UNIVERSITÉ PROTESTANTE DE
LUBUMBASHI
FACULTÉ DES SCIENCES ÉCONOMIQUES ET
MANAGEMENT
FACTEURS EXPLICATIFS D'UN FAIBLE RENFORCEMENT DES
CAPACITÉS DES AGENTS AU SEIN DE LA BRASSERIE SIMBA
SANGO LUBAMBA Jonathan
Mémoire présenté et défendu en vue
de l'obtention du grade de Licencié en Gestion des ressources humaines
OCTOBRE 2020
UNIVERSITÉ PROTESTANTE DE LUBUMBASHI
FACULTÉ DES SCIENCES ÉCONOMIQUES ET
MANAGEMENT
FACTEURS EXPLICATIFS D'UN FAIBLE RENFORCEMENT DES
CAPACITÉS DES AGENTS AU SEIN DE LA BRASSERIE SIMBA
SANGO LUBAMBA Jonathan
Mémoire présenté et défendu en vue
de l'obtention du grade de Licenciée en Gestion des ressources humaines
Directeur : Professeur Pascal SEM MBIMBI
ANNÉE ACADÉMIQUE 2019-2020
ÉPIGRAPHE
« La force d'un gouvernement dans les
années à venir ne sera ni dans le cuivre, ni l'or ni le fer mais
la capacité de nourrir judicieusement la population »
Mobutu S.S
DÉDICACE
A mon très chers papa KATAGWA LUBAMBA Jean-Claude qui
voient aujourd'hui sont effort et sont sacrifices couronnes par ce travail. Il
veille toujours à mon éducation avec une infinité d'amour
et d'affection. Que mon le Dieu des apôtres me permette de lui rendre au
moins une partie, aussi soi-elle, de tout ce que je leur dois.
Vous mes très chers frères KATAGWA LUBAMBA
Michael, TOMPA LUBAMBA Franck, KASONGO NICOLA pacifique, en témoignage
des liens fraternels solide qui unissent.
A mes très chers soeur LUKISO LUBAMBA naomie, KANDU
KISALA Rachel, KABINDA LUBAMBA anny,
A mes collègues de lutte GLODYBEYA Andrea, SANZE
CHATAL, DIUR SANPAS, MANU KAPEND, et DANIEL NDASIMA BUDWAKA
REMERCIEMENTS
Avant tout je tiens à remercier dieu. Ce travail est
bien plus qu'une oeuvre individuelle mais surtout le résultat de
soutiens, d'assistance et d'aides émanant de plusieurs personnes que je
ne saurai jamais les remercier assez.
Nous remercions plus particulièrement nos très
chers parents pour leur soutien inconditionnel tant sur le plan moral, mais
aussi éducatif et financier qu'ils n'ont cessés de m'accorder
durant toute ma vie jusqu'à nos jours Mr KATANGWA LUBAMBA
Jean-Claude.
Mes remerciements vont particulièrement au Professeur
SEM MBIMBI mon encadreur qui, à travers ses conseils et ses
orientations, sa disponibilité et sa confiance qu'elle m'a
accordée, m'a conforté dans mes efforts et m'as permet d'avancer
a pas constants et à accomplir cette oeuvre ainsi qu'à tout le
corps académique de l'université protestante de Lubumbashi
UPL.
Les membres de jury qui ont eu l'amabilité de lire et
d'évaluer ce travail trouveront, ici, l'expression de ma
considération et de mon respect.
Je tiens aussi à remercie : toute la famille LUBAMBA en
particulier Mr Michel LUBAMBA, Mm anny LUBAMBA, lukiso LUBAMBA, Mm kandu
KISALA, Mm aimen LUBAMBA, Mr prince MUBAKILAY etmes camarades de lutte glodie
beya ANDREA, Chantal SANZE, Daniel BUDWAKA, DIUR sampas, sans oublier nos
très cher codirecteur Mr SIPILA KAHOZI Emmanuel.
TABLE DES
MATIERES
CHAPITRE 1. INTRODUCTION GÉNÉRALE
1
1.1.PHÉNOMÈNE OBSERVÉ
1
1.2. LES ÉTUDES THÉORIQUES ET EMPIRIQUES
2
1.2.1. ÉTUDES THÉORIQUES
2
1.3. PROBLEMATIQUE ET QUESTION DE RECHERCHE
4
1.4. HYPOTHÈSE
5
1.4.1.1. Abraham Maslow (1908-1970) « Pyramide des
besoin »
5
1.4.1.2. Frederick HERZBERG (1923)
6
1.4.1. MODÈLE THÉORIQUE EXPLICATIF
7
1.5. CHOIX ET INTERET DU SUJET
8
1.5.1. Sur le plan personnel
8
1.5.2. Motivation scientifique
8
1.6. OBJECTIFS DE L'ÉTUDE
8
1.6.1. L'objectif général
8
1.6.2. Les objectifs opérationnels
9
1.7. MÉTHODE ET TECHNIQUE DE RECHERCHE
9
1.7.1. METHODES ET TECHNIQUES DE COLLECTE DES DONNEES
9
1.7.1.1. Méthode collecte des données
9
1.7.1.2. Techniques de collectes des données
10
1.7.1.2.1. L'échantillonnage
10
1.7.1.2.2. La documentation
10
1.7.2. METHODES ET TECHNIQUES D'ANALYSE (TRAITEMENT) DES
DONNEES
10
1.7.2.1. Technique d'analyse
11
1.8. LA DELIMITATION DU SUJET
11
1.9. SUBDIVISION DE TRAVAIL
11
CHAPITRE 2. CADRE CONCEPTUEL
12
2.1. LES CONCEPTS GENERAUX DE LA STRATEGIE
12
2.1.1. Définitions
12
2.1.2 Le concept de la stratégie
12
2.1.3 Évolution du concept
12
2.2. LES CONCEPTS GENERAUX DE COMPETENCE
12
2.2.1. Introduction
12
2.3. LE MANAGEMENT DES COMPETENCES
13
2.3.1. Historique et définition du management des
compétences
13
2.3.2. Évolution historique de la compétence
13
2.3.3. Définition de la compétence :
13
2.4. COMPOSANTES DE LA COMPETENCE
14
2.4.1. Les typologies de la compétence
15
a.Les compétences transversales
15
b.Les compétences professionnelles
15
c.Les compétences spécifiques
15
d.Les compétences collectives
15
e.Les compétences individuelles
16
2.4.2. Les objectifs de la compétence
16
2.4.3. Les critères d'évaluation de la
compétence
16
a)La performance
16
b) L'expérience
16
c) Le mérite
17
d) Le potentiel
17
2.4.4. Les facteurs déterminants de la
compétence
17
2.4.5. L'impact de la formation sur le développement
des compétences
17
2.4.6. La relation entre la formation et la compétence
18
2.4.7. Les avantage de la formation : Parmi les avantages de
la formation on distingue :
18
2.4.7.1. Les Avantages de la formation pour l'entreprise
18
2.4.8. La formation présente divers avantages pour
l'individu
19
2.4.9. La formation comme un outil de développement
des compétences
19
2.4.10. Conclusion partielle
20
CHAPITRE 3. CADRE EMPIRIQUE
21
3.1. PRESENTATION DE LA SOCIÉTÉ
21
3.1.1. HISTORIQUE
21
3.1.2. SITUATION GEOGRAPHIQUE
23
3.1.3. FORME JURIDIQUE
23
3.1.4. CAPITALE SOCIAL
23
3.1.5. OBJET SOCAL
23
3.1.6. ACTIVITES
24
3.2. ELEMENTS STRATEGIQUES
25
3.2.1. Mission
25
3.2.2. Vision
25
3.2.3. Objectif
26
3.2.4. Valeurs
26
3.3. STRUCTURE ORGANISATIONNELLE
26
3.4. ORGANIGRAMME
27
3.5. PRÉSENTATION DE CADRE D'ANALYSE SWOT ET PESTEL DE LA
BRASIMBA
29
CHAPITRE 4. RÉSULTATS DE L'ÉTUDE
32
4.1. ANALYSE DES DONNES QUALITATIVES
32
4.1.1 Présentation de l'échantillon
32
4.1.2. Les entretiens avec les agents de la BRASSIMBA
32
4.1.3 Analyse des données avec le logiciel TROPES
34
4.1.4. Analyse thématique de tropes
35
4.2. DISCUSSION DES RÉSULTATS
37
4.3. PROPOSITION DES SOLUTIONS
38
CONCLUSION GÉNÉRALE
39
BIBLIOGRAPHIE
40
LISTE DES TABLEAUX
Tableau N°1 : bénéficiaires de la
formation de 2017-2020
2
Tableau no 2 : Opérationnalisation de
l'hypothèse
7
Tableau no 3 : Le tableau ci-dessous, explique
les quatre composantes de la compétence
14
Tableau no 4 : Matrice SWOT de BRASIMBA
29
Tableau 5 : Profit des répondants aux entretiens
32
Tableau 6 : Les facteurs qui expliquent
l'incompétence
35
LISTES DES
FIGURES
Figure 1 : schéma PESTEL de la BRASIMBA
31
Figure 3 : graphe-Etoile
36
Figure 2 : graph-aire
34
Figure 3 : graphe-acteurs en fonction de
l'incompétence
36
LISTE DES
ABRÉVIATIONS
GRH : Gestion des ressources humaines
GPEC : Gestion prévisionnelle des
emplois et des compétences
SWOT : Strengths, Weaknesses,
opportunities, Threats.
PESTEL : Politique, économique,
socio-culturel, technologique, écologique et légale.
L'université protestante de Lubumbashi n'attend
donner ni approbation, ni improbation émise dans ce travail. Ces
opinions doivent être considérées comme propres à
nous.
NOTE DE SYNTHÈSE
De nos jours, dans bon nombre d'entreprise, les agents on le
personnel ne dispose d'aucun compétenceappropriée à la
bonne exécution des taches qu'il leur confiéependante ce dernier
ne dispose pas de niveau de formation approprie. Et c'est à qui nous a
montré a abordé dans ce sens-là. Après avoir
étudié la situation de la Brasimba où nous avons
constaté certaines difficultés que présente les agents
dans l'accomplissement de leurs taches.
En notre qualité degestionnaire, nous nous sommes pose
la question de savoir comment remédier à ce problème
histoire de réduire l'incompétence, la négligence ainsi
que l'inaptitude de certain agent. C'est un ainsi que nous avons proposé
la stratégie d'attraction des compétences dans les entreprises
brassicolesentre autres nous disons que, la Brasimba est appelée, afin
de mieux organiser l'attraction des compétences, à consigner
plusieurs types des formations ; interne et externe, d'une part et d'autre
part recourir à l'expertise externe.
Mot
clés : Compétence, attraction, formation, gestion
des ressource humaines.
CHAPITRE 1. INTRODUCTION
GÉNÉRALE
1.1. PHÉNOMÈNE OBSERVÉ
Selon M'bayo (2004) « le phénomène
observe c'est l'ensemble des observations empiriques sur terrain, elle est une
situation réelle, un état des choses, une réalité
observée qui est phénoménale ».
Depuis 2010-2019 avec l'évolution technologique il
s'observe, un accroissement spectaculaire des besoins en ressources humaines
hautement qualifiées et l'évolution du monde de production qui a
rendu l'adaptation indispensable dans la plupart des emplois ; la
formation est devenue un investissement stratégique pour les
établissements et les organisations
D'après VATIER : la compétence est la
conjonction entre savoir, pouvoir, vouloir être compétent ;
c'est avoir le moyen physique et intellectuel à maitre en oeuvre ses
connaissances ; c'est enfin vouloir faire.
Blasco et all. (2012) dans son étude
intitule « la gestion des ressources humains »
considèrent que la formation réduit la probabilité de
changer l'employeur ou d'être au chômage, tout en augmentant le
salaire.
ChloéGuillotsoulez (2003) dans son étude
intitulée « la gestion des ressources
humaines » l'auteur affirme que la formation répond à
la fois aux attentes des salaries et des entreprises et contribue et
l'amélioration e à la performance des entreprises.
Madame Dominique Walker &Al, (2014), Article ; La
formation professionnelle, Le développement des compétences par
la formation, vient en appui au profit de développement de l'entreprise.
Elle permet alors d'assurer l'employabilité des salariés, de
fidéliser ses équipes, la mise en di.
Dolon (2014) La gestion des ressources humaines ;
5ème édition, Ça initie aux rudiments de la GRH
dans ces dimensions stratégiques et opérationnelles ; il
constitue un outil de référence et de formation stimulant, facile
à consulter et en donnant accès aux connaissances
générales et spécialisées de sa discipline.
1.2. PROBLÈME À
ÉLUCIDER
Tableau N°1 :
bénéficiaires de la formation de 2017-2020
Année
|
Effectif général
|
Nbre desbénéficiaires de la
formation
|
%
|
2017
|
416
|
42
|
10,1
|
2018
|
409
|
34
|
8,3
|
2019
|
411
|
18
|
4,3
|
2020
|
414
|
31
|
7,5
|
TOTAL
|
30,3
|
Source : secrétariat de
DRH
Du tableau ci-haut représente et s'observe une cumule
de 30% seulement des agents bénéficiaires d'une formation
professionnelle pendant la période avant de 2017- jusqu' à nos
jours c'est-à-dire en 2020. Ces résultats livrés par le
secrétaire au regard de la rotation du personnel est favorisée
par l'évolution de l'environnement économique et le retour de la
croissance, et dans un contexte de forte innovation technologique. Chaque
entreprise cherche à tirer un avantage concurrentiel, par la
compétence d'avantages, soit la formation de son personnel clé.
Retenir des personnels hautement qualifiés représente aujourd'hui
un enjeu majeur pour les entreprises, ces dernières s'efforcent par
différents moyens, de former les salariés à fort
potentiel.
Fort malheureusement est de constater que la formation de
certains salariés reste un problème majeur dans les
organisations. Ainsi, la Gestion des Ressources Humaines doit identifier et
mettre en place des techniques et méthodes permettant d'attirer la
compétence de ses salariés, de former les salariés de
l'entreprise, d'où la compétence des salariés est un
thème récurrent en GRH. La formation des salariés
serait l'ensemble des mesures permettant d'attire la compétence des
salariés.
1.2.
LES ÉTUDES THÉORIQUES ET EMPIRIQUES
1.2.1. ÉTUDES
THÉORIQUES
En ce qui concerne la théorie un regard de la
théoried'organisation l'analyse et la perception complète de
l'homme en tant que ressources sont liées à l'essence de
l'entreprise « l'essence d'une entreprise, le principe vital qui
détermine sa nature est sa fonction économique » disait
PeterDRUCKER. Cependant les résultatséconomiques par qui et pour
qui les obtient-on ? la théorie des organisations est un ensemble
de courants de pensées qui présente le fonctionnement de
l'entreprise l'une de la
théorieappelée « école des relations
humaines » postule que l'entreprise est un lieu de production et que
l'homme principal acteur a une dimension humaine à prendre en
considération nous étudierons à cet effet trois
auteurs : Elton MAYO ; Abraham MASLOW et Frederick HERZBZEG.
1.2.1. ÉTUDES EMPIRIQUES
La formation professionnelle et la compétence en milieu
de travail sont des thèmes qui ont fait l'objet de nombreuses
réflexions dans la recherche scientifique que cette étude ne
saura répertorier cependant, nous nous somme limitée à
l'examen des études pertinent le cas de :
La formation qui fait partie des multiples
éléments des gestions des ressources humaines. Cette
stratégie est inspirée de la théorie du capital humaine
développer par Becker(1962) ; l'ensemble des capacités
productives qu'un individu acquiert par accumulation des connaissances faites,
etc.
ZARIFIANT Philipe
2005 « entreprise & carrier » : L'ouvrage
rend compte de l'accompagnement de « démarche
compètent » mise en place dans quatre grands entreprises LU,
la POSTE, SNCF est une grand entreprise le travail est considère comme
l'expression direct de capacités de pensée et d'action des
individus en situation professionnelle
DEFLUX Christian
2006 « recherche de la GRH » :
L'ouvrage a 3 parties, propose de nouveaux regards sur la gestion de
compétence « des regards prolonge : dynamique de la
gestion des compétences », « de regards
décale ; au-delà de l'entreprise et de la gestion des
ressources humaine » et « de regards mesures : combien
d'entreprise pratiquent la gestion des compétences ? »
BOTERF Guy 2006 « livre
outils » : La distribution de compétence
est un enjeu essentiel pour les organisation comme pour les
salariais .reconnu comme l'un des expert du management du
développement de compétence, l'auteur répond dans cette
ouvrage aux questions posées lors de ses conférence e et
groupées par thèmes il abord ainsi le raisonnement de
l'intérêt actuel pour les compétences et parvient à
le définir allant du savoir-faire ou savoir réagir en situation
il propose une approche opérationnelle pour développer la
capacité de la formation ou processus de professionnalisation il
décrit la compétence et qualification il suggère, afin,
des orientations pour mettre en oeuvre une gestion par compétence.
CAVESTRIE William 2007
« connaissance de la gestion » : La
mobilisation des compétence est considérée comme un
impératif pour la performance des entreprise et maintien des individus
dans l'emploi cette mobilisation est souvent présentée comme
porteuse d'un cercle vertueux car elle contribuent à construire de
nouvelles compétences au sein de collectif de travail et permettant, le
processus de construction et de reconnaissance des compétence ne sont
pas suffisant analyse d'importances zone d'ombre subsistant notamment sur les
modalités et le niveaux de cette connaissance ce question sont
explorées selon trois niveau d'analyse :la relation entre individu
et collectif, relation entre « métiers » des
entreprise dans la négociation collective sur la reconnaissance des
compétence. Cet ouvrage issu du « group
compétences » du cereq, approche d'un nouvel éclairage.
Sur processus de construction et la nécessite de construire une
cohérence globale qui dépasse le niveau de l'individu et de
l'entreprise
Le concept général de
compétencecorrespond à l'ensemble des dispositifs proposer au
dites ressources humaines afin de leur permettre de s'adapter au changement
structurel et aux modifications de l'organisation du travail qui impliquent les
évolutions technologiques et économiques et ainsi de favoriser
leur évolution professionnelle.
En examinant ces études nous réalisons que tous
optent sur l'idée selon laquelle la formation professionnelle dans une
entreprise contribue à l'amélioration de la performance.
La particularité de notre étude se justifie par
le fait que nous nous avonsévaluer le lien entre la formation
professionnelle et la compétence au travail au sein de la Brasimba en
situation congolaise.
1.3. PROBLEMATIQUE ET QUESTION
DE RECHERCHE
La problématique est l'approche où la
perspective théorique que le chercheur décide d'adapter pour
traiter le problème posé par la question de départ. Elle
serait une manière d'interroger les phénomènes sous
étude (M'bayo, 2004)
La question de recherche est l'expression précise et
opératoire de l'objet de recherche. Elle est la partie centrale de la
problématique (qui est l'art de poser de question) et permet d'agiter
les problèmes sous tous les angles ou aspects pour l'expliciter et mieux
l'appréhender, elle sert de soubassement à la formation des
hypothèses (Sem et cornet, 2015)
L'entreprise BRASIMBA ne prend pas conscience de la
nécessité cardinale de l'effort d'intégration de nouveaux
savoirs et de l'investissement dans l'homme et du capital qu'il recèle.
Cela se traduit par un renforcement de l'effort et de la place de la formation
de salarie afin d'acquérir de nouvelles compétences, faciliter
leur mobilité et consolider leur employabilité.
Question de recherche
Quel sont les facteurs explicatifs d'un faible
renforcement des capacités des agents au sein de la Brasserie
SIMBA ?
|
Selon pascal Sem et Cornet(2017) l'hypothèse
est une proposition des réponses provisoires aux questions que se
pose un chercheur, c'est une proposition des réponses aux questions que
se posent, un sujet d'étude, une science que le chercheur confirmera.
1.4.
HYPOTHÈSE
Selon pascal Sem et Cornet (2017) L'hypothèse
est une proposition des réponses provisoires aux questions que se
pose un chercheur, c'est une proposition des réponses aux questions que
se posent, un sujet d'étude, une science que le chercheur confirmera.
L'hypothèse établit une relation à
vérifier en comparant des évènements, des concepts...
Différents travaux nous ont servi de base pour la
rédaction de nos hypothèses.
Ainsi pour répondre à notre question de
recherche, nous proposons de nous focaliser sur les facteurs
explicatifsendogène et exogènes contextuels suivantes ;
Facteurs endogène
|
§ La faiblesse dans la gestion des ressources humaines qui
se traduit par un manque d'un personnel qualifié
§ Le manque des formateurs qualifies concerne le transfert
en ce qui Transfer les compétences aux nouveaux employés
§ Manque de la logistique de la nouvelle technologie
§ Centralisation des taches et des décisions
§ Incompétence des certains travailleurs
§ Asymétrie d'information
§ Mauvais accomplissement des taches
§ Manque des certains équipements de point
|
Facteur exogène
|
§ Le Transfert des compétences dans l'entreprise
|
1.4.1. Théorie explicative
1.4.1.1. Abraham
Maslow(1908-1970) « Pyramide des besoin »
MASLOW est un psychologue américain qui élabore
la théorie des besoins ou motivation par lui, l'homme est au centre de
la production, et si on arrive à satisfaire les besoins de ce dernier,
alors la productivité etsont classe alors selon la pyramide les cinq
catégories de besoins comme suite :
Niveau 1 :les besoinsphysiologiques : se
nourrir, se loger, une fois satisfaits ces besoins cessent d'être
motivant ;
Niveau 2 : les besoins de
sécurité : sécurité de l'emploi projection du
besoin de sécurité sur les enfants.
Niveau 3 :les besoins sociaux
d'appartenance, d'affection ; besoin des identifier à un groupe,
d'être reconnu par les autres
Niveau 4 : les besoins d'estime et
reconnaissance ; recherche d'un statut, autonome, être respecte,
Niveau 5 : besoin d'accomplissement
personnel ; réaliser tout ce dont on est capable. Ce besoin sont
hiérarchises à un moment donne, un seul type de besoin et
prédomine et relativise l'importance des autres pour l'entreprise, il y
a une double utilité dans la théorie des besoins.
- Pour les responsables d'entreprises, cela les incite
à réfléchir sur les besoins du personnel ;
- Gestion des ressources humaines
LEGEND :
BESOIN PRIMAIRE « avoir » besoins
physiologiques et besoins des sécurités
BESOIN SECONDAIRE « être »
besoins de réalisation.
1.4.1.2. Frederick HERZBERG (1923)
Professeur de psychologie aux États-Unis, il a conduit
de travail et l'adéquation des méthodes d'organisation du travail
aux besoins de l'homme.
Il identifie deux catégories de motivation
· Besoins d'entretien ou besoin d'hygiène et de
sécuritédans la satisfaction, ce qui entraine de conflits et par
conséquent un dysfonctionnent au sein de l'entreprise il
s'agit :
- D'avoir des conditions de travail décentes ;
- D'avoir des relations personnelles de qualité, ou
acceptable ;
- Les besoins de réalisation qui sont les besoins de
reconnaissance, de responsabilité et d'autonomie, d'avancement :
comprendre le rôle d'un salarie, son utilité ; s'ils sont
satisfaisants, ces besoins sont des facteurs de réalisation.
Par ailleurs des méthodes de travail ont
été proposées par un double objectif :
- Eviter les facteurs de mécontentement qui peuvent
être facilement identifiés et élimines ; pourHERZBZEG,
cela fait partie de revendications normales des salaries ; il faut veiller
à la qualité des conditions de travail à un système
de rémunération motivant.
- Provoquer la satisfaction par élargissement et
l'enrichissement des taches : la taylorisation a appauvri le contenu du
travail.
- Elargissement des taches c'est-à-dire regrouper sur
un même poste de travail des taches élémentaires.
Auparavant reparties entre plusieurs opérateurs.
- Enrichissement des taches c'est qui visent à donner
un contenu plus qualifie au travail et à donner plus des
responsabilités aux opérateurs, il y a eu une amélioration
de la satisfaction des salaries sans réduire la productivité de
l'entreprise.
La théorie des relations humaines a introduit les
comportements humains comme paramètre à intègre dans les
préoccupations du gestionnaire. Ces travaux ont montré que
l'homme n'est pas qu'un simple facteur de production.
Variable expliquée
1.4.1. MODÈLE THÉORIQUE EXPLICATIF
Variable explicative
§ La faiblesse dans la gestion des ressources humaines qui
se traduit par un manque d'un personnel qualifié
§ Le manque des formateurs qualifies concerne le transfert
en ce qui Transfer les compétences aux nouveaux employés
§ Manque de la logistique de la nouvelle technologie
§ Centralisation des taches et des décisions
§ Incompétence des certains travailleurs
§ Asymétrie d'information
§ Mauvais accomplissement des taches
§ Manque des certains équipements de point
§ Le Transfert des compétences dans l'entreprise
FAIBLE NIVEAU DE RENFORCEMENT DES CAPACITES
Tableau no 2 :
Opérationnalisation de l'hypothèse
|
VARIABLE EXPLICATIVE
|
VARIABLE EXPLIQUÉE
|
ABSENCE DE FORMATION EN CAPITAL HUMAIN
|
FAIBLE NIVEAU DE COMPETENCE INDIVIDUEL
|
Indicateur
|
- Personnel incompétent
- Absence des moyens financiers
- Centralisation des taches et des décisions
|
- Faible niveau de productivité
- Manque de personnel qualifié
|
1.5.
CHOIX ET INTERET DU SUJET
Notre étude porte sur la stratégie d'attraction
des compétences dans les entreprises brassicoles cas de la BRASSIMBA.
Nous nous intéressons à cette catégorie
de travailleurs dans la mesure où nous cherchons à décrire
et comprendre le lien entre la stratégie d'attraction et la
compétence des travailleurs de la BRASSIMBA.
En réalisant ce travail, nous ne visons pas seulement
l'obtention d'un diplôme mais d'acquérir des connaissances et
produire une recherche qui prenne en compte les réalités de
terrains.
L'intérêt est dans à la fois scientifique
et professionnel il nous permet d'associer les théories apprise à
la réalité sur terrain, les résultats de cette
étude sont considérés pour nous comme un miroir pour
d'autres chercheurs.
1.5.1. Sur le plan personnel
Ayant accumulé des connaissances en Gestion des
Ressources Humaines, nous avons trouvé passionnant de relier ces
connaissances théoriques à la pratique expérimentée
par les entreprises. Nous croyons que cette investigation améliorera
d'avantage notre savoir-faire en matière de planification en ce qui
concerne l'investissement en capital humain.
1.5.2. Motivation scientifique
Le contexte actuel des entreprises, en plein dynamisme,
recherchant de plus en plus à acquérir un avantage concurrentiel,
place la thématique de formation professionnelle continue des ressources
humaines à une position importante.
Ce sujet, partant de ses résultats, ressortira une
particularité des entreprises publiques, privée congolaises et
plus précisément la BRASIMBA. Les suggestions y fournies pourront
être généralisées à d'autres entreprises et,
nous osons croire, apporteront une pierre d'édifice au monde
scientifique.
1.6.
OBJECTIFS DE L'ÉTUDE
Notre travail, dans sa réalisation vise à
atteindre un objectif général via les objectifs
spécifiques.
1.6.1. L'objectif général
L'objectif est de trouver des pistes des solutions capables de
résorber le problème de L'incompétence de certain
personnel au sein de l'entreprise BRASSIMBA.
1.6.2. Les objectifs opérationnels
Les objectifs suivants nous permettent d'atteindre l'objectif
général :
Identifier et analyser les mobiles qui permet d'attire la
compétence des salariés ;
D'identifier et comprendre les principaux facteurs explicatifs
le développement des compétences ;
Ø Evaluer leurs effets sur le comportement et
l'attitude de travailleurs au travail ;
Ø Proposer des voies et moyens pour augmenter la
compétence du personnel à leur Entreprise.
1.7.
MÉTHODE ET TECHNIQUE DE RECHERCHE
Ce sont des méthodes et techniques qui vont nous
permettre de collecter les informations susceptibles de faire l'objet de notre
recherche. Ce point a le privilège de présenter la
méthodologie choisie pour cette recherche, plus
précisément, nous parlerons du type d'étude, de la
méthode de collecte des données ainsi que des instruments
utilisés.
1.7.1. METHODES ET TECHNIQUES DE
COLLECTE DES DONNEES
Le thème que nous avons le privilège de
développer dans notre travail de recherche revêt une importance
majeure. Dans le cadre de notre réflexion nous adopterons l'approche
qualitative en vue de la description et d'explication de certains
phénomènes, cette approche vise à décrire,
expliquer, contrôler et prédire en se fondant sur l'observation
des faits, l'entrevue ainsi que le questionnement.
1.7.1.1. Méthode collecte
des données
Ce sont des méthodes qui nous ont permis de recueillir
les informations. Ce point a pour objectif de présenter la
méthodologie choisie pour cette recherche.
Méthode d'enquête : La méthode
d'enquête s'avère être la méthodologie la plus
appropriée afin de nous permettre de comprendre en profondeur la
problématique déjà cité du manque formation
continuelle, et de la motivation du Personnel de la BRASIMBA, En utilisant les
données collectées, il nous sera possible d'analyser et
d'interpréter divers aspects de notre
problématique.
1.7.1.2. Techniques de collectes des données
Dans notre travail nous avons utilisé les
données élémentaires que nous avons recueillies sur le
terrain par différentes méthodes.
L'entretien : celui-ci est une technique en
matière de collecte d'informations qui consiste en des échanges
oraux, individuels ou en groupes, avec plusieurs personnes
sélectionnées soigneusement, afin d'obtenir des informations sur
des faits ou des présentations, dont on analyse le degré de la
pertinence, de validité et de fiabilité au regard des objectifs
du recueil d'informations.
Des questionnaires sont prévus pour entrer en contact
avec les personnes sélectionnées qui seront mise à notre
disposition. Et en suivant cette technique nous aurons comme canal de
traitement le guide d'entretien qui nous permettra d'analyser de multiples
aspects de notre thème de recherche au niveau des outils ou des
approches. Nous passerons donc en revue plusieurs aspects afin de ressortir les
failles et les points à améliorer dans de la formation
professionnelle continue à l'interne de la BRASSIMBA.
1.7.1.2.1.
L'échantillonnage
Nous allons utiliser la technique d'échantillonnage,
qui est un sous-ensemble tiré d'un ensemble plus vaste (population
mère) et présentant les mêmes caractéristiques, la
même composition interne que l'ensemble. (Sem P et Cornet A, 2017). Pour
bien mener ce travail, nous avons pris un échantillon de 12 personnes
dont 11 cadres et 1 agent d'exécution à la Direction de Gestion
du Personnel.
1.7.1.2.2. La
documentation
Cette technique nous permet de fouiller
systématiquement les documents en rapport avec notre sujet de
recherche ; ainsi les publications, les ouvrages, les mémoires et
TFC, les journaux seront d'une importance sans précédent.
1.7.2. METHODES ET TECHNIQUES
D'ANALYSE (TRAITEMENT) DES DONNEES
Les Méthodes et Techniques d'analyse des données
sont celles qui nous permettront d'analyser et traiter les données
recueillies.
1.7.2.1. Technique d'analyse
Dans l'analyse des graphiques et tableaux nous
avonsprésentédes résultats interpréter avec
différents graphiques.
Les données d'une recherche avec l'approche qualitative
sont fondées sur l'analyse des documents, l'analyse d'entretien.
Pour cette recherche nous avons utilisait le logiciel Tropes,
et le codage binaire. C'est à l'aide de ces outils d'analyse que nous
allons traiter et interpréter nos résultats.
1.8.
LA DELIMITATION DU SUJET
En effet, cette étude s'étale sur une
période de trois ans allant de 2016 à 2019.cela se justifie par
la disponibilité aisée des données relatives à
cette recherche. La récolte de ces données est un
préalable indispensable dans le cadre de ce travail.
En outre cette étude est menée en
République Démocratique du Congo dans la province du
haut-Katanga, plus précisément l'investigation est
effectuée au sein de l'entreprise BRASIMBA.
1.9.
STRUCTURE DU MEMOIRE
Dansle premier chapitre, nous aurons à soulever le
problème qui se pose dès le départ, relever les
hypothèses, ensuite exposer le choix des méthodes et techniques
mise en application soit la méthode qualitative qu'on aura à
utiliser. Montre l'objectif poursuivi, le choix et intérêt que
porte le sujet à notre disponibilité sur le plan scientifique.Le
deuxième chapitre porte sur les cadres conceptuelles de notre sujet. Le
troisième chapitre porte sur le champ empirique
Enfin, le quatrième chapitre parle en détail du
résultat de l'étude. Il sera également question dans le
même chapitre, de présenter les données, leur analyse ainsi
que leur interprétation, enfin non au non à mettre des
suggestions pour mentionner le phénomène observe. L'avantage que
nous puissions donner la conclusion.
CHAPITRE 2. CADRE CONCEPTUEL ET THEORIQUE
2.1.
INTRODUCTION
2.2. LES CONCEPTS GENERAUX
2.1.1. LA COMPETENNCE
Depuis de nombreuses années, la compétence
professionnelle prend une place de premier plan dans les préoccupations
des organisations (entreprise, association, organisme public ou
privé...) et des individus. Tous (organisations et individus)
considèrent que la compétence peut être une
ressource-clé dans l'obtention de la performance et constitue un
avantage compétitif.
En effet pour faire face aux exigences croissantes de
qualité, de réactivité et d'innovation, les
procédures ne suffisent plus, elles peuvent même devenir
improductives. Cela suppose que l'on puisse compter sur le professionnalisme
des acteurs de l'organisation.
En effet face à des évènements
imprévus, face à l'inédit, ils devront élaborer et
mettre en oeuvre des réponses appropriées, prendre des
initiatives pertinentes, construire des compétences adéquates.
2.3.
LE MANAGEMENT DES COMPETENCES
Puisque les compétences évoluent rapidement, les
salariés ainsi que les entreprises ont intérêt à se
responsabiliser, dans le développement de leurs compétences et de
leurs formations pour se maintenir à niveau. Détenir une ou des
compétences est aujourd'hui le meilleur passeport pour l'emploi et
représente donc un enjeu individuel et collectif En vue de cette
importance plusieurs chercheurs ont travaillé sur la notion de
compétences et son processus.
2.3.1. Historique et définition du management des
compétences
Dans ce premier point, nous allons aborder d'une façon
générale la compétence et le management des
compétences
2.3.2. Évolution historique de la compétence
Dans les années 1970, la notion de compétence a
commencé à surgir, au sein des débats entre les
partenaires sociaux (demande de prise en compte des compétences
individuelles dans l'obtention des performances).
Cette montée en première ligne de la
compétence s'est accentuée dans la décennie 1980, pour
culminer en 1990. (LE BOTERF.G, construire les
compétences individuelles et collectives, Edition d'Organisation, Paris,
2004, P.15).
Au milieu des années 1990, le concept devient l'objet
de tous les débats et conférences, répondant aux nouvelles
exigences de la compétitivité, dans tel contexte la mise en
oeuvre de compétences individuelles devenait essentielle.
2.3.3. Définition de la compétence :
Le terme de compétence fait partie du sens commun dans
les organisations :
Selon le Dictionnaire des ressources humaines cité par
PERETTI « la compétence rassemble trois types de savoir : un savoir
théorique (connaissances), un savoir-faire (expérience) et un
savoir-être (une dimension comportementale) mobilisés ou
mobilisables qu'un salarié met en oeuvre pour mener à bien la
mission qui lui est confiée ». (PERETTI. J- M,
Dictionnaire des ressources humaines, 2ème édition, Vuibert 2001,
P.60).
Selon Philipe ZARIFIAN « La
compétence est la prise d'initiative et de responsabilité des
personnes au sein des situations qu'elles prennent en charge ».
(ZARIFIAN.P, Edition Liaison, Paris, 2005, P.5). Toutes ces définitions
se recoupent sur trois points :
- Dans le 1er point : La compétence permet d'agir et
c'est là qu'on peut la repérer. La compétence est donc le
moteur de la performance. Elle s'évalue dans l'action.
- Dans le 2ème : La compétence est contextuelle,
c'est-à-dire qu'elle est toujours liée à un contexte
professionnel, à une situation donnée. Il n'y a pas de
compétence dans l'absolu.
- Et dans le 3ème : La compétence intègre
différentes composantes hétérogènes. Et sur ces
composantes (aptitudes, connaissances, traits de personnalité...) que la
formation peut agir.
2.4.
COMPOSANTES DE LA COMPETENCE
Selon Elizabeth Lecoeur, les principales
composantes de la compétence, sont :
· Le savoir ;
· L'aptitude ;
· La motivation ;
· Contexte ;
Tableau no 3 :Le
tableau ci-dessous, explique les quatre composantes de la compétence
Savoir
|
« Ensemble de connaissances plus au moins
systématisées acquises par une activité mentale »
(J-G millet, 2005)
Exemple : S'assurer de la compréhension de son message par
le (ou les) interlocuteur(s) en effectuant des synthèses partielles
régulières afin de fixer les points clés de la
négociation.
|
Aptitude
|
Ensemble de ressource intellectuelle et des
caractéristiques personnelles mobilisées en situation
professionnelle pour atteindre les résultats attendus. Elles se
développent tout au long de l'histoire de l'individu.
Elles sont acquises avant et pendant l'occupation d'un poste et
dans l'organisation à laquelle l'individu appartient.
Exemple : Résistance : aptitude à faire face aux
épreuves, aux échecs, à dépasser les
découragements et à orienter rapidement son action de
manière positive.
|
Motivation
|
« Processus qui active, oriente, dynamise et maintient le
comportement des individus vers la réalisation d'objectifs attendus
» (P-Roussel, 2000).
|
Contexte
|
Environnement de travail du professionnel en action.
L'organisation du travail, les procédures, les fonctions, le climat, les
modes de relation...sont autant de variables qui influencent la mise en oeuvre
de la compétence.
|
Source :Lecoeur.E, « La gestion des
compétences », Edition de Boeck, Bruxelles, 2008, P.19.
2.4.1. Les typologies de la compétence
Les compétences peuvent aussi être
classées suivant une logique qui distingue la catégorisation
suivante (BATAL.C, « la GRH dans le secteur public »
Edition d'organisation, tome I, 1998, P.155) :
a. Les compétences
transversales
C'est-à-dire celles qui ne sont pas spécifiques
à un métier, donc qui sont utiles dans de nombreux emplois
(exemple : savoir mettre en oeuvre les méthodes de synthèse) qui,
par conséquent, retrouver souvent dans les référentiels de
compétences.
b. Les compétences
professionnelles
C'est-à-dire celles qui sont propres à une
filière de métier (exemple : connaître les
différentes méthodes pédagogiques et leur mode d'usage,
constitue une compétence professionnelle parce qu'elle n'est, à
priori, utile qu'aux métiers de formation). Elles contribuent à
faciliter la mobilité d'un domaine à l'autre.
c. Les compétences
spécifiques
C'est-à-dire celles qui sont propres à une
structure, un domaine et qu'on ne retrouve pas ailleurs (exemple :
connaître la procédure de gestion des incidents techniques propres
à telle structure).
Elles sont nécessaires pour exercer les
activités qui constituent le noyau du domaine. L'utilité de cette
dernière catégorisation réside dans la
préoccupation de gestion de la mobilité ou du recrutement. Son
intérêt est la distinction des emplois généralistes
qui se caractérisent par le fait qu'ils requièrent surtout des
compétences générales ou transversales, par opposition aux
emplois de spécialistes qui requièrent une majorité de
compétences professionnelles.
d. Les compétences collectives
Font référence aux compétences des
différents postes de travail, et sont liées à la
qualité d'interface qui existe entre les situations de travail, donc
entre les individus qui les occupent.
Elles sont constituées de trois catégories
d'éléments (BATAL.C, «la GRH dans le secteur public »
Edition d'organisation, tome I, 1998, P.160) qui sont d'abord la
complémentarité des membres de l'équipe de travail,
ensuite la possession d'un langage ou d'un vocabulaire commun de
représentation partagée des finalités, des
priorités et des objectifs de l'unité de travail et enfin la
capacité des membres de l'équipe à travailler ensemble,
c'est-à-dire à coopérer.
En plus de la croissance actuelle et future du rendement, le
développement des compétences accroît le sentiment
d'appartenance que les employés témoignent à
l'organisation et améliore leur perception, c'est la culture
d'entreprise.
e. Les compétences
individuelles
C'est la combinaison de savoir et savoir-faire que les
salariés développent dans l'exercice de leurs activités
(DIETRICH.A., « le management des compétences
», 2ème édition, Vuibert, Paris, 2010, P.6.).
2.4.2. Les objectifs de la compétence
En générale, la compétence est
mobilisée en gestion au service de trois grands types d'objectifs
1- La compétence sert à repenser la contribution
des salariés à la performance de l'entreprise.
2- La compétence sert à conformer les
comportements des salaires à de nouvelles normes d'action.
3- Elle sert aussi à définir de nouvelles
formes de coopération et d'échange. (Loïc Cadin. Francis
GUERIN. Frédérique PIGEYRE, Gestion des Ressources Humaines,
3ème édition paris, 2007, p179).
2.4.3. Les critères d'évaluation de la
compétence
L'évaluation de la compétence est une
problématique récente dans le champ de la gestion des ressources
humaines.
Cette évaluation est basée sur une liste de
compétences que doit maitriser un individu dans un cadre donné.
Plusieurs critères sont adjoints à la compétence :
a) La performance
Les relations entre performance et compétence ne sont
pas biunivoques autrement dit, un niveau de compétence ne permet pas
d'inférer un niveau de performance.
La compétence est un élément des
éléments déterminant de la performance, avec les
contraintes d'environnement et de la motivation.
b) L'expérience
Compétence et expérience sont des notions
proches. Leur relation s'établit selon deux modalités qui
découlent des deux acceptions de l'expérience à la fois
connaissance pratique ou l'expérience s'intègre à la
compétence comme une composante (le savoir-faire), et processus
d'acquisition, elle correspond à un niveau de maitrise dans une
situation de travail donnée ou encore dans un parcours professionnel.
c) Le mérite
La notion de mérite est un tendue entre une valeur
morale est une valeur professionnelle, c'est-à dire que le mérite
est échange entre attitude et résultats, le mérite est un
mixte de compétence, de performance et de motivation.
d) Le potentiel
La notion de potentiel dispose plusieurs proximités
avec la compétence, et notamment avec un aspect structuré et
dynamique et sont caractères contingents. Et aussi que la
compétence en tant que savoir en action peut s'avérer être
un détour pertinent dans le cadre de développement de potentiel
(Valérie Marbach. Évaluer et rémunérer les
compétences, édition d'organisation, 1999, p14).
2.4.4. Les facteurs déterminants de la
compétence
ü Le savoir-faire : c'est la capacité de mettre en
oeuvre une habilité gestuelle ou conceptuelle et les savoirs
nécessaires afin de mener à bien on des activités telles
que rédiger un bilan d'évaluation, conduire un projet, coordonner
un collectif de travail. Exemple : Savoir mettre en oeuvre les techniques
d'animation de réunion.
ü Le savoir être : révèle la
capacité à manifester des attitudes, des qualités ou des
comportements adaptés aux situations de travail telsque dynamisme,
patience, être observateur. Exemple : Être organisé
où savoir communique.
ü Les savoirs : sont l'ensemble de connaissances acquises
par une activité mentale telle que connaissance des langues,
connaissance informatique, connaissance de méthodes.
ü Le savoir devenir : révèle l'aptitude
à s'inscrire dans un projet de vie et à se déterminer par
une conduite de projet personnalisée anticipée, adaptée et
réaliste.
2.4.5. L'impact de la formation sur le développement
des compétences
L'entreprise après avoir pris connaissance d'une
pénurie de compétences compte tenu d'une logique
préventive basée sur un système de gestion
prévisionnelle des ressources humaines et d'une gestion dynamique des
grilles de compétences, lance un programme de développement des
compétences. Le développement des compétences devrait
être une préoccupation pour les entreprises, dans tout le secteur
de l'économie.
2.4.6. La relation entre la formation et la
compétence
Les compétences ne sont pas une donnée stable,
une fois acquise elle ne subira aucune modification.
L'arrivée de nouvelles technologies sur le
marché peut faire en sorte que les compétences perdent de leur
pertinence et que les connaissances deviennent obsolètes.
La politique de formation a pour objectif de combler les
lacunes des employés en termes de connaissance en les enrichissant et
les mettant à jour, En effet, tous les savoirs nouveaux,
actualisés et utiles sont toujours acquis via la formation.
2.4.7. Les avantage de la formation :Parmi les avantages de la
formation on distingue :
2.4.7.1.Les Avantages de la
formation pour l'entreprise
Mémoire de magister en science de gestion : BENMERZOUGA
OUAHIDA, « le rôle du E-Learning et développement des
compétences en entreprise », Université de Tlemcen, 2006,
P.30-31.)
Les avantages de la formation pour l'entreprise sont
multiples. Nous pouvons les énumérer comme suit :
-Elle entraîne une augmentation des profits ou des
attitudes plus favorables vis-à-vis de la recherche du profit.
-Elle améliore les connaissances et les
habiletés nécessaires pour l'emploi, à tous les niveaux de
l'organisation.
- Elle améliore le climat organisationnel.
- Elle aide plus de personnes à s'identifier aux buts
de l'organisation.
- Elle favorise la création d'une meilleure image de
l'organisation.
- Elle encourage l'authenticité, l'ouverture et la
confiance.
- elle améliore les relations entre les cadres et leurs
subalternes.
- Elle fait acquérir des connaissances.
- Elle aide à comprendre et à établir les
politiques organisationnelles
- Elle améliore l'efficacité de l'organisation
dans la prise de décision et la résolution des problèmes.
- Elle facilite le développement du personnel en
rapport avec les promotions de l'intérieure.
- Elle facilite le développement d'habiletés au
leadership, suscite la motivation, la loyauté, l'amélioration des
attitudes, et d'autres caractéristiques que possèdent
généralement le personnel et les gestionnaires efficaces.
- Elle améliore la productivité ou la
qualité du travail.
- Elle développe le sens des responsabilités
vis-à-vis de l'organisation, lequel s'avère nécessaire
pour être compétent et bien informé.
- Elle améliore les relations patronales
- Elle élimine les pratiques et comportement nuisibles,
comme cacher les outils.
- Elle aide à l'amélioration de la communication
dans l'organisation
- Elle aide le personnel à s'adapter aux changements.
- Elle facilite la gestion des conflits et, ce faisant, permet
la prévention du stress et des multiples tensions.
2.4.8. La formation présente divers avantages pour
l'individu
- aide l'individu à prendre de meilleures
décisions et à résoudre les problèmes plus
efficacement.
- Par la formation et le développement, les variables
motivantes de reconnaissance, de réussite, de croissance, de
responsabilité et d'avancement sont intériorisées et
opérationnalisées.
- Encourage le développement personnel et la confiance
en soi.
- Aide l'individu à composer avec le stress, les
tensions, les frustrations et les conflits.
- Fournit de l'information pour améliorer la
connaissance des facteurs de leadership, les habiletés à
communiquer et les attitudes.
- Améliore la satisfaction au travail et engendre le
sentiment d'être reconnu.
- Permet de progresser vers la réalisation de buts
personnels tout en améliorant les habiletés d'interactions.
- Satisfait les besoins personnels des employés
formés et des agents de la formation.
- Offre à l'employé formé des
possibilités de croissances personnelle et de maîtrise de son
avenir.
- Développe un sentiment de croissance par
l'apprentissage.
- Aide l'individu à développer des
habiletés à communiquer oralement et par écrit lorsque ces
exercices sont requis, ainsi qu'à écouter.
- Aide à éliminer les peurs associées
à des tâches nouvelles
2.4.9. La formation comme un outil de développement des
compétences
La philosophie de la formation continue comme
développement des compétences consiste en des actions
organisées en fonction des besoins identifiés, puis
consolidées dans le plan de formation.
La formation ne peut être dissociée de la culture
de l'entreprise, car au-delà de l'acquisition de connaissances, elle
influe directement sur le comportement, les attitudes et les relations des
personnes entre elles, qu'elles soient verticales, horizontales ou
transversales (BRUNETAUX.J-B, « Gestion des Ressources
Humaines et Communication », 4ème édition, Yaoundé,
UCAC, 2007).
2.5.Conclusion
Il est très important, pour les entreprises, de
chercher à faire acquérir et à développer les
compétencessoit individuelle ou collectives qu'elles jugent
nécessaires à leur développement et à leur
adaptation. Et aussi les compétences permettent ainsi aux entreprises
d'acquérir une meilleure performance pour faire face aux
évaluations de son environnement. Aujourd'hui, pour pouvoir faire face
à la concurrence, les entreprises ont besoin de compétences de
leur ressource humaine.
CHAPITRE 3. CADRE
EMPIRIQUE
3.1.
INTRODUCTION
3.2. PRESENTATION DE LA SOCIÉTÉ
3.1.1. HISTORIQUE
L'implantation de la brasserie Simba au Katanga alors Shaba
remonte des années 1923, période qui suivi la première
guerre mondiale et qui s'est caractérisé par une crise
économique notamment d'approvisionnement ; les difficultés
des communications ont rendu aléatoires l'approvisionnement du Katanga
si bien que même les belges qui s'y sont installés ont connu
beaucoup de difficultés pour s'approvisionner en bière venant de
l'Europe. C'est ainsi qu'un groupe des gens voulurent remédier à
cette situation en étudiant des possibilités de productions d'une
bière locale a Elisabethville, l'actuelle ville de Lubumbashi. Quelques
mois suffirent pour enregistrer de très satisfaisants résultats,
et c'est le lundi 24 avril 1922 qu'a eu lieu la première
dégustation de la bière. À cette occasion furent
invité tous ceux qui s'intéressaient à la question de la
bière. Les résultats obtenus furent favorables et
montrèrent que rien ne s'imposer à la fabrication et la
conservation d'une bière agréable répondant à tous
les désireux de la boisson hygiénique, et dont l'usage journalier
ne serait pas incompatible avec le climat pour la santé
européenne.
La période de recherche entant terminée, les
spécialistes CHODRON et D.R WALRAEVENS (1935) avaient pleinement
réussie leurs objectifs. Il s'agissait alors de passer aux
réalisations pratiques et envisager le service commercial de l'affaire.
C'est ainsi qu'une proposition de la création d'un syndicat des
européen d'Elisabethville fut adoptée.
Avec l'accord de l'union minier du Haut Katanga, monsieur
CHODRON fut désigné pour se rendre en Belgique et y constituer
une nouvelle société. Il devait prendre contact avec les
brasseries et les groupes financiers susceptibles de s'intéresser, voir
les architectes et les constructeurs qui se chargeaient d'établir le
plan et de fournir les matériels de la future brasserie.
Le premier capital fut de 20.000FB. La mission de CHODRON
échoua ce fut le tour de monsieur DEBOELPAETE et BRAUW qui, eux ainsi
échoueront. Alors le 04 juin 1923, aucun résultat n'ayant pas
été obtenu, il a fallu procéder à la liquidation
d'un syndicat.
En octobre 1923, monsieur DEBAW alors représentant
conseil en affriquée et administrateur dans la compagnie de chemin de
fer au Katanga, annonçait qu'il espérait presser à la
création d'une brasserie au Katanga. L'accueil qui lui fut resserve ne
fut pas uniformément favorable mais après un examen minutieux du
projet par des spécialistes ; le cahier de charge fut
approuvé. C'est alors que la compagnie du Congo pour le commerce et
l'industrie décida avec la compagnie foncière du Katanga de
patronner le projet.
Ainsi, avec la grâce de l'initiative privée et de
l'endettement des quelques actions, la brasserie du karanga fut
constituée en société au capital de 350.000FB le
08decembre 1923 devant monsieur CHEYVEN notaire à Bruxelles.
Très rapidement il a fallu agrandir les installations
en 1931 une seconde brasserie fut, mise en service à LIKASI, ce qui
portait la capacité d'embouteillage a 200.000 bouteilles par mois.
Une fois passée la grande crise des années 30 et
la seconde guerre mondiale, les chiffres de ventes ne firent plus qu'augmenter
et lors de la célébration du 25eme anniversaire en
1950, le directeur général, Monsieur Paul ALSTEEN, présent
dans l'entreprise depuis 1925, annonça fièrement que la
capacité de production de deux brasseries était de 1.250.000
bouteilles par mois soit 110.000 hectolitres de bière vendue par an.
A cette époque également la TEMBO et la MAMBA,
une bière de manège qui n'est plus commercialisée
actuellement, sont mises sur le marché et une limonadière mise en
service dans le dépôt d'Albertville, l'actuel KALEMIE.
En octobre 1953 la brasserie de KAMINA sortie premier brassin
suivi de celle de KOLWEZI en 1957, et en 1960 la capacité totale de 3
sièges avoisine les 500.000 hectolitres par an, et l'accession du pays a
son indépendance ne ralentit pas les activités des brasseries du
KATANGA bien au contraire !
Ce n'est qu'en 1991, suite à des actes de pillages qui
avaient touches l'usine de LIKASI, la direction de la BRASIMBA a pris la mesure
de faire les usines de LIKASI, KOLWEZI et KAMINA...
· En 1994, le groupe INTERBREZ propriétaire de
BRASIMBA, vend l'ensemble de ses participations dans ses brasseries du ZAIRE
(actuellement RDC) au groupe B.G.I (sociétés des brasseries et
glacières internationales), groupe appartenant à Monsieur
Pierre CASTEL.
· En 2007 apporte des longues années de
restructuration du pays, la BRASIMBA se relance dans les investissements et
rachète, auprès de BRACONGO, les usines de TSHILENGE à
Mbuji-Mayi et de Kananga à Kananga.
S'enchaine ensuite :
· En 2009, la réouverture de l'usine de KOLWEZI
· En décembre 2012 l'ouverture d'une usine
ultramoderne a béni dans la province de Nord-Kivu. Ladite usine produit
les bières et boissons gazeuses qui desservent la partie Est de la
RDC.
Aujourd'hui, le siège social est situé à
LUBUMBASHI.
3.1.2. SITUATION GEOGRAPHIQUE
La brasserie SIMBA en sigle « BRASIMBA »
est située au numéro 1200 de l'avenue N'Djamena, au quartier
industriel dans la commune de Kampemba.
Elle est limitée à l'Est par les voies ferres de
la société nationale de chemin de fer du Congo
« SNCC » à l'ouest par quelques maisons d'habitation
située sur l'avenue Lumumba, au Nord par la direction de contrôle
interne de la générale de carrière et de mines et au Sud
par la Gécamines développement.
3.1.3. FORME JURIDIQUE
La Brasimba est une société par action à
responsabilité limitée, S.A, immatriculée au niveau du
registre de commerce et du crédit mobilier sous le numéro
CD/LSHI/RCCM/13-B-0109, avec comme numéro d'identification Nationale
6-213-A03673S et numéro d'impôt est A0700296F, au niveau
provincial immatriculée sous le numéro 814 et l'INSS (Institut
National de Sécurité Sociale) sous le numéro 5/002000.
Cette société est représentée par
son administrateur gérant dont le nom est GAETAN VA BELLE.
3.1.4. CAPITALE SOCIAL
La société BRASSERIE SIMBA SA exploite son objet
social avec les actions d'une équivalence de 44491218350 francs
congolais
3.1.5. OBJET SOCAL
La Brasimba a comme objectif d'être leader dans
l'industrie et la distribution de la boisson dans le cadre d'une production
moderne, efficace, performante et citoyenne.
Elle est une société commerciale qui a pour
mission d'assurer la distribution et la qualité constante des produits
aux meilleur prix tout en perpétuant son savoir-faire brassicole, et ne
cesse pas de cultiver sa passion pour l'innovation d'une gamme variée
des boissons d'une extrême qualité pour le gout des
consommateurs.
3.1.6. ACTIVITES
La Brasimba a comme activité la fabrication de la
bière Simba, Tembo, Skol, Doppel, 33Export, Limonade, Grenadine, Soda,
Tonic, Orange, Cola et de l'Eau Crystal.
En 2008, la brasserie Simba avait mis au point 2 nouveaux
produits qui sont : les boissons gazeuses Djino, Fresco, et la
bière Simba.
· Djino « une explosion de saveurs »,
qui est une boisson gazeuse proposant différents parfums :
Soda, grenadine, tropical, cola, ananas, orange et tonic.
Vendu en bouteille de verre de 30cl et en bouteille PET de 50cl, avec bouchon a
vissé.
· Fresco « c'est bon, c'est frais, c'est
Fresco » qui est aussi une boisson gazeuse proposant également
différents parfums à savoir :
Cola, Orange, Grenadine et Ananas. Marque d'entrée de
gamme destinée à la vente directe aux consommateurs a
trouvés, principalement, les kiosques, et mini comptoirs. Meilleur
qualité-prix conditionnées en bouteille de verre de 20cl et
60cl.
· Simba « Butamu ya kwetu »
partie intégrante de l'identité katangaises, la bière du
lion est produite depuis 1925, elle représente pour tous ses
consommateurs la fête et la joie de vivre. Elle est surnommée
SULTANI par ses consommateurs. Ce produit est vendu en bouteille de verre de
73cl et de 33cl mais également disponible en canette de 33cl et
pressente un taux d'alcool de 5%
· Tembo « respect » bière
ambrée du type vionde, au gout typique dont la recette a plus de
60ans ... Bières de l'éléphant, fierté du
Congo, elle est le symbole de la force et de la puissance.
Aujourd'hui, elle est consommée comme une bière
de luxe, oriente davantage vers la séduction. Ce produit est vendu en
bouteille de verre de 60cl et contien5, 8% d'alcool.
· Castel « Be différent »
marque haute deb gamme. Présente dans tout l'Afrique francophone, elle
est vendue en bouteille de verre de 65cl et contienne 5% d'alcool.
· Skol « Kitoko pe elengi »
marque internationale, parmi les bières les plus consommes au monde
bière blonde, légères et très rafraichissante,
cette bière est la fierté de la population kinoise. Produit
depuis 2008 au Katanga et est vendu dans une bouteille de 72cl tout en
contenant 5% d'alcool.
· Doppel « Nguvu ya ondjo »
bière brune en provenance de Kinshasa brasse sous licence à
Lubumbashi depuis décembre 2009 symbolisée par la puissance
conquérante du buffle vendu dans une gamme de bouteille de verre de 65cl
a 6,8% d'alcool.
· 33 Export « vivez le rythme, vivez la
passion, vivez 33 export », une marque internationale bière
blonde, légère, et rafraichissante, lance par Brasimba le 11juin
2010, le jour de l'ouverture officielle de la coupe du monde RSA 2010 devient
le supporteur n° du football congolais, elle est vendue en bouteille de
vairée de 72cl et contient 5% d'alcool.
· Guinness « Soyez Greatness »
bière brune de type « tout » cette année elle
va faite son 273eme anniversaire. Une légende irlandaise qui
est caractérisée par une harpe qui est le symbole de ce pays
bière internationale, dotée d'une amertume longue et puissante,
une mousse crémeuse et d'un gout inimitable. Vendu en bouteille de 33cl
et contiens 6,5% d'alcool.
· Crystal « eau pure, vie pure »
cristal est une eau minérale traitée par osmose inverse,
idéalement minéralisée digeste et légère,
elle est agréable à tout âge et toutes circonstances.
Protège par une épaisse couche rocheuse, elle a été
lentement et naturellement filtrée par différents strates
géologiques cristal est d'une grande pureté, parfaitement
adaptée aux nourrissons, mise en bouteille sur le site de la Brasimba
à Lubumbashi, conditionnée en bouteille PET de 1 ,5cl et
50cl
3.2. ELEMENTS STRATEGIQUES
Etant donné qu'une entreprise doit avoir une certaine
manière d'agir sur le marché vu ses attentes et la concurrence,
cette dernière recourt aux principes managériales qui sont
établis par les chercheurs pour arriver à ses objectifs
3.2.1. Mission
La Brasimba a comme mission d'assurer une disponibilité
et une qualité constante des produits aux meilleurs prix dans le cadre
d'une distribution rapide, efficace et pérennante.
3.2.2. Vision
La Brasimba a comme vision d'être leader dans
l'industrie et la distribution des boissons alimentaire dans le cadre d'une
organisation moderne efficace, performante et citoyenne.
3.2.3. Objectif
La Brasimba a comme objectif d'être leader dans
l'industrie et la distribution de la boisson dans le cadre d'une production
moderne, efficace, performante et citoyenne. Atteindre le plus grand nombre de
consommateur, en produisant une meilleure boisson pour le peuple
3.2.4. Valeurs
Valeurs moraux : la Brasimba est
régie par un code de bonne conduite mis à la disposition de ses
agents qui parlent des antivaleurs : la corruption, les
harcèlements, le respect de sa clientèle en plaçant ce
dernier au centre de son business, le respect des engagements avec ses
fournisseurs et prestataire des services, respect des engagements
vis-à-vis de l'état congolais.
Valeurs sociétales : Brasimba
travaille en partenariat avec la mairie en vue de ne pas polluer
l'environnement en ayant des dépôts de charges pour
déverser tous ce qui est ordure issue de ses productions et paie les
taxes liées à l'environnement.
3.3. STRUCTURE
ORGANISATIONNELLE
La structure d'un objet n'est qu'un ensemble
d'éléments qui le compose. Cette logique nous amène
à jeter un regard sur les différentes parties de la Brasimba
à partir de son organisation ainsi cette structure est
considérée comme un système ou l'entreprise et dont les
différents services fonctionnent sous la haute responsabilité de
la direction générale.
Bref, la structure est donc l'organisation des relations entre
les personnes qui la constitue, leurs hiérarchies et l'articulation de
leurs fonctions.
Toutes les activités de la Brasimba sont actuellement
contrôlées et coordonnées par le siège ou par la
direction générale de Lubumbashi, et les différents
services collaborent directement sous responsabilité de la direction
générale.
Ainsi, la brasserie Simba est organisée de la
manière suivante :
a. La direction générale :
elle constitue la haute hiérarchie de l'organisation, elle supervise et
planifie l'ordonnance des opérations d'approvisionnement en
matières premières et sur la politique de l'entreprise pour
atteindre ses objectifs mais aussi pour la bonne marche de l'entreprise.
b. La direction administrative : cette
direction coordonne et contrôle cinq branches dont :
l'administration du personnel, la sécurité, les relations
publiques, le service médical et le Guets-house. Cette direction assure
l'application des lois et la mise en marche des services de l'entreprise
conformément à ses directives générales.
c. Le département de comptabilité et
finance : elle contrôle tous les documents de caisse et les
flux financiers.
d. La direction d'exploitation : c'est
l'une des branches les plus importantes de la Brasimba, puisqu'elle met en
harmonie le processus de fabrication et s'occupe aussi de l'exploitation
e. La direction marketing et vente :
elle a comme mission :
· Promouvoir et assure des produits fabriqués par
la Brasimba
· Faire connaitre la marque de l'entreprise, la
qualité du produit et aussi sur la politique de vente
· La direction technique : cette direction s'occupe
de l'entretien, maintien de l'outil de produit de l'usine ainsi une des
charrois automobiles dont dispose l'entreprise, il contrôle aussi
l'atelier central et regarde le service de fabrication de la bière et
des eaux gazeuses.
3.4. ORGANIGRAMME
Direction général Adjoint
Mr GAETAN VAN BELLE
Audit Interne
Département Juridique
Assistant de la direction générale
Secrétaire général
Assistant chargé du protocole
Chargé du
Protocole
Directeur Département
Audit Interne
Chef département
Audit Interne
Direction Technique
Direction Commerciale et Marketing (Mr Gilles V)
Direction RH
Direction Administration Finances
Réceptionniste/et andradite
Direction des sièges de NBM, KWZ, KNG, BENI
Département Industriel Lubumbashi
Département MPP/MPC Lubumbashi
Département Informatique
Direction Logistique Achats
Direction Maintenance
Direction Fabrication
Direction Production
Direction Process et Oualité
Bureau méthode
Département Industriel Kolwezi
Département Industriel Mbujimayi
Département Industriel Kananga
Département Industriel BENI
3.5.
PRÉSENTATION DE CADRE D'ANALYSE SWOT ET PESTEL DE LA BRASIMBA
L'analyse de SWOT est un outil permettant d'identifier le
point fort, les faiblesses, les opportunités et les menaces d'une
entreprise particulière. Point et les faiblesses ont des facteurs
internes qui créent la valeur ou détruisent la valeur. Les
opportunités et le menaces sont des facteurs externes qu'une entreprise
ne peut pas contrôler c'est une représentation de situation d'un
produit d'un service face au marché.
Tableauno4 :Matrice
SWOT de BRASIMBA
POSITIF
|
NEGATIF
|
FORCE-STRENGH
|
FAIBLESSES-WEAKNESSES
|
· Ancienneté sur le terrain de Lubumbashi et la
R.D.C
· Image de la marque SIMBA toujours très forte
· Service de finance est autonome.
· Innovation et sortir des nouveaux produits par sa
propriété intellectuelle.
|
· Système capitalisation
· Le non Modernisation usine de production.
· La communication semble être biaisée et qui
donne une mauvaise réputation.
· Le non entente entre service de marketing qui montre un
conflit récurrent.
· La dépendance totale de l'étranger sur le
plan administratif.
|
OPORTUNITE-OPPORTUNITES
|
MENACES-THREATS
|
· Facteurs économiques de la province
· L'émergence du marché
· Tendance et effets de mode de la population
|
· Evolution de la technologie
· Découpage de la province ou démembrement.
· L'entrée des autres brasseries
· Concurrence des prix
|
Source : nous-mêmes sur base
de nos observations
Ce tableau ci-haut nous renseigne sur les
éléments qui identifient les menaces et opportunités de
l'environnement où évolue la BRASIMBA, ainsi que ses forces et
faiblesse (de la Brasimba) par rapport aux autres brasseries et par rapport au
temps.
Apres l'analyse de micro environnement (SWOT) nous sommes dans
l'obligation d'analyse PESTEL de la BRASIMBA il faut savoir que l'analyse
PESTEL est un outil de diagnostic stratégique qui permet d'identifier
l'ensemble des éléments ou facteurs environnementaux (politique,
historique économique et légale). Cette méthode prend les
variables qui influencent les différents acteurs évoluant sur le
marché (marachesney, (993)
Figure
1 :schéma PESTEL de la BRASIMBA
Sources : nous-même sur base des
observations
CHAPITRE 4. RÉSULTATS DE L'ÉTUDE
4.1. INTRODUCTION
4.2. ANALYSE DES DONNES QUALITATIVES
4.1.1 Présentation de
l'échantillon
L'analyse des données sera représentée par
le tableau ci-dessous à travers que nous avions pu réaliser nos
entretiens.
Tableau 5 : Profit des
répondants aux entretiens
N°
|
Fonction
|
Tranche d'âge
|
Sexe
|
20 et 45 ans
|
45 ans ou plus
|
F
|
M
|
1
|
Agent de ressources humaines
|
|
ü
|
|
|
ü 2
|
Réceptionniste
|
|
ü
|
|
ü
|
3
|
Directeur de ressources humaines
|
|
|
ü
|
|
ü 4
|
Agent de ressources humaines
|
|
|
ü
|
|
ü 5
|
Agent logistique
|
|
|
ü
|
|
ü 6
|
Main tenancier
|
|
ü
|
|
|
ü 7
|
Agent de ressources humaines
|
|
|
ü
|
|
ü 8
|
Agent de ressources humaines
|
|
|
|
ü ü
|
9
|
Agent comptable
|
|
ü
|
|
|
ü 10
|
Agent de ressources humaines
|
|
|
|
ü ü
|
Source : nous-mêmes à partir des
répondants
4.1.2. Les entretiens avec les
agents de la BRASIMBA
1. Agent ressources humaines : je suis
travailleur à cette entreprise, il y a de cela quatre (4) ; je
pense que le manque de compétence serais cause par le manque
également de formation continue à cela, il faudrait ajouter les
mauvais recrutements des agents par l'entreprise.
2. agent réceptionniste :
après quelque année posses au sein de la rassembla, il y
a lieu de dire que la distribution des taches, ainsi que le manque de formation
continue serait la cause de manque de flexibilité de travailleur.
3. agent Directeur des ressources
humaines : d'après mes analyse la raiponce à la
question qui m'est exposée, je dirais que le manque d'expérience
serait l'un des facteurs qui justifiant l'incompétence chez certain
agent. C'est ainsi que pour les jeunes comme vous, il faudrait du temps pour
pouvoir faciliter l'adaptation.
4. agent des ressources humaines : je
pense quant à moi, que l'entreprise pourrais multiplier les formations
on recycler les agents, ceci serait la meilleure façon de
remédier cette situation ensuite arrêter les mêmes mesures
lors de recrutement et de prendre sans distinction des mesures l'ors de
recrutement
5. agent logistique : selon mes
observations, il y a plusieurs facteurs qui expliquent le manque de
compétence : primo est souvent le mauvais recrutement d'agents,
secundo le manque de formation continue, tertio le manque d'expérience
parfois.
6. agent Main tenancier : d'après
mes observations, en première, position, c'est le manque de formation
continue et en troisième position, c'est le manque d'expérience.
Je pense qu'une fois ce problème réglé, les choses
seraient mieux.
7. agent des ressource humaines : je
pense que le pourcentage d'incompétence n'est pas élevé
comme on pouvait le prétendre tout fois nous passions mettre fin
à cette situation des considérait la formation continue, la
distribution des taches c'est-à-dire revoir toutes les tâches qui
sont confiée aux agents moins productifs et enfin affecter chaque agent
selon son expérience et sa qualité de savoir-faire.
8. agent ressources humaines :en ma
qualité de cadre à la brassimba, l'incompétence, pour moi,
serait justifiée parle mauvais recrutement ; parfois les
recommandations ne tiennent pas compte de l'expérience professionnelle
des candidats au poste.
9. agent comptable : en tant que
travailleur, à près quelques années d'expérience,
je pourrais affirme que le manque de formation continue, à cela il
faudrait ajouter le manque d'expérience et la mauvaise distribution des
taches seraient la cause de l'incompétence.
10. agent ressource humaine : je sais
que la compétence est liée à la formation reçue
dans toute sa vie, et s'il y a de l'incompétence c'est donc dû au
manque de formation continue. A cela, et fondement peut-être ajouter le
problème desa qualification on recrute un agent à la place d'une
autre
4.1.3 Analyse des
données avec le logiciel TROPES
Figure 2 :
graph-aire
Source : nous-même sur base
des données des entretiens, au moyen de l'outil TROPES sur ce
graphe-aire, chaque référence est présentée par une
sphère dont la surface est proportionnelle au nombre de mots qu'elle
contient.
Commentaire :c'est ainsi que pour notre
cas, ce graphe place au centre la variable expliquée qui est
l'incompétence de certain agent en mont les différentes variables
explicatives qui sont le, manque de formation continue, mauvais recrutement et
la manque d'expérience car elles sont celle qui s'en rapprochent le plus
; la mauvaise distribution des taches représente les troisièmes
variables qui explique notre problématique.
4.1.4. Analyse
thématique de tropes
Interviews
|
Mauvais recrutement
|
Manque de formation continue
|
Mauvaise distribution des taches
|
Manque d'expérience
|
TOTAL
|
1
|
1
|
1
|
0
|
0
|
2
|
2
|
0
|
1
|
1
|
1
|
3
|
3
|
0
|
0
|
0
|
1
|
1
|
4
|
1
|
1
|
0
|
0
|
2
|
5
|
1
|
1
|
0
|
1
|
3
|
6
|
0
|
1
|
1
|
1
|
3
|
7
|
1
|
1
|
0
|
1
|
3
|
8
|
1
|
0
|
0
|
1
|
2
|
9
|
1
|
1
|
1
|
0
|
3
|
..10
|
0
|
1
|
0
|
1
|
2
|
TOTAL
|
6
|
8
|
3
|
7
|
22
|
Tableau 6 : Les
facteurs qui expliquent l'incompétence
Source : nous même
Interprétation : ce tableau nous
montre que les différentes variables des interviews et question sont
utilisée 22 fois par l'ensemble des personnes, avec les
fréquences suivantes : 6 pour un mauvais recrutement, 8 manques des
formatons continue, 3 mauvaise distribution des taches et 7 pour manque
d'expérience.
Figure 3 :
graphe-Etoile
Source : nous-même sur base
des données des entretiens de l'outil TROPES
Le graphe- Etoile but d'afficher la relation entre
références ou entre une catégorie de mots et des
références.
Les nombres qui apparaissent sur le graphe indiquent la
qualité de relations (fréquence de cooccurrence) existant entre
les références.
Ce type de graphe permet d'analyser l'environnement d'une
référence ou d'une catégorie. Ils sont
orientés : les références affichées à
gauche de la classe centrale sont ses prédécesseurs, celles qui
sont affichée à droite sont ses successeurs.
Interprétation : ce graphe nous
permet d'analyser et comprendre les relations existantes entre variable
expliquée qui est le manque de la compétence chez certains agents
et les autres variables explicatives. Nous allons démontre dans quelque
proposition que ces variables sont des facteurs qui occasionnent
l'incompétence chez certains agents
Figure 3 :
graphe-acteurs en fonction de l'incompétence
Le graphe des acteurs représente la concentration de
relations entre acteurs. Il permet de faire une comparaison virtuelle du poids
des relations entre les principales références.
Source : nous-même sur base
des données des entretiens, au moyen de l'outil TROPES
Seules les références présentant un grand
nombre de relations sont représentées sur le graphe.
Interprétation : ce graphe nous
montretoutes les relations existantes entre les variables explicatives et la
variable expliquée. Il montre que l'incompétence est liée
au manque de formation continue, à la mauvaise distribution des taches
ou mauvais recrutement et ou manque d'expérience.
4.2.
DISCUSSION DES RÉSULTATS
Les résultats de nos investigations sur le terrain ont
clairement démontré que la Brasimba à un problème
d'incompétences chez certains travailleurs d'où la
nécessité de mettre en place un mécanisme
stratégique d'attraction de compétence du personnel en son sein.
Cette situation a pour cause :
· Les recrutements non conformes aux taches,
· L'inadaptation des travailleurs malgré cet
encadrement des travailleurs par leur collègue.
Ces derniers rencontrent quelques problèmes dans la
mesure où leur réinsertion professionnelle n'a pas d'impact
visible. Lors de notre descente à la Brasimba, nous avons
constaté que qu'elle que soit cette formation, les difficultés
sont nombreusesdont :
- L'approche de la formation moins faible
- Certains travailleurs sont toujours faibles aux matières
à traiter
Nos résultats de recherche s'éloignent de celle
de Frederick Herzberg(1923) qui note que l'enrichissement des taches au sein
d'une entreprise vise à donner un contenu plus qualifie au travail et
à donner plus des responsabilités aux opérateurs, ce qui
pourrait apporter une amélioration et unesatisfaction des
salariés sans réduire la productivité de l'entreprise.
La formation qui fait partie des multiples
éléments des gestions des ressources humaines. Cette
stratégie est inspirée de la théorie du capital humaine
développer par Becker(1962) ; l'ensemble des capacités
productives qu'un individu acquiert par accumulation des connaissances faites,
etc.
4.3.
PROPOSITION DES SOLUTIONS
La formation est un facteur important de renforcement e
rendement des travailleurs au sein d'une entreprise en générale
et la Brasimba en particulier ainsi, pour mieux stimuler les travailleurs
à optimiser leur rendement, la formation est accompagnée par des
avantages tels que la promotion, l'amélioration de salaire si c'est
possible et les avantages sociaux est de nécessité absolue.
La Brasimba doit dépasser le niveau de la formation
interne pour toucher une autre forme efficace « la formation
externe » ce type de formation demande une certaine dépense
dans les institutions spécialisées de formation tant locale,
national qu'international de préparation professionnelle.
4.4. CONCLUSION
CONCLUSION
GÉNÉRALE
Nous sommesarrivés à la fin de cette
étude portant sur « la stratégie d'attraction des
compétences dans les entreprises brassicole », la BRASIMBA
nous a servi de champ d'investigation.
En effet, la présente étude n'a pas l'ambition
de donner des détails profonds sur la stratégie d'attraction de
compétences il s'agissait tout simplement des travailleurs au sein d'une
entreprise. Dans tous les pays du monde, singulièrement dans les pays
qui aspirent au développement, la formation des travailleurs constitue
l'une des pièces maitresses sur lesquelles se consolident des acquis de
la technologie moderne. En effet, la formation professionnelle est un moyen
d'acquisition du personnel qualifié et de développement continue
et systématique des connaissances, des habilités et des aptitudes
nécessaires à chacun des membres de l'entreprise pour exercer
avec compétence et efficience des taches qui lui sont
dévolues.
Pour concrétiser notre analyse, nous nous sommes
servisdes méthodes et techniques réputée scientifique. Le
dysfonctionnement d'un élément entraine la modification de tout
un système, cela fut le cas de laBrasimba.
En sommes nous avons constaté que l'attraction de
compétences et la formation en capital humaine à une influence
sur le rendement des travailleurs dans le but d'améliorer leur
prestation.
Limites de recherche
BIBLIOGRAPH
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