a. LA COMMISSION
La Commission dispose d'un pouvoir réglementaire
propre que lui accorde le Conseil : chaque année, elle adopte un
nombre très important de directives et de règlements qui
s'imposent aux États et aux acteurs économiques. Elle
prépare les lois et les budgets et elle dispose du monopole de
proposition. Garante du respect de l'Acte Constitutif, la Commission
négocie les accords d'association et de commerce avec les États
tiers. La commission joue un rôle très important pour la survie de
l'Union par la considération de ce qu'elle à comme mission et la
proposition des nouvelles directives qui donnent à l'Union de nouveaux
objectifs.
Par l'accomplissement de ce qu'elle a comme mission, elle
permet une intégration effective. Sans oublier qu'elle
réfléchie aussi sur la mise en place des communautés
économiques et politiques à l'africain. La création des
zones d'intégration et la suppression des frontières entre Etats
membres.
b. LE PARLEMENT PANAFRICAIN
Le parlement panafricain permet ou donne lieu à une
discussion des problèmes africains dans la conduite de l'Union. Le
parlement demeure le cadre qui facilité la coopération entre les
communautés économique. Nous devons comprendre que le parlement
panafricain est d'abord un forum pour l'Union, donc un lieu des discussions
entre les peuples et communautés exprimé par ses
représentants. Et aussi familiariser les peuples africains aux objectifs
et politique visant à intégrer le continent dans le cadre de la
mise en place de l'Union.
Explique et faire comprendre aux peuples la mission et le but
de la création d'une telle plate forme, le pourquoi du changement ou de
la mort de l'O.U.A et la naissance de l'U.A, éradiqué la
xénophobie entre les peuples africains.
c. LA COUR DE JUSTICE
La cour de justice est un cadre de renforcement de
responsabilité entre peuple et communauté africaine. Elle
constitue l'organe auquel les États membres ont recours en
dernière instance pour tous les différends liés au droit
des peuples et des Etats. Sa mission sera de régler les
différends entre les gouvernements membres et les institutions de
l'Union africaine. Ainsi qu'entre les institutions de l'Union africaine doivent
exercer un recours contre les décisions de l'Union Africaine
lorsqu'elles lui paraissent contraires à l'esprit de l'Acte constitutif.
Les tribunaux des États membres invoqueront la Cour pour des affaires
mettant en cause un point obscur du droit.
Nous pensons qu'avec l'implantation effective de la cour,
l'Afrique aura enfin un cadre pour juger les crimes commis par les africains
sur le sol africain.
III. L'ETABLISSEMENT AU PROFIT DE L'ORGANISATION D'UN POUVOIR
DE DECISION QUI S'IMPOSE MEME AUX ETATS MEMBRES QUI NE SONT PAS D'ACCORD, CE
POUVOIR POUVANT ETRE ATTRIBUE AUX ORGANES AUTONOMES.
L'Organisation doit être indépendante
vis-à-vis des Etats membres, en arrivant en organisant son
fonctionnement et son effectivité. Il est certes vrai qu'elle marche par
la mission que lui confie les Etats membres mais cela ne suppose pas qu'elle
doit absolument accomplir ses missions dans le dicta de ses membres.
L'Organisation doit être en mesure d'abord de convaincre les membres sur
la nécessité d'un tel pouvoir. Qui doit être détenu
par des organes intégrés de l'Union qui ne tiennent pas compte de
l'origine de ces agents.
Les Etats membres on le devoir de fournir a l'Organisation le
plein pouvoir pour son fonctionnement, par la reconnaissance de ces
institutions entent que telle. Le pouvoir de décision que l'Union doit
avoir, doit d'être dans les domaines considéré propre
à la souveraineté d'un Etat Nation. Il doit d'être
établi au profit de l'Union ; une politique communautaire, une
politique économique, juridique et monétaire propre, une
politique de dialogue entre peuple africain...
Ce pouvoir de décision permettra à l'Union
d'établir l'égalité entre Etats, communautés et
peuples africains. Ceci demande une organisation forte d'abord des membres pour
aboutir à ce pouvoir. Pour la création d'une politique
monétaire propre, l'Union commencera par demander aux gouvernements
membres d'adopter les politiques économiques appropriées afin
d'éviter des écarts prolongés par rapport au taux central.
Il contribue aussi à abaisser les taux d'inflation en vigueur dans la
Communauté africaine et à atténuer le choc
économique créé par les fluctuations mondiales des
monnaies au cours de dernière décennie. Pour ce qui est de la
politique communautaire propre, l'Union vise de mettre en oeuvre des
politiques publiques visant à la réalisation effective d'un
espace sans frontières intérieures. Avec une vision d'intervenir
au sein de l'Union de secteur qui son propre aux Etats donc secteur
d'intervention traditionnelle : tel l'agriculture et les transports. Et
elle étend cela dans les secteurs de la politique industrielle, la
santé, l'éducation et la formation ou encore à la
protection des consommateurs et à celle de l'environnement. Pour ce qui
est de la politique économique propre, l'Union doit créer un
marché unique africain, mené Une campagne en faveur d'un espace
intérieur sans frontières destiné à abolir la
quasi-totalité des barrières douanières encore en vigueur
parmi les États membres.
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