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Francophonie et intégration internationale des états africains dans la mondialisation.( Télécharger le fichier original )par Marius Blum TADA LANDO Institut des Relations Internationales du Cameroun - Master 2015 |
BIBLIOGRAPHIEI. OUVRAGES GENERAUX. 1. ARCHER, C. International Organizations, Routledge, London, 1992. 2. ARON., R. Paix et guerre entre les nations, Calmann-Lévy. Paris, 1962. 3. BADIE, B et SMOUTS M-C. Le retournement du monde. Sociologie de la scène internationale, 3e édition revue et mise à jour, presses de Sciences Po et Dalloz, 1999 4. BATTISTELLA, D. Théories des relations internationales, 4è édition mise à jour et augmentée, Paris, Presses de Sciences Po, 2012. 5. BERGES, M (dir). Penser les relations internationales, Paris, l'Harmattan, 2008. 6. CHAZELLE, J. La Diplomatie, Paris, Puf, "Que sais-je?"N°129, 1962. 7. DEVIN, G ; SMOUTS M, C ; Les organisations internationales, Armand Colin, Paris, 2011. 8. DEUTSCH, K. BURREL, S. KANN, K. Lee Jr, M. LICHTERMAN, M..., Political community and the North Atlantic Area, International organization in light of historical experience , Princeton University press, 1957. 9. DIANGITUKWA, F., Géopolitique, intégration régionale et mondialisation ; plaidoyer pour la création d'une communauté économique des pays côtiers de l'Afrique Centrale. Ed. Harmattan, Paris, 2006. 10. DUMONT, R. L'Afrique noire est mal partie. Edition le Seuil, Paris. 1962. 11. EASTON, D. Analyse du système politique, Paris, Armand Colin.1974. 12. FERRANDÉRY, J. L. Le point sur la mondialisation, Paris, PUF, 1998. 13. HAAS, E. The Uniting of Europe. Political, social and economic forces. Published under the auspices of the London Institute of world affairs, 1958. 14. HUNTINGTON, S. P., Le choc des civilisations, Paris, Odile Jacob, 2000. 15. LAHRECHE-REVIL, A. Intégration internationale et interdépendances mondiales, Éditions La Découverte, collection Repères, Paris, 2002. 16. MORGENTHAU, H. Politics among Nations, New York Knopf, 1948. 17. ROSENAU J. N., Turbulence in World Politics: A Theory of change and Continuity, London, Princeton University Press, 1990. 18. SARKOZY, N. Ensemble, Saint-Amand-Montrond, XO Édition, 2007. 19. SIDANI, S. Intégration et déviance au sein du système international, les presses de sciences Po, coll. « Relations internationales », Paris, 2014. 20. SVEN STEINMO et al., structuring politics: Historical Institutionalism in Comparative Analysis, Cambridge University Press, Cambridge, 1992. 21. TARDY, T. Gestion de crise, maintien et consolidation de la paix, Edition de Boeck, Bruxelles, 2009. 22. WALTZ, K. Man, the State and War: A Theoretical Analysis, New York, Columbia University Press, 1954. II. OUVRAGES SPECIALISES SUR LA F(f) FRANCOPHONIE. 1. ARNAUD Serges et al, Les défis de la Francophonie. Pour une mondialisation humaniste, Paris, Alpharès, collection « Planète francophone » 2005. 2. ATTALI, J. La Francophonie et la Francophilie, moteurs de croissance durable, rapport à François HOLLANDE, président de la république française août 2014. 3. BARRAT, J et MOISEI, C. Géopolitique de la Francophonie : Un nouveau souffle ? , Paris, la Documentation française, 2007. 4. CHAUPRADE, A. L'espace économique francophone, Paris Ellipses, 1996. 5. DEREUMAUX, R. L'Organisation internationale de la Francophonie, l'institution internationale du XXIème siècle, L'Harmattan, Paris, 1995. 6. GALLET, D. Pour une ambition francophone, l'Harmattan, paris, 1995, 7. GUILLOU, M. Francophonie-Puissance, L'équilibre multipolaire, Paris, Ellipses Éditions, 2005. 8. NDAYWEL E NZIEM et al (dir), Francophonie et gouvernance mondiale : vues d'Afrique, colloque international de Kinshasa, Paris, Riveneuve, 2012. 9. TABI MANGA, J. La Francophonie. Lieu de mémoire, projet d'espoir, Afredit, Yaoundé, 2010. 10. PHAN, T, GUILLOU, M, et AYMERIC, D. Francophonie et mondialisation, Tome2 : les grandes dates de la construction de la Francophonie institutionnelle, Éditions Belin, paris, 2012 11. WILLAR, C. La Francophonie : hégémonie ou contre hégémonie, dans Michel BERGES (dir), Penser les relations internationales, l'Harmattan, Paris, 2008. 12. WOLTON, D. Demain la francophonie, Paris, Flammarion, 2006. . III. DICTIONNAIRES ET OUVRAGES METHODOLOGIQUES. 1. Le Robert, Dictionnaire de la langue Française, Edition poche, paris, 1998. 2. BOUSSAQUET L., Jacquot S., RAVINET P, (dir.), Dictionnaire des politiques publiques, Presses de la Fondation Nationale des Sciences Politiques, Paris, 2004. 3. HERMET, G. BADIE, B. BIRNBAUM, P. et BRAUD, P. Dictionnaire de la science politique et des institutions politiques, 7e Edition, Armand Colin, Paris, 2010. 4. DUVERGER, M. Méthodes des sciences sociales, P.U.F, paris, 1961, p340. 5. LOUBERT des Bayle, J-L. Initiation aux méthodes des sciences sociales, L'Harmattan, Paris-Montréal, 2000. . IV. ARTICLES. 1. ABDOU DIOUF., « Francophonie et Mondialisation », Revue Hermes, No 40, 2004. pp.335-359. 2. ARON, R. «What is a Theory of International Relations? », Journal of International Affairs, vol. XXI, no 2.1967. pp. 506-531. 3. ATANGANA AMOUGOU, J-L, « Francophonie et résolution des conflits en Afrique » Revue internationale des mondes francophones, No2, Printemps-été 2010. pp.83-89. 4. BEKOLO EBE, B ; « L'Afrique face aux défis économiques à l'ère de la mondialisation », Acte du Colloque international préparatoire de la XXIème Conférence des chefs d'État et de gouvernement d'Afriques et de France sur le thème « L'AFRIQUE FACE AUX DEFIS DE LA MONDIALISATION », Volume II. pp. 123-135. 5. BRASPENNING D. T., « Constructivisme et relations de puissance. Essai sur l'internationalisme de la théorie sociale », Notes et Études de l'Unité de Science politique et de Relations internationales, Département des Sciences politiques et sociales, Université catholique de Louvain, 2001. pp.1-26. 6. DAVID MORIN et Lori-Anne THÉROUX-BÉNONI, « Maintien de la paix et espace Francophone », Bulletin du maintien de la paix, no96, novembre 2009.pp. 1-4. 7. DAVID MORIN; THÉROUX-BÉNONI et ZAHAR, « When peacekeeping intersects with La Francophonie: Scope, Significance and Implications », International Peacekeeping, V.19, No.3, September 2012. Pp. 1-35. 8. DE SENARCLENS, P., « Les organisations internationales face aux défis de la mondialisation », Revue internationale des sciences sociales, no 170, 2001. Pp. 559-572. 9. GRAHAME, T. « Introduction : situer la mondialisation », Revue Internationale des Sciences Sociales, no. 160, juin 1999.pp. 159-174. 10. HOFFMANN, S. « Vers l'étude systémique des mouvements d'intégration international », Revue française de science politique, volume 8, 1959. pp. 474-485. 11. KINZOUNZA, K, « Déontologie de la Fonction Publique et Développement Économique et Social » Cahiers Africains d'Administration Publique N°25 Tanger, Maroc, 1985. Pp. 15-25. 12. LAVROFF, G.D., « Les aspects de l'unification de l'Afrique noire francophone », Année Africaine 1, 1961. Pp. 45-65. 13. LECOURS, A., « L'approche Néo-institutionnalistes en science politique: Unité ou diversité? », Politique et sociétés, vol 21, no 3, 2002. pp. 3-19. 14. MARCH. J ET OLSEN. J, « The New Institutionalism: Organizational Factors in Political Life», American Political Science Review, Vol. 78, 1984. pp. 734-749. 15. MARION JULIA ; « l'évolution de la coopération entre l'ONU et les organisations régionales : l'exemple de l'Organisation Internationale de la Francophonie », Actes des sixièmes entretiens de la Francophonie, Hanoi, 1er et 2 février 2007. pp. 185-200. 16. MASSART-PIERARD, F. « La Francophonie, un nouvel intervenant sur la scène internationale », Revue internationale de politique comparée, n01, vol 14.2007. pp. 69-93. 17. MOHAMED LARDI HAOUAT, « Quel impact
de la Francophonie sur le rêve Africain ! »
GÉOSTRATÉGIQUES n° 36 18. MOREAU DEFARGES, P, « Quels ordres ou quels désordres pour l'Europe », in Cahiers Français, n0 257, Paris, 1993. pp. 132-136. 19. OUEDRAOGO, A. « L'Afrique face aux défis de la coopération internationale à l'ère de la mondialisation », Acte du Colloque international préparatoire de la XXIème Conférence des chefs d'Etat et de gouvernement d'Afriques et de France sur le thème « L'AFRIQUE FACE AUX DEFIS DE LA MONDIALISATION », Volume II. pp. 384-390. 20. NTUDA EBODE, J. V. « De la politique étrangère des Etats africains: ruptures et continuités d'une diplomatie contestée », in African journal of international Affairs, vol.2, N0 1, 1999. pp. 62-96. 21. SOLDATOS, P. « La sociologie de l'intégration internationale : essai de bilan critique », Études internationales, vol. 5, no 3, 1974. pp. 7-42. 22. ZAKI LAÏDI. « Le déclassement international de l'Afrique ». Politique étrangère N°3. 1988. pp. 667-675. V- THESES ET MEMOIRES. 1. AWONO EYEBE. P, Le dispositif Francophone de prévention des conflits et de gestion des crises : du normatif au stratégique, Mémoire de Master en sciences Politique, option Relations Internationales, Spécialité Francophonie et Mondialisation IRIC. 2014. 2. NGARLEM TOLDÉ, E ; La francophonie et la résolution des conflits : réflexion sur la notion de tiers, Thèse de doctorat de Science Politique, Université Jean Moulin, Lyon 3. 2012. 3. NGOUAKA-TSOUMOU. A, L. La diplomatie francophone, Thèse de Doctorat de Sciences Politiques, Université Jean Moulin, Lyon 3. 2010. 4. PAPA LAFATIME SÈNE ; Les initiatives d'intégration en Afrique, Mémoire de Master de Droit international public et européen, université de Grenoble II, 2005. VI. DOCUMENTS OFFICIELS. 1. Acte constitutif de l'UNION AFRICAINE adopté le 11 juillet 2000. 2. Convention sur la Biodiversité, les changements climatiques et la lutte contre la désertification, Rio de Janeiro.1992. 3. Protocole de Kyoto sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre, le 11 décembre 1997. Japon. 4. OIF: Cadre Stratégique décennal de la Francophonie, Ouagadougou. 27 novembre 2004. 5. OIF : Cadre Stratégique de la Francophonie 2015-2022, Dakar. 30 novembre 2014 6. OIF : Stratégie économique pour la Francophonie, Dakar. 30 novembre 2014. 7. OIF : Bilan de l'action de l'OIF dans le domaine économique, Paris. octobre 2014. 8. OIF: Déclaration de Saint-Boniface, 14 mai 2006. 9. OIF : Déclaration de Bamako, 03 novembre 2000. 10. OIF : Déclaration de Beyrouth, 20 octobre 2002. 11. OIF : Déclaration de Montreux, 24 octobre 2010 12. OIF : Déclaration de Kinshasa, 14 octobre 2012. 13. OIF : Déclaration de Dakar, 30 novembre 2014. 14. OIF: Rapport du Secrétaire général de la Francophonie, de Moncton à Beyrouth, 1999-2001; 15. OIF: Rapport du Secrétaire général de la Francophonie, de Ouagadougou à Bucarest, 2004-2006; 16. OIF: Rapport du Secrétaire général de la Francophonie, de Bucarest à Québec, 2006-2008; 17. OIF: Rapport du Secrétaire général de la Francophonie, de Québec à Montreux 2008-2010 ; 18. OIF: Rapport du Secrétaire général de la Francophonie, de Montreux à Kinshasa 2010-2012. 19. UNESCO: Convention sur la Protection et la Promotion de la Diversité des Expressions Culturelles, 20 octobre 2005. VII. WEBOGRAPHIE. 1. http://www.eeas.europa.eu/delegations/madagascar/eu_madagascar/integration/index_fr.htm. 2. http://www.fidh.org. 3. http//www.francophonie.org. 4. http://www.francophonie.org/chronologie. 5. http://www.francophonie.org/ Développement local.htm. 6. http://www.francophonie.org/Promotion de l'emploi par l'entreprenariat.htm. 7. http//www.iframond.com/index.php?option. 9. http://www.languefrançaise.net 10. http://www.ong-francophonie.net. 11. http//www.rfi.fr. 12. http//www.un.org/membres. 13. http://www.wikipedia.org/wiki/Intégration_économique. ANNEXE 1 Un extrait du préambule de la Charte de la Francophonie Adoptée par la Conférence ministérielle de la Francophonie Antananarivo, le 23 novembre 2005 Préambule La Francophonie doit tenir compte des mutations historiques et des grandes évolutions politiques, économiques, technologiques et culturelles qui marquent le XXIe siècle pour affirmer sa présence et son utilité dans un monde respectueux de la diversité culturelle et linguistique, dans lequel la langue française et les valeurs universelles se développent et contribuent à une action multilatérale originale et à la formation d'une communauté internationale solidaire. La langue française constitue aujourd'hui un précieux héritage commun qui fonde le socle de la Francophonie, ensemble pluriel et divers. Elle est aussi un moyen d'accès à la modernité, un outil de communication, de réflexion et de création qui favorise l'échange d'expériences. Cette histoire, grâce à laquelle le monde qui partage la langue française existe et se développe, est portée par la vision des chefs d'État et de gouvernement et par les nombreux militants de la cause francophone et les multiples organisations privées et publiques qui, depuis longtemps, oeuvrent pour le rayonnement de la langue française, le dialogue des cultures et la culture du dialogue. Elle a aussi été portée par l'Agence de coopération culturelle et technique, seule organisation intergouvernementale de la Francophonie issue de la Convention de Niamey en 1970, devenue l'Agence de la Francophonie après la révision de sa charte à Hanoi, en 1997. Afin de donner à la Francophonie sa pleine dimension politique, les chefs d'État et de gouvernement, comme ils en avaient décidé à Cotonou en 1995, ont élu un Secrétaire général, clé de voûte du système institutionnel francophone, de même que la Conférence ministérielle, en 1998 à Bucarest, a pris acte de la décision du Conseil permanent d'adopter l'appellation « Organisation internationale de la Francophonie ». À Ouagadougou, en 2004, réunis en Xe Sommet, les chefs d'État et de gouvernement ont approuvé les nouvelles missions stratégiques de la Francophonie et ont pris la décision de parachever la réforme institutionnelle afin de mieux fonder la personnalité juridique de l'Organisation internationale de la Francophonie et de préciser le cadre d'exercice des attributions du Secrétaire général. Tel est l'objet de la présente Charte, qui donne à l'ACCT devenue Agence de la Francophonie, l'appellation d'Organisation internationale de la Francophonie. ANNEXE 2 Un extrait de la Déclaration de Bamako 2000 Nous, Ministres et Chefs de délégation des États et gouvernements des pays ayant le français en partage, réunis à Bamako pour le Symposium International sur le bilan des pratiques de la démocratie, des droits et des libertés dans l'espace francophone ; Nous fondant sur les dispositions de la Charte de la Francophonie, qui consacrent comme objectifs prioritaires l'aide à l'instauration et au développement de la démocratie, la prévention des conflits et le soutien à l'état de droit et aux droits de l'Homme ; Rappelant l'attachement de la Francophonie à la Déclaration universelle des droits de l'Homme et aux Chartes régionales, ainsi que les engagements des Sommets de Dakar (1989), de Chaillot (1991), de Maurice (1993), de Cotonou (1995), de Hanoi (1997) et de Moncton (1999) ; Inscrivant notre action dans le cadre de la Décennie des Nations Unies pour l'éducation aux Droits de l'Homme (1995-2004) ; Considérant l'action d'accompagnement des processus démocratiques menée par la Francophonie ces dix dernières années ; Soucieux de progresser vers la démocratie par le développement économique et social et une juste répartition des ressources nationales pour un accès égal à l'éducation, à la formation, à la santé et à l'emploi ; Souhaitant répondre à l'objectif fixé au Sommet de Moncton, de tenir un Symposium International sur le bilan des pratiques de la démocratie, des droits et des libertés dans l'espace francophone, pour approfondir la concertation et la coopération en faveur de l'État de droit et de la culture démocratique, et d'engager ainsi une étape nouvelle dans le dialogue des États et gouvernements des pays ayant le français en partage, pour mieux faire ressortir les axes principaux tant de leur expérience récente que de leur spécificité. ANNEXE 3 Extrait de la déclaration de Saint-Boniface 2006 Nous, Ministres et Chefs de délégation des États et gouvernements ayant le français en partage, réunis à Saint-Boniface les 13 et 14 mai 2006, dans le cadre de la Conférence ministérielle de la Francophonie sur la prévention des conflits et la sécurité humaine; Nous fondant sur les dispositions de la Charte de la Francophonie adoptée à Antananarivo en novembre 2005 ainsi que sur les orientations définies par nos Chefs d'État et de gouvernement dans le Cadre stratégique décennal de la Francophonie, adopté lors du Sommet de Ouagadougou, en novembre 2004, et Rappelant en particulier les objectifs stratégiques arrêtés dans ce dernier, portant sur la consolidation de la démocratie, des droits de l'Homme et de l'État de droit, ainsi que sur la prévention des conflits et l'accompagnement des processus de sortie de crises, de transition démocratique et de consolidation de la paix ; Convaincus que, dans un monde plus que jamais interdépendant, confronté à des dangers communs et à des menaces transnationales, le multilatéralisme demeure le cadre privilégié de la coopération internationale ; que la construction de la paix, le renforcement de la sécurité collective et le développement durable à l'échelle mondiale sont une tâche commune qui doit se réaliser dans le respect de la souveraineté des États, de l'égalité des droits des peuples et de leur droit à disposer d'eux-mêmes, et que le recours à la force est du ressort ultime du Conseil de sécurité, qui l'exerce dans le respect de la Charte des Nations Unies et des règles du droit international ; Persuadés que l'instauration du dialogue des cultures et des civilisations, comme l'affermissement de la solidarité entre les nations, sont de nature à réduire les tensions, à prévenir les conflits et à renforcer la lutte contre le terrorisme ; Convaincus également que la prévention des crises et des conflits repose aussi sur la sécurité de l'individu, la satisfaction de ses besoins vitaux, notamment celui de vivre en paix, le respect de tous ses droits, y compris le droit au développement, toutes exigences conditionnées par l'existence d'un État de droit démocratique ; Convaincus enfin que la sécurité, la paix, le respect de tous les droits de l'Homme - assortis de mécanismes de garantie -, la démocratie et le développement, composantes essentielles de la sécurité humaine, sont indissociables et constituent des objectifs liés et interdépendants ; Conscients de l'étape majeure que représente l'adoption de la Déclaration de Bamako de novembre 2000, pour l'affirmation de la Francophonie politique et l'approfondissement du dialogue et de la coopération entre nos États et gouvernements autour de l'État de droit, de la démocratie et des droits de l'Homme, et Reconnaissant la contribution significative de la mise en oeuvre du dispositif de Bamako aux progrès accomplis dans la promotion de la paix au sein de l'espace francophone, dans une démarche tant de prévention structurelle que d'accompagnement des sorties de crises et des transitions ; Faisant nôtres les conclusions du Symposium international sur les pratiques de la démocratie, des droits et des libertés dans l'espace francophone (Bamako +5) de novembre 2005, telles qu'exprimées dans l'Acte final qui a confirmé l'adhésion unanime aux engagements et au mécanisme de suivi consignés dans la Déclaration de Bamako, ainsi que la portée de celle-ci comme instrument normatif et d'action au service de la paix, sous l'impulsion du Secrétaire général, et qui a invité l'Organisation internationale de la Francophonie à accroître ses efforts en faveur de la prévention des conflits, grâce à l'alerte précoce et à la diplomatie préventive, ainsi qu'à renforcer son interaction avec les États et gouvernements membres. |
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