Texte N° 4 La signature des arrangements
particuliers
Référence
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Opinions des intervenants
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Extrait du texte
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Fréquences des mots
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CCTV/Ralik
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Serge KABONGO :
La signature des arrangements particuliers
Laurent ONYEMBA
« Je ne vois pas pourquoi Léon KENGO et Aubin
MINAKU doivent parrainer un accord entre les particuliers »
Gabi KUBA
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« ...arrangements particuliers signés ce jeudi ,
Lorent HONIEMBO vous avez la parole, pour la majorité
présidentielle cette démarche est un tournois décisif
vers les élections pour sa part, le rassemblement thisekediste, (si, on
parle de thisekedi sur le plan vestimentaire c'est la casquette, il fait une
publicité) invites toutes les parties prenantes à signé
ce document , arrangement particulier signé felix désiste
.Lorent HONIEMA c'est pourquoi je vous ai appelé, c'est pour parler de
la constitutionalité de la démarche »
« ...je te dis, il est président du
sénat, je vous en prie, les députés sont devenus les
témoins, il n'y a aucune disposition pour que ceux-là viennent
parrainer un accord »
« ....KENGO et MINAKU qui font partie de la
majorité parce que KENGO c'est la majorité qui agit en
réalité mais masqué sous l'étiquette de
l'opposition et vous dit, venez c'est moi l'arbitre alors que tous
étaient des parties prenantes aux négociations. Est- ce que vous
trouvez normal que même la CENCO qui était arbitre, n'a même
pas reçu l'invitation...et on dit, un communiqué à la
télévision d'Etat ».
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Arrangements
Particuliers (2)
Majorité (2x)
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Constat :
Au regard de ce numéro de l'émission Kiosque du
27 avril 2017, les propos tenus par les intervenants ont expliqué les
différents manquements qui ont caractérisé les
arrangements particuliers devant couronner la fin du dialogue politique
réunissant la classe politique congolaise autour des
évêques de la CENCO. Le débat du jour qui a plus
tourné en faveur du dialogue politique, a essayé de donner de
détail sur tout ce qui a entouré ces assises politiques dont la
mission était la gestion de la période transitoire avant la tenue
effective des élections présidentielles en décembre
2018.
CCTV/Ralik par entremise de l'émission Kiosque a
suivi et apporté les comptes rendus véridiques de tout ce qui se
faisait au centre inter diocésain. Les analyses du jour étaient
une opportunitépour les téléspectateurs afin de se faire
une opinion sur la situation politique qui a caractérisé les
assises politiques lors de l'accord de saint sylvestre conclu le 31
décembre 2016.
Texte N°5 les
malaises au sein de L'OGFREM Anatole Kikwa et INDIA OMARI
Référence
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Opinions des intervenants
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Extrait du texte
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Fréquences des mots
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CCTV/Ralik
Emission kiosque
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Serge KABONGO :
Parlons du tristement le tristement célèbre le
patron de l'OGFREM KIKWA, l'homme aux injures faciles
Laurent ONYEMBA :
Gabi KUBA
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« ... ça c'est la gestion pperdienne, ils sont
tous de PPRD, de la KABILI voilà comment ils se comportent.
Donc c'est ça le model que la majorité
présidentielle et le PPRD veulent inculquer à nos
enfants ».
«...mais comment aller très bien quand son pays ne
va pas bien et la tête des institutions publiques, on trouve encore des
gens qui sont dépouillés d'éthique ;excusez-moi
d'immoralité qui insultent gratuitement sans savoir que les insultes
et les injures publiques sont pris en charge par le code
pénal »
« ...moi par rapport à l'éducation que
j'ai réussi de mes parents, reçue de mes encadreurs qui sont les
jésuites, les catholiques, je ne peux pas prononcer cette
phrase ».
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PPRD(2fois)
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Constat :
Ici, CCTV/RALIK par le canal de Kiosque du 27avril 2017,
démontre la gestion du parti au pouvoir et le comportement de ceux qui
dirigent les institutions publiques, dont la majorité appartient au
PPRD. Les médias ont le rôle de moraliser les comportements des
hommes dans la société. Ils ont la lourde charge de ce qu'Alexis
de Tocqueville dans son ouvrage de la démocratie en Amérique
appelle « les chiens de garde de la
société ». En se focalisant sur ce qui s'est
passé entre le DG de l'OGFREM et son adjoint, CCTV/ Ralik donne
l'impression de donner une leçon morale aux acteurs politiques et invite
par la suite le public à se comporter dignement quand on est à
la tête d'une institution publique. Au cours de cette même
émission, les intervenants ont expliqué au public, que le fait de
proférer des injures sur la place publique peut constituer une
infraction condamnable par le code pénal congolais. Avec, cette
façon de faire, on comprend que l'émission kiosque tente de
donner les connaissances nouvelles susceptibles de modifier le comportement du
public face aux différentes situations qui ne sont pas favorables aux
normes et valeurs régissant les hommes dans la société
dont ils vivent.
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