La théorie de la gravité quantique de Bohm dans l'approximation linéaire du champ( Télécharger le fichier original )par Lucien Mandeng Mandeng Université de Yaounde I, Ecole Normale Supérieure, Département de physique - Diplôme de Professeur de l'Enseignement secondaire 2ème grade 2006 |
III- Chapitre 31. Obtention de l'équation (III.3)&ha
Nous négligeons dans ce deuxième membre les termes en ä : of, 4 2 (III.3) dans l'approximation linéaire du champ 2. Obtention de l'équation (III.5)? ? 1d t a d2rs
)+ya (rrs
)1 or (III.5) 3. Obtention de l'équation (III.6)
; de même quand x2=y=b à (III.6) y=oo ; 4. Obtention de l'équation (III.8)
+ .)
dEns Bl'EpprRxiPEtiRn BlinéEire Bdu BAhEPp (III.8)
(III.12) GaLs l'aSSrR[iPatiRL liLéaire Gu AhaPS Lexique Approximation linéaire du champ gravitationnel : elle consiste à ignorer les termes d'ordre supérieur à un dans le développement en G (Constante de NEWTON) de l'expression du champ gravitationnel. Astrophysique : partie de l'astronomie (science qui étudie la position, les mouvements et la constitution des corps célestes) qui étudie la constitution, les propriétés physiques et l'évolution des astres et des divers milieux qui les composent). Calcul tensoriel : partie des mathématiques qui traite de l'algèbre des tenseurs, des opérations sur les tenseurs.... Composante covariante d'un tenseur : Composante d'un tenseur avec des indices en position basse : par exemple. Composante contravariante d'un tenseur : Composante d'un tenseur avec des indices en position haute. Connexion riemannienne : il s'agit
d'une différentiable í, sans torsion qui conserve le produit scalaire défini par la métrique riemannienne, elle est noté : ; Cosmologie : branche de l'astronomie qui étudie la structure et l'évolution de l'Univers dans son ensemble. Espace - temps : c'est la réunion de tous les évènements possibles, un évènement étant ce qui peut survenir en un lieu et à un instant .C'est donc un ensemble de points dont les coordonnées de localisation sont au « nombre de 4 »(il peut en exister d'autres selon les nouvelles théories de la gravitation) :la première est celle du temps et les trois autres sont celles de l'espace physique ordinaire. Espace - temps einsteinien : C'est une géométrie lorentzienne caractérisée par la métrique lorentzienne gm, et muni de la connexion riemannienne associée à g. Il est courbe car il est décrit à l'aide d'une géométrie non euclidienne. Espace - temps galiléen : espace - temps de géométrie euclidienne. Espace - temps minkowskien : espace affine à 4 dimensions dont l'espace vectoriel réel associé est muni d'un produit scalaire lorentzien ; cela signifie qu'il existe une base de l'espace vectoriel telle que , Cette base constitue une tétrade lorentzienne. Cet espace - temps est plan car défini à l'aide d'une géométrie euclidienne. Géodésique : c'est la ligne d'Univers la plus courte joignant deux points sur une surface. Géométrie Riemannienne : c'est une géométrie non euclidienne donc courbe, différentielle, muni de la connexion riemannienne. Gravitation : phénomène physique par lequel deux corps matériels s'attirent avec une force proportionnelle au produit de leur masse et inversement proportionnelle au carré de leur distance (D'après NEWTON). Gravité : force de gravitation exercée par un astre sur un corps quelconque (NEWTON). Gravité quantique : La gravité quantique est la branche de la physique théorique tentant d'unifier la mécanique quantique et la relativité générale ; Relativité générale : actuelle théorie classique et déterministe de la gravitation (Théorie de l'infiniment grand) , fondée par EINSTEIN en 1916 , et dont la théorie de NEWTON de la gravitation n'est qu'une approximation pour des champs gravitationnels faibles. dEns Bl'EpprRxiPEtiRn BlinéEire Bdu BAhEPp Le champ d'action de la relativité générale part des systèmes d'étoiles, en passant par les galaxies jusqu'à l'Univers pris dans son ensemble. Masse grave : masse traduisant la propriété qu'elle a d'attirer d'autres masses ou d'être attirer par d'autres masses. Suivant le cas, on parlera respectivement de masse grave active ou de masse grave passive. Masse inerte : masse traduisant la propriété qu'elle a de résister à sa mise en mouvement par des forces. En fait la masse inerte et la masse grave pour un même corps matériel sont égales d'après le principe de l'équivalence. Métrique : c'est un champ de tenseur g deux fois covariant, symétrique et non dégénéré. avec et . Métrique de SCHWARZSCHILD : métrique permettant de décrire le champ gravitationnel autour d'une masse sphérique et statique (ie qui n'est pas en rotation). Cette masse peut être une étoile, une planète ou un trou noir de SCHWARZSCHILD. Métrique lorentzienne : C'est une métrique décrite pour l'espace - temps einsteinien ou espace - temps lorentzien. Elle est notée de signature . Métrique minkowskienne : on définit comme la métrique décrite dans l'espace - temps
minkowskien et dont la signature est Observateur : possède une horloge pour mesurer le temps d'un évènement et une règle graduée dans son voisinage immédiat pour mesurer la localisation spatiale dudit évènement. Si deux évènements peuvent être reliés par l'intermédiaire de cette règle alors ils sont dits simultanés pour cet observateur. Observateur inertiel : c'est un observateur dont la ligne d'Univers est une droite de l'espace - temps galiléen non incluse dans l'espace. Il conserve une direction d'espace fixe au cours du temps. Signature d'une métrique : Ensemble ordonné des signes des composantes de la diagonale ( 2 1) / 2 principale d'une métrique. Symboles de CHRISTOFFELL : Ils sont de première espèce et de deuxième espèce on a les relations g .arka =Ficji et , Iki= k , Tenseur : être mathématique (géométrique) Représentant une grandeur physique intervenant dans des lois qui doivent avoir Une forme à caractère universel c'est - à - dire que cette forme ne doit pas dépendre du système de coordonnées (critère tensoriel). Dans un système de coordonnées à 3 dimensions, le tenseur est défini par un nombre entier n, on lui associe alors une matrice à 3n composantes, qu'on identifie généralement sous forme indicée selon leur position dans la matrice du tenseur considéré. Tenseur anti - symétrique : un tenseur est ainsi appelé lorsque : . Tenseur de RIEMANN : c'est le tenseur de courbure pour la connexion riemannienne. Il possède des propriétés d'antisymétrie en tant que tenseur de courbure : = --R110 , et d'autres propriétés de symétries : .Ce tenseur vérifie également la première identité de BIANCHI : ainsi que la deuxième : . Il permet de calculer la commutation des dérivées covariantes : . Ce tenseur a composantes Tenseur de RICCI : il est obtenu en
effectuant RIEMANN . Il est symétrique et possède n(n+1)/2 composantes indépendantes. Tenseur symétrique : un tenseur est ainsi dit lorsque : dEns Bl'EpprRxiPEtiRn BlinéEire Bdu BAhEPp Notice [16(4)] 1. Approches candidates à la gravitation quantique Un certain nombre de propositions ont ete avancees pour aborder le problème :
dEns Bl'EpprRxiPEtiRn BlinéEire Bdu BAhEPp
2. Unification des interactions Les physiciens ont recensé quatre interactions fondamentales dans la nature. Il n'est pas impossible que d'autres interactions existent sans que les moyens expérimentaux dont nous disposons aujourd'hui ne nous permettent de les mettre en évidence. En tout état de cause, qu'il y ait 4, 10 ou 20 interactions fondamentales, aucune indication dans la nature ne nous renseigne sur les raisons pour lesquelles il y en aurait 4, 10 ou 20 ! Quelque soit le véritable nombre d'interactions, leur multiplicité est inexplicable et la contingence de ce nombre soulève de graves difficultés d'ordre épistémologique et philosophique. Finalement, il est tout á fait légitime de se demander pourquoi la nature compte quatre interactions fondamentales et non 3 ou 5. Pourquoi n'en existe-t-il pas une seule ? Les physiciens aiment la simplicité qu'ils ont presque élevée en principe universel. Or quatre interactions, cela fait désordre et compliqué, alors que le principe de simplicité nous ferait plutôt pencher vers une interaction unique, synthèse parfaite de toutes celles observées á ce jour. Cette recherche de la simplicité a permis de débroussailler, avec un grand succès, la multitude des particules (les hadrons). Alors pourquoi ne pas tenter la même aventure avec les interactions ? Pour unifier les interactions, deux approches sont possibles :
dEns Bl'EpprRxiPEtiRn BlinéEire Bdu BAhEPp seraient différenciées au fil du temps, un peu à la manière des cellules d'un embryon. La beauté de la chose réside dans le fait, qu'au fond, ces deux approches sont équivalentes. En effet, augmenter l'énergie mise en jeu dans les interactions revient à se rapprocher des conditions qui prévalaient lors du Big Bang. Augmenter l'énergie est donc équivalent à remonter le cours de l'histoire de l'univers. S'il existe effectivement une interaction unique à très haute énergie, synthèse des interactions observées à notre niveau d'énergie, alors cela signifie que cette interaction était celle qui existait au moment du Big Bang. Certains faits expérimentaux tendent à laisser soupçonner l'existence d'une telle synthèse à très haute énergie. Notamment, les expériences ont montré que les valeurs des constantes de couplage des diverses interactions se modifient avec l'augmentation de l'énergie et semblent, en première approximation, converger vers une valeur unique (à l'exception de la gravitation, toutefois). 3. La théorie de BOHM (Mécanique quantique de BOHM) Elle est déterministe, tandis que la mécanique quantique standard admet une interprétation non déterministe. A la différence d'un potentiel de la physique classique, le potentiel quantique de BOHM ne diminue pas nécessairement avec la distance spatiale. De plus la manière dont il détermine la trajectoire d'un système quantique peut dépendre de façon immédiate de facteurs éloignés dans l'espace. Il s'agit donc d'un nouveau type d'interaction, caractéristique du domaine quantique : une interaction à distance qui contrairement aux autres interactions, ne respecte pas la vitesse finie de la lumière comme vitesse limite. Elle conduit aux mêmes résultats que la mécanique quantique standard mais inclut comme EINSTEIN des variables cachées non locales. L'opposition entre la mécanique quantique standard et la mécanique quantique de BOHM est un exemple paradigmatique de la thèse philosophique de la sous -- détermination de la théorie par l'expérience. Trois points permettent néanmoins de fonder une critique à l'adresse de la théorie de BOHM : La mécanique quantique est la déclinaison d'une théorie quantique plus large qui inclut la théorie des champs quantiques. La théorie de BOHM peut -- elle être étendue à la théorie des champs quantiques ? Peut -- elle en reproduire toutes les prédictions expérimentales ?
dEns Bl'EpprRxiPEtiRn BlinéEire Bdu BAhEPp Bibliographic
dEns Bl'EpprRxiPEtiRn BlinéEire Bdu BAhEPp Science et vie, Octobre 2005, (1) Pages 70 - 77 et (2) Pages 78 - 83. [10] La gravité est - elle illusion ? Article de Juan Maldacena, Pour la science, Janvier 2006, N°339 [11] Un problème de physique : interpréter ou expérimenter ? Article de Nicolas Gisin et Valerio Scarani , Hors - série sciences et avenir , Octobre / Novembre 2006, Pages 66 - 71. [12] Les univers cachés 1. Des cordes pour unir les forces de la nature Par Emile Martin, Ciel et espace, Mai 2006, Pages 40 - 42.
Par Stéphane Fay , Ciel et espace , Mai 2006 , Pages 46 - 48 . [13] L'Univers, un monstre informatique Article de Seth Llyod et Y. Jack Ng, Pour la science, Novembre 2004, N°325, Pages 31 - 37. [14] Einstein et la théorie unitaire : 40 ans perdus ? Article de C. Goldstein et Jim Ritter, Pour la science, Décembre 2004, N°326. [16] L'évolution des idées en physique Albert EINSTEIN, Léopold INFELD, traduit par Maurice SOLOVINE, Champs (Flammarion), 1982 [16] Liens des pages web visitées :
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Version reconstituée, adaptée pour la mise en ligne le 24 Septembre 2008 Edité par Lucien M.MANDENG Contact de l'Auteur : Tel. Fixe: (+237) 22 31 45 89 Cell. : (+237) 94 47 25 24 |
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