I.5.2 Mécanique bohmienne
Selon David BOHM, la description du mouvement
d'un système de n particules définies
ensemble par la fonction d'onde ø dudit système avec sa
configuration
sont les positions de ces particules .La fonction d'onde, qui
évolue
20 Paragraphe I.3.1°)
21 Voir bibliographie [1]
22 Voir bibliographie [1]
dat564approximatioCAéEIreBSu chCEm S
k
selon l'équation non stationnaire de
SCHRÖDINGER :
(I.27)
(où est le Hamiltonien du système)
représente le mouvement des particules qui évoluent dans la plus
simple des manières possibles selon l'équation
différentielle ordinaire de premier ordre :
(I.28)
Où le second membre23 est
régénéré par la fonction d'onde. En
considérant la simplicité et la symétrie de l'espace --
temps, on détermine alors la forme , donnant ainsi la définition
des équations24 de la mécanique de BOHM
:
(I.29) et l'équation (I.27) où le Hamiltonien
usuel contient comme paramètres les masses
des particules aussi bien que la fonction énergie
potentielle V du système .Les équations
(I.27) et (I.29) forment une spécification de la théorie sans
besoin d'autres axiomes.
I.5.3 Gravité quantique de BOHM
La transition de la mécanique quantique à celle de
BOHM est très simple sinon triviale : On incorpore
simplement l'actuelle configuration dans la théorie comme variable de
base et on stipule qu'elle évolue dans un cadre naturel
suggéré par la symétrie et par l'équation de
SCHRÖDINGER. Le champ de vitesse est en fait,
relié à la probabilité quantique courante
par :
23 C'est - à - dire le champ de vecteur
vitesse sur la configuration de l'espace
24 Voir Bibliographie [4].
at564EESERIVEORCAPEILIBSKAICEP S
suggérant, quand
|
satisfait l'équation de continuité avec , que
les
|
prédictions empiriques de la mécanique de
BOHM , pour les positions et ultimement en fait , pour
d'autres « observables » , agrée avec celles de la
mécanique quantique.
Pour comprendre comment la théorie de la gravité
quantique de BOHM fonctionne,
A h
revenons à l'équation de
SCHRÖDINGER (I.27) ; en exprimant par on
obtient :
(I.31) Si on décompose25 la fonction d'onde
en sa norme et sa phase :
(I.32)
ici R est la norme de obtient le
système :
|
,remplaçons (I.32) dans (I.31), on
|
|
h
V
|
|
(I.33)
|
|
|
|
|
On posera pour la suite comme étant le potentiel quantique
de BOHM. La
?
première équation de (I.33) est l'équation
de continuité provenant du fait qu'on adopte que la
m
relation classique donne la trajectoire de la particule :
(I.34)
25 Voir paragraphe I.2.4°).
dans l'approximation linéaire du champ
La deuxième équation de (I.33) est
l'équation d' HAMILTON -- JACOBI modifiée.
Prenons le gradient de cette dernière on aura :
(I.35) Or d'après (I.34) on aura :
(I.36)
On obtient ainsi l'équation du mouvement de
NEWTON. Ainsi l'interprétation de BOHM
s'énonce comme suit :
«Pour quantiser n'importe quel syst~me classique, on
ajoute un potentiel quantique à l'équation classique
de HAMILTON -- JACOBI ; le potentiel quantique est
donnée en terme de la densité d'un ensemble hypothétique
du syst~me (R2) et alors on doit ajouter
l'équation de continuité pour avoir un systqme d'équations
adéquats. »
dEns Bl'EpprRxiPEtiRn BlinéEire Bdu BAhEPp
|