0. INTRODUCTION
0.1. PROBLEMATIQUE
La mesure de l'efficacité publicitaire est un processus
incertain et délicat. En effet, la relation de causalité entre
input (la création publicitaire) et un output (le comportement d'achat)
ne peut s'apprécier qu'en terme probabiliste (possibilité
d'augmenter les ventes, l'intérêt pour le produit, la perception
positive, etc.)
Cette mesure s'intéresse à la fois au
caractère prédictif et au lien de causalité qui unit la
publicité et le comportement qu'elle induit.
Ainsi, la compagnie publicitaire est un des outils de
communication à la disposition du chargé de Marketing et toute
entreprise. Pour communiquer, il faut avoir à l'esprit que la
communication a ses objectifs. Dans le cadre de la publicité, l'un des
objectifs est d'accroître le chiffre d'affaires.
Dans le cadre de notre travail, il s'agira de répondre
aux interrogations suivantes :
- Les campagnes publicitaires de Vodacom en 2007 ont-elles
influencé son chiffre d'affaires ?
- Les moyennes des ventes de 2006 et 2007 sont-ils
identiques ?
C'est autour de ces deux questions que gravitera notre
recherche.
0.2. HYPOTHESES
Partant des questions posées à la
problématique, nous émettons les hypothèses
suivantes qui constitueront les toils de fond de notre recherche :
- Les campagnes publicitaires et promotionnelles de 2007
auraient influencé positivement le chiffre d'affaires de la
société Vodacom Mbanza-Ngungu.
- Les moyennes des ventes différeraient d'une
année à l'autre.
0.3. CHOIX ET INTERET DU SUJET
Loin d'être un fait de hasard, le choix porté
à ce sujet est motivé par un intérêt scientifique,
celui de vérifier l'impact des outils de communication, lesquels
mobilisent beaucoup de moyens de la part de l'entreprise sur le chiffre
d'affaires.
Outre cet intérêt provoqué par la
curiosité scientifique, nous pensons avec la réalisation de ce
travail, mettre des jalons pour des travaux futurs.
0.4. METHODES ET TECHNIQUES
La réalisation du présent travail a
nécessité l'utilisation de la méthode analytique, laquelle
était appuyée par les techniques documentaires, l'interview et le
test statistique.
0.5. DELIMITATION DU SUJET
Notre travail porte sur l'impact des outils de communication
sur le chiffre d'affaires d'une entreprise de téléphonie mobile,
cas de Vodacom, pool de Mbanza-Ngungu.
Elle se limite dans l'espace, aux sites de Kasangulu, Kisantu
et Mbanza-Ngungu, et dans le temps de 2006 à 2007.
0.6. CANEVAS
Le présent travail est subdivisé en deux
chapitres. Le premier pose une base théorique favorisant sa
compréhension, et le deuxième, plus pratique que le premier,
vérifie les hypothèses du travail.
Commencé par une introduction, notre travail se termine
naturellement par une conclusion.
CHAPITRE I. APPROCHE THEORIQUE
SECTION 1. NOTION DE LA COMMUNICATION EN MARKETING
Parler de la communication en marketing fait allusion à
la notion du marketing opérationnel qui se fait au travers de quatre
éléments qu'on appelle le marketing mix, le plan du
marchéage ou les quatre P du marketing opérationnel.
Il s'agit :
- du produit
- du prix
- de la place (distribution)
- de la promotion (communication)
Par la promotion commerciale, on entend entretenir une
présence permanente du produit dans l'esprit et l'inconscient du
consommateur ;
En effet, après avoir conçu et fabriqué
un produit, après avoir fixé son prix et son circuit de
distribution, il se pose le problème de le faire connaître et de
le faire valoir. C'est là l'objet du réseau de communication que
l'homme du marketing construit pour atteindre et convaincre le marché
qu'il vise.((*)1)
Les études dans ce domaine portent sur
l'efficacité des actions publicitaires, les réactions et les
percepteurs du public cible, et les différents thèmes
publicitaires adoptés.
1.1. NATURE ET IMPORTANCE DE LA COMMUNICATION
1.1.1. LE PROCESSUS DE COMMUNICATION((*)2)
Communiquer c'est mettre en commun une information, une
idée ou une attitude. Pour ce faire, il faut quatre
éléments organisés en système :
1. Une source ou émetteur ;
2. Un message ;
3. Un destinateur ou récepteur ;
4. Un vecteur ou apport du message permettant de l'acheminer
jusqu'au récepteur.
Comme on ne peut pas transmettre en état la chose
signifiée, il est nécessaire de la traduire (codage) en un
ensemble structuré de signifiant, qui, connus par convention, sont
interprétés (décodage) par le récepteur. C'est la
fonction des langages qu'ils soient généraux ou
spécialisés comme la publicité.
Fig. 1. Processus de communication
Source
(Émetteur)
Message
Vecteur
Récepteur
Codage
Décodage
Source : Théorie et pratique du marketing
La communication telle qu'elle se présente dans la
figure ci-haut est dite à sens unique. Elle va de l'émetteur au
récepteur. Pour que la source puisse s'assurer que le message a bien
été compris et qu'elle puisse, dans le cas échéant,
le modifier tant dans sa forme que dans son contenu, il faut que le
récepteur fasse une communication en retour. Cette dernière (feel
back) boucle le système en le rendant dynamique.
Fig. 2. Communication avec rétroaction
Source
Message
Récepteur
Feel back
Source : Théorie et pratique du marketing((*)1)
C'est le procédé que nous utilisons tous les
jours lorsque nous dialoguons. La communication est dite alors à deux
voies. Elle est naturellement plus efficace que la communication à sens
unique dont relève par exemple la publicité ou la promotion des
ventes. En revanche le marketing direct ou la vente personnelle
développe des communications à deux voies.
1.1.2. L'IMPORTANCE D'UNE COMMUNICATION ORGANISÉE
Certaines entreprises n'attachaient qu'une importance
secondaire à la communication jusqu'aux années soixante, quelques
entreprises considéraient que, pour rester leader sur son marché,
il lui suffisait de fabriquer les meilleurs produits, de les vendre à un
prix raisonnable et de disposer d'un bon réseau de vente et de
distribution. Cette croyance était erronée et cette attitude
dangereuse pour plusieurs raisons fondamentales.
La première, c'est que les comportements des
consommateurs à l'égard d'un produit et en particulier leur
décision de l'acheter ou non, dépendent très largement de
l'image qu'ils en ont c'est-à-dire de ce qu'ils en savent et de ce
qu'ils en pensent. Et cette image, à son tour, est la résultante
de toutes les communications relatives au produit auxquelles les consommateurs
ont été exposés.
La deuxième raison, c'est que dans certaines
circonstances, l'image de l'entreprise elle-même, constitue pour elle la
meilleure assurance contre certains risques et la meilleure protection contre
certains accidents.
La troisième raison qui doit conduire les entreprises
à se doter d'une politique délivré et volontariste de
communication, c'est que si elles n'ont pas une politique, elles communiqueront
quand même, mais mal. En effet qu'elles en soient conscientes ou non,
les entreprises ne cessent au travers de toutes leurs actions d'émettre
des messages sur elles-mêmes et sur leurs produits, c'est-à-dire
de communiquer.
La question ne se pose donc pas de savoir s'il faut ou non
communiquer de toute manière, mais plutôt de savoir s'il faut le
faire d'une manière inconsciente, involontaire et inorganisée, ou
au contraire d'une manière lucide, volontaire et systématique. La
réponse est évidente, autant plus que, si une entreprise ne prend
pas en main sa propre communication, d'autres risquent de s'en changer à
sa place. Et il est évident qu'ils ne présenteront pas son bon
visage.
1.1.3. LES CONDITIONS D'UNE BONNE COMMUNICATION((*)1)
1. Ne pas vouloir trop en dire :
Une de lois fondamentales de la communication c'est que plus
le message émis est complexe, moins il a de la chance d'être
perçu, compris et retenu par son destinataire. Les responsables
marketing qui passent leurs journées dans leurs entreprises à
s'occuper de leurs produits, ont souvent tendance à vouloir trop en
dire, dans leur communication interne comme dans leurs communications produites
et à croire que plus leurs messages seront riches, denses et divers,
plus ils intéresseront leurs destinataires. Ils oublient que les gens
auxquels s'adressent leurs communications sont saturées d'informations
et de messages pour des produits qui ne les intéressent pas toujours. En
conséquence, ils ne voient et ne retiennent qu'une toute fraction de la
communication qui leur est destinée, ils sont de plus sélectifs
et cette tendance s'accentue car la quantité d'informations continue
à croître à un système très
élevé : chaque individu passe en moyenne, plus de trois
heures par jour devant la télévision. Face à cette
inflation de communication de toutes sortes, la capacité d'absorption,
il faut donc qu'elle soit simple. C'est-à-dire qu'elle ne contienne
qu'un petit nombre d'informations, d'idées ou d'arguments.
2. La répétition et la redondance((*)2) :
Il faut sans cesse martelet le même message pour qu'il
ait une chance de s'imposer dans un univers extrêmement concurrentiel. La
répétition est surtout un principe de la communication
publicitaire. Les autres formes de communication, telle que les
relations publiques, le sponsoring, la documentation etc. fonctionnent
plutôt sur le principe de redondance : on dit la même chose
sous formes différentes.
La redondance est un principe majeur de la pédagogie et
donc de la communication. Elle s'organise autour d'un concept central :
c'est le positionnement en marketing, le bénéfice consommateur en
publicité, le « schéma directeur de l'image »
en communication globale d'entreprise.
3. La continuité et la durée :
Répétition et redondance supposent que l'on
inscrive les actions de communication dans la durée. L'impératif
de la continuité est essentiel. Or les politiques de communication ont
souvent deux défauts :
- Les investissements se font souvent par
à-coup : ils sont trop dispersés dans le temps.
- Les positionnements et les promesses changent trop souvent.
C'est un défaut fréquent que l'on retrouve chez de très
nombreux annonceurs. Les annonceurs se fatiguent plus vite de leur
communication que les consommateurs. Ils devraient certainement apprendre
à être plus patients.
Tous les grands exemples de communication réussie ont
pour vertu commune la continuité : même positionnement,
même promesse, même style, souvent même médias et
même agence.
4. La cohérence globale :
La communication émise par une entreprise est
généralement multiforme. D'une part, elle peut concerner
plusieurs produits différents, ainsi parfois l'entreprise dans son
ensemble (communication interne) ; d'autre part, elle utilise un grand
nombre de vecteurs : la publicité, les relations publiques, le
sponsoring mais aussi le packaging des produits, les opérations
promotionnelles, les marchandising, etc.
Il est nécessaire de s'assurer de l'unité ou du
moins de la cohérence de message émis qui doivent être
convergents ou complémentaires plutôt que contradictoires :
la communication interne et les communications produits doivent
s'épauler mutuellement, la communication hors médias doit
compléter ou prolonger la publicité médias, et les
opérations promotionnelles ne doivent pas porter atteint à
l'image de marque que l'on cherche à construire par les autres moyens de
communication, c'est pour assurer une telle cohérence qu'il est
important de définir dans l'entreprise, une politique globale de
communication.
5. L'obligation de vérité :
L'on croit trop souvent que la communication en
générale et la publicité en particulier peuvent dire un
peu n'importe quoi pourvu que ce soit plein d'humour ou spectacle, il est vrai
que les consommateurs savent aujourd'hui lire le message au second
degré.((*)1)
Une promesse doit être forte : sa forme peut
être exagérée mais elle ne peut pas être
mensongère. Une triple obligation doit être
respectée :
- La vérité du produit c'est-à-dire de
ses performances essentielles.
- La vérité de l'entreprise, l'entreprise a une
identité, une culture qu'on ne peut pas ignorer. On peut faire allusion
un temps. Auprès des cibles externes : en présentant par
exemple une « petite entreprise administration » comme une
« grande multinationale hyper dynamique ». Ce sera
certainement tout de suite mal reçu par les publics internes et par la
distribution.
- La vérité des consommateurs. La communication
doit s'adapter à leurs attentes fondamentales.
1.2 LES MOYENS DE COMMUNICATION.((*)2)
Les moyens de communications au sens strict sont ceux dont
l'unique fonction est de communiquer. Parmi ces moyens nous citons
notamment :
- la publicité par mass média
- les relations publiques
- la communication événementielle
- les autres moyens d'action
1.2.1. LA PUBLICITÉ PAR MASS MÉDIA
La publicité par mass médias se compose de
messages construits pour une cible donnée et diffusés,
après achat d'espèce, dans les mass médias qui sont la
télévision, la radio, la presse écrite, l'affichage et le
cinéma. Par définition, l'utilisation des mass médias
suppose une certaine perdition, l'audience des médias étant
généralement plus large que la cible recherchée. La
publicité média vise des objectifs de notoriété et
d'images.
1.2.2. LES RELATIONS PUBLIQUES.
Les relations publiques regroupent les communications
conçues par l'entreprise sous forme de dialogue avec ses
différents publics. L'objectif de cette technique est de créer
une relation de compréhension et de confiance favorisant l'image de
l'entreprise et de ses produits ; les relations publiques utilisent
souvent des relais d'information tels que les journalistes, les leaders
d'opinion pour toucher ses cibles finales. Il s'agit donc moins de vendre que
d'obtenir un soutien moral facilitant l'activité de l'entreprise. Les
principales formes de relations publiques sont les conférences de
presse, les visites des entreprises, les réceptions. Les relations
publiques peuvent également être utilisées dans le cadre
d'une communication interne.
1.2.4. LA COMMUNICATION ÉVÉNEMENTIELLE
Le terme générique de « communication
événementielle » recouvre le
« sponsoring », le mécénat, le parrainage,
etc. même s'il convient d'être nuancé dans une approche
globale de ces techniques, il est possible de souligner une demande identique
dans l'utilisation d'un événement sélectionné. Les
événements choisis peuvent être de matières
différentes :
- Sportive : tournoi de tennis, coupe du monde de
football, etc.
- Culturelle : concert de music, etc.
- Environnement : protection d'espèces animales,
forêt, etc.
- Médicale : la télévision contre
une maladie.
1.2.5. LES AUTRES MOYENS D'ACTION.
La deuxième catégorie regroupe certains moyens
d'action marketing qui n'ont pas pour unique fonction de communiquer, mais qui
néanmoins ont un fort pouvoir de communication et qui par
conséquent ont un rôle important à jouer dans la politique
globale de communication de l'entreprise.
Cette catégorie regroupe :
- la force de vente
- le « marchandising »
- les opérations promotionnelles
- le marketing direct
1.2.5.1. La force de vente
Parfois présentée comme simple technique de
communication, la force de vente, en plus de son action commerciale classique,
communique en permanence avec les distributeurs et le revendeur.
Elle doit aussi recueillir l'information sur le terrain pour
la faire remonter vers la direction marketing. Elle a une fonction de
communication entre l'entreprise et son public. La fonction de communication de
la force de vente est beaucoup plus importante dans les marchés
où le contact direct acheteur/vendeur est primordiale, à savoir
le business to business et le secteur de services, que dans les marchés
de produits de consommation de masse.
1.2.5.2. Le « marchandising »
Le marchandising c'est-à-dire la présentation
des produits de l'entreprise dans les linéaires n'a pas pour seule
fonction de faciliter physiquement la prise en main et l'achat des produits
concernés, il contribue aussi fortement à forger leur
notoriété et leur image.
1.2.5.3. Les opérations promotionnelles
Les opérations promotionnelles comme réduction
de prix, les primes, les concours, qui ont pour objectif premier de stimuler
l'achat des produits auxquelles elles s'appliquent ont aussi
nécessairement des effets volontaires ou involontaires, négatif
ou positif, sur l'image de ces produits.
1.2.5.4. Le marketing direct.
Le marketing direct ou la publicité directe s'adresse
individuellement aux personnes composant la cible de communication en
recherchant une personnalisation du message la plus grande possible.
Très liée dans un premier temps au développement des
sociétés de vente par correspondance, elle s'est affirmée
pendant les années 80 comme l'une des techniques de communication les
plus intéressantes, elle prend la forme de mailings, de distribution en
boite à lettres ou dans la rue etc.
1.3. DE LA PUBLICITÉ
1.3.1. DÉFINITION ET CARACTÉRISTIQUES DE LA
PUBLICITÉ((*)1)
1.3.1.1. Définition
A partir de son sens original : « action de
rendre public »((*)2) « Etat de ce qu'il est rendu
public ». La publicité n'a pris sa signification moderne que
vers les années 1830. Cette date a son importance puisqu'elle lie le
développement de la publicité à celui de
l'industrialisation et à l'essor des marchés de grande
consommation.
Aar et Myers sont mieux inspirés. Dans leur ouvrage
« advertising management », ils définissent la
publicité comme « une communication de masse, faire pour le
compte d'intérêts qui sont identifiés. Ce sont ceux d'un
annonceur qui paie un médias pour diffuser un message qui est
généralement créé par une agence de
publicité ».
Cette définition distingue ceux qui participent
à la fonction publicitaire, mais elle est trop imprécise sur les
domaines de la publicité et surtout sur ses modes d'influence et sur ce
qui la différencie des autres sources d'information du consommateur.
La publicité se prête mal aux définitions
lapidaires, en raison de la diversité des formes qu'elle peut prendre et
des causes qu'elle peut servir.
La publicité est une communication de masse qui est
partisane. En ce sens, elle ne peut pas être confondu avec de
l'information au sens strict. Adaptée aux économies de
marché, outil de concurrence, la publicité n'est pas pour autant
exclusivement marchande et elle peut défendre des institutions, des
causes sociales ou politiques. Elle peut beaucoup mais elle ne sait pas faire
des miracles, on recourt à elle de façon très variable
selon les secteurs, la conjoncture, les saisons, tous les médias peuvent
l'intéresser et elle les intéresse tous.
1.3.1.2. Caractéristique de la publicité((*)1)
1. La publicité est une communication
partisane
La publicité n'est pas de l'information au sens
habituel du terme.
Ø Elle se distingue de l'information, à la
fois sur le fond et sur la forme :
- Sur le fond, elle cherche à influencer des attitudes
ou des comportements, pas seul à transmettre des faits. Les informations
que la publicité véhicules sont des moyens ou des arguments. Ils
ne sont pas une fin en soi.
- Sur la forme, la publicité se distingue de
l'information. Les messages brefs, denses et sélectifs. La
publicité cherche d'abord à être attrayante. Elle
mêle à des doses variables, le rationnel et l'affectif. Elle
procède par « flash » par allusions, par
touche, on ne peut donc pas la confondre avec une fiche descriptive, un mode
d'emploi ou un étiquetage informatif.
Ø Elle est payée par l'annonceur, pas par le
destinataire. Elle est donc intéressée au service d'une cause le
plus souvent commerciale mais qui, parfois peut être sociale ou
politique.
Ø La publicité se différencie aussi de la
propagande. L'annonceur signe par sa marque, ses déclarations. Il en
assume la responsabilité. La publicité agit sans contrainte. Par
sa forme ou son emplacement, la publicité annonce au lecteur, à
l'auditeur ou au spectateur qu'elle est publicité et qu'elle va tenter
de le séduire.
La publicité est partisane mais son ambition n'est pas
foncièrement idéologique. Elle fait abstraction à des
options politiques ou philosophiques, même si elle peut être mise
au service de telles causes.
2. La publicité n'est pas exclusivement
marchande
La publicité est une technique. A l'évidence, ce
sont les entreprises qui l'utilisent les plus, mais elle est également
à la disposition des institutions, des groupements, des services
publics. Son rôle n'est exclusivement commercial. Elle aide bien sur
à faire vendre, mais elle peut contribuer aussi à faire
épargner. Elle appartient autant à la société de
communication qu'à la société de consommation. Elle est
concernée non seulement par le consommateur mais aussi par le citoyen,
par l'usagé, par l'administré, par l'adhérent. A
côté des campagnes d'intérêts privés, peuvent
se développer des campagnes d'intérêt général
ou d'intérêt collectif. Ce recours aux techniques publicitaires
peut ainsi servir des objectifs désintéressés comme il
sert largement des objectifs lucratifs.
3. La publicité née de
l'industrialisation :
La publicité moderne est née avec la
révolution industrielle, la production en série, l'urbanisation,
les grands magasins, les moyens de communication de masse, les transports en
commun et l'élévation du niveau de vie. Le progrès
technique a entraîné une considérable multiplication,
diversification et disponibilité des produits et des services, en
même temps qu'un développement prodigieux des moyens de transport
et de diffusion tant matériel qu'informationnelles.
Il y a eu de ce fait une convergence et une cohérence
certaines entre production de masse, communication de masse et consommation de
masse. La publicité se fut en quelque sorte l'industrialisation de l'art
de vendre grâce au recours aux nouveaux médias que la technologie
avait permis. Désormais, il était nécessaire et il
était possible de s'adresser d'emblée à des millions de
clients potentiels, chez eux ou tout au long de leurs déplacements. La
publicité fait sortir de l'anonymat des produits, des services qui
tendent de plus en plus à rassembler. Elle le rend éligible dans
des marchés qui sont désormais soumis à une campagne
électorale permanente ou la compétition est de plus en plus
vive.
4. Relativité de la publicité :
L'on aurait tort de considérer que la publicité
est l'arme absolue du succès. De nombreux échecs, malgré
l'importance des budgets engagés, la publicité est un
élément d'une stratégie générale à
laquelle elle doit s'intégrer.
On ne peut lancer une campagne publicitaire en faisant
abstraction de la nature, des qualités spécifiques, du prix
relatif et du positionnement du produit ou du service considéré.
Il est impossible aussi de négliger l'extension et la qualité de
sa distribution, la valeur de sa mise en avant au point de vente, les forces et
les initiatives de ses concurrents. La publicité peut contribuer,
à la rigueur, à corriger certaines erreurs de conception ou de
vente elle peut contrebalancer, dans une certaine mesure, des faiblesses
conjoncturelles ou commerciales. Mais elle ne peut pas annuler les
insuffisances d'une politique erronée en matière de produit, de
prix, de distribution ou de service après vente.
La publicité influence certes les décisions des
consommateurs, mais ceux-ci ne sont pas manipulés au point d'en perdre
définitivement et collectivement leur jugement.
L'impact de la publicité ne parvient pas neutraliser la
concurrence par des prix, par l'innovation, par les services, par la
présence dans la distribution.
5. La publicité est variable :
La publicité est une activité
saisonnière. Pour des raisons variées, elle se déploie en
Mars, Avril, Mai, Juin puis en Septembre, Octobre, Novembre, Décembre.
Son étage le plus bas est en Juillet et Août mais se traîne
aussi en Janvier et Février.
La publicité est très sensible aussi au climat
économique. Ces aléas conjoncturels, l'optimisme des
entrepreneurs, se traduisent dans son volume et dans son évolution.
La publicité varie aussi beaucoup selon les secteurs et
les économies, son importance, mesurée par rapport au chiffre
d'affaires, est très différente de secteur à secteur, et
même dans le même secteur, d'entreprise à entreprise, et
même au sein de la même forme, de produit à produit, de
marque à marque.
Si le volume de la publicité varie d'une saison et d'un
marché à l'autre, sa forme, ses arguments changent beaucoup d'une
époque à l'autre et d'une culture à l'autre. Ce que le
publicitaire s'est interdit hier, il se l'autorise aujourd'hui, à moins
que se soit l'inverse.
Mais il faut noter une nette évolution, qui correspond
d'ailleurs à la nouvelle répartition des forces et des agents
économiques et à la nouvelle ventilation des budgets des
consommateurs dans le volume global de la publicité, la part des
produits tend à diminuer et celle des services à augmenter
très sensiblement.
1.3.2. LA CRÉATION PUBLICITAIRE :((*)1)
La création publicitaire est un facteur essentiel de la
performance de la publicité. Une bonne création permet
d'économiser de l'achat d'espace tout en conservant une bonne
efficacité grâce à la mémorisation qu'elle engendre.
Il n'est pas du ressort du marketing de déterminer la création du
message publicitaire en revanche le marketing doit guider, favoriser la
réalisation d'une création conforme aux objectifs publicitaires
prédéterminés. Concrètement, le marketing a la
charge de la définition d'une plate-forme de réflexion
(plate-forme créative) que le créatif utilisera pour image le
message publicitaire.
Action fondée sur le
produit :
Ces plates-formes développées essentiellement au
cours des années 60 et 70, restant très utilisées
aujourd'hui surtout dans les secteurs d'achat où la
différenciation produit peut être effective. Elles se fondent sur
le rapport consommateur/produit et ont pour objectif global de
développer les intensions d'achat et de consommation.
1. La « copy strategy »
La copy strategy est de déterminer le cadre de la
démarche créative pour répondre aux objectifs
publicitaires. Il s'agit d'un document synthétique comprenant quatre
points :
- La promesse : c'est le message à communiquer
à la cible de communication. Ce message est directement issu des
études marketing réalisées sur le produit de la marque en
question et correspond à l'avantage essentiel du produit pour la cible.
La promesse est également appelée axe publicitaire.
- La preuve accréditant la promesse : elle vient
illustrer et justifier la promesse pour la rendre crédible. La preuve
peut être une étude comparative, la présentation des
résultats d'utilisation.
- Le bénéfice consommateur : c'est
l'avantage que va tirer le consommateur de la promesse produit. Cet avantage
doit correspondre à un besoin ou à une motivation pour que les
consommateurs interprètent l'avantage présenté comme un
véritable bénéfice.
- Le ton du message : c'est l'atmosphère du
message publicitaire. C'est-à-dire l'ensemble du message (style de
communication : informative, concurrentielle type de personnages
souhaités, styles de vêtements, des objets, couleurs, composition
graphique du message, référant culturel, style de musique, etc.)
que le marketing souhaite voir dans le message pour communiquer les trois
points précédents.
Le copy strategy doit être accompagnée de la
définition précise de la cible de communication et d'une analyse
de la publicité des concurrents pour que les crédits puissent
travailler efficacement.
2. La copy strategy créative :
La copy strategy créative tente de remédier
à la rigidité de la méthode d'origine en donnant plus de
liberté, plus de souplesse aux créatifs dans leurs recherches
tout en conservant une plate-forme de création rigoureuse du point de
vue marketing. La copy strategy créative comprend trois points :
a. L'axe publicitaire
Qui est le message à faire passer à la cible de
communication, l'idée forte qui doit être transmise, c'est
l'équivalent de la copy strategy classique. L'axe correspond en
général à la stimulation d'une motivation ou la
réduction d'un frein à l'achat ou à la consommation d'un
produit. Ce caractère très rapide du contact entre le
consommateur et la publicité medias incite à ne retenir qu'une
idée (un frein ou une motivation) comme axe publicitaire pour
privilégier la simplicité et la compréhension du message.
La démarche à suivre pour choisir un axe publicitaire comprend
les étapes suivantes :
- Recensement de l'ensemble des motivations et des freins
relatifs au produit et à la marque consommés par une étude
de perceptions des consommateurs.
- Analyse des motivations et des freins identifiés.
Cette analyse se décompose en analyse de motivations et de freins
présélectionnés dans les phases.
b. Le concept d'évocation
Qui est la traduction créative de l'axe publicitaire.
Il matérialise, concrétise et crédibilise l'axe. Le
concept d'évocation peut être direct (description de satisfactions
obtenues grâce au produit) ou indirect (induction des satisfactions
obtenues).
La démarche à suivre pour choisir le concept
d'évocation comporte les étapes suivantes :
- Recherche d'un grand nombre de concept d'évocation
envisageable par l'utilisation des techniques de créativité.
- Analyse de concept d'évocation : le concept
d'évocation sélectionné doit être attractif par
rapport aux concepts utilisés par la concurrence, présenter une
bonne sécurité d'évocation (bonne compréhension du
message par le consommateur), spécifique au produit crédible,
toléré par la cible et il peut s'adapter parfaitement aux
contraintes techniques des différents supports
sélectionnés dans le plan média.
c. Le thème
C'est la façon dont le concept d'évocation va
être déclinée et mise en scène dans le message
publicitaire en fonction des medias retenus pour la campagne de communication
(scénario, musique, personnage, ton du message etc.)
Ainsi le rôle de la publicité est de travailler
la marque pour la transformer en star en développant :
- Son physique, c'est-à-dire ses performances
objectives pour les transformer en véritable atout pour le
consommateur.
- Son style : c'est-à-dire les constantes de
création qu'on retrouvera dans l'ensemble des messages quelque soit le
media ou le support utilisé (le style de musique et d'image par
exemple).
- Son caractère : c'est-à-dire la valeur
imaginaire de la marque.
SECTION 2 : PRESENTATION DE LA SOCIETE VODACOM
Un grand courant qui envahit le monde actuellement, est celui
du développement orienté vers la recherche de la
télécommunication au moyen des cellulaires ou des
téléphones portables.
La République Démocratique du Congo est parmi
les pays le plus couverts par les sociétés de
télécommunication, parmi lesquelles nous pouvons citer :
OCPT, Starcel, Vodacom, Celtel, Tigo, C.C.T., Standard Télécom.,
etc. Afin de circonscrire notre étude dans un cadre très
précis, nous avons limité notre champ d'étude à une
seule société de télécommunication : la
société Vodacom.
Au cours de cette section nous allons présenter
l'historique et la structure de Vodacom.
2.1. HISTORIQUE ET STRUCTURE DE VODACOM
2.1.1. APERÇU HISTORIQUE
Vodacom est une société Sud-africaine
créée par Monsieur Alan Knolt-Craig (chief executive officer of
Vodacom group).((*)1)
Il eut la vision de lancer le réseau cellulaire en
Afrique du sud quand il travaillait chez Telkom compagny. Le réseau
Vodacom fut officiellement lancé le 01 juin 1994, mais le système
GSM a réellement pris son envoi quand Vodacom a introduit le
système de carte prépayée en Novembre 1996.
Vodacom group est une holding constituée des
sociétés suivantes :
- Vodacom (PTY) ltd.
- Vodacom service provider compagny (PTY)
- Vodacom International holding (PTY) ltd.
Les filiales de Vodacom International Holding sont : Vodacom
R.S.A, Vodacom Lesotho, Vodacom R.D.C., Vodacom Tanzanie.
Vodacom Congo est issue d'une jointe venture entre la
société Vodacom International Holding et CWN (Congoless Wireless
Net Work). L'ex GSM
Vodacom fut intéressée par le Congo parce que
selon les analyses, le Congo ne disposait que de 100.000
téléphones pour plus de 60 millions d'habitants. Vodacom a tenu
à investir au Congo car il représente un marché potentiel
non négligeable en dépit de l'environnement économique qui
y prévaut. Le réseau Vodacom Congo fut lancé
officiellement le 1èr mais 2002((*)1) avec un effectif de 62
personnes. Il est indispensable de relever que la partie congolaise de Vodacom
appelée Congoless Wireless Net Work n'est pas une société
Congolaise à proprement parler : « elle est une
société dont les capitaux ont été apportés
par des Britanniques, un Gambien : Monsieur Conteh Alieu et par quelques
congolais ».((*)2)
Elle constitue néanmoins une société de
droit Congolais, car elle est conçue sous la loi Congolaise et
fonctionne sur le sol Congolais. Elle est entièrement régie par
les textes légaux congolais règlementant la
télécommunication en R.D.C. C'est la raison pour laquelle nous
nous permettons d'affirmer ici que le profit réalisé par la
société Vodacom oeuvrant dans le territoire Congolais profite
à l'Etat Congolais. Ce dernier bénéficie que des taxes qui
lui sont payées. Il a également bénéficié
des frais de licence d'exploitation payés par la société
Vodacom pour oeuvrer sur son sol.
La société Vodacom Congo couvre une grande
partie du pays. Cette dernière se trouve dans toutes les provinces du
pays et elle est très présentée dans les provinces du
Katanga et du Bas- Congo plus la ville de Kinshasa.
Actionnariat
Vodacom International limited : 51%
Congoless Wireless Net Work : 49%
2.1.1.1. Capital
76,5 millions de dollars Américains
2.1.1.2. Objet Social
Installer, exploiter et entretenir un réseau de
télécommunication GSM sur l'étendu de la République
Démocratique du Congo aux fins de fournir des services de
télécommunication sur des bases commerciales visibles.
2.1.2. STRUCTURE ORGANISATIONNELLE
La société Vodacom Congo basée en
République Démocratique du Congo est une SPRL fonctionnant sous
la responsabilité d'un Directeur général (Sud-africain)
qui représente la partie Sud-africaine. Il est assisté par un
Directeur général adjoint (Congolais) qui représente la
partie Congoless Wireless Net Work.
La société Vodacom a son siège à
Kinshasa laquelle est supervisée par deux personnalités
citées ci-haut. Ce siège comprend les départements
commercial, financier, technique (informatique), les ressources humaines ainsi
que le département juridique.
Vodacom Congo est subdivisé en 7 différentes
Régions suivantes :
- Kinshasa region (Kinshasa)
- Bas-Congo region (Bas-Congo)
- Ouest * western region (Equateur et Bandundu)
- Nord * northen region (Orientale)
- Est * esterthern region (Kivu nord, sud Maniema)
- Centre * centrale region (Kasaï oriental et
occidental)
- Sud * sudthen region (Katanga)
Source : Magazine VodaNews n°17
spécial 5ans.
Managing Director
Deputy Managing Director
Chief Operation
Head of Katanga
Head of prov. Orientale
Head of extern
Kivu Sud, Nord, Maniema
Head of western
Equateur - Bandundu
Head of central
(Kasaï Or, Occ.)
Head of Bas-Congo
Head of Kinshasa
Chief, Human resources
Head of Human resources
Head of bank and benefice
Head of Customer care
Chief Technology
Chief Financial Officier
Head of Financial Control
Head of Financial Management
Head of Supply chairman Management
Chief sales Officier
Chief Marketing Officier
Head of Banding of Marketing
Head of Projects
Chief Billing and it officer
Head of Billing and of officer
Chief legal regulatory & Interconnect
2.1.2.1. Organigramme
Les différentes fonctions détaillées dans
cet organigramme sont des termes écrits en Anglais tout simplement parce
que la société recourt à des termes anglo-saxons et
certains de ces termes n'ont rien avoir avec les termes courants que nous
retrouvons dans certains organigrammes écrits en français.
2.1.2.2. Présentation de la direction provinciale du
Bas-Congo : Pool Vodacom Mbanza-Ngungu
Outre le résumé fait sur l'histoire et la
structure organique de la société Vodacom Congo et plus
précisément dans le district des cataractes au sein duquel nous
retrouvons le pool de Mbanza-Ngungu. Ce dernier compte sous sa supervision 15
sites.
- Site de Kasangulu
- Site de Kizulu
- Site de Madimba
- Site de Zongo
- Site de Kinvula
- Site de Kisantu
- Site de Nkandu
- Site de Nkamba
- Site de Mbanza-Ngungu (Belvédère)
- Site de Kwilu-Ngongo
- Site de Lukala
- Site de Kimpese
- Site de Kongo dia kati
- Site de Luozi
CHAPITRE II. VERIFICATION DES HYPOTHESES
Le présent chapitre sera plus pratique que le
précédent. Il présentera les différentes campagnes
publicitaires et promotionnelles engagées par la société
Vodacom Congo dans les deux années sous étude avant de
procéder à l'analyse proprement dite.
SECTION 1. DE LA CAMPAGNE PUBLICITAIRE DE VODACOM
Tester l'efficacité d'une campagne publicitaire ou
promotionnelle suppose que l'on connaît ces campagnes.
Les campagnes publicitaires et promotionnelles de Vodacom
étaient les suivantes :
- Campagne de 2006
- Campagne de 2007
1.1. CAMPAGNE DE 2006
La société Vodacom a mis sur pied les campagnes
suivantes : Kwenda vutuka CAN 2006, Vodamis, Lancement GPRS, Mondiale
2006, Vodacom Ndembo et awards, Vodabourse et Vodanet.
Ø Kwenda vutuka CAN 2006 était une
promotion sur les sms où, à la fin, on devait donner au gagnant,
celui qui aurait envoyé le plus des sms, un billet aller retour pour
aller assister à la coupe d'Afrique des nations en Afrique du sud.
Ø Vodamis est un système de recharge de
crédit entre amis. Un consommateur peut demander de crédit par le
système de « recharge me request » un autre, et ce
dernier peut le lui transmettre.
La demande de crédit se fait en tapant le
code : *240*numéro du correspondant*montant du crédit
demandé # Yes. Et le transfert des unités utilise le code :
*250*01*numéro du correspondant*montant du crédit à
transférer # Yes. Cette opération est suivie d'une confirmation
en tapant *250*02# Yes ou d'une annulation en tapant *250*03# Yes.
Ø Le service mobile data GPRS est une
technologie qui permet de transférer des données (images, sons,
textes, ...) à partir du téléphone à des vitesses
plus rapides et ce, de manière plus efficace que sur un réseau
GSM((*)1). L'utilisateur
peut aussi s'abonner à des services mobiles lui procurant des
informations de son choix telles que les nouvelles sportives, les grands titres
de l'actualité, l'horoscope, le cours de la bourse, ...
Ø Mondial 2006 était un jeu d'envoi des
sms. Par un tirage au hasard, l'abonné qui serait
sélectionné obtiendra un séjour en Allemagne pour assister
à la coupe du monde du football.
Ø Vodacom Ndembo et Awards poursuit
l'ambition de voir les talents et prodiges du football Congolais se
développer et être reconnus sur le plan international afin
d'améliorer l'image du pays. Sa mission de promotion et
récompense des talents dans le domaine du football trouve son tremplin
chaque année dans l'organisation de la cérémonie des
Awards. Ainsi les supporters pouvaient élire leurs talents par sms.
Ø Vodabourse, était une campagne visant
à favoriser les élèves finalistes de l'enseignement
secondaire à pouvoir poursuivre leurs études supérieures
et universitaires en Afrique du sud, avec une garantie d'emploi au terme des
études.
Ø Vodanet, un service qui permet aux
abonnés de Vodacom d'avoir accès à des sites Wap
directement à partir de leur téléphone portable. C'est
donc la liaison du réseau à l'Internet.
1.2. CAMPAGNE DE 2007
L'année 2007 a comme des campagnes que voici : le
jeu pronostic sms, Vodacom Ndembo et Awards et le Millionnaire.
Ø Le jeu pronostic sms et Vodacom Ndembo et
Awards demeurent tels qu'ils ont été détaillés
dans le point précédente et le millionnaire est une promotion qui
procure à l'abonné sélectionné, selon un
critère donné, un montant d'un million de francs Congolais.
SECTION 2. DE L'ANALYSE DES RESULTATS
Cette section présente les résultats de nos
analyses. Elle comprend les points suivants : la constitution de
l'échantillon, la présentation des chiffres d'affaires dans
l'espaces sous étude et la comparaison des résultats.
2.1. CONSTITUTION DE L'ÉCHANTILLON
Cette étude porte sur l'impact des outils de
communication sur le chiffre d'affaires d'une entreprise de
téléphonie mobile dans le pool de Mbanza-Ngungu. Ce dernier
compte sous sa supervision 15 sites allant de Kasangulu à Luozi.
Pour de raison de disponibilité des données,
nous avons retenu 3 sites parmi les 15. Il s'agit de sites de Kasangulu,
Kisantu et Mbanza-Ngungu.
2.2. PRÉSENTATION DES CHIFFRES D'AFFAIRES
Chaque campagne publicitaire est lancée dans le but
d'accroître le chiffre d'affaires. Ce dernier s'est
présenté de la manière suivante, dans les sites sous
études :
2.2.1. KASANGULU
Le chiffre d'affaire du site de Kasangulu dans la
période sous étude se présenté comme
suite :
Tableau n°1 : Chiffre d'affaire du site
de Kasangulu (en dollars Américain) :
Mois
|
2006
|
2007
|
Variations
|
Janvier
|
23260
|
18600
|
4660
|
Février
|
19900
|
18700
|
1200
|
Mars
|
21900
|
18200
|
3700
|
Avril
|
21800
|
19000
|
2800
|
Mai
|
20178
|
20200
|
-22
|
Juin
|
24250
|
17900
|
6350
|
Juillet
|
27200
|
18000
|
9200
|
Août
|
20500
|
21700
|
-1200
|
Septembre
|
24000
|
24000
|
0
|
Octobre
|
25000
|
23800
|
1200
|
Novembre
|
31200
|
26200
|
5000
|
Décembre
|
35600
|
35400
|
200
|
TOTAL
|
294788
|
261700
|
? 33088$
|
Source : Conçu par nous même sur base des
données collectées
Il ressort de ce tableau que les chiffres d'affaires de 2006
sont supérieurs à ceux de 2007 de 33.088$. Une lecture plus
poussée montre que tous les chiffres d'affaires de 2006 sont
supérieurs à ceux de 2007 à l'exception des ceux de mois
d'Août où le chiffre d'affaires de 2007 est supérieur
à celui de 2006 et du mois de Septembre où les deux chiffres sont
égaux.
Partant de ce même tableau, nous calculons les moyennes
mensuelles de vente pour chaque année selon la formule suivante :
![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom1.png)
où :
: Moyenne
arithmétique
? : Symbole de la somme
Xi : Chiffres d'affaires mensuels
n : Nombre de mois de l'année
Ainsi, nous aurons :
- Pour l'année 2006 : =
- Pour l'année 2007 : =
![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom6.png)
Nous constatons après calcul que le chiffre d'affaires
moyen de l'année 2006 est supérieur à celui de
l'année 2007.
2.2.2 KISANTU
Pour le site de Kisantu, le chiffre d'affaires de la
société Vodacom se présente tel que le montre le tableau
ci-après :
Tableau n° 2 : Chiffre d'affaires du
site de Kisantu en ($ US)
Mois
|
2006
|
2007
|
Variations
|
Janvier
|
72000
|
72300
|
-300
|
Février
|
71098
|
72500
|
-1402
|
Mars
|
79813
|
72200
|
7613
|
Avril
|
78290
|
73000
|
5290
|
Mai
|
84300
|
74200
|
10100
|
Juin
|
66400
|
73900
|
-7500
|
Juillet
|
71000
|
85000
|
-14000
|
Août
|
65300
|
92200
|
-26900
|
Septembre
|
65000
|
76000
|
-11000
|
Octobre
|
66000
|
76000
|
-10000
|
Novembre
|
66200
|
81200
|
-15000
|
Décembre
|
68100
|
83000
|
-14900
|
TOTAL
|
853501
|
931500
|
?-77999$
|
Source : Nous même sur base des données
collectées.
La lecture de ce tableau fait état d'un chiffre
d'affaires de 2007 est supérieur à celui de 2006 de 77.999$ US.
Une lecture poussée montre que tous le chiffres d'affaires mensuels de
2007 sont supérieurs à son équivalent en 2006, à
l'exception des chiffres d'affaires de Mars, Avril, Mai 2006 qui sont
supérieurs à leurs correspondants de 2007.
Les moyennes mensuelles des ventes se présenteront
alors de la manière suivante :
- Pour l'année 2006 : = ![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom8.png)
- Pour l'année 2007 : = ![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom10.png)
Le constat par rapport à ces calculs est que la moyenne
mensuelle de vente de 2007 est supérieure à de 2006.
2.2.3 MBANZA-NGUNGU
Le chiffre d'affaires de ce site se présente comme
suite :
Tableau n° 3 : Chiffre d'affaires du
site de Mbanza-Ngungu en ($ US)
Mois
|
2006
|
2007
|
Variations
|
Janvier
|
100.000
|
162.000
|
-62.000
|
Février
|
105.000
|
146.000
|
-41.000
|
Mars
|
111.000
|
130.000
|
-19.000
|
Avril
|
95.000
|
130.000
|
-35.000
|
Mai
|
85.000
|
115.000
|
-30.000
|
Juin
|
102.000
|
150.000
|
-48.000
|
Juillet
|
114.000
|
141.000
|
-27.000
|
Août
|
106.000
|
151.000
|
-45.000
|
Septembre
|
107.000
|
140.000
|
-33.000
|
Octobre
|
108.000
|
140.000
|
-32.000
|
Novembre
|
92.000
|
150.000
|
-58.000
|
Décembre
|
100.000
|
167.000
|
-67.000
|
TOTAL
|
1.275.000
|
1.722.000
|
?-447.000$
|
Source : Nous même sur base des données
recueillies.
Il ressort de ce tableau que le chiffre d'affaires de
l'année 2007 est supérieur à celui de l'année 2006
de 447.000$ US. De manière poussée, on remarque que chaque
chiffre d'affaires mensuel de 2007 est supérieur en son correspondant de
2006.
Les moyennes mensuelles des ventes se présenteront
comme suit :
- Pour l'année 2006 : = ![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom12.png)
- Pour l'année 2007 : = ![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom14.png)
2.3. VÉRIFICATION DES HYPOTHÈSES
A ce niveau, nous voulons vérifier les
hypothèses émises à l'introduction de ce travail.
2.3.1. TEST DE L'EFFICACITÉ DES CAMPAGNES
PUBLICITAIRES
Pour tester l'efficacité des campagnes publicitaires,
les hypothèses doivent être testées sur les données
appariées, puis qu'il s'agit, en fait, du même échantillon
sur le quel des mesures sont prises à deux reprises.
La statistique à utiliser dans ce cas est celle de WS
Gosset, connue sous le nom de la statistique t de Student dont la formule, pour
les données appariées, est :
t = ![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom15.png)
où :
t : La statistique t de Student
:
La moyenne des différences de l'échantillon
ud : La moyenne de la population
:
L'écart-type de la moyenne des différences.
Pour trouver l'écart-type de la moyenne des
différences, on utilise la formule ci-après :
S = ![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom19.png)
Avec Sd : écart-type de différences
n : Taille de l'échantillon
Les données recueillies à cet effet sont
consignées dans le tableau ci-après :
Tableau n° 4 : Chiffre d'affaires des 3
sites sous-étude
Sites
|
Chiffre d'affaires
|
2006 (Avant)
|
2007 (Après)
|
Kasangulu
|
294.788
|
261.700
|
Kisantu
|
853.501
|
931.500
|
Mbanza-Ngungu
|
1.275.000
|
1.722.000
|
TOTAL
|
2.423.289
|
2.915.200
|
Source : Nous même sur base des données
collectées.
Il ressort de ce tableau que les chiffres d'affaires de
l'année 2007 sont supérieurs à ceux de l'année 2006
dans tous les sites, à l'exception du site de Kasangulu où c'est
l'inverse qui se fait remarquer.
Pour arriver à facilité le calcul de t de
Student, nous élaborons le tableau ci-dessous, qui fait suivre la
démarche par rapport au calcul à effectuer.
Tableau n° 5 : Détermination des
différences des chiffres d'affaires
Sites
|
Chiffre d'affaires
|
Différence
di = yi-xi
|
di²
|
Avant (xi)
|
Après (yi)
|
Kasangulu
|
294.788
|
261.700
|
-33.088
|
1.094.815.744
|
Kisantu
|
853.501
|
931.500
|
77.999
|
6.083.844.001
|
Mbanza-Ngungu
|
1.275.000
|
1.722.000
|
447.000
|
199.809.000.000
|
TOTAL
|
2.423.289
|
2.915.200
|
491.911
|
206.987.659.745
|
Source : Nous même.
Partant du tableau ci-dessus, nous pouvons calculer
différents éléments intervenant dans le calcul de t de
Student.
= ![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom21.png)
Avec :
:
Moyenne des différences
? : Symbole de la somme
di : Différence (Avant-Après)
n : Taille de l'échantillon :
3
Nous pouvons aussi, partant du même tableau, calculer
l'écart-type des différences. Au fait, l'écart-type n'est
rien d'autre que la racine carrée de la variance dont la formule est la
suivante :
S2 = ![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom23.png)
où
S² : variance dont la racine carrée vaut
l'écart type
n : taille de l'échantillon
? : symbole de la somme
di² : le carré des différences.
Ainsi, nous aurons :
S2 = ![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom24.png)
= ![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom25.png)
= 63.164.424.552,3
S² = 63.164.424.552,3
La racine carrée de la valeur de la variance
trouvée nous donne l'écart-ype des différences.
Ainsi, Sd : =
251.325,336
L'erreur standard sera alors
=
![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom28.png)
Cette erreur standard trouvée nous aide à
calculer la valeur de la statistique t de student dont la formule est
t =
Avec :
t : statistique t de student
: la
moyenne des différences de l'échantillon
u : la moyenne des différences de la population,
ici inconnue, donc égale à zéro.
:
l'erreur standard
Nous avons :
t = ![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom32.png)
Cette valeur de t calculée est comparée à
la valeur de la table de t de student à 2 degrés de
liberté.
En effet, le nombre de degrés de liberté d'une
statistique se définit comme le nombre d'observations
indépendantes à l'intérieur de l'échantillon. C'est
la taille de l'échantillon moins le nombre de paramètre de la
population qu'il faut estimer à partir des observations de
l'échantillon((*)1)
(ici, 3 - 1 = 2 ddl parce qu'on a estimé que la variance).
A 2 degrés de liberté, la table t de student, au
seuil de signification de 5%, donne la valeur 2,92 qui est supérieur
à la valeur de t calculé qui est de 1,13.
La règle de décision étant de rejeter
l'hypothèse nulle de l'absence d'efficacité ou de
l'inefficacité des campagnes publicitaires et promotionnelles de 2007
pour toute valeur de t calculé inférieur à 2,82 ;
nous affirmons donc l'hypothèse alternative comme quoi les campagnes de
2007 étaient efficaces.
2.3.2 COMPARAISON DES MOYENNES DE VENTES
Bien que les campagnes, publicitaires et promotionnelles de
2007 se soient avérées efficaces parce que ayant favorisé
l'augmentation du chiffre d'affaires, il nous a paru impérieux
d'étudier l'efficacité de chacun des campagnes pour les deux
années sous étude.
Pour cela, nous procédons au test d'hypothèse
sur la différence entre les deux moyennes des ventes que nous calculons
de la manière suivante :
= ![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom35.png)
Pour l'année 2006, le nombre des campagnes
publicitaires et promotionnelles était de sept (7). Nous avons donc pour
moyenne.
= ![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom37.png)
Et pour l'année 2007 qui n'a connu que trois (3)
campagnes, nous avons :
= ![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom39.png)
Si nous supposons que deux échantillons
indépendants sont normalement distribués avec une variance
égale à l'unité, la statistique à utiliser sera
donc :
Z =
où :
Z : valeur de la distribution normale
: moyenne
des ventes de 2006
:
moyenne de ventes de 2007
:
variance = 1
n :
nombre de campagnes en 2006
n :
nombre de campagnes en 2007
U : moyenne de la population.
Nous partons d'une hypothèse nulle selon laquelle
U1 = U2, c'est-à-dire que le moyennes des
ventes pour l'ensemble des sites sont identiques pour les deux années
sous étude.
Nous rejèterons cette hypothèse nulle pour toute
valeur de Z 1,96 ou Z -1,96
(Valeur de Z à 95% comme seuil de confiance)
Ainsi nous aurons :
Z = ![](evaluation-d-une-campagne-publicitaire-cas-vodacom48.png)
=
= -780196,9163 < - 1,96
Z calculée étant inférieur à Z
théorique, nous rejetons l'hypothèse nulle.
CONCLUSION
Nous voici au terme de notre étude intitulée,
l'impact des outils des communications sur le chiffre d'affaires d'une
entreprise de téléphonie mobile, cas de Vodacom pool de
Mbanza-Ngungu de 2006 à 2007. Il s'est agi, tout au long de ce travail
de démontrer l'efficacité des campagnes publicitaires mises sur
pied par la société Vodacom de 2006 à 2007.
Toute chose restant égale par ailleurs, après
l'analyse des données recueillies dans le pool de Mbanza-Ngungu et
après une analyse statistique, notre travail a abouti à la
conclusion suivante :
Ø Les campagnes publicitaires et promotionnelles
utilisées par la société Vodacom en 2007, ont
été efficaces, car elles ont permis à la
société d'accroître son chiffre d'affaires. Le test de t de
Student sur la comparaison des données appariées a permis de
conclure que les différences des ventes observées entre
l'année 2006 et 2007 sont statistiquement différentes.
Nous suggérons donc à la société
Vodacom de maintenir le cap sur les campagnes publicitaires et
promotionnelles ; car elles lui permettent d'atteindre largement leurs
objectifs d'accroître les chiffres d'affaires.
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGE
1. ASSAEL H., L'action Marketing et Comportement des
Consommateurs, New York, NYUP, 4ème édition,
1987.
2. DECAUDIN J. M., La communication Marketing concept
technique Stratégie, Paris, Economia 2ème
édition, 1999.
3. EURARD Y., PRAS B. et Roux E., Etude et recherche en
Marketing, Fondement et Méthode, Paris, édition Natan,
1982.
4. LAURENT G. et KAPPERER J. N., La sensibilité aux
marques, Paris, édition d'organisation, 1992.
II. MEMOIRE
5. VANDA MALONDA, Etude Analytique des effets du Marketing
sur la clientèle dans la gestion de Réseau de communication,
I.S.P/ Mbanza-Ngungu, 2004.
III. REVUES ET AUTRES
6. LENDREVE J. et LINDO D., Théorie et pratique du
marketing, Paris, Dalloz, 1997.
7. LENDREVE J. et BROCHARD B., Publicité, Paris
Dalloz, 2001.
8. Information de site :
www.vodacom.cd.
9. Magazine Vodanews n°17 Spécial 5 ans 2007.
IV. NOTE DE COURS
10 LUSAMBA N., Élément de statistique
Appliquée, UNIKIN, G1 BIO Médical, 1990.
TABLE DES MATIERES
DEDICACE
................................................................................
I
AVANT-PROPOS
....................................................................... II
0. INTRODUCTION
1
0.1. PROBLEMATIQUE
1
0.2. HYPOTHESES
1
0.3. CHOIX ET INTERET DU SUJET
2
0.4. METHODES ET TECHNIQUES
2
0.5. DELIMITATION DU SUJET
2
0.6. CANEVAS
2
CHAPITRE I. APPROCHE THEORIQUE
3
SECTION 1. NOTION DE LA COMMUNICATION EN
MARKETING
3
1.1. NATURE ET IMPORTANCE DE LA COMMUNICATION
3
1.1.1. LE PROCESSUS DE COMMUNICATION
3
1.1.2. L'IMPORTANCE D'UNE COMMUNICATION
ORGANISÉE
5
1.1.3. LES CONDITIONS D'UNE BONNE
COMMUNICATION
6
1.2 LES MOYENS DE COMMUNICATION.
8
1.2.1. LA PUBLICITÉ PAR MASS
MÉDIA
9
1.2.2. LES RELATIONS PUBLIQUES.
9
1.2.4. LA COMMUNICATION
ÉVÉNEMENTIELLE
9
1.2.5. LES AUTRES MOYENS D'ACTION.
10
1.2.5.1. La force de vente
10
1.2.5.2. Le
« marchandising »
10
1.2.5.3. Les opérations promotionnelles
10
1.2.5.4. Le marketing direct.
11
1.3. DE LA PUBLICITÉ
11
1.3.1. DÉFINITION ET
CARACTÉRISTIQUES DE LA PUBLICITÉ
11
1.3.1.1. Définition
11
1.3.1.2. Caractéristique de la
publicité
12
1.3.2. LA CRÉATION
PUBLICITAIRE :
15
SECTION 2 : PRESENTATION DE LA SOCIETE
VODACOM
19
2.1. HISTORIQUE ET STRUCTURE DE VODACOM
19
2.1.1. APERÇU HISTORIQUE
19
2.1.1.1. Capital
20
2.1.1.2. Objet Social
21
2.1.2. STRUCTURE ORGANISATIONNELLE
21
2.1.2.1. Organigramme
22
2.1.2.2. Présentation de la direction
provinciale du Bas-Congo : Pool Vodacom Mbanza-Ngungu
23
CHAPITRE II. VERIFICATION DES HYPOTHESES
24
SECTION 1. DE LA CAMPAGNE PUBLICITAIRE DE
VODACOM
24
1.1. CAMPAGNE DE 2006
24
1.2. CAMPAGNE DE 2007
25
SECTION 2. DE L'ANALYSE DES RESULTATS
26
2.1. CONSTITUTION DE L'ÉCHANTILLON
26
2.2. PRÉSENTATION DES CHIFFRES
D'AFFAIRES
26
2.2.1. KASANGULU
26
2.2.2 KISANTU
28
2.2.3 MBANZA-NGUNGU
29
2.3. VÉRIFICATION DES HYPOTHÈSES
30
2.3.1. TEST DE L'EFFICACITÉ DES
CAMPAGNES PUBLICITAIRES
30
2.3.2 COMPARAISON DES MOYENNES DE
VENTES
33
CONCLUSION
35
BIBLIOGRAPHIE
36
TABLE DES MATIERES
37
* (1) EURARD Y., Pras B. et
Roux E., Etude et recherche en marketing, fondement et méthode,
Paris, Ed., Natan, 1989, consulté le 18/02/08.
* (2) LENDREVIE J. et LINDON
D., Théorie et pratique du marketing, Paris, Dalloz, 1997,
consulté le 18/02/08.
* (1) LENDREVIE J. et LINDON
D., Op. cit., consulté le 18/02/08.
* (1) LENDREVIE J et LINDON D.,
Op. cit., consulté le 18/02/08.
* (2) DECAUDIN J.M, La
communication Marketing. Concept technique, stratégie, Paris,
Economia 2ème éd., 1999. consulté le
18/02/08.
* (1) ASSAEL H., L'action
marketing et comportement du consommateur, New York, NYUP,
4ème éd., 1987, consulté le 22/02/08.
* (2) LENDREVIE J. et BROCHARD
B., Publicité, Paris, Dalloz, 2001, consulté le 22/02/08.
* (1) LENDREVIE J. et BROCHARD
B., Op. Cit., consulté le 22/02/08.
* (2) LAURENT G. et KAPPERER J.
N., La sensibilité aux marques, Paris, les éd.,
d'organisation, 1992, consulté le 22/02/08.
* (1) LENDREVIE J. et BROCHARD
B., Op. Cit., consulté le 22/02/08.
* (1) DECAUDIN, Op.
Cit., consulté le 23/02/08.
* (1) Information de site
www.Vodacom.cd/, consulté le
23/02/08.
* (1) Information du site
Op. Cit. consulté le 26/02/08.
* (2) Information du site
Op. Cit., page 25, consulté le 26/02/08.
* (1)
www.vodacom.cd, consulté le
26/02/08.
* (1) LUSAMBA N.,
Elément de statistique Appliquée, UNIKIN, G
BIO-Médical., 1990, inédit, p 61.
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