale qui occasionne une distance
respectueuse entre les agents d'exécution et les agents des cadres
c) La composition de la rémunération
La rémunération comprend :
Ø Le salaire de base
Ø Les commissions
Ø Les indemnités
Ø Les primes
Ø Les gratifications
Ø Les avantages sociaux
d) La formation du salaire
La détermination du salaire est fonction du
système économique, le salaire est fixé initialement sans
tenir compte des facteurs concurrentiels extérieurs, dans le
système économique capitaliste le salaire est fixé par le
marche à travers la loi de l'offre et la demande.
Dans la fixation des salaires, il ya 7 facteurs qui
interagissent il s'agit de :
1. La montre de candidats au travail
2. Le minimum vital ou le SMIG
3. L'hostilité de l'offre du travail ou des
possibilités du travail
4. Les possibilités du profit de l'entreprise
5. La productivité du travail
6. La comparaison avec le salaire payé à
l'extérieur
Ø Model Paiement Du Salaire
Le paiement du salaire est effectué à des
intervalles des temps ne dépassant pas un moi et ou plus tard le
sixième jour qui suit la période à la quelle le salaire se
rapporte.
Le paiement doit avoir lieu pendant les heures de travail au
lieu et temps convenu.
Au moment de paiement l'employé doit remettre aux
travailleurs un bulletin de paie pour que les travailleurs vérifient les
écrits de la rémunération et les calculs.
Ø Les Eléments De Calcul De La
Rémunération
1. Le salaire est calculé sur base des jours
prestés pendant une période considéré
Le salaire s'obtient en multipliant le nombre d'heures de
travail effectue par le salaire horaire
2. Il est aussi calculé par une série
d'avantages fixés dans le contrat ou par usage
1. Les sommes payés par l'employeur en termes
d'incapacité de travail (accident, accouchement, maladie,...)
2. Les jours féries légaux.
3. Les congés annuels
4. Les heures supplémentaires
5. Les congés de circonstances
6. Le rendement fournit au travail, la
rémunération tient compte de la productivité du travail
accomplie
7. Le rendement étant difficilement durable, le salaire
du temps est le plus pratique
Nous pouvons aussi ajouter d'autres parties de la
rémunération qui se paient comme :
- les allocations familiales
- Les frais de transport et les voyages.
Ø La motivation du personnel
La motivation est l'ensemble d'action susceptible de
stimulé l'énergie des subordonnes à agirent dans le sens
souhaité.29(*)
Ainsi chaque travailleur a un intérêt plus ou
moins grand pour ses prestations.
Productivité professionnelle, il désire
satisfaire à ses besoins nom seulement d'argent mais aussi d'estime et
de satisfaction professionnelle de voir utiliser ses compétences.
Plus un salarié est motivé par son travail,
plus il a tendance à le parfaire
La motivation est donc un élément qui pousse
l'ouvrier à fournir le meilleur de lui même pour accomplir les
objectif de l'entreprise parce qu'il s sent pousser par une force interne.
Il se dégage alors des notions connexes pour :
Ø L'accroissement du rendement et de la
productivité du travailleur
Ø L'accroissement de la satisfaction morale et
matérielle qu'il retire sur le travail
Ainsi conçus nous verrons que la productivité
du travail est bien fonction d'une bonne organisation du travail d'où la
fonction qui s'occupe de la gestion du personnel est responsable.
Aussi, nous pouvons dire dans la théorie de la
motivation humaine qui est le facteur de la maximisation du profit et de la
réalisation des objectifs dans une entreprise.
La motivation désigne les performances qui ont
préside généralement à l'élaboration d'un
model de motivation.
Il est recensé un nombre de théorie qui
sont :
Ø la théorie de l'attribution
Ø la théorie de l'auto détermination
Ø la théorie de l'auto régulation
Ø la théorie de l'efficacité
personnelle
Ø la théorie de l'expectation
Ø la théorie du comportement planifié
Il revient de dire qu'à chaque époque, ses
conceptions de l'homme et ses théories de motivation, ainsi les bases
classiques sont :
Ø les pulsions et la réduction de la tension
(plaisir)
Ø les exigences de croissance et l'actualisation de
soi
Ø les bénéfices de la stabilité et
des possibilités
Ø les gratifications de la réussite (ou la
théorie des buts).
Vue tout ceci, nous présentons quelque type de
théorie de la motivation :
la théorie de la
hiérarchisation des besoins d'Abraham Maslow (1954)
Cette théorie est appelée aussi le pyramide des
besoins, elle dit que plus on « monte » de niveau et plus
la motivation est important, mais on ne peut atteindre le niveau
supérieur que si le niveau primaires sont satisfaites
.
La théorie de deux
facteurs d' Herzberg (1959)
Les grands apports de cette théorie sont qu'elle
montre que la motivation peut être influencée par des facteurs
internes appelés intrinsèques.
Pour Herzberg, la motivation varie selon des facteurs internes
mais la démotivation influe selon les facteurs externes qu'il appelle
facteurs hygiène, ainsi, la motivation n'est possible qu'en cas de la
hausse des facteurs internes appelés aussi intrinsèques.
La théorie des
besoins de réalisation de Mc Clelland
Cette théorie est construite à partir de la
mesure des besoins qui ressort trois types des besoins faisant la motivation du
travail :
Ø Les besoins de réalisation qui renvoie
à l'envie de réussir (accomplissement
Ø Les besoins de pouvoir, qui renvoie à vouloir
avoir de l'influence sur autrui
Ø Les besoins d'affiliations qui renvoient au besoin de
relation sociales satisfaisantes
Ainsi ses trois facteurs semblent avoir comme objectif de
montrer que « la volonté de réussir est une
auto-motivation puissante ».
4. La théorie des
caractéristiques de la tache(1968)
Cette théorie prévoie cinq facteurs qui
influençant la motivation :
Ø La variété des tâches (v)
Ø Les taches pouvant être réalisées
entièrement (I pour identité)
Ø La signification des tâches (s)
Ø L'autonomie individuelle (A)
Ø Un retour sur les activités (F pour le feed
back)
Ainsi le score de motivation est calculé par :
Score= ((V+I+S)*A*F)/3
5. Les théories
Behavioristes
Le Behaviorisme tenant par principe pour négligeable
les caractéristiques individuelles internes,
Le Behaviorisme prêtant que la motivation résulte
toujours en premier lieu des facteurs liés plus au moins
étroitement au conditionnement et plus précisément des
différents renforcements extrinsèques exercés sur les
comportements considèrent comme positifs.
6. La théorie V.I.E
de VROOM (1964)
Cette théorie cogniviste, appelée aussi
« la théorie du résultat escompté »
qui repose sur trois concepts :
Ø La valence (V)
C'est la valeur positive ou négative que l'on attribue
au résultat de se actions ou de sa performance
La valence consiste à répondre à la
question « ce que j'obtiens en retour pour ma performance accomplie,
c'est important ou pas pour moi ?
Dans le cadre du travail, l'important pour certains peut
être le niveau de salaire, pour d'autre avoir le temps libre, ses
préférences sont durable sur une échelle de -10 à
+10.
Ø L'instrumentalité (I)
Elle consiste à se poser la question de savoir est-ce
que corrèle avec le résultat ?
C'est la probabilité perçue du lien entre la
performance à atteindre et que l'escompte en retour c'est
répondre à la question, si je fais cela, alors, est ce que
j'obtiendrai cela en retour ? Mesurable sur l'échelle de
0à1.
Ø L'attente (E)
Est-ce l'effort aboutit à une performance ?c'est
répondre à la question, si je me mobilise pour faire cela, est-ce
que j'arriverai à cette performance ? Mesurable sur une
échelle de 0 à 1.
Ainsi VROOM propose une formule calculant la force de la
motivation (F)
F=e*(somme V*I)
6. La théorie de
l'équilibre d'Adams (1963-1965)
Selon cette théorie, l'individu calculerait un
« score » pour lui-même et un score pour autrui, afin
de déterminer s'il y a de la « justice sociale » la
motivation viendrait donc des représentations mentales (théorie
cognitiviste)
Score=R/A
Sachant que R correspond aux résultats (ex :le
salaire)et A l' apport( ex effort donné).
Ø Si le score du sujet est égal à celui
d'autrui, alors il y a équité et dont il sera motivé
Ø Si les scores sont inégaux, alors il n'y a pas
équité et la motivation baisse même dans le cas où
le sujet serait surestimé, il va perdre de sa motivation non pas par un
changement de comportement mais par un changement de perception.
7. La théorie du
reversement (1982)
Cette théorie se préoccupe moins des
déterminations biologiques ou environnementaux de la motivation que de
sa dynamique dans une approche cybernétique par reversement entre les
Etats relativement stables, dits Etats méta motivationnels, elle
prêtant ainsi rendre compte aussi bien des variations interindividuelles
avec des Etats préférés que des variations intra
-individuelles comme le passage (à l'environnement constant) de l'ennui
à l'euphorie ou de la relaxion de l' anxiété.
Avec la notion de l'Etat méta motivationnel, l'individu
apparaît comme moins foncièrement dépendant de pulsion aux
besoins vitaux puisque leurs satisfaction est l'occasion d'un jeu ou d'une
mise en concurrence renouvelée (multi stabilité), à chaque
moment un point d'équilibre est une forme d'engagement dans l'action
sont en définitives toujours prioritaire sur le résultat pratique
de se comportement.
II.2 THEORIE SUR LA
PRODUCTIVITE
Il ne revient pas pour nous d'entrer directement sur la
notion de la productivité, mais bien d'entrer dans le fond de la
matière, nous tenterons de faire d'abord une simple étude sur la
production.
II.2.1 LA PRODUCTION
La production est par définition le processus de
création des utilités qui sont susceptibles de satisfaire les
besoins humains, ses utilités peuvent être des biens et des
services.
Elle est une création des biens et services
destinés à la consommation s'est à dire à la
satisfaction des besoins30(*)
II.2.2 LES FACTEURS DE
PRODUCTION
Traditionnellement les facteurs de production sont
regroupés en trois catégories :
1. Le travail
2. Les ressources naturelles
3. Le capital.
Ses différents facteurs de production doivent
être combinés pour permettre la création des biens
économiques, les différentes combinaisons productives doivent
aboutir à la production finale.
A l'heure actuelle, les modes de combinaison productive
s'effectuent dans le ses d'une plus grande intensité capitalistique
(l'automation implique en effet une plus grande utilisation du facteur capital
par rapport au facteur travail.
II.2.3 LA PRODUCTIVITE
La productivité est définie comme une
capacité de produire, de rapporté plus ou moins le rapport entre
la quantité des produit et les facteurs nécessaire pour la
production31(*)
La productivité n'est qu'une mesure de
l'efficacité de la production, mais la productivité est celle
obtenue en divisant le prix d'un article par le salaire horaire ou moyen
On appelle productivité moyenne d'un facteur, le
rapport de la quantité produite à la quantité
utilisée de ses facteurs.32(*)
La productivité marginale d'un facteur désigne
l'accroissement de la production qui résulte de l'utilisation de
l'unité supplémentaire de ce facteur.
Il revient de souligner en donnant la propriété
de décroissance de la productivité marginale d'un facteur
signifie que si l'on ajoute de manière successive des unités
supplémentaires d'un facteur variable les quantités des autres
facteurs étant maintenues inchangées, les augmentations de
production qui en résulte diminuent à partir d'un certain
point.
La productivité moyenne est croissante lorsque la
productivité marginale est supérieure à la
productivité moyenne.
La productivité moyenne est maximale lorsqu'elle est
égale à la productivité marginale
PM MAX =>PM=Pm.
Ainsi donc la productivité du travail rend
compte de l'ensemble de stade intègre de transformation non pas
seulement du dernier aboutissant à la livraison du produit, à la
consommation
Dans son approche économique, la productivité
est considérée comme une mesure ou un ratio obtenu en divisant
la production par l'une des facteurs de production.
On peut aussi calculer la productivité du travail, du
capital, des investissements des matières premières etc.
Lorsque la productivité est employée seule sous
entant « la productivité du travail
Il existe également une notion de productivité
globale des facteurs (PGF) qui vise à synthétiser la
productivité d'ensemble du processus de production, cette variation
masure approximativement le progrès technique.
La productivité peut aussi mesure par la
quantité d'énergie utilisée ou la productivité
d'une unité ou d'une chaine de production.
II.2.3.1 LA PRODUCTIVITE DU
TRAVAIL
La productivité du travail est définie comme la
production sur (en terme de quantité des biens et services produit)
obtenue pour chaque unité de facteur de production »
travail »utilisé.
Par exemple si le travail est mesuré en nombre d'heures
travaillées, sa productivité sera égale au ratio entre la
quantité produite sur la période temporelle (un jour, une
semaine, un mois, une année) et le nombre total d'heures
travaillées par les employés pendant cette période.
II.2.3.2 LE GAIN DE
PRODUCTIVITE
Le gain de productivité est pour une quantité de
travail et/ou d'outil de travail identique une amélioration de la
production d'une unité de production ou d'une entreprise.
Le gain de productivité se mésuse comme la
différence entre deux productivités à deux dates
données. Ce gain peut être évalué en valeur absolue
(gain absolu par travailleur) ou en valeur relative (taux de variation
exprimé en pourcentage).
Le gain de productivité est un surplus qui peut
être distribué aux salariés (hausse de salaire, prime,
promotion, baisse de la durée du travail,...) à l'entreprise
(augmentation des fonds propres, financement des investissements) aux
actionnaires (la hausse des dividendes) aux consommateurs (la baisse de
prix)
La hausse de productivité est due à plusieurs
facteurs :
Ø L'organisation du travail
Ø La motivation
Ø La performance du matériel
Ø L'environnement de l'entreprise
Ø Le climat social
Ø L'expérience et la qualification
Ø La responsabilité et la confiance
Pour les économistes, le terme technologie est souvent
utilisé dans un sens large pour englober tout ce qui
déterminé la productivité.
La productivité à un rôle clef dans la
compréhension de la croissance économique, cette idée dont
son emblématique, les thèses d'Adam Smith sur « la
richesse de nation » (sous l forme particulière de la division
sociale du travail) a un aspect tautologique puisque le revenu par tête
et le niveau de productivité dans une économie sont à peu
de prés.
Deux manières d'écrire la même chose
(fraction entre la production et le nombre d'habitant) cet aspect tautologique
ne doit induire en erreur, il montre simplement que la productivité est
immanente à la croissance.
Dans l'approche individuelle, la productivité
résulte de deux types de considérations :
Ø sur le rendement, relativement à la question
de l'énergie (comment ai-je travaillé)
Ø Sur l'efficience relativement à la question de
l'intelligence (où ai-je fait ?)
Au niveau managérial, il revient de souligner que la
motivation des employés est importante pour augmenter leur
productivité.
II.2.3.3 LE GOULOT
D'ETRANGLEMENT
L'amélioration de la productivité, certes
liée aux progrès techniques dépend aussi du processus de
production du système considéré et des
procédés de fabrication :
Ø Diminution de la productivité :
amélioration du rendement en dehors du chemin critique d'un processus de
production diminue la productivité
Ø Paradoxe de la productivité : le paradoxe
précédent s'expliquez par la diminution d'un ratio
économique associe à la production égale,
l'amélioration du rendement entraine une diminution du volume de travail
effectué
Ø Augmentation de la productivité :
l'amélioration du rendement n'augmente la productivité que si
l'amélioration considérée s'applique au goulot
d'étranglement du système de production
considérée.
En se référant de même à la notion
de la productivité, nous avons dit qu'il y a autant de forme de
productivité dû aux facteurs de production
Ainsi nous avons :
Ø La productivité du travail
Ø La productivité du capital
Ø La productivité des consommations
intermédiaires.
Formules
Ø La productivité des CI= valeur de la
production/valeur des CI
Ø La productivité du capital (technique ou fixe)
est la ^productivité des machines qui est égale à la
valeur de la production/ la valeur du capital fixe(ou technique)
Remarque
La productivité va dépendre de la
durée d'utilisation des machines mais aussi du taux d'utilisation de
l'outil de production.
Ø La productivité du travail = la valeur de la
production /la quantité de travail utilisée
Il y a aussi la productivité horaire du travail = la
valeur de la production / la quantité de travail*la durée du
travail.
Ici on prend en compte la durée du travail, si elle
baisse la productivité doit augmenter
Si la valeur de la durée ne change pas inversement une
hausse de cette productivité peut favoriser une réduction de
cette durée.
La productivité du travail est égale à la
productivité du capital * l'intensité capitalistique (nombre des
travailleurs), cette relation nous permet de comprendre que la croissance de la
productivité du capital bénéfique à la
productivité du travail, toute chose restant égale par
ailleurs.
Pour clore cette par ou se chapitre nous tenterons de donner
ou de présenter un schéma qui explique l'importance des gains de
productivité et à quoi cela sert-il dans une
entreprise :
Hausse de la demande
Hausse des profits
Hausse du PA
Hausse desalaire
Hausse de l'investissement
Baisse du court salarial unitaire
Facteur de compétitivité
Baisse de prix
Division du travail
Hausse de la production
Hausse de la production
Hausse de l'emploi
Effet sur chaumage
Surplus de MO
Cela si on le place à LT, effet>0<0, si effet>o
on parle de phénomène de compensation
Transformation de l'emploi, il devient de plus en plus
tertiaire
Explication du schéma
Ø L'entreprise peut utiliser le gain de
productivité pour augmenter son bénéfice et donc son
investir
Ø L'entreprise dans un contexte de forte concurrence
peut utiliser ses gains de productivité pour baisser le prix, si on
augmente la productivité, on baisse les coûts de production et
l'entreprise va pouvoir exporter et cela favorisera l'extérieur et
augmentera l'emploi
Ø Au niveau des salariés le gain de
productivité peut contribuer à une hausse des salaires
qu'à la hausse du pouvoir d'achat (on peut imaginer que les
salariés préfèrent à la hausse du salaire et de la
durée du travail)
Ø Le gain de productivité permet à l'Etat
une augmentation des recettes fiscales ce qui sont des dépenses
publiques et donc l'investissement ou encore l'équilibre
budgétaire et donc indique d'éviter la hausse des
prélèvements futurs
Ce schéma nous permet de comprendre que la hausse de la
productivité créée un surplus de la main d'oeuvre
à court terme et à long terme, les gains de productivité
ont un effet positif sur l'emploi du fait des mécanismes
économiques exposés ci-dessus.
CHAPITRE III : LA
GESTION DU PERSONNEL ET SON IMPACT SUR LA PRODUCTIVITE AU SEIN D'UNE
ENTREPRISE
Dans cette partie de notre travail, nous nous attenterons sur
ce qui, l'objet même de notre étude « la gestion
du personnel et son impact sur la productivité au sein d'une entreprise
et cela à la société générale de
télécommunication (SOGETEL en sigle).
Nous avons vu tous que d'une part la croissance était
le résultat de la combinaison des deux facteurs de production que sont
le capital et le travail rendue de plus en plus productive par le
progrès technique, d'autre part nous avons étudié que le
progrès technique et l'accumulation du capital (c'est-à-dire
l'investissement) jouaient un rôle majeur dans la croissance.
De la même manière que nous pouvons nous
interrogés sur le rôle joué par le capital, nous allons
maintenant nous interrogés sur le rôle joué par le travail
dans la croissance d'une entreprise.
Nous parlons du travail ou de l'emploi dans
sa dimension d'activité productive des hommes. Ainsi par
l'emploi, nous désignons l'ensemble des tâches auxquelles sont
occupés les travailleurs, au fond elle est la façon dont les
entreprises utilisent le travail des hommes, Cependant, nous ne pouvons pas
toujours facilement séparer les dimensions économiques et
sociologiques du travail et de l'emploi, par exemple lorsque les travailleurs
contestent un mode d'organisation du travail, cela a des répercutions ou
des conséquences directes sur la production, ainsi nous pouvons
envisager et jeter nos regards croisés sur le travail car se dernier
étant un producteur des richesses.
Nous pouvons ainsi dire que la croissance dépend bien
sur d'abord de la quantité de travail disponible pour produire, mais
dépend aussi de la façon dont est utilisé le travail
c'est-à-dire la structure de l'emploi.
III.1 LA GESTION DU
PERSONNEL A LA SOCIETE GENERALE DE TELECOMMUNICATION (SOGETEL CKZ)
L'organisation du travail, la définition et l'adoption
des normes de travail (the one best way) dans l'entreprise doivent permettre
d'accroitre la productivité des travailleurs, pour mieux dire accroitre
efficience et la rationalité de la production au moyen des machines des
ouvriers dans les usines.
Ainsi, l'organisation et la gestion des ressources humaines ou
de la gestion du personnel dépend d'une entreprise à une autre
suivent la poursuite de ses objectifs.
Mais parler de la gestion du personnel à la
société générale de
télécommunication, il faut et il suffit qu'il ait la
présence de l'employeur et des travailleurs, l'employeur peut être
une personne physique ou morale, mieux identifié et doit avoir les
documents spécifiant son identification ou son identité
telque :
Ø Le statut notarié
Ø Le registre du commerce
Ø L'indentification nationale
Ø Le règlement d'ordre intérieur
Ø Etc.
La personne physique avec un contrat de travail confirmer par
un numéro matricule représente le travailleur.
L'harmonie entre les deux est représentée d'une
manière étatique par un document juridique appelé
communément le code de travail (tome I) pour la bonne gestion et (tome
II) pour la mesure d'application et pour des sanctions à
appliquées
Dans cet ordre d'idée la société
générale de télécommunication regorge le service de
la gestion du personnel ou la gestion des ressources humaines pour se charger
de la coordination au prés de la direction générale
compte tenu de la centralisation des activités
Parlant de la société
générale de télécommunication(CKZ), cette
dernière est sous la supervision du chef de ressort par l'entremise du
secrétaire chargé de l'administration.
D'une manière plus ou moins distincte, nous pouvons
aussi jeter nos regards sur ce qui de la gestion du personnel à la
société générale de
télécommunication (CKZ).
III.1.1 LES ETAPES DE LA
GESTION DU PERSONNEL A LA SOCIETE GENERALE DE TELECOMMUNICATION
Comme c'est le cas de dire que l'homme est le facteur de
production qui passe tout les secteurs de la vie organisationnelle.
Cet homme a des capacités physiques et mentales
limitées dans le temps et le contexte du travail, il faut toute fois
retenir que dans le processus même du travail l'homme est d'une
importance capital.
Au début l'individu fournit peu d'effort pour un grand
rendement, il arrive très vite que sous l'effet de la fatigue, le
rendement s'inverse. Dans se cas il fournira plus d'effort pour peu de
résultat.
Cet étape le conduira à un point de saturation
du travail au u niveau du quel tout effort supplémentaire de travail de
résultat est soit nul soit de plus en plus négatif, c'est donc
à ce stade qu'il revient d'injecter des mécanismes de motivation
susceptible de relancer positivement le travail pour ainsi atteindre une
production rentable.
Le rôle de la gestion du personnel au sein de cette
société de télécommunication consiste
essentiellement de gérer les ressources humaines des personnels qui ont
été engagé en son sein pour diverses fonctions et en
fonction de leur capacité intellectuelle et morales.
Le service de gestion des ressources humaines procède
à la sélection des personnes selon leur aptitudes et les affecte
dans le département et les services qui en font la demande, il fait la
suivie de leur évolution sur le plan de connaissance et d'adoption et
alloue le barème de l'entreprise, les salaires et l'ensemble de tout
les avantages conformément aux instructions de l'entreprise.
Se service applique le cadre de travail et ses mesures
d'applications ainsi que les arrêtés du ministère de
travail et de la prévoyance sociale.
Enfin se service fait une survie sur l'âge des agents,
les orientes et sollicité la retraite à ceux qui ont atteint
l'âge de la pension et tout cela selon le plan de la carrière
arrêté par l'entreprise.
III.1.1.1 LES ACTIVITES
ADMINISTRATIVES DE LA SOCIETE
1. LE RECRUTEMENT DE
PERSONNEL ET LA SELECTION DES CANDIDATS
Tel qu'il est définit comme un processus par lequel une
entreprise ou une organisation engage des gens pour un travail
déterminé, c'est au quel on acquiert une main d'oeuvre dans
différentes catégories de poste envue de réaliser les
objectifs que l'organisation s'est assignée
Pour la société générale de
télécommunication deux phases sont en application pour le
recrutement lors que les besoins se font sentires.
Après l'offre et le demande, il y a la
sélection des candidats par la demande d'emploi.
Les candidats doivent se munirent d'un curriculum vitae (cv)
et la présentation des documents scolaires et l'attestation des services
rendues, ou par trie sur l'issue de la présence de la main d'oeuvre
existante sous une autre appellation les agents journaliers.
2. L'EMBAUCHE
Comme on peut le dire, cet étape de la signature du
contrat ou du commissionnement qui ouvre la voie à une période
d'essaie ou une période probatoire.
L'embauche fait du candidat une nouvelle unité de
l'entreprise, cela se fait par test,
L'engagement propremendite passe par une période
d'essaie après confirmation et intégration.
3. L'AFFECTATION
L'affectation d'une nouvelle unité engagé est
fonction de s'est qu'il sait faire, on est peut pas affecter par exemple un
technicien à la place d'un informaticien,
L'affectation est fonction de l'aptitude de l'agent, de ses
capacités et de sa formation.
LA FORMATION DU
PERSONNEL
L'entreprise est autorisée de faire la formation de son
personnel selon les besoins.
Elle peut le faire elle même ou par l'entremise de L'INP
(institut national professionnelle).
Les agents formés sont sélectionnés, ils
sont examinés conformément à leur désires et au
besoin de l'entreprise.
En un mot, la formation doit répondre au besoin de
l'entreprise qui est la détermination de ses objectifs à
l'occurrence la production pour confère à chaque agent une
tâche correspondant à ses capacités.
5. L'EVALUATION DU
PERSONNEL
Dans tout les six pour chaque année, l'entreprise
procède par un test d'observation qui apporte aux agents
méritants les avantages correspondants.
D'où pour deux engagés ayant passés par
une même formation, mais sur le plan travail chacun relève des
capacités qui éveillent la curiosité de l'entreprise.
6. LA REMUNERATION DU
PERSONNEL
Le salaire qui représente une rétribution
allouée à l'agent selon son apport, son dévouement et les
cotations qui lui sont données selon le programme arrêté
par l'entreprise.
Cotation du personnel
à la société
La cotation du personnel à la société
générale de télécommunication consiste en l'examen
des agents
La cotation des agents se fait trimestriellement,
semestriellement et annuellement selon le cas.
La détermination des
côtes du personnel (facultatif à la société)
7. LA MOTIVATION DU
PERSONNEL
Le personnel est motivé sur une prime de rendement qui
se fait par une gratification semestrielle ou annuelle donnée à
l'agent méritant.
La motivation n'est pas un cadeau, il faut le
mérité après évaluation.
Elle est régie par des primes qui répondent
à une exigence particulièrement au niveau de la
productivité que l'agent à primer.
La prime n'est se donne pas à tout les agents, elle est
limitée en général an rapport avec le taux allouer, elle
est fonction du taux réalisé par l'entreprise c'est-à-dire
les charges que l'entreprise à buté pour réalisé
la production, ainsi l'entreprise opte pour les primes suivantes :
Ø La prime d'exploitation
Ø La prime d'escorte
Ø La prime de caisse
Ø La prime d'agent payeur
Mais tout cela ne pas respecté par la
société générale de
télécommunication.
Les éléments
constitutifs du salaire
La détermination du salaire est fonction de chaque
catégorie d'emploi à un taux minimum et un taux maximum,
Cela en se référant au niveau d'instruction, de
compréhension, de risque professionnel.
Se référant aux normes de la
rémunération et du salaire minimum, dans notre pays toutes les
compositions de la rémunération sont respectées
LA PERTE DU PERSONNEL
Au sein de la société, la perte du personnel est
due par manque de motivation.
Elle est due aussi par des démissions et des
licenciements.
Le cas fréquent qui a frappé la
société générale de télécommunication
CKZ
Depuis sa création est la démission des agents
et non le licenciement.
9. LA DISCIPLINE DU
PERSONNEL
La discipline est un phénomène qui permet
à l'entreprise d'utilisé sa main d'oeuvre dans l'ordre qu'il a
établit.
La discipline est due soit aux sanctions, licenciement,
réprimande, la mise à pied avec privation de salaire.
L'entreprise rappelle souvent ses règles pour que tout
le monde l'applique pour réaliser l'idéal de l'entreprise.
Mais dans cette étude, il n'y eu pendant quatre ans
aucune infraction vis-à-vis du personnel de la d la SOGETEL CKZ
10. EFFECTIF DU PERSONNEL
OU LE TABLEAU DES AGENTS
La société générale de
télécommunication (CKZ) compte en son sein11agents dont 10 hommes
et une femme et présente la présence des agents de la main
d'oeuvre ou des journaliers dot les statistiques se présentent comme un
nombre de 4 en 2003 jusqu'en 2006 et de 2007 en 2008 la main d'oeuvre est de 3
journaliers seulement.
Tableau n°1
Voici le tableau présentant les agents
matriculés
Agents
|
2004
|
2005
|
2006
|
2007
|
Exécution
|
8
|
8
|
8
|
8
|
Cadre
|
3
|
3
|
3
|
2
|
total
|
11
|
11
|
11
|
11
|
Source : secrétariat SOGETEL CKZ
(service du personnel)
Tableau n°2 le tableau des agents Matriculés
selon le sexe (homme et femme)
Agents
|
2004
|
2005
|
2006
|
2007
|
homme
|
femme
|
homme
|
femme
|
homme
|
femme
|
homme
|
femme
|
Exécution
|
7
|
1
|
7
|
1
|
7
|
1
|
7
|
1
|
Cadre
|
3
|
0
|
3
|
0
|
3
|
0
|
2
|
0
|
Total
|
11
|
11
|
11
|
10
|
Source : secrétariat SOGETEL
CKZ (service du personnel)
III.2 LA PRODUCTION A LA
SOCIETE GENERALE DE TELECOMINICATION (SOGETEL CKZ)
III.2.1 LA THEORIE DU
PRODUCTEUR
Eveiller le concept de la fonction de production qui
résume l'ensemble des contraintes techniques qui s'impose à une
entreprise.
Ainsi la fonction de production s'écrit par X=K.L
Où k= au facteur capital et L le facteur travail qui
importe beaucoup dans notre travail.
Ses deux facteurs sont substituables lorsqu'il est possible de
les remplacer, une quantité de l'un des facteurs par une
quantité additionnelle de l'autre tout en maintenant le même
volume de la production.
Dans d'autre cas, ses facteurs de productions sont
combinés dans des proportions fixes et sont
interdépendantes ; ses facteurs sont donc
complémentaires.
III.2.2 LA PRESENTATION DES
DONNEES DE PRODUCTION A LA SOCIETE GENERALE DE TELECOMMUNICATION (SOGETEL
CKZ)
La production est le processus de création des
utilités qui sont susceptibles de satisfaire les besoins humains, ses
utilités peuvent être des biens et des services destinés
à la consommation, c'est-à-dire à la satisfaction des
besoins.
La production est en outre une activité
économique de création, de fabrication et de fourniture des biens
et des services.
Dans cette partie du chapitre, nous allons vouloir
présentés la production de cette société qui
à attitrer notre attention dans le but de fournir une étude
aussi économique qu'il soit.
Ainsi, comme la société procède par la
vente de la communication, sa production réalisée est
calculée sur base de l'index qui fournit tout les renseignements sur le
montant dû à l'entreprise.
Sans plus tarder voici comment se présente la
production de la communication à la société
générale de télécommunication (SOGETEL CKZ).
Tableau n°3 la production de SOGETEL(CKZ)
exprimée en USD
De l'année 2004 jusqu'en 2007
Mois
|
2004
|
2005
|
2006
|
2007
|
janvier
|
21217.09
|
17148,95
|
17640,97
|
12450,31
|
février
|
12960,68
|
17235,07
|
17450,65
|
12230,04
|
mars
|
8694,93
|
10372,55
|
9135,1
|
11042,4
|
avril
|
16060,48
|
17676,68
|
15541,12
|
10002,5
|
mai
|
6478,75
|
7567,12
|
6724,42
|
10642,62
|
juin
|
13490,32
|
15007,67
|
11412,64
|
9450,64
|
juillet
|
20215,64
|
16418,7
|
17614,48
|
9862,72
|
août
|
11190,03
|
11004,72
|
9417,5
|
10642,7
|
septembre
|
25677,84
|
13547,94
|
15432,71
|
11320,14
|
octobre
|
17245,73
|
18416,07
|
18312,83
|
10250,84
|
novembre
|
17905,4
|
16372,79
|
13844,1
|
9320,12
|
décembre
|
17904,5
|
17650,42
|
12483,84
|
9450,52
|
total
|
189041.4
|
178418,68
|
165010,36
|
126665,55
|
Source : tableau élaboré de nous
même sur base des données récoltées à la
SOGETEL (CKZ).
- Représentation graphique de la production en
USD
Nous verrons ici que la production de la société
générale de télécommunication à varier de
façon particulier pour chaque année de l'année 2004
jusqu'en 2007 à cause des situations qui ont frappé la
société, pour l'année 2007 la production a baissée
suite à la concurrence avec les autre sociétés de
télécommunication comme Vodacom, celtel, tigo... mais bien
d'autre facteurs telque la vétusté des matérielles.
Revient de souligner ici que la production de la
société est due des recettes venant de la communication et de
l'internet,
D'où il y a cinq sortes des recettes :
Ø Les recettes de la communication locales
Ø Les recettes de la communication provinciales
Ø Les recettes de la communication nationale
Ø Les recettes de la communication internationale
Ø Les recettes de l'internet.
Tableau n°4 tableau synthèse de la production
et de l'effectif du personnel de la SOGETEL (CKZ)
Année
|
Effectif du personnel
|
Production en USD
|
2004
|
11
|
169946
|
2005
|
11
|
178418,68
|
2006
|
11
|
165010,36
|
2007
|
10
|
126665,55
|
Source : de nous même à partir du
tableau n°1&3
- Représentions graphique
1. Effectif du personnel de l'année 2004 jusqu'en
2007
Nous constatons ici par la représentation du
graphique de la courbe de l'effectif totale demeurée constante depuis
l'année 2004 jusqu'en 2006, la courbe est devenue décroissante et
cela est dû à certain agent qui ont jugé bon d'aller
ailleurs où ça promet mieux, d'où la perte des
personnels.
2. la production totale de l'année 2004 jus qu'en
2007
La production totale de la société
générale de télécommunication est en baisse suite
à la vétusté des matérielles, en 2004 elle
était maximum mais contrairement à l'année 2007 cela est
due à la perte en personnel d'où une chute spectaculaire de la
production, et cela a eu l'influence sur la production qui avait tendance
à augmentée dans l'année 2005 départ le premier
graphique puis baissée en 2006 puis cette chute spectaculaire en 2007,
d'où un écart presque de 4000 USD de moins sur la production de
2006 au lieu des années précédentes.
Cela est dû non pas par la perte en personnel, mais bien
aussi en la concurrence qui consiste en la préférence de la
téléphonie cellulaire à l'instar de la
téléphonie fixe.
Ø La détermination de la
productivité
La productivité du travail est égale à la
production sur la quantité du travail utilisé
C'est qui implique que Pté = valeur de la
production/la quantité du travail
Tableau 5 : la productivité du travail de la
société en USD/agent
La productivité sera calculée à partir
de ses deux tableaux qui suivent :
Ø Le tableau de la production
Mois
|
2004
|
2005
|
2006
|
2007
|
janvier
|
21217.09
|
17148,95
|
17640,97
|
12450,31
|
février
|
12960,68
|
17235,07
|
17450,65
|
12230,04
|
mars
|
8694,93
|
10372,55
|
9135,1
|
11042,4
|
avril
|
16060,48
|
17676,68
|
15541,12
|
10002,5
|
mai
|
6478,75
|
7567,12
|
6724,42
|
10642,62
|
juin
|
13490,32
|
15007,67
|
11412,64
|
9450,64
|
juillet
|
20215,64
|
16418,7
|
17614,48
|
9862,72
|
août
|
11190,03
|
11004,72
|
9417,5
|
10642,7
|
septembre
|
25677,84
|
13547,94
|
15432,71
|
11320,14
|
octobre
|
17245,73
|
18416,07
|
18312,83
|
10250,84
|
novembre
|
17905,4
|
16372,79
|
13844,1
|
9320,12
|
décembre
|
17904,5
|
17650,42
|
12483,84
|
9450,52
|
total
|
189041.4
|
178418,68
|
165010,36
|
126665,55
|
Ø Tableau de l'effectif du personnel
Mois
|
2004
|
2005
|
2006
|
2007
|
janvier
|
11
|
11
|
11
|
11
|
février
|
11
|
11
|
11
|
11
|
mars
|
11
|
11
|
11
|
11
|
avril
|
11
|
11
|
11
|
11
|
mai
|
11
|
11
|
11
|
11
|
juin
|
11
|
11
|
11
|
11
|
juillet
|
11
|
11
|
11
|
11
|
août
|
11
|
11
|
11
|
11
|
septembre
|
11
|
11
|
11
|
10
|
octobre
|
11
|
11
|
11
|
10
|
novembre
|
11
|
11
|
11
|
10
|
décembre
|
11
|
11
|
11
|
10
|
total
|
132
|
132
|
132
|
128
|
Ø La détermination de la
productivité :
Mois
|
2004
|
2005
|
2006
|
2007
|
janvier
|
1928,82636
|
1558,99545
|
1603,72455
|
1131,84636
|
février
|
1178,24364
|
1566,82455
|
1586,42273
|
1111,82182
|
mars
|
790,448182
|
942,959091
|
830,463636
|
1003,85455
|
avril
|
1460,04364
|
1606,97091
|
1412,82909
|
909,318182
|
mai
|
588,977273
|
687,92
|
611,310909
|
967,510909
|
juin
|
1226,39273
|
1364,33364
|
1037,51273
|
859,149091
|
juillet
|
1837,78545
|
1492,60909
|
1601,31636
|
896,610909
|
août
|
1017,27545
|
1000,42909
|
856,136364
|
967,518182
|
septembre
|
2334,34909
|
1231,63091
|
1402,97364
|
1132,014
|
octobre
|
1567,79364
|
1674,18818
|
1664,80273
|
1025,084
|
novembre
|
1627,76364
|
1488,43545
|
1258,55455
|
932,012
|
décembre
|
1627,68182
|
1604,58364
|
1134,89455
|
945,052
|
total
|
17185,5809
|
16219,88
|
15000,9418
|
11881,792
|
Source : de nous même cfr tableau
n°1&2
Ø Représentation graphique de la
productivité du travail
De part même l'oeil, nous pouvons dire que la
productivité a demeurée la même tout au long de ses quatre
ans comme la production c'est-à-dire avait une allure identique, dans
année 2004, la productivité était maximale par rapport aux
autres années au mois de janvier contrairement au mois de
décembre, la productivité était élevée par
rapport aux autres années si c'est ne que l'année 2005, pour
s'est qui de l'année 2005 et 2006 leurs productivités ont
demeurées presque les même, leurs allures se sont
écartées au mois de décembres, mais contrairement à
l'année 2007 où une chute da la productivité s'est
annoncée déjà au moi de janvier pour arriver même au
mois de décembre
Nous pouvons ainsi dire, que la productivité est
fonction directe du niveau des agents au sein de la société
générale de télécommunication SOGETEL (CKZ), selon
d'autre raison cela est due à la vétusté des
matérielles.
Ø Courbe de la productivité du travail
totale
L'allure de la productivité totale est en baisse
d'où une explication positive de la baisse de l'effectif du personnel
(la perte du personnel), l'année 2004 est l'année qui a
procurée à la société une productivité
maximale par rapport à l'année 2005, 2006, 2007où la
productivité decroie ou est en baisse.
La détermination de la productivité horaire
du travail
mois
|
2004
|
2005
|
2006
|
2007
|
janvier
|
416626,495
|
336743,018
|
346404,502
|
244478,815
|
février
|
235648,727
|
300830,313
|
317284,545
|
213469,789
|
mars
|
170736,807
|
203679,164
|
179380,145
|
216832,582
|
avril
|
303689,076
|
334249,949
|
293868,451
|
189138,182
|
mai
|
127219,091
|
148590,72
|
132043,156
|
208982,356
|
juin
|
255089,687
|
283781,396
|
215802,647
|
178703,011
|
juillet
|
396961,658
|
322403,564
|
345884,335
|
193667,956
|
août
|
219731,498
|
216092,684
|
184925,455
|
208983,927
|
septembre
|
485544,611
|
256179,229
|
291818,516
|
235458,912
|
octobre
|
338643,425
|
361624,647
|
359597,389
|
221418,144
|
novembre
|
338574,836
|
309594,575
|
261779,345
|
193858,496
|
décembre
|
351579,273
|
346590,065
|
245137,222
|
204131,232
|
total
|
3640045,19
|
3420359,32
|
3173925,71
|
2509123,4
|
Source : de nous même à partir des
données fournies et du tableau1
Ø -courbe de la productivité horaire du
travail
De part la présentation graphique, nous voyons que la
productivité horaire du travail varie en fonction de la production, et
non pas du niveau des heures prestées, d'où la raison
incombée à la productivité du travail sur la
vétusté des matérielles de travail revient de même
au niveau de la productivité horaire du travail
III.3 LA GESTION DU
PARSONNEL ET SON IMPACT SUR LA PRODUCTIVITE A LA SOCIETE GENERALE DE
TELECOMMUNICATION (SOGETEL CKZ)
Comme cela a été éveillé dans la
partie introductive de se travail, que pour toute entreprise qui se veut
respectée, l'atteinte de ses objectifs fera l'objet ou appel aux
différent procédures de gestion pour sa détermination et
sa survie, et la performance provient d'une gestion efficace et efficiente
d'où nous pouvons dire rationnelle La gestion du personnel à
la société générale de
télécommunication comprend les différentes
étapes : Pour commence, d'abord par la procédure
de gestion, tout les décisions sont centralisées à la
direction générale de Lubumbashi(CLB) et l'on ne sait pas dire
qui travail et qui ne travail pas, qui est en avance et qui est en retard, bref
qui dirige qui.
L'effectif du personnel est minimes et l'entreprise ne sait
pas recruter ni même les journalier ni les autres (la
société l'offre pas l'emploi) et la gestion du personnel cause un
problème pour la société.
La société générale de
télécommunication garde en son sein les mêmes agents
depuis l'année 2002 jusqu'en se jours, l'affectation n'est pas
respectée c'est qui nui à la production due. d'ou la
productivité du travail en baisse.
La seule motivation pour l'entreprise n'est que le salaire,
c'est qui amène l'entreprise à une perte des personnel voir
même des journaliers cela renvoie la productivité à prendre
une allure négatif.
Pour ce qui de la discipline, comment se fait-il pour une
entreprise qui se respecte où l'on n'arrive pas à opter pour une
discipline équitable où seulement les journalier en sont
victimes. D'où la gestion du personnel à la
société générale de télécommunication
n'arrive pas maintenir la discipline de ses agents et/où tout est
régit par l'amitié et non le travail et cela conduit au non
réalisation des objectifs
Se référant au cycle de la productivité,
ce la est lier à la conjoncture qui est même le carnet de
commandement de l'entreprise
Il peut exister quatre phase dont : Début
d'expression : hausse accéléré de la
productivité, et on entant une confirmation de l'embauche
Ø Fin d'expression : la hausse ralentie de la
productivité, le personnel est sous utilisé, cela on approche
à un sureffectif
Ø Récession : la baisse de la
productivité, l'employeur entend la confirmation pour le licenciement
Ø Dépression : baisse ralentie de la
productivité, l'employeur prend acte du sureffectif, il licencie, c'est
qui hausse la productivité et la préparation à la
reprise.
La baisse de la productivité à la
société générale de télécommunication
CKZ n'est pas seulement due à la mauvaise gestion mais aussi à
d'autres effets comme la concurrence des sociétés de
communication telle que VODACOM, CELTEL, TIGO, CCT ...
C'est qui fait que la gestion du personnel ne sait pas faire
tout pour son personnel, parce que tout est centralisé à la
direction générale et que l'assistance managériale du CKZ
ignore d'autres décisions, il ne connaît pas tout s'est qui de la
gestion du personnel dans leur entreprise, d'où pour procéder
à l'embauche la compétence est seulement dans le chef de la
direction générale, c'est qui revient à la Mercie du
centre de Kolwezi s'est seulement l'appel à l'offre des journaliers.
Cela a des répercutions sur la productivité en
baisse, car les agents ne sont pas motiver et que la société ne
dispose pas des bonnes stratégies opérationnelles sur terrain
contrairement à ce que nous avons proposé la partie introductive
ou nous avons dit que les stratégies opérationnelles sur terrain
étaient bonnes.
III.4 CRITIQUES ET
SUGGESTIONS
a) Critiques
En se jours, la communication constitue une de plus grande
concurrence dans la vie économique des hommes, où toute les
entreprises ne veulent tourner le dos
Pour la société générale de
télécommunication, la gestion du personnel pourrait avoir des
facultés positives ou des répercutions positives mais cela sont
négatives c'est suite :
Ø Une mauvaise pratique de la gestion
Ø Pas de respect des stratégies
opérationnelles e la gestion
Ø L'insuffisance du personnel et pas de motivation
Ø La vétusté de l'outil de production
Ø La concurrence
c) Suggestion
Ainsi, nous suggérons ceci à la
société générale de
télécommunication :
Ø S'adapter à la concurrence par la mise des
stratégies marketing
Ø De faire face à la concurrence pour arriver
à atteindre ses objectifs qui, de maximiser la production en multipliant
ses cabines publique.
Ø Remplacer progressivement les câbles ou les
lignes téléphoniques pour rendre son réseau fiable
Ø Respecter tout les normes du code de travail pour
arriver à gérer son personnel
Ø D'éviter de perdre son personnel
Ø De placer les hommes qu'il faut à la place
qu'il faut
CONCLUSION GENERALE
Il a été pour nous question dans ce travail de
fin de cycle, de faire une étude de la gestion du personnel et son
impact sur la productivité au sein d'une entreprise.
En dehors de l'introduction générale, notre
travail s'est articulé autour de trois chapitres où nous avons
développé les points suivants :
Dans le premier chapitre, nous avons eu à
présenté l'approche conceptuel et la présentation du cadre
de recherche, où nous avons définit les mots clés qui
avaient touchés notre humble préoccupation majeur et nous avons
présenté la société générale de
télécommunication.
Dans le deuxième chapitre, nous nous sommes permis de
faire une théorie sur la gestion du personnel et sur la
productivité.
Enfin au troisième, nous avons parlé de la
gestion du personnel et son impact sur la productivité au sein d' une
entreprise, où nous avons présenté la gestion du personnel
de la société générale de
télécommunication, nous avons eu a présenté les
donner puis après leur traitement, nous avons eu à voir et
à remarquer que la gestion du personnel avait des répercutions
négatives sur la productivité dans la société et
que cette dernière dépendait aussi d'une concurrence de la
téléphonie cellulaire vis-à-vis de la
téléphonie fixe, d'où la clientèle
préfère la téléphonie cellulaire que la
téléphonie fixe, puis nous avons donné une piste des
solutions pouvant faire que la société générale de
télécommunication ne puisse tombé en faillite et prendre
le pas vers la réalisation de ses objectifs.
BIBIOGRAPHIE
1. Ouvrages
Ø CHEVALIER ET LOSHACK, introduction à la
science administrative. Ed puf parie 1974
Ø LA RAMEE A, VALLEE. la recherche en communication
élément de méthodologie, ed PUQ Montréal
1991
Ø SALEM A. & ALBERTINI JM, lexique
économique, paris, éd. Dalloz1992.
Ø THOMASS, la gestion des entreprises, paris,
éd. puf 1962.
2. Dictionnaires
Ø Dictionnaire encyclopedique, éd Bevel,
bruxelles 2002.
Ø MOKHTAR L. Dictionnaire d'économie
comptenporaine 2°éd HARAPE SC BARCELONE, paris 2002.
Ø NERRINCK A. la rousse classique, paris, 6°
éd.
Ø PETIT ROBERT .dictionnaire alphabétique,
analyse de la langue française, paris 1994
3. Cours
Ø BONDO M. économie politique I, CUK
2005-2006.inédit
Ø KAZADI M. gestion du personnel, CUK,
2007-2008.inédit
Ø LABY P. économie politique II, CUK,
2006-2007.inédit
Ø MBAYA K. méthodes de recherche en sciences
sociales, CUK, 2006-2007.inédit
Ø NDUA S. initiation à la recherche
scientifique, CUK, 2005-2006.inédit
Ø NGONGO L. méthodes de recherche en sciences
sociales, CUK, 1999-2000.inédit
Ø NGONGO L. management, CUK,
2006-2007.inédit
4. Travail de fin de cycle
Ø YUMBA M. l'impact de la gestion du personnel sur la
productivité dans une entreprise, TFC, CUK, 2002-2003.
Ø MAKONGA K. le fonctionnement politico-administrative
et leur impact sur le développement de la RDC, TFC, CUK, 2006-2007.
Ø NGOMB N. l'impact de la gestion des ressources
humaines sur la productivité dans une entreprise, TFC, CUK,
2005-2006.
TABLE DES MATIERES
CHAPITRE 0 : INTRODUCTION GENERALE
1
0.1 ETAT DE LA QUESTION
2
0.2. PROBLEMATIQUE
3
0.3 HYPOTHESE
4
0.4 CHOIX ET INTERET DU SUJET
5
a) choix du sujet
5
b) intérêt du sujet
5
0.5 METHODOLOGIE ET TECHNIQUE
6
0.5.1 La méthodologie
6
a) L'induction ou la méthode inductive
6
b) La méthode comparative
6
0.5. 2 Technique
7
a)La technique documentaire
7
b) L'interview
7
0.6 DELIMITATION DU SUJET
7
0.7 SUBDIVISION DU TRAVAIL
8
CHAPITRE I : APPROCHE CONCEPTUELLE ET
PRESENTATION DU CADRE DE RECHERCHE
9
I.1 APPROCHE CONCEPTUELLE
9
I.1.1 LA GESTION
10
I.1.2 LA GESTION DU PERSONNEL
10
I.1.3. LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES
10
I.1.4 L'ADMINISTRATION DU PERSONNEL
11
I.1.5. LE PERSONNEL
11
I.1.6 L'IMPACT
11
I.1.7 LA PRODUCTION
12
I.1.8. LA PRODUCTIVITE
12
I.1.9 L'ENTREPRISE
13
I.2 PRESENTATION DE LA SOCIETE GENERALE
DETELECOMMUNICATION(SOGETEL)
14
I.2.1 HISTORIQUE
14
I.2.2 FOND SOCIAL
14
I.2.3 OBJET SOCIAL
15
I.2. 4 L'ORGANISATION ADMINISTRATIVE
15
- L'organigramme général de
SOGETEL
16
- Organisation administrative de SOGETEL KOLWEZI
(CKZ)
16
- Organigramme. De. SOGETEL CKZ
16
Le chef de centre de Kolwezi
17
La technique
17
Le commercial et la gestion des clients
17
La trésorerie
17
Le secrétariat
18
CHAPITRE II : THEORIE GENERALE SUR LA
GESTION DU PERSONNEL ET LA PRODUCTIVITE
19
II. 1. THEORIE SUR LA GESTION DU PERSONNEL
19
II 1.1 LA PLANIFICATION
20
II.1.2 LE RECRUTEMENT ET LA SELECTION DU
PERSONNEL
21
Le recrutement du personnel
21
La description des postes
21
L'analyse contrainte de postes
21
Les contraintes psychologiques ou
sociales
22
Les contraintes morales
22
3. La spécification de la
quantité pour occuper les postes (le job description)
22
4. La description quantitative de la main
d'oeuvre
22
5. La recherche des candidatures
22
La sélection des candidats
23
* Le ratio de sélection
24
* Les moyens de sélection
24
7. L'embauche
24
II.1.3 L'EVALUATION ET LE RENDEMENT DU
PERSONNEL
26
II.1.3.1 L'EVALUATION DU PERSONNEL
26
Les méthodes d'évaluation
26
II.1.3.2 LA REMUNERATION DU PERSONNEL
27
la théorie de la hiérarchisation des
besoins d'Abraham Maslow (1954)
30
La théorie de deux facteurs d' Herzberg
(1959)
30
La théorie des besoins de réalisation
de Mc Clelland
31
4. La théorie des caractéristiques de
la tache(1968)
31
5. Les théories Behavioristes
31
6. La théorie V.I.E de VROOM (1964)
32
6. La théorie de l'équilibre d'Adams
(1963-1965)
32
7. La théorie du reversement (1982)
33
II.2 THEORIE SUR LA PRODUCTIVITE
33
II.2.1 LA PRODUCTION
34
II.2.2 LES FACTEURS DE PRODUCTION
34
II.2.3 LA PRODUCTIVITE
34
II.2.3.1 LA PRODUCTIVITE DU TRAVAIL
36
II.2.3.2 LE GAIN DE PRODUCTIVITE
36
II.2.3.3 LE GOULOT D'ETRANGLEMENT
37
CHAPITRE III : LA GESTION DU PERSONNEL
ET SON IMPACT SUR LA PRODUCTIVITE AU SEIN D'UNE ENTREPRISE
40
III.1 LA GESTION DU PERSONNEL A LA SOCIETE GENERALE
DE TELECOMMUNICATION (SOGETEL CKZ)
40
III.1.1 LES ETAPES DE LA GESTION DU PERSONNEL A
LA SOCIETE GENERALE DE TELECOMMUNICATION
42
III.1.1.1 LES ACTIVITES ADMINISTRATIVES DE LA
SOCIETE
42
1. LE RECRUTEMENT DE PERSONNEL ET LA SELECTION DES
CANDIDATS
43
3. L'AFFECTATION
43
LA FORMATION DU PERSONNEL
43
5. L'EVALUATION DU PERSONNEL
44
6. LA REMUNERATION DU PERSONNEL
44
Cotation du personnel à la
société
44
La détermination des côtes du
personnel (facultatif à la société)
44
7. LA MOTIVATION DU PERSONNEL
44
Les éléments constitutifs du
salaire
45
LA PERTE DU PERSONNEL
45
9. LA DISCIPLINE DU PERSONNEL
45
10. EFFECTIF DU PERSONNEL OU LE TABLEAU DES
AGENTS
45
III.2 LA PRODUCTION A LA SOCIETE GENERALE DE
TELECOMINICATION (SOGETEL CKZ)
47
III.2.1 LA THEORIE DU PRODUCTEUR
47
III.2.2 LA PRESENTATION DES DONNEES DE PRODUCTION A
LA SOCIETE GENERALE DE TELECOMMUNICATION (SOGETEL CKZ)
47
III.3 LA GESTION DU PARSONNEL ET SON IMPACT SUR LA
PRODUCTIVITE A LA SOCIETE GENERALE DE TELECOMMUNICATION (SOGETEL CKZ)
55
III.4 CRITIQUES ET SUGGESTIONS
58
CONCLUSION GENERALE
59
BIBIOGRAPHIE
60
TABLE DES MATIERES
63
* 1 LA RAMEE A. La recherche
en communication élément de méthodologie.
Montréal ed PUQ.1991.p 124
* 2 MAKONGA K. Le
fonctionnement des institutions politico-administratif et leur impact sur le
développement de la République Démocratique du Congo. TFC
UNILU extension de Kolwezi 2006 - 2007
* 3 Idem
* 4 LA RAMEE A. OP cit p2
* 5Idem
* 6 CHAVALIER ET LOSHACK.D.
Introduction à la science administrative, ed PUF parie 1974, p
314
* 7 NGONGO L. Cours de
méthodes de recherches en sciences sociales, inédit G1 CUK
1999-2000
* 8 MBAYA K. Cours des
méthodes de recherches en sciences sociales, inédit G2 CUK
2006-2007 ;
* 9 Idem
* 10 NDUA S. Initiation
à la recherche scientifique, inédit G1 CUK 2005-2006
* 11 MAKONGA K. op cit. p 3
* 12 Petit robert, dictionnaire
alphabétique, analyse de la langue française. Parie 1994.p513
* 13 Dictionnaire
encyclopedique, ed Bevel, Bruxelles 2002 p456
* 14 KAZADI M, cours de
gestion du personnel, inédit G3 CUK 2007-2008
* 15 NGONGO L. op cit p 5
* 16 MOKHTAR L. Dictionnaire
économique comptenporaine, 2°ed HARAPE SL BARCELONE, paris 2002, p
634
* 17 NERRINCK. A, la rousse
classique, éd Paris. VI. P896
* 18 H.t.t.p // WIKIPEDIA. ORG:
Internet.
* 19 THOMAS. S, La gestion
des entreprises, parie, éd PUF, 1962, P 27
* 20 LABY P, cours
d'économie politique II, inédit G2 CUK, 2006-2007
* 21 Dictionnaire
encyclopedique éd. Bevel, Bruxelles 2000
* 22 Emmanuel Y. l'impact de
la gestion des ressources humaines sur la productivité dans une
entreprise, TFC CUK 2005-2006
* 23 NGOMB N, l'impact de la
gestion du personnel sur la productivité dans une entreprise, TFC CUK
2002-2003
* 24 THOMAS S, Op cit p10
* 25 SELEM A & ALBERTINI
JM. Lexique économique, paris, ed Dalloz 1992 p 29
* 26 NGONGO L, Management, G2
CUK 2006-2007. Inédit
* 27 IDEM
* 28 Kazadi.M. op.cit. p8
* 29 NGONGO L. op cit p 15
* 30 LABY M. op cit p10
* 31 Dictionnaire
encyclopedique, Ed Bevel bruxelles 2002
* 32 BONDO M, cours
d'économie politique I, inédit G1 CUK 2005-2006
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