Nous avons approché 7 Institutions
spécialise dans le domaine de violence en ville de Bukavu (par
étatique et non étatiques), pour recueillir les informations par
rapport à notre thématique pour pouvoir appréhender les
effets socio économiques, nous sommes partie d'un échantillon
composé 269 victimes faisant partie du programme de FONEST et ceux
qui ont cet envie dont 28,6% sont des hommes et 70,6%, sont des femmes. Pour
éviter des complications dans les calculs nous retenons 269 personnes
comme la théorie de Kreing et Morgan.
Résultat
Dans le but d'améliorer le plaidoyer et comprendre les
causes et conséquences que subissent les femmes victimes de violences en
proposant une meilleure analyse afin de définir une stratégie de
protection adapter a notre milieu, l'auteur a mené une étude
transversale dans sept institutions spécialisé dans les domaines
de violences en ville de Bukavu durant une période de 10 ans. Deux Cent
soixante neuf enquêtes ont été incluses dans cette
étude dont 71 femmes sur 269 soit 73,6 %, et 198 d'hommes sur 269
soit 26,3 % de femmes. L'âge moyen des patients était de 37 ans
avec les extrêmes à 20 ans et 75 ans. De cette étude il
ressort que les principales causes des violences sont les suivants: La guerre
représentées 34,9%,parmi lesquelles l'impunité 27,5%, la
corruption 4,8%, l'ignorance 1,9%, la culture1,1%, coutume 5,2%, chômage
0,4%, télévision c'est aussi une source très importante de
la causalité de violences en regardant les filmes pornographiques qui
exposé en danger notre communauté, suivi de l'internet 0,4%,
bande d'ami(es) 5,2%, proximités des camps militaire résidentiels
3,3%, présences des armes envahisseurs étrangers dans le sol
congolaise occupé 1,1 %, enfin manque des moyens 7,4% de causes
indéterminées. Les conséquences de violences les plus
fréquents sont des maladies avec 74,7 % dont la blennorragie 25,7%,
syphilis 10,8%, stress 3,3, les VIH/SIDA 34, 9% suivis d'autres
conséquences tels que les divorces 7,8% et la mort 17,5%.
Solutions proposées aux Problèmes
constatés
La prévention des victimes doit être une
préoccupation des hôpitaux des références, mais elle
doit aussi constituer un objectif primordial communautaire, puisqu'une partie
importante des précautions préconisées se situe au niveau
de l'équipe de protection. Ces mesures doivent aussi faire partie d'un
plan global à l'échelle du projet de lutte contre les violences
et ou à l'institution spécialise dans ces domaine de protection
tel que l'HRG/ Panzi et s'inscrire dans une politique plus large de suivi de
nature internationale.
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