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Système informatisé pour la planification et le suivi de gestion des projets des établissements scolaires.( Télécharger le fichier original )par Kass KASONGO NDJOKO ISC/GOMBE - Licence 2014 |
II.4. Calcul des niveaux N0 = {A};
II.5. Diagramme MPM
Chaque tâche aura une marge qui est la différence entre deux dates. II.6. Calcul des datesa. Détermination des dates au plus tôt.? La date de début au plus tôt d'une tâche est obtenue en cumulant la durée des tâches qui précèdent sur la séquence la plus longue. - On initialise le somme "Début" avec une date au plus tôt = 0. - Date au plus tôt de la tâche "j" = Max [Date au plus tôt de i + Durée Dij] pour tous les prédécesseurs i de j. 11
Tableau 2 : Détermination des dates au plus tôt b. Détermination des dates au plus tard? La date au plus tard est une date à laquelle doivent être exécutées les tâches sans remettre en cause la durée optimale de fin du projet. - On initialise à l'étape terminale, le dernier sommet "Fin" par la date au plus tard = date au plus tôt. - Date au plus tard de la tâche "i" = Min [Date au plus tard de j - Durée Dij] pour tous les successeurs j de i. 12
Tableau 3 : Détermination des dates au plus tard. II.5. Détermination des margesLa marge libre sur une tâche est le retard que l'on peut prendre dans la réalisation d'une tâche sans retarder la date de début au plus tôt de toute autre tâche qui suit. a. La marge totale.La marge totale sur une tâche est le retard que l'on peut prendre dans la réalisation de cette tâche sans retarder l'ensemble du projet. Elle est obtenue, en faisant pour chaque tâche, la différence entre la date au plus tard de début d'une tâche et la date au plus tôt. Marge Total sera = (T*x-Tx) pour tous les successeurs j de i.
Tableau 4 : Marge totale. 13 b. La marge libre.La marge libre sur une tâche est le retard que l'on peut prendre dans la réalisation d'une tâche sans retarder la date de début au plus tôt de toute autre tâche qui suit. Si on appelle : - T j la date au plus tôt de la tâche qui suit la tâche considérée. - T i La date de début au plus tôt de la tâche i. - Di La durée de la tâche i. Marge Libre de i = Min (T j - T i - D i,j ) pour tous les successeurs j de i.
Tableau 3 : Marge libre. II.6. détermination des tâches et chemin critiqueLe chemin critique est une succession de tâches sur le chemin le plus long au sens des durées. Pour toutes les tâches du chemin critique, les dates au plus tôt et au plus tard coïncident. 14 II.7.1 Détermination des tâches
Tableau 6 : Détermination des tâches. II.7.2. Détermination du chemin critiqueLe chemin critique est le chemin le long qui relie toutes les tâches à mesure nulle, il détermine la durée du projet et retard pris dans l'exécution de l'une des tâches situées sur le chemin qui peut retarder la livraison finale des travaux de la même durée et conduire à un retard pour l'ensemble du projet. Ainsi, notre graphe M.P.M présente le chemin critique suivant : A-B-C-D-F-G-H-I-J-K-L-Z qui donne la marge nulle, enfin dont la durée est de 164 jours. 15
89 89 I 25 134 114 114 L J 134 15 20 5 119 154 K Z 154 119 40 40
0 0 12 F H 20 15 12 D 5 25 25 10 C 15 40 42 20 5 84 84 A 20 20 B 52 52 72 72 G E 16 II.8. Tableau synthétique
Tableau 7 : Tableau synthétique. 17 II.9. Tableau synthétiqueLa durée d'évaluation de notre projet est de 173 jours qui vont du 05 janvier 2015 au 01 juillet 2015, dont le planning de réalisation est sur le tableau ci-dessus :
Tableau 8 : Tableau synthétique. 3 Cyril Gruau, Conception d'une base de données [en ligne] disponible sur http://www.win-design.com/fr/index.htm, (consulter le 14/01/2015 à 20:45) 18 CHAPITRE III : CONCEPTS DE BASE III.1. Avènement de la base de donnéesLes disques durs, mémoire de masse de grande capacité, ont été inventés en 1956. L'invention du disque dur a permis d'utiliser les ordinateurs pour collecter, classer et stocker de grandes quantités d'informations. Le terme Database (Base de données) est apparu en 1964 pour désigner une collection d'informations partagées par différents utilisateurs d'un système d'informations militaire. Les premières bases de données hiérarchiques sont apparues au début des années 1960. Les informations étaient découpées en deux niveaux de hiérarchie : un niveau contenait les informations qui sont identiques sur plusieurs enregistrements de la base de données. Le découpage a ensuite été étendu pour prendre la forme d'un diagramme en arbre. En 1965, Charles Bachman conçoit l'architecture Ansi/Sparc encore utilisée de nos jours. En 1969, il créa le modèle de données réseau au sein du consortium CODASYL pour des applications informatiques pour lesquelles le modèle hiérarchique ne convient pas. Charles Bachman a reçu le prix Turing en 1973 pour ses « contributions exceptionnelles à la technologie des bases de données. » III.1.1 Système de gestion des bases de donnéesUn système de gestion de base de données est un ensemble de logiciels qui manipulent le contenu des bases de données. Il sert à effectuer les opérations ordinaires telles que rechercher, ajouter ou supprimer des
enregistrements Les mécanismes du système de gestion des bases de données visent à assurer la cohérence, la confidentialité et la pérennité du contenu des bases de données. Le logiciel refusera qu'un usager modifie ou supprime une information s'il n'y a pas été préalablement autorisé ; il refusera qu'un usager ajoute une information si celle-ci existe dans la base de données et fait l'objet d'une règle d'unicité; il refusera également de stocker une information qui n'est pas conforme aux règles de cohérence telles que les règles d'intégrité référentielle dans les bases de données relationnelles. 19 Le système de gestion de base de données adapte automatiquement les index lors de chaque changement effectué sur une base de données et chaque opération est inscrite dans un journal contenu dans la base de données, ce qui permet d'annuler ou de terminer l'opération même en cas de crash informatique et ainsi garantir la cohérence du contenu de la base de données. En 2009, IBM DB2, Oracle Database, MySQL, PostgreSQL et Microsoft SQL Server sont les principaux systèmes de gestion de base de données sur le marché. III.1.2 Base de donnéesUne base de données est un ensemble de données cohérent structurées, fiables et partagées entre plusieurs utilisateurs, renfermant des informations nécessaires, non répétitives et permettant à plusieurs utilisateurs d'y accéder simultanément4. Elle permet l'accès ou la manipulation aisée de données à plusieurs utilisateurs simultanément. Cette définition fait ressortir des structurations, de mise en commun, de non redondance et l'exhaustivité des données de base. Certains ces besoins sont du ressort de l'utilisateur alors que d'autres sont de celui du logiciel chargé de gérer la (les) base(s) de données5 : - Structuration : ce terme fait allusion aux conditions de stockage des informations et la manière dont ces dernières seront utilisées. - Non redondance : d'une manière générale la base de données ne peut jamais contenir des informations répétitives. - Exhaustivité : c'est un critère qui exige que la base de données soit complète ; donc un principe selon lequel une base de données doit contenir toutes les informations nécessaires afin de répondre aux besoins des utilisateurs. III.1.3 Différents modèles des bases de donnéesLes bases de données ont pris une place importante en informatique, et particulièrement dans le domaine de la gestion. L'étude des bases de données a conduit aux développeurs de différencier plusieurs types ou modèles des bases de données à savoir : 1' Modèle hiérarchique 1' Modèle réseau 1' Modèle relationnel 1' Modèle objet 1' Modèle déductive 4J.A. M'VIBUDULU, L.D. KONKFIE, Technique des bases de données Etudes et Cas : 2emeEdition Corrigée et révisée, Kinshasa, CRIGED, Décembre 2012, P19 5Nacer Boudjlida, Op.cit.Page 1. 20
La notion des bases de données objet ou relationnel-objet est plus récente et encore en phase de recherche et de développement. Elle sera très probablement ajoutée au modèle relationnel. III.1.4 Objectif d'une base de données.Des objectifs principaux ont été fixés aux Bases de données dès l'origine de celles-ci et ce, afin de résoudre les problèmes causés par la démarche classique. Ces objectifs sont les suivants :
6 Philipe Mathieu Cours de base de données (de Merise à JDBC) Inédit. Lille(France), 1999 7 Laurent -Audibert, Cours de Base de données [en ligne] disponible sur ( http://laurent-audibert.developpez.com/Cours-BD/), (consulter le 14/02/2013 à 15:45) 21 4. Sécurité des données : Les données doivent pouvoir être protégées contre les accès non autorisés. Pour cela, il faut pouvoir associer à chaque utilisateur des droits d'accès aux données. III.2. Concepts informatiqueLe travail d'un informaticien, est celui d'architecte c.-à-d. qu'il commence par une conception pour s'achever par un accomplissement. Il est capital de comprendre les différents termes liés à notre sujet d'étend. C'est pour cette raison que nous allons définir quelques termes informatiques, III.2.1. ConceptionLa conception de logiciel met en oeuvre un ensemble d'activités qui à partir d'une demande d'informatisation d'un processus (demande qui peut aller de la simple question orale jusqu'au cahier des charges complet) permettent la conception, l'écriture et la mise au point d'un logiciel (et donc de programmes informatiques) jusqu'à sa livraison au demandeur. En règle générale, la conception de logiciel va suivre trois grandes phases : Phase d'analyse (fonctionnelle) ou de conception Durant cette phase, on effectue simultanément l'étude des données et l'étude des traitements à effectuer. C'est en général dans cette phase que s'appliquent les techniques de modélisation. Il en découle la description des bases de données éventuelles à créer et les programmes à écrire et la manière dont tout cela va être intégré.
22 ? Documentation du logiciel ? Packaging III.2.2. SystèmePlusieurs auteurs ont tenté de définir le mot Système. Pour cela plusieurs définitions ont été proposées à savoir : Selon Jean Lemoine : définit le système, c'est quelque chose (n'importe quoi identifiable), c'est quelque chose qui fait quelque chose (activité ou fonction), un système qui est doté d'une structure qui évolue dans le temps, dans quelque chose (environnement), pour quelque chose (finalité)8. Selon Bériot : Un système est un ensemble des moyens matériels, ressources humaines, financiers en interaction, structurés, organisés poursuivant un but commun. L'auteur précis un système est ouvert lorsqu'il est en contact avec un environnement qui peut lui transformé ou qui peut lui-même lui transformé. Par exemple une entreprise qui est composé des ressources humaines, moyens financiers, moyens matériels et ces éléments interagissent entre eux pour un objectif commun. Un système peut signifier un mode du gouvernement, ensemble d'instructions et méthodes. Par exemple : le système républicain. Il peut également être compris comme étant un ensemble complexe d'éléments de même nature ou de même fonction. Par exemple le système solaire. III.2.3. Système d'information et système informatiqueIII.2.3.1 Système d'informationL'informatique de gestion automatise le traitement de l'information des entreprises. Si les termes d'information et d'entreprise sont relativement clairs et connus de nous tous, il est certainement plu difficile d'exprimer le lien existant entre eux9. Par système d'information, nous considérons à la fois les informations (au sens le plus large du mot) utilisées par l'entreprise et l'ensemble des moyens mis en oeuvre pour gérer ces informations. Il ressort de cette définition que le système d'information est l'ensemble des moyens humains et matériels, et des méthodes se rapportant au traitement des différentes formes d'information rencontrées dans l'entreprise. 8 Prof Jacques MATAYA MAMBUNI, Analyse des organisations, ISC/Kin, L2 INFO, 2015, inédit. 9 Pr. E. KANGA MATONDO, Question Approfondie de l'informatique, ISC Gombe, 2015, Inédit. 23 Explicitons un peu quelques termes de cette définition ? moyens humains : il s'agit des différentes personnes qui manipulent, émettent ou transmettent de l'information utile à l'entreprise. A part quelques cas particuliers, quasiment tous les individus d'une organisation appartenant à son système d'information. ? Moyens matériels : on trouve principalement : > Les machines telles que ordinateur, machine à calculer, à écrire ; > Les supports de l'information : papier, fiches cartonnées, bande magnétique, Cd-rom ; > Des utilitaires divers : classeurs téléphone bureaux, armoires de rangement. ? Méthodes : On peut trouver : > Des algorithmes, logiciels, des programmes ; > Des modèles mathématiques, statistiques, graphes, probabilités ; > Des modèles comptables (comptabilité générale ou analytique...) ; > Des modèles de la recherche opérationnelle : perte, files d'attente... a.1 le rôle du système d'information Le rôle du SI est double :
Il s'agit plus exactement d'assurer la coordination des tâches en permettant les communications entre les individus dans l'entreprise. III.2.3.1.1 Qualités du système d'information Le système d'information doit posséder des qualités ci- après : 24 Fournir des informations fiables sans erreurs, autrement dit, il doit contenir moins d'erreurs possibles; La rapidité : Il doit mettre à temps et dans un délai court les informations ou résultats à la disposition des utilisateurs ; La pertinence : Un bon système doit être capable d'assurer une sécurité pour les informations à son sein ; La sécurité l'accès aux données ne doit pas être aléatoire. III.2.3.1.2 Architectures d'un système d'information Architecture centralisée Se caractérise par un regroupement de moyens informatiques sur un site central. Les utilisateurs ne disposent d'aucun matériel informatique. Architecture distribuée Se caractérise par une concentration des organes de traitement (unité centrale) et de stockage sur un unique ordinateur dit ordinateur central. Les utilisateurs disposent uniquement de terminaux passifs, organes de communication avec l'ordinateur central, dépourvus de possibilités de traitement et de stockage. Architecture repartie Avec cette structure, les utilisateurs des disposent organes de traitement (unités centrales) et de stockage des données, le cas plus usuel est constitué par des micro-ordinateurs qui peuvent être ou à un gros ordinateur central via un réseau. Architecture client/serveur Se caractérise par une répartition de tâche des traitements entre un dispositif « client » et un dispositif « serveur ». Pour mener à bien son travail le dispositif client fait appel, au travers d'un échange de messages (requêtes ou procédures) à des services distants assurés par un dispositif serveur.10 III.2.3.2 Système informatiqueC'est l'ensemble des informations circulant dans une entreprise. Un système informatique est aussi un sous-ensemble du système d'information. III.2.4. Approche systémiqueLa grande aventure intellectuelle de la fin du 20ème siècle aura été la découverte de l'extraordinaire complexité du monde qui nous entoure. 10 Camille MOINE : informatique appliqué à la gestion 1ér et 2ème année, 1ér 2ème 2è édition 25 Complexité du cosmos, des organismes vivants, des sociétés humaines, mais aussi de tous ces systèmes artificiels conçu par les hommes et qui sont, comme l'entreprise, aussi bien de facture technique, organisationnelle, économique et sociale. Le phénomène de mondialisation des échanges, qu'ils soient commerciaux, financiers ou culturels, ne fait qu'accélérer cette prise de conscience de la complexité et en accentuer les effets. Une approche systémique en ayant une vue de l'entreprise en terme de systèmes ; parfois nommée analyse systémique est un champ interdisciplinaire relatif à l'étude d'objets dans leur complexité. Il existe quatre types systèmes à savoir :
III.2.5. Modélisation systémique de l'entrepriseL'approche classique considère que toute organisation peut être vue comme un système, lui-même décomposé en 3 sous-systèmes en interaction : le système opérant, le système d'information et le système de pilotage. Le Système de pilotage (S.P) : Le système de pilotage définit les missions et les objectifs, organise l'emploi des moyens, contrôle l'exécution des travaux. Il assigne des objectifs à l'organisation, analyse l'environnement et le fonctionnement interne à l'organisation, contrôle le système opérant. Il est relié aux autres systèmes par des flux d'informations internes. Le Système d'information(S.I) : Le système d'information est l'ensemble des ressources humaines, techniques et financières qui fournissent, utilisent, compilent, traitent et distribuent l'information de l'organisation. Il alimente l'organisation en 26 informations d'origines diverses (internes ou externes). Il est la passerelle obligatoire pour toutes les informations de l'entreprise. Le Système opérant(S.O) : Le système opérant est l'ensemble des moyens humains, matériels, organisationnels qui exécutent les ordres du système de pilotage. Il assure le fonctionnement du système global, son activité est contrôlée par le système de pilotage. Commentaires : Quand l'organisation fonctionne, le système opérant alimente le système d'information avec les informations concernant les activités effectuées. Par exemple, les détails d'une vente réalisée. Inversement, le système opérant a parfois besoin d'informations qu'il va puiser dans le sous-système d'information. Par exemple, un taux de remise autorisé. De leur côté, les managers s'appuient sur des informations mémorisées. Par exemple, l'évolution des ventes, par produit et par secteur, sur les 3 derniers mois. Certaines de leurs décisions peuvent modifier des éléments du sous-système d'information. Par exemple, la modification des prix de vente pour certains produits. Elles peuvent également avoir des conséquences sur le système opérant. Par exemple, la modification du réseau de vente. Si nous reprenons l'analogie anatomique, et si nous comparons l'entreprise à un corps humain, nous pouvons redire l'entreprise à un cerveau qui pilote, un muscle qui opère et des nerfs qui font transiter les informations. Ainsi, nous présentons ci-dessous, le schéma simplifié de l'entreprise en tant que système avec ses composants notamment : le système de pilotage, le système d'information et le système opérant.
Système de pilotage(S.P) Système d'information(S.I) Système d'opérant(S.O) Flux de données ententes Flux de données sortantes Fig. III.1 : Schéma de l'entreprise/système 27 III.3. CONCEPTS RELATIFS A LA PLANIFICATION ET SUIVI DE GESTION DES PROJETS DES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES.Il est important pour nous de recourir aux notions élémentaires pour la gestion des projets des établissements scolaires afin de pouvoir mieux éclairer la suite du développement de notre travail. III.3.1 Gestion : ? Discipline qui étudie l'organisation et le fonctionnement des unités économiques11. ? Action d'administrer, d'assurer la rentabilité d'une entreprise12. III.3.2 Projet : chose que l'on se propose de faire, intention, travail préparatoire. III.3.3 Etablissement : Le terme établissement veut dire : ? L'ensemble de ceux qui adhérent à la doctrine d'un philosophe ; ? Etablissement où on enseigne les élèves d'une école. 11 Dictionnaire Universelle, 12 Idem | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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22. D.F
6. D.F
9. OPS
LEGENDE
1. 16. R.E.S.S.P : Responsable d'Etude, Stratégie, Statistique et Planification
17. S.D.A. : Sous-Direction Technique
18. R.I.M : Responsable d'intendance et Maintenance
19. A.INT : Agent d'intendance
20. SURV : Surveillants
21. CHAUF : Chauffeurs
22. D.F : Direction Financière
23. R.C : Responsable du Recouvrement
24. COMPT : Comptabilité
25. LES RES : Les Recouvrement
Source : Direction technique du FPEN
Figure III.2 : Organigramme de la direction générale du FPEN
S. DGA : Secrétariat du Directeur Général Adjoint
2. COOR. & C.J : Coordonnateur du DG et Conseiller Juridique
3. D.P. : Directeur Provinciale
4. D.T. : Directeur Technique
5. D.A. : Directeur Administrative
6. D.F. : Directeur Financière
7. SEC. /DG : Secrétaire du Directeur Général
8. RES. P.R.P & C : Responsable du Partenaire, Relation Publique et Communication
9. OPS : Operateur de saisie
. 10. RES. &COU : Réception et Courrier
. 11. R.Q.A. & F. : Responsable des Questions Admonitives et Financières
. 12. R.Q.T. & P. : Responsable des Questions Technique et Planification
Assure, sous la responsabilité personnelle du Secrétaire, l'expédition, la réception, et le classement du courrier.
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Assure la haute direction, la coordination et la supervision des activités dévolues au FPEN, tant au niveau de l'administration centrale qu'au niveau de l'administration provinciale.
a. Le directeur général (DG)
Dirige, anime, coordonne et supervise l'ensemble des activités du FPEN. Le directeur général a statut d'administrateur gestionnaire.
b. Le coordonnateur
Dirige et coordonne l'ensemble des activités dévolues à la coordination centrale, celle-ci ayant statut de direction. A ce titre, le coordonnateur assure la supervision de tous les pools ou service rattacher directement à la direction générale, à savoir : le pool secrétariat, le pool partenariat, relation publique et communication : le pool inspection-conseil ; et les agences. Il assure techniquement le pont entre la direction générale et les autres directions du FPEN dont il centralise et synthétise les rapports d'activités à l'adresse du directeur général.
c. Le secrétaire
Dirige et coordonne les activités dévolues au secrétariat de la direction générale, ce secrétariat ayant statut de service ou de pool. A ce titre, le secrétaire anime et supervise les activités classiques du secrétariat, du protocole, ainsi que la gestion informatique pour la direction générale.
d. L'opérateur de saisie
Assure les opérations de saisie. L'opérateur de saisie a rang de Rédacteur.
e. Le protocole
Assure les missions dévolues au service du protocole. Il reçoit, oriente les visiteurs du FPEN auprès des autorités visitées conformément au calendrier des visites élaboré à cet effet, à son initiative. Il reçoit, prépare et supervise les aspects protocolaires des réunions et manifestations diverses (allocutions, discours, disposition des places, service besoin et nourriture, tenue de circonstance, sécurité de la place, etc...). Il supervise les services de sécurité affectés, le cas échéant, au FPEN.
f. Le chargé de courriers
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Ce travail nécessite de consulter un grand nombre de documents afin de disposer d'informations conséquentes. Il faudra par la suite procéder à une identification et une classification pour gérer correctement cette masse de données.
Le but de l'analyse existant est de permettre le recensement des points fort et
des faibles du système existant. L'analyse existant poursuit les objectifs suivant la connaissance du système de l'existant en tenant compte des aspects suivant14 :
? L'étude de la structure et le fonctionnement du service concerné par l'application ;
? L'étude des postes de travail qui concourent à la réalisation des tâches ; ? L'étude des documents lesquels sont porteurs de flux d'informations ;
? L'étude de la circulation des informations ; bien identifier les acteurs et
leur niveau d'intervention dans les processus de la gestion concernée du
point de vue matériel et humain ;
? L'étude des moyens de traitement des informations et la proposition des solutions.
L'analyse de l'existant porte notamment sur les points suivants :
? La présentation de l'organisation à travers ses missions et ses activités : L'étude d'un système doit toujours débuter par le rappel des missions qui lui sont assignés ainsi que de tâches qu'il est appelé à exercer dans le cadre de ces missions.
? La structure organique et les relations entre services : L'étude de l'organigramme permet de comprendre les procédures administratives utilisées, la raison d'être de certains documents, les relations entre services et même entre personnes.
? Les documents et fichiers utilisés : L'étude des documents et des fichiers existants permet souvent de détecter certaines causes de dysfonctionnement de la gestion administrative de l'organisation imputables aux documents et fichiers tenus manuellement.
? Les moyens de traitements utilisés : Il s'agit des moyens humains et matériels en place. Cette étude s'appesantira notamment sur :
- Leur nombre,
14MVIBUDULU KALUYIT, Méthode d'analyse informatique, ISC Gombe, 2012, Inédit.
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- Leurs caractéristiques et leurs performances,
- Leur coût...
? Les applications opérationnelles : il y a lieu de préciser chaque application :
- Les besoins satisfaits, totalement ou partiellement,
- Le langage de programmations utilisé,
- L'option de traitement utilisé,
- Les modalités de stockages, d'organisation et d'accès des
fichiers.
Assure la direction et supervision des activités dévolues au FPEN dans le secteur technique dont requis régulièrement rapport pour le compte du comité de gestion. Elle initie ou reçoit les projets se rapportant aux actions des promotions de l'éducation nationale (promotion de l'enseignement, promotion de l'enseigné, et promotion des institutions et infrastructures de l'éducation). Elle présente et défend lesdits projets ainsi que les rapports d'activités de la direction pour leur adoption au comité de gestion.
1. Le directeur technique (dt)
Assure les attributions dévolues à la direction technique.
a. Le chef de département technique
Dirige, anime toutes activités dévolues à ce département :
? Actions de promotion de l'enseignement;
? Actions de promotion de l'enseigné ;
? Actions de promotion des institutions et infrastructures de l'éducation.
Il assure la responsabilité technique de la conception et de la faisabilité des actions de l'éducation, dont il adresse régulièrement rapport au directeur technique avec copie pour information à la coordination qu'il l'oriente auprès de l'inspecteur technique pour traitement et synthèse pour le compte du directeur général.
? Le chef de pool « Promotion de l'enseignant »
Assure, sous la responsabilité et supervision du chef de département technique, la conception et projets de promotion de l'Enseignant, suivant les domaines d'intervention du FPEN à ce propos.
? Le chef de pool « Promotion de l'Enseigné » (Elève, Etudiant)
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Assure, sous la responsabilité et supervision du chef de département technique, la conception des actions et projets de promotion de l'Enseigné, suivant les domaines d'intervention du FPEN à ce propos.
? Le chef de pool « promotion des institutions et infrastructures de l'Education »
Assure, sous la responsabilité et supervision du chef de département technique, la conception des actions et projets de promotion des institutions et infrastructures de l'Education (institutions scolaires et académiques ; infrastructures scolaires et académiques ; services infrastructures des ministères de l'EPSP et de l'ESU).
? Le pool Adjoint « Promotion de l'Education »
Assiste chacun des chefs de pool « Promotion de l'Education nationale « dans l'exécution de leurs tâches respectives.
I. LA DIRECTION ADMINISTRATIVE ET FINANCIERE
Assure la direction et supervision des activités dévolues au FPEN dans les secteurs administratifs et financiers dont requis régulièrement rapport pour le compte du comité de gestion. Elle présente et défend les rapports d'activités de la direction pour leur adoption au comité de gestion.
1. Le Directeur Administratif et Financier
Assure les attributions dévolues à a direction administrative et financière. Le Directeur Administratif et Financier a statut d'Administrateur.
2. Le Chef de Département Administratif
Dirige, anime, coordonne toutes les activités se rapportant aux services généraux et dévolues à ce département :
- Gestion du personnel du FPEN ; - Intendance et service social.
Il fait régulièrement rapport au Directeur Administratif et Financier avec copie à la Coordination qui transmet à l'Inspecteur Juridique pour traitement et synthèse pour le compte du Directeur Général.
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3. Le Chef du Personnel.
Assure, sous la responsabilité et supervision du Chef de département
administratif et financier avec copie à la coordination qui transmet à l'Inspecteur Juridique pour traitement et synthèse pour le compte du Directeur Général.
4. Comptable
Assure, sous la responsabilité et supervision du chef de département financier, toutes opérations classiques relatives à la gestion des ressources financières :
comptabilités, budget, trésorerie.
5. Le Caissier.
Assure, sous le contrôle du comptable, toutes les opérations classiques de caisse.
Le FPEN est un établissement public à caractère social et culturel, le FPEN est une
personne morale de droit public crée par l'Etat en vue de remplir les activités suivantes :
? Prise en charge des soins de santé primaire des enseignants et des élèves (via zone de santé) ;
? Appui aux études sur l'enseignement fondamental et l'enseignement spécial ;
? Appui aux périodiques scolaires et académiques ainsi qu'aux revues sur l'Education ;
S.D.T
R.E.S.S.P
Chef. D.T
Chef de Pool. P.E.
Chef de pool. P.E.E
Chef de Pool. P.I.E
Chef de Pool.
Source : Direction technique du FPEN
Figure 3 Organigramme fonctionnel de la direction technique du FPEN
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Légende :
1. D.T : Directeur Technique ;
2. S.D.T : Sous-Directeur Technique ;
3. R.E.S.S.P : Responsable d'Etudes, Stratégie, Statistique et Planification ;
4. Chef. D.T : Chef de Département Technique ;
5. Chef de Pool. P.E.: Chef de Pool « Promotion de l'Enseignant » ;
6. Chef de Pool. P.E.E. : Chef de Pool « Promotion de l'Enseigné » (Elève et Etudiant) ;
7. Chef de Pool. P.I.E. : Chef de Pool « Promotion des Institutions et Infrastructures de l'Education » ;
8. Chef de Pool. : Chef de Pool Adjoint « Promotion de l'Education ».
Pour notre mémoire, nous avons recensé et retenu les processus suivants :
? Le processus de financement et réalisation des projets des établissements ? Le processus recouvrement de l'EPSP et ESU.
II.4.1 Processus de financement et réalisation des projets des établissements
Le financement et réalisation des projets des établissements représente un processus au sein du Fonds de promotion pour l'Education National FPEN en sigle mais aussi un document qui permet d'enregistre tous les projets en provenance des établissements scolaire et académique dans le secteur public et privé.
Le poste de travail est une unité d'organisation ou centre d'activité de l'entreprise. A cette étape, il s'agit de mettre en évidence les acteurs (internes ou externes) qui interviennent dans la réalisation des tâches de la gestion des projets des écoles en études.
II.4.1.2.1. Recensement et description des postes II.4.1.2.1.1. Recensement des postes
Lors de l'investigation dans le processus de financement et réalisation des projets des établissements au sein de la Direction Général du FPEN, les acteurs suivants ont été recensés à savoir :
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? Secrétaire ;
? Direction Technique ;
? Direction Financière ;
? Directeur Général ;
? Etablissement ;
Fiche 1 : Chef de direction technique
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Domaine : Enseignement Analyste : KASONGO NDJOKO Date : LE 08/01/2015 Processus : financement et réalisation des projets des établissements Nom du Poste : Direction technique Responsable : Chef de direction |
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Attributions : Etablir répertoire des projets des établissements |
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Document émis |
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Code doc |
Libelle doc |
Rôle |
Volume/fréq |
Destination |
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RPE |
Répertoire des projets des établissements |
Ce document permet d'enregistre tous les projets en provenance des établissements scolaire et |
#177; 2/ans |
Direction financière |
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Document reçu |
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Code doc |
Libelle doc |
Rôle |
Volume/fréq |
Provenance |
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RE |
Répertoire des établissements |
ce document permet de connaître le nombre des établissements |
1/ans |
Secrétariat |
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Document classé |
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Code doc |
Libelle doc |
Rôle |
Volume/fréq |
Provenance |
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RE |
Répertoire des établissements |
ce document permet de connaître le nombre des établissements |
1/ans |
Secrétariat |
Tableau 8 : Etablir répertoire des projets des établissements.
Fiche 2 : Direction financière
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Domaine : Enseignement Analyste : KASONGO NDJOKO Date : LE 08/01/2015 Processus : financement et réalisation des projets des établissements Nom du Poste : Direction financière Responsable : Chef de la direction financière |
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Attributions : Vérification des établissements et détermination du coût de réalisation |
||||
|
Document émis |
||||
|
Code doc |
Libelle doc |
Rôle |
Volume/fréq |
Destination |
|
RPE |
Répertoire des projets des établissements |
Ce document permet d'enregistre tous les projets en provenance des établissements scolaire et |
1/ans |
Directeur Général |
40
|
académique dans le secteur public et privé. |
||||
|
Document reçu |
||||
|
Code doc |
Libelle doc |
Rôle |
Volume/fréq |
Provenance |
|
RE |
Répertoire des établissements |
ce document permet de connaître le nombre des établissements |
1/ans |
Secrétariat |
|
Document classée |
||||
|
Code doc |
Libelle doc |
Rôle |
Volume/fréq |
Provenance |
|
RE |
Répertoire des projets des établissements |
Ce document permet d'enregistre tous les projets en provenance des établissements scolaire et |
1/ans |
Direction technique |
Tableau 9 : Vérification des établissements et détermination du coût de réalisation.
Fichier 3 : Etablissement
|
Domaine : Enseignement Analyste : KASONGO NDJOKO Date : LE 08/01/2015 Processus : financement et réalisation des projets des établissements Nom du Poste : Etablissement Responsable : Chef d'Etablissement |
||||
|
Attributions : Confirmation pour l'assistance |
||||
|
Document émis |
||||
|
Code doc |
Libelle doc |
Rôle |
Volume/fréq |
Destination |
|
DASS |
Demande d'assistance |
Ce document permet de présenter le projet à réaliser |
1/ans |
Secrétariat |
|
Document reçu |
||||
|
Code doc |
Libelle doc |
Rôle |
Volume/fréq |
Provenance |
|
CASS |
Confirmation pour l'assistance |
ce document permet de confirmer la date d'assistance du projet |
1/ans |
Secrétariat |
|
Document classé |
||||
|
Code doc |
Libelle doc |
Rôle |
Volume/fréq |
Provenance |
|
CASS |
Confirmation pour l'assistance |
ce document permet de confirmer |
1/ans |
Secrétariat |
Tableau 10 : Confirmation pour l'assistance.
L'étude des documents est une phase importante de l'analyse, les documents sont des instruments de gestion de l'entreprise et porteur des flux d'information dont l'analyse est sensé d'identifié dans le but de repérer les informations qui circulent dans le processus de gestion en étude15.
15MVIBUDULU KALUYIT, Op.cit, ISC Gombe, 2012, Inédit
Figure 4 : Modèle du document de répertoire des projets des établissements scolaires
41
Le but est d'obtenir une liste exhaustive de tout ce qui peut être intéressant pour la modélisation. Il s'agit du travail le moins intéressant mais le plus important, car c'est sur cette étude que se base la modélisation.
a) Recensement des documents
Dans Processus de financement et réalisation des projets des établissements au
sein de la direction technique du FPEN, nous avons retenu 2 documents à savoir :
? Répertoire des projets des établissements ;
? Répertoire des établissements.
b) Modèle et description des documents
b.1. Répertoire des projets des établissements ;
a) rôle : Ce document nous permet d'enregistre tous les projets en provenance des établissements scolaire et académique dans le secteur public et privé.
b)

Fonds de Promotion de l'Education Nationale (FPEN) Date
Direction Technique
Service d'études, stratégies, statistique et planification de projet. Secteur de l'EPSP/Kinshasa
Répertoire des projets des établissements N°.....
|
N° |
Date demande d'assistance |
Nom de l'établissement |
Libelle du projet |
Coût ($ US) |
Observation |
Signature
modèle
42
b) Tableau descriptif du document
|
Code |
Désignation |
Type |
Taille |
|
Num |
Numero |
Auto-incremente |
- |
|
Dte_Ass |
Date d'assistance |
date |
8 |
|
Nom_etabl |
Nom de l'établissement |
AN |
30 |
|
Lib_pro |
Libelle projet |
AN |
50 |
|
Ct_pro |
Coût du projet |
N |
10 |
|
Obs |
Observation |
AN |
50 |
Tableau 11 : Tableau descriptif du document
.
a) Rôle : ce document permet au FPEN de connaître le nombre des établissements scolaire et académique dans le secteur public et privé.
b) Modèle

|
N° |
Dénomination de l'établissement |
Régime de gestion |
N° Arrêté |
Adresse de l'établissement |
Fonds de Promotion de l'Education Nationale (FPEN) date
Direction Technique
Service d'études, stratégies, statistique et planification de projet.
Secteur de l'EPSP/Kinshasa
Répertoire des établissements N°.....
Figure 5 : Modèle du document de répertoires des établissements
Signature
43
a) Tableau descriptif du document
|
Code |
Désignation |
Type |
Taille |
|
Num |
Numero |
Auto-incremente |
- |
|
Denom_etabl |
Dénomination établissements |
AN |
30 |
|
RG |
Régime de gestion |
AN |
20 |
|
Num_Arret |
Numéro Arrêté |
AN |
15 |
|
Adr |
Adresse de l'établissement |
AN |
50 |
44
|
Etablissement 100 |
Secrétaire 200 |
Directeur General 300 |
Direction Technique 400 |
Direction financier 500 |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
101 Demande d'assistance |
101 |
201 |
301 |
401 |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
D.Fin 201 |
201 |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
201 Réception document et réception |
de accusé |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
301 vérifications du document et signature |
401 Réception et étude du document pour mettre des avis et le coût du projet |
501 Réception, vérification et signature du document. |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
D.Fin 402 |
401 |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
ACQ. 102 |
D.Fin 301 |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
102 accusé classement |
réception |
du document et |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
D.Fin |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
D.Fin 501 501 |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
402 |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
ACQ. 302 |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
302 Vérification, signature et le DG répond à l'établissement. |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
402 Réception, vérification et rédaction du rapport |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
103 Réception et archivage du document |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
L.Exc |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
303 |
Rapport |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
Rapport 102 |
D.Fin |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
L.Exc |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
45
II.4.1.5.1. Symboles utilisés
: Poste de travail
|
: Tâches : Un document : Plusieurs documents : Adresse de provenance : Adresse de destination : Archivage : Classement |
Abréviations
D.Fin : Demande de financement ACQ : Acquise de réception Rapp : Rapport
II.4.1.5.2. Commentaires
|
Poste |
Code Tâche |
Description |
|
100 |
101 |
Présentation de l'établissement pour demande d'assistance |
|
102 |
Accusé réception et classement du document |
|
|
103 |
Réception et archivage du document |
|
|
200 |
201 |
Réception de document et acquise réception |
|
300 |
301 |
Vérifications du document et signature |
|
302 |
Vérification, signature et le DG répond à l'établissement. |
|
|
400 |
401 |
Réception et étude du document pour mettre des avis et le coût du projet |
|
402 |
Réception, vérification et rédaction du rapport |
|
|
500 |
501 |
Réception, vérification et signature du document. |
46
Cette étape nous permet de connaitre les différentes moyennes mises en place
par le FPEN, précisément dans la direction technique. Pour un bon déroulement de
cette dernière, nous présentons les moyens ci-après :
? Moyens humains ;
? Moyens matériels ;
? Moyens financiers.
|
Analyste : KASONGO Fiche d'analyse des moyens de traitement |
Date : le 20/02/2015 NDJOKO Kass |
||||||||
|
a) Ressources humaines |
|||||||||
|
N° |
Catégorie Agent |
Nom mnémonique |
Grade |
Salaire mensuel |
Niveau d'étude |
Ancienneté |
Nombre |
||
|
1 |
Sous-directeur technique |
SDT |
Sous-directeur technique |
- |
Licencier en science politique |
6 ans |
1 |
||
|
2 |
Responsable du service d'Etude, stratégie, statistique et |
RESSP |
Chef de projet |
- |
Licencier en science commerciale et administrative. |
6 ans |
1 |
||
|
b) Ressources matérielles |
|||||||||
|
N° |
Type matériel |
Nature |
Type processeur |
Support |
Système |
Date d'acquisition |
Obs. |
||
|
1 |
3 Ordinateurs |
Acer |
Intel |
Papier, Clé |
Windows 7 |
20/07/2010 |
Bon |
||
|
3 |
2 chaises |
Fauteuil |
- |
- |
- |
- |
Bon |
||
|
4 |
2 Calculatrices |
Kaerda DM- 8812 |
- |
- |
- |
- |
- |
||
|
5 |
5 Lattes |
- |
- |
- |
- |
- |
- |
||
|
6 |
2 Tables |
Bois |
- |
- |
- |
- |
- |
||
|
7 |
2 Ventilateur |
Bisou |
- |
- |
- |
- |
- |
||
|
8 |
1 Dictionnaire |
Larousse |
- |
- |
- |
- |
- |
||
47
c) Moyens financiers
Le Fonds de promotion pour l'éducation nationale tire ses moyens financiers le service de recouvrement l'EPSP et ESU se fait par année dont :
· Au niveau maternel ou secondaire 100Fc par élèves ;
· Au niveau supérieur ou universitaire 4500Fc par étudiants.
Ce diagramme donne une vue d'ensemble (ou cartographie) de la circulation des informations (les flux) entre des acteurs internes ou externes qui participent à un domaine d'étude16.
· Domaine d'étude
Un domaine d'étude délimite le périmètre précis d'une ou de plusieurs activités au sein d'une organisation spécifique.
· L'acteur
L'acteur (interne ou externe au domaine d'étude) est un système actif intervenant dans le domaine d'étude au moyen des flux.
Un acteur peut représenter :
· Un intervenant extérieur à l'entreprise (Etablissements, clients...).
· Un domaine de l'entreprise (le service du personnel, la comptabilité...).
· variable selon les cas.
Les flux
Les flux symbolisent un échange entre deux acteurs du système d'information étudié. Il est représenté par une flèche, porte un nom et peut, pour des soucis de lisibilité chronologique, être numéroté.
· Représentation graphique des acteurs
Il n'existe pas à l'heure actuelle de normalisation des représentations des acteurs et des flux.
Dans certains cas les acteurs externes sont symbolisés de cette façon :
16 Jean Luc BATISTE, Merise Guide pratique, éd. eni. Lille(France), 1999, p66.

48
Acteur externe

Directeur Général
Etablissement
Secrétariat
Direction financière
Planification et suivi de projet des établissements
Direction technique
Figure 7 : Diagramme de flux de financement et réalisation des projets des établissements
Les acteurs internes eux sont symbolisés de cette façon :

Acteur interne
Voici une représentation plus complète d'un diagramme des flux :
Domaine

Acteur extern
Flux1

Flux2
Acteur interne
Acteur interne
Figure 6 : représentation plus complète d'un diagramme des flux
49
Toute étude scientifique consiste à critiquer le système d'information existant pour une application par ses divers aspects de fonctionnement. Il a pour objectif de porter un jugement clairvoyant sur ce système, c'est-à-dire :
? Quels sont les points forts et ;
? Quels sont les points faibles du système en vigueur.
But :
Le but de cette étude est d'établir un diagnostic sur l'existant, lequel permettra de faire ressortir des anomalies sur base desquelles, nous proposerons des solutions dont l'une seulement sera retenue compte tenu de ses avantages.
Sur le plan d'organisation, le Fonds de promotion pour l'Education Nationale(FPEN) pour sa gestion de planification et suivi des projets des établissements scolaires est bien assurée, malgré le traitement manuel des informations, nous relevons les faiblesses et les avantages suivants :
a) Du point de vue défauts :
Exigüité du Bureau du FPEN;
Retard dans la transmission des dossiers ;
Difficultés de Frais de Fonctionnement (dans ce cas nous voyons les frais recouvrés dans les établissements sur le secteur public et privé souvent dans des conditions difficiles).
b) Du point de vue qualités :
Consolidation des relations de fraternité et d'amour avec les tiers (le Chef et les Agents de Bureau);
Dans les relations avec les établissements de l'EPSP et de l'ESURS, le FPEN joue son rôle de promouvoir et soutenir les projets des établissements sur le plan national de la République Démocratique du Congo ;
Eveil de conscience dans son engagement ;
Personnel qualifié et compétent.
50
Un système d'information est un système organisé de ressources humains, matériel et financiers qui évoluent dans une organisation et dont le comportement coordonné vise à atteindre un but commun. Certes, ce service arrive à atteindre ses objectifs, mais à un temps moins record car il ne dispose pas de moyens matériel nécessaire et performant pour la bonne gestion de leur informations.
L'exploitation des documents à la main ne garantit pas une bonne sécurité. Les documents étant traité par la main et mal conservés dans les classeurs. Il se pose un problème de perte permanant de certains documents et de retrouver un document en cas de besoin dû à la mauvaise conservation.
Il est important de savoir que, après notre investigation au sein de la direction technique du FPEN, nous avons constaté que cette direction bien qu'elle dispose d'un personnel expérimenté et qualifié, le traitement des informations se fait toujours par la main et la fiabilité des informations n'est pas garantie quelle que soit leur capacité d'arriver à répondre à quelques attentes des sections qu'ils gèrent.
En ce qui concerne les moyens financiers le FPEN dans sa direction technique fait le service de recouvrement par année dont :
? Au niveau de l'EPSP 100Fc par élèves ; ? Au niveau ESU 4500Fc par étudiants
Au niveau des moyens humains, nous avons pu discerner que la direction technique du FPEN dispose un personnel compétant, qualifier et qui respect les heures des services.
Pour les matériels, nous avons constatés l'utilisation des matériels qui ne répondent pas aux exigences actuelle de traitement d'un volume important de données et ne favorise pas amélioration de traitement des informations.
51
Toute firme ou société au monde vise toujours un éventuel épanouissement dans ce qu'elle fait. Ce dernier sera possible que lorsqu'elle examine au préalable ce qu'elle produit le jour au jour. L'événement de la mondialisation donne l'occasion à toute entreprise de faire mieux.
Nous avons proposé deux solutions :
? La solution Manuelle ;
? La solution Informatique. IV.1 Solution manuelle
Cette solution consiste à améliorer le système existant en appuyant essentiellement sur l'homme pour effectuer les différentes tâches.
a) Avantages de la solution
La solution manuelle nous offres la minimisation des coûts pour une satisfaction attendue, c'est pour autant dire que la solution manuelle réduit le coût des travaux.
b) Inconvénients de la solution
La nature humaine pleine d'insuffisance et d'imperfection fait que la solution qui engage l'homme soit sujet d'insuffisance et d'imperfection.
Elle consiste à proposer de qui nécessitent la mise en oeuvre d'un système d'information informatisée en faisant recours à l'outil informatique.
? Avantage de la solution
La solution informatique présente d'énormes avantages, notamment :
- La conservation aisée et sécurisée des masses d'informations sur des supports magnétiques ;
- La création, la manipulation et le contrôle des données grâce à l'outil informatique ;
- Le traitement des informations en temps réel et la production des résultats fiables en temps opportun.
52
V' Inconvénients de la solution
Les inconvénients se situent au niveau du coût des frais d'acquisition et frais de maintenance des matériels très élevés. La performance exige aux agents une formation afin de s'adapter à ce nouvel outil informatique. Ce dernier, consiste pour le centre, une lourde charge de plus.
La solution manuelle consiste à améliorer le système existant par :
V' La bonne conservation des documents dans des endroits appropriés;
V' L'achat des matériels permettant de bien traiter les informations
relatives aux projets des établissements scolaire;
V' De disposer des moyens nécessaires et suffisants pour soutenir
quotidiennement les projets des établissements scolaire ;
Avantages
·
· Solution moins couteuse ;
·
· Ne nécessite pas une formation
spéciale du personnel
·
· Elaboration des rapports dans un temps
court.
Inconvénients
·
· Augmentation du nombre de personnel
entrainerait une augmentation des charges (dépenses) ;
·
· Le traitement manuel provoque une perte
de temps précieuse pouvant être mis au profit pour d'autres
tâches ;
·
· Manque de confidentialité et de
sécurité des informations;
·
· C'est une solution qui est adaptée
aux faibles volumes d'information à traiter ;
·
·
Etc...
La solution informatique qui consiste à prendre en charge certaines tâches
automatiquement dans un processus de gestion donnée. Cette solution consiste à : Mettre sur pied une base de données capable de gérer automatiquement la gestion des projets des écoles, en disposant d'un logiciel d'administration et apte pour mettre en valeur ou exploiter la base de données proposée.
Avantages
V' Rapidité dans le traitement des informations ;
V' Conservation et diffusion rapide des informations ;
V' Facilité d'accès aux informations fiables ;
V' La fiabilité de gérer pour une bonne prise de décision ;
V' La fiabilité des résultats et changement du système ;
53
1' L'ordinateur est adapté aux traitements répétitifs portant sur de gros volumes
d'informations ;
1' La sécurisation des informations ;
1' Etc. .....
Inconvénients
1' La solution informatique demande beaucoup d'argent pour son
implémentation ;
1' Achat des matériels et logiciels, la formation du personnel (les utilisateurs du
système ;
1' Les coupures intempestives de l'énergie électrique peuvent aussi endommager
les ressources informatiques ;
1' Etc...
Au regard des avantages et inconvénients des deux systèmes (manuel et informatique), nous optons pour le scénario d'information du système actuel afin de mettre fin à tous les problèmes auxquels ce système est buté. Donc la mise en oeuvre d'un système de suivi et gestion des projets des établissements serait capital et indispensable pour amélioration de ce système.
54

CONCEPTION ET REALISATION DU NOUVEAU SYSTEME D'INFORMATION
55
Dans cette partie, comme nous avons énoncé dans la partie introduction, nous avons choisi le langage UML pour modéliser le nouveau système d'information pour la planification et suivi de gestion des projets des établissements scolaire.
Pour la conception et la réalisation de notre système, nous avons choisis de modéliser avec le langage de modélisation UML (Unifie Modeling Luaguage) comme nous l'avons indiqué ci-haut le planning prévisionnel de réalisation du projet dans la première partie de notre travail.
Objectif du nouveau système d'information
Le système à développer a pour objectif majeur de pouvoir gérer les suivis des projets
des établissements scolaires.
Il doit répondre ou d'automatiser les tâches suivantes :
? Planifier et faire le suivi de gestion des établissements scolaires ;
? Inscrire les nouveaux projets pour l'assistance ;
? Imprimer le répertoire des établissements scolaires tant que public ou privés ;
? Etc.
56
Face à la diversité des formalismes utilisés par les méthodes d'analyse et de conception objet, UML (Unified Modified Language « langage de modélisation objet unifié ») représente un réel facteur de progrès par l'effort de normalisation.
En effet, UML est le résultat de la fusion de précédents langages de modélisation objet : Booch, OMT, OOSE. Principalement issu des travaux de Grady Booch, James Rumbaugh et Ivar Jacobson, UML est à présent un standard adopté par l'Object Management Group (OMG).
UML est utilisé pour spécifier, visualiser, modifier et construire les documents nécessaires au bon développement d'un logiciel orienté objet. UML offre un standard de modélisation, pour représenter l'architecture logicielle. Les différents éléments représentables sont :
· Activité d'un objet/logiciel ;
· Acteurs ;
· Processus ;
· Schéma de base de données ;
· Composants logiciels ;
· Réutilisation de composants.
Le Langage de Modélisation Unifiée, de l'anglais Unified Modeling Language (UML), est un langage de modélisation graphique à base de pictogrammes conçu pour fournir une méthode normalisée pour visualiser la conception d'un système. Il est couramment utilisé en développement logiciel et en conception orientée objet.
UML 2.3 propose 14 types de diagrammes (9 en UML 1.3). UML n'étant pas une méthode, leur utilisation est laissée à l'appréciation de chacun, même si le diagramme de classes est généralement considéré comme l'élément central d'UML ; des méthodologies, telles que l'Unified Process, axent l'analyse en tout premier lieu sur les diagrammes de cas d'utilisation (Use Case). De même, on peut se contenter de
57
modéliser seulement partiellement un système, par exemple certaines parties critiques17.
· UML se décompose en plusieurs sous-ensembles :
· Les vues : Les vues sont les observables du système. Elles décrivent le système d'un point de vue donné, qui peut être organisationnel, dynamique, temporel,
architectural, géographique, logique, etc. En combinant toutes ces vues, il est possible de définir (ou retrouver) le système complet.
· Les diagrammes : Les diagrammes sont des éléments graphiques. Ceux-ci
décrivent le contenu des vues, qui sont des notions abstraites. Les diagrammes peuvent faire partie de plusieurs vues.
· Les modèles d'élément : Les modèles d'élément sont les briques des diagrammes UML, ces modèles sont utilisés dans plusieurs types de
diagrammes. Exemple d'élément : cas d'utilisation (CU ou cadut'), classe, association, etc.
Une façon de mettre en oeuvre UML est de considérer différentes vues qui peuvent se superposer pour collaborer à la définition du système :
· Vue des cas d'utilisation : c'est la description du modèle vu par les acteurs du système. Elle correspond aux besoins attendus par chaque acteur (c'est le QUOI et le QUI).
· Vue logique : c'est la définition du système vu de l'intérieur. Elle explique comment peuvent être satisfaits les besoins des acteurs (c'est le COMMENT).
· Vue d'implémentation : cette vue définit les dépendances entre les modules.
· Vue des processus : c'est la vue temporelle et technique, qui met en oeuvre les notions de tâches concurrentes, stimuli, contrôle, synchronisation, etc.
· Vue de déploiement : cette vue décrit la position géographique et l'architecture physique de chaque élément du système (c'est le OÙ).
17 Joseph Gabay, analyse et conception, Mise en oeuvre guidée avec études de cas, Eyrolles, 2000. p23.
58
UML dans sa version 2 propose treize diagrammes qui peuvent être utilisés
dans la description d'un système. Ces diagrammes sont regroupés dans deux grands ensembles.
? Diagrammes structurels ou statiques
Ces diagrammes, au nombre de six, ont vocation à représenter l'aspect statique d'un système.
·
· Diagramme de classes (Class
diagram) : Ce diagramme représente la description statique du
système en intégrant dans chaque classe la partie
dédiée
aux données et celle consacrée aux traitements. C'est le diagramme pivot de l'ensemble de la modélisation d'un système.
·
· Diagramme d'objets (Object
diagram) : il sert à représenter les instances de classes
(objets) et les liens entre instances utilisés dans le
système.
·
· Diagramme de composants
(Component diagram) : Ce diagramme représente les différents
constituants du logiciel au niveau de l'implémentation d'un
système, tels qu'ils sont mis en oeuvre (fichiers, bibliothèques,
bases de données...)
·
· Diagramme de déploiement
(Deployment diagram) : il sert à représenter les
éléments matériels (ordinateurs,
périphériques,réseaux, systèmes de
stockage...)
et la manière dont les composants du système sont répartis
sur ces éléments matériels et interagissent entre eux.
·
· Diagramme des paquetages
(Package diagram) : Ce diagramme donne une vue d'ensemble du
système structuré en paquetage. Chaque paquetage
représente un ensemble homogène d'éléments du
système (classes, composants...).
·
· Diagramme de structure composite
(Composite Structure Diagram) : Ce diagramme permet de décrire la
structure interne d'un ensemble complexe composé par exemple de classes
ou d'objets et de composants techniques. Ce diagramme met aussi l'accent sur
les liens entre les sous-ensembles qui collaborent.
? Les diagrammes de comportement
Ces diagrammes représentent la partie dynamique d'un système réagissant aux événements et permettant de produire les résultats attendus par les utilisateurs. Sept
diagrammes sont proposés par UML :
·
· Diagramme des cas d'utilisation
(use-cases ou Use Case Diagram) : Ce diagramme est destiné à
représenter les besoins des utilisateurs par rapport au système.
Il constitue un des diagrammes les plus structurants dans l'analyse d'un
système.
·
· Diagramme
états-transitions (State Machine Diagram) : Ce diagramme montre les
différents états des objets en réaction aux
événements.
18 Josich MUKENGE MBUMBA, Cours de conception des systèmes d'information « Etude de Cas », Inedit/ISC
59
? Diagramme d'activité (Activity Diagram) : Ce diagramme donne une vision des enchaînements des activités propres à une opération ou à un cas d'utilisation. Il permet aussi de représenter les flots de contrôle et les flots de données.
? Diagramme de séquence (Sequence Diagram) : Ce diagramme permet de décrire les scénarios de chaque cas d'utilisation en mettant l'accent sur la chronologie des opérations en interaction avec les objets.
? Diagramme de communication (Communication Diagram) : Ce diagramme est une autre représentation des scénarios des cas d'utilisation qui met plus l'accent sur les objets et les messages échangés.
? Diagramme global d'interaction (Interaction Overview Diagram) : Ce diagramme fournit une vue générale des interactions décrites dans le diagramme de séquence et des flots de contrôle décrits dans le diagramme d'activités.
? Diagramme de temps (Timing Diagram) : Ce diagramme permet de représenter les états et les interactions d'objets dans un contexte où le temps a une forte influence sur le comportement du système à gérer.
Cette partie va nous permettre d'illustrer pas à pas, sur une première étude de cas, les principales difficultés liées à la mise en oeuvre de la technique des cas d'utilisation. Après avoir identifié les acteurs qui interagissent avec le système, nous y développons un premier modèle UML de haut niveau, pour pouvoir établir précisément les frontières du système.
Dans cette optique, nous apprenons à identifier les cas d'utilisation et à construire un diagramme reliant les acteurs et les cas d'utilisation. Ensuite, nous précisons le point de vue fonctionnel en détaillant les différentes façons dont les acteurs peuvent utiliser le système. À cet effet, nous apprenons à rédiger des descriptions textuelles de cas d'utilisation, ainsi qu'à dessiner des diagrammes UML complémentaires (comme les diagrammes de séquence ou d'activité).
Un cas d'utilisation (Use Case) est utilisé pour définir le comportement d'un système ou la sémantique de toute autre entité sans révéler la structure interne de l'entité. Chaque cas d'utilisation spécifie une séquence d'action, y compris des variantes, que l'entité réalise, en interagissant avec les acteurs de l'entité18.
60
Les cas d'utilisation décrivent sous la forme d'actions et de réactions, le
comportement du système étudié du point de vue des utilisateurs. Ils définissent les
limites du système et ses relations avec son environnement.
Un cas d'utilisation explicite la partie des exigences fonctionnelles du système
concernant l'un des objectifs d'un utilisateur. Ce dernier est aussi appelé, de façon plus
précise, cas d'utilisation avec objectif utilisateur.
Dans cette démarche d'élaborer le diagramme de cas d'utilisation, nous tenons
beaucoup plus compte des quelques besoins principaux des acteurs par rapport au
système futur. Pour cela nous utilisons les concepts ou les éléments suivants :
- Acteur ;
- Cas d'utilisation ;
- Association ;
- Inclusion ;
- Extension ;
- Etc.
Les points suivants sont importants dans une démarche d'élaboration d'un diagramme
de cas d'utilisation :
? Identifier les acteurs qui utilisent, gèrent et exécutent des fonctionnalités
spécifiques ;
? Organiser les acteurs par relation de généralisation spécialisation si c'est
pertinent ;
? Pour chaque acteur, rechercher le cas d'utilisation du système ;
? Ensuite, il faut rechercher les fonctionnalités du système par la définition de ses
« cas d'utilisation ».
61
a. Acteur
Un acteur représente un rôle joué par une entité externe (utilisateur humain, dispositif matériel ou autre système) qui interagit directement avec le système étudié19. Deux catégories d'acteurs doivent être distinguées :
- les acteurs primaires : pour lesquels l'objectif du cas d'utilisation est essentiel c.-à-d. qui utilisent le système ;
- les acteurs secondaires : qui interagissent avec le cas d'utilisation c.-à-d. qui administrent et maintiennent le système.
Représentation :
La représentation graphique standard de l'acteur en UML est l'icône appelée stick man , avec le nom de l'acteur sous le dessin, comme cela est indiqué ci-après.
Acteur
Figure 8: Représentations graphiques possibles d'un acteur
b. Cas d'utilisation :
Un cas d'utilisation (« use case ») est un ensemble d'actions réalisées par le système à une action d'un acteur ou une suite d'interactions entre un acteur et le système.
Etant donné leur finalité de produire un ou plusieurs résultats, chaque cas d'utilisation doit être décrit sous forme textuelle afin de bien identifier les traitements à réaliser par le système en vue de la satisfaction du besoin exprimé par l'acteur.
« Stéréotype »
Nom du cas d'utilisationFigure 9: Diagramme de cas d'utilisation
c. Stéréotype :
Constitue un moyen de classer les éléments de la modélisation. Le stéréotype facilite ainsi l'élaboration du métamodèle d'UML20.
19 Pascal Roques, Cours de UML 2 pour la pratique, inédit, Eurolls, 2006, p16.
20 JOSich MUKENGE MBUMBA, Opcit.
h. La relation de généralisation :
Elle se réfère au principe de la spécialisation/généralisation.
62
d. Association :
Une relation d'association est un lien de communication entre un acteur et un cas d'utilisation.
Représentation :
e. Note :
La note correspond à un commentaire explicatif d'un élément d'UML.
f. La relation d'inclusion :
La relation d'inclusion sert à enrichir un cas d'utilisation par un autre cas d'utilisation. Cet enrichissement est réalisé par une inclusion impérative, il est donc systématique.
L'inclusion sert à partager une fonctionnalité commune entre plusieurs cas d'utilisation. Elle peut également être employée pour structurer un cas d'utilisation en décrivant ses sous-fonctions.
Dans le diagramme des cas d'utilisation, cette relation est représentée par une flèche pointillée munie du stéréotype «include».
Représentation :
g.

« include »
La relation d'Extension :

Représentation :
« extend »
Une relation d'extension d'un cas d'utilisation A par rapport à un cas d'utilisation B signifie qu'une instance de A peut être étendue par le comportement décrit dans B.
63
Dans notre système, les acteurs qui interagissent avec le système. Il s'agit de : - Autorité de l'établissement comme acteur primaire et;
- L'Administrateur comme l'acteur secondaire.
Un cas d'utilisation est utilisé pour définir le comportement d'un système ou la sémantique de toute autre entité sans révéler sa structure interne. Chaque cas d'utilisation spécifie une séquence d'action, y compris des variantes, que l'entité réalise, en interagissant avec les acteurs.
L'objectif est le suivant : l'ensemble des cas d'utilisation doit décrire exhaustivement les exigences fonctionnelles du système. Chaque cas d'utilisation correspond donc à une fonction métier du système, selon le point de vue d'un de ses acteurs.
À partir de ce contexte, nous allons progressivement :
· identifier les acteurs ;
· identifier les cas d'utilisation ;
· construire un diagramme de cas d'utilisation ;
· décrire textuellement les cas d'utilisation ;
· compléter les descriptions par des diagrammes dynamiques ;
· organiser et structurer les cas d'utilisation.
La figure suivante présente une vue globale du diagramme de cas d'utilisation de notre système.
64

Figure 9: Diagramme de cas d'utilisation
65
1. Le cas d'utilisation : Etablir une lettre
Ce cas d'utilisation se réalise à travers les procédures suivantes :
- Chaque établissement qui veut solliciter un financement doit se présenté muni d'une lettre de la demande ;
- Avant de déposer cette requête, il doit se connecté au système à l'aide d'un nom utilisateur et d'un mot de passe qu'il récépissé de la part de l'administrateur.
2. Le cas d'utilisation : vérification de la lettre
Les différentes étapes de ce cas d'utilisation se résument comme suit :
- Le directeur général se connecte au système pour vérifier toutes les
demandes ;
- Apres avoir vérifié, il doit tenir compte du budget de l'entreprise ;
- Si le budget est suffisant, la demande de l'exécution du projet est recevable
sinon celui-ci est non recevable.
- Le directeur doit établir les répertoires de projets des établissements et afin
de soumettre l'exécution de chaque projet.
3. Le cas d'utilisation : gérer le compte
Les étapes utilisées pour ce cas d'utilisation se présentent comme suit :
- L'administrateur du système gère le compte des utilisateurs et attribut les mots de passe et le nom utilisateur aux utilisateurs.
- L'administrateur archive toutes les informations dans la base de données concernant les projets des établissements et met à jour la base de données (ajout, modification et suppression) des sur la réalisation des projets des établissements scolaire.
66
Le diagramme de séquences permet de décrire les scénarios de chaque cas d'utilisation en mettant l'accent sur la chronologie des opérations en interaction avec les objets. Ce qui traduit par la représentation de la dynamique de fonctionnement du système selon l'axe temporel plutôt que spatial. Ceci est matérialisé par le biais des collaborations entre objets selon la chronologie des envois de messages. Ce diagramme peut servir d'illustration des cas d'utilisation.
La figure suivante présente une vue globale du diagramme de séquence de notre système.

Figure 11 : Diagramme de séquence
67
Cette étude consiste à prendre en compte les diagrammes qui modélisent les
composants physiques du système. Dans le cadre de notre travail, nous traitons tour à
tour des diagrammes de classes, d'objets et déploiement.
Dans cette étude, nous allons apprendre à21 :
- Identifier les concepts du domaine et les modéliser en tant que classes,
- Identifier les associations pertinentes entre les concepts,
- Réfléchir aux multiplicités à chaque extrémité d'association,
- Ajouter des attributs aux classes du domaine,
- Comprendre la différence entre modèles d'analyse et de conception,
- Utiliser les diagrammes d'objets pour illustrer les diagrammes de classes,
Le diagramme de classes est le point central dans un développement orienté objet. En analyse, il a pour objectif de décrire la structure des entités manipulées par les utilisateurs. En conception, le diagramme de classes représente la structure d'un code orienté objet ou, à un niveau de détail plus important, les modules du langage de développement.
Une classe est une structure qui permet de regrouper des données et des opérations d'une même nature.
Les classes sont des objets de gestion qui peuvent être liés entre eux. Ces classes ainsi que leurs associations (liens) sont déterminées à partir des règles de gestion qui régissent le fonctionnement du système. Chaque classe est décrite à partir d'un ensemble d'attributs et des méthodes ou opérations.
Chaque classe est représentée par un rectangle ayant trois compartiments de base, une classe est composée :
a. Nom : il s'agit le nom donné à la classe ;
b. Attribut : est une propriété élémentaire qui prend une valeur pour chaque objet d'une classe.
21 Pascal Roques, Op.cit. p76.
68
c. Une méthode (opération) : est une fonction applicable aux objets d'une classe. Elle permet de décrire le comportement d'un objet.
d. Une relation (une association ou lien): représente une classe d'associations structurelles entre classes d'objets.
Une règle de gestion est la tradition conceptuelle des objectifs choisis et des
contraintes acceptés par l'entreprise. En ce qui concerne notre étude, les règles de
gestion sont définies comme suit:
- Un régime appartient à un ou n établissements
- Un dossier contient un ou n projets
- Un responsable assume zéro ou une seule fonction
- Un établissement demande un ou n projets
- Un responsable supervise un et un seul établissement
- Un projet est signé par un ou n responsable
Les classes recensées pour « le système informatisé de planification et suivi de gestion des projets des établissements scolaires » du FPEN sont les suivantes :
|
N° |
Intitulé Classe |
Rôle dans le système |
|
1 |
Etablissement |
Cette classe contient les attributs relatifs aux types d'établissements scolaires privés tant publics qui sollicite le financement du FPEN. |
|
2 |
Responsable |
Cette classe enregistre des informations concernant les différents responsables des établissements scolaires au niveau du système. |
|
3 |
Régime |
C'est la classe qui consiste à spécifier les attributs communs concernant le régime(le système de gouvernement)
des |
|
4 |
Projet |
Cette classe a pour rôle de renseigner les différents projets des établissements scolaires (EPSP et ESURS) au niveau du système du FPEN. |
|
5 |
Dossier |
Est une classe dédiée aux différents dossiers contenants les projets des établissements scolaires. |
Tableau 11: Classes d'objets identifiées
69
Les différentes associations reliant ces classes d'objets sont détaillées dans le tableau ci-après :
|
N° |
Associations |
Description |
Classe source |
Classe cible |
|
1 |
Appartenir |
Cette association consiste à déterminer le régime à quel appartient chaque établissement du système. |
Etablissement |
Régime |
|
2 |
Contenir |
Il s'agit de relier chaque dossier et les différents projets pouvant être réalisé |
Dossier |
Projet |
|
3 |
Demander |
Elle permet d'associer chaque établissement au type de projet qu'il sollicite. |
Etablissement |
Projet |
|
4 |
Assumer |
Il s'agit de faire un lien entre le responsable et la fonction dont qu'il assume. |
Responsable |
Fonction |
|
5 |
Superviser |
Cette association permet de créer un lien entre chaque de l'établissement dont qu'il |
Etablissement |
Responsable |
|
6 |
Signer |
Elle permet à chaque responsable de signer le projet qui sera exécuté. |
Responsable |
Projet |
Tableau n° 13 : Association entre les classes
Le tableau suivant nous permet de présenter les multiplicités entre les différentes classes d'objets comme suit :
70
|
N° |
Association |
Classes d'objets |
Multiplicités |
Règles de gestion |
||
|
Source |
Cible |
Source |
Cible |
|||
|
1 |
Appartenir |
Etabliss ement |
Régim e |
1 |
1..* |
A chaque établissement appartient d'un et un seul régime. Ce qui veut dire qu'un régime renferme zéro ou plusieurs établissements. |
|
2 |
Demander |
Etabliss ement |
Projet |
0..* |
1..* |
Un établissement sollicite un ou plusieurs projets. Qui veut dire qu'un projet est exécuté à on aucun ou |
|
3 |
Contenir |
Dossier |
Projet |
0..* |
1 |
un dossier contient un ou plusieurs projets, tandis qu'un projet se retrouve |
|
4 |
Assumer |
Respons able |
Foncti on |
1 |
1..* |
Un responsable assume un ou plusieurs fonctions. Qui veut dire qu'une fonction est assumée par un et un seul responsable. |
|
5 |
Signer |
Respons able |
Projet |
1..* |
1 |
Un projet est signé par un et un seul responsable, alors qu'un responsable signe un ou plusieurs projets |
|
6 |
Superviser |
Etabliss ement |
Respo nsable |
1 |
1..* |
Un responsable un et un seul par un ou plusieurs |
Tableau n° 14 : les multiplicités entre les différentes classes d'objets
71
Le diagramme de classe constitue l'un des pivots essentiels de la modélisation avec
UML. En effet, ce diagramme permet de donner la représentation statique du système
à développer. Cette représentation est centrée sur les concepts de classe et
d'association.
La description du diagramme de classe est fondée sur :
? le concept d'objet ;
? le concept de classe comprenant les attributs et les opérations ;
? les différents types d'association entre classes.
a. Classe : Une classe est l'abstraction d'un ensemble d'objets qui possèdent une structure identique (liste des attributs) et un même comportement (liste des opérations)22.
Une classe est représentée en utilisant un rectangle divisé en trois parties. La partie supérieure est le nom de la classe, la partie centrale définit les attributs d'une classe par un nom, type (éventuellement une valeur par défaut, c'est-à-dire une valeur affectée à la propriété lors de l'instanciation). Les méthodes sont répertoriées dans le troisième volet du rectangle.
Représentation :
b.
Nom de la classe
Attribut1 : type1
Attribut1 : type1
+opération1 :() +opération2 : ()
Objet : Un objet est une instance d'une et une seule classe. Une classe abstraite est une classe qui n'a pas d'instance. Les concepts de classe et d'objet sont interdépendants23.
Tout objet possède :
- L'identité qui est la propriété qui permet de distinguer chaque objet par rapport aux autres ;
22 Joseph Gaby, UML 2 Analyse et conception, Edition DUNOD, Paris, 2008, P.17
23 Idem.
72
- L'état qui correspond aux valeurs de tous ses attributs à un instant de données ;
- Le comportement qui est défini par l'ensemble des opérations qu'il peut exécuter en réaction aux messages provenant des autres objets.
c. Association : Une association représente une relation entre plusieurs classes. Elle correspond à l'abstraction des liens qui existent entre les objets dans le monde réel. Les multiplicités (ou cardinalités) et les rôles des objets participant aux relations complètent la description d'une association.
B

A
Nom de l'association
d. 24 Pascal roques, UML 2 par la pratique, Op.cit., p78.
Agrégation :
Une agrégation est un cas particulier d'association non symétrique exprimant une relation de contenance. Les agrégations n'ont pas besoin d'être nommées : implicitement elles signifient « contient », « est composé de »24.
|
|
|
||
e. Composition :
La composition est une relation d'agrégation dans laquelle il existe une contrainte de durée de vie entre la classe « composant » et la ou les classes « composé ». Autrement dit la suppression de la classe « composé » implique la suppression de la ou des classes « composant ».
|
Composite |
1 0..* |
Elément |
73
f. Généralisation :
Une généralisation est une classe plus générale reliée à une ou plusieurs autres classes plus spécialisées (sous-classes) par une relation de généralisation.
Les sous-classes « héritent » des propriétés de leur super-classe et peuvent comporter des propriétés spécifiques supplémentaires.
g. Attribut :
Les attributs représentent les données encapsulées dans les objets des classes. Chacune de ces informations est définie par un nom, un type de données, une visibilité et peut être initialisé. Le nom de l'attribut doit être unique dans la classe.
h. Opération : Une opération est une fonction applicable aux objets d'une classe. Une opération permet de décrire le comportement d'un objet. Une méthode est l'implémentation d'une opération.
Chaque rôle peut porter une multiplicité montrant combien d'objets de la classe considérée (celle qui joue ce rôle) peuvent être liés à une instance de l'autre classe par l'association. La multiplicité est représentée sous la forme d'un couple de cardinalités.
|
1..1 noté 1 |
Un et un seul |
|
|
0..1 |
Zéro ou un |
|
|
0..* noté |
* |
De zéro à n |
|
1..* |
De zéro à n |
|
|
n..m |
De n à m |
|
74

Figure 12 : Illustration du diagramme de classes
75
Les codes de java relatifs aux diagrammes de classes
import java.util.Vector;
public class Etablissement {
public char code_ets;
public char denom_ets;
public char Num_arrete;
public char adresse_ets;
public Regime Appartenir;
/***
* @element-type Projet
*/
public Vector Demander;
/***
* @element-type Responsable
*/
public Vector superviser;
public Regime Appartenir;
public Regime Appartenir;
public void ajouter() {
}
public void modifier() {
}
public void supprimer() {
}
public void afficher() {
} }
import java.util.Vector; public class Projet {
public char code_projet; public char libelle_projet; public char cout_projet; public date date_assistance; public char observation;
**
*
/
* @element-type Etablissement
*/
public Vector Demander;
**
*
/
* @element-type Responsable
*/
public Vector Signer;
public Dossier Contenir;
public Vector 1;
public void ajouter() {
}
public void modifier() {
76
}
public void supprimer() {
}
public void afficher() {
}
}
public class Responsable {
public char matri_resp;
public char nom_resp;
public char postnom_resp;
public char sexe;
public char adresse_resp;
public Etablissement superviser;
public Projet Signer;
public Fonction Assumer;
public void suspendre() {
}
public void ajouter() {
}
}
import java.util.Vector;
public class Regime {
public char code_reg;
public char lib_reg;
/ **
*
* @element-type Etablissement
*/
public Vector Appartenir;
/**
*
* @element-type Etablissement
*/
public Vector Appartenir;
/**
*
* @element-type Etablissement
*/
public Vector Appartenir;
public void afficher() {
}
}
77
Le diagramme de déploiement permet de représenter l'architecture physique supportant l'exploitation du système. Cette architecture comprend des noeuds correspondant aux supports physiques (serveurs, routeurs, machines...) ainsi que la répartition des artefacts logiciels (bibliothèques, exécutables...) sur ces noeuds. C'est un véritable réseau constitué de noeuds et de connexions entre ces noeuds qui modélise cette architecture25.
Dans un diagramme de déploiement, les associations entre noeuds sont des chemins de communication qui permettent l'échange d'informations.
Objectifs :
? Etablir la cartographie complète de déploiement du logiciel sur le
matériel ;
? Visualiser la topologie matérielle d'un système ;
? Etablir la nature des connexions reliant les éléments matériels du système
a. Noeuds :
Un noeud est une unité matérielle capable de recevoir et d'exécuter du logiciel. La plupart des noeuds sont des ordinateurs. Les liaisons physiques entre noeuds peuvent également être décrites dans le diagramme de déploiement.
Elles correspondent aux branches du réseau. Les noeuds contiennent des logiciels sous leur forme physique.
b. Artefact :
Est un fichier exécutable, une bibliothèque partagée ou un script ou encore une table de la base de données, sont des exemples de forme physique de logiciel.
c. Un composant :
Les composants constituent l'architecture logicielle du système sont représentés dans le diagramme de déploiement par un artefact qui est souvent un exécutable ou une bibliothèque partagée. La représentation graphique des noeuds, de leurs liens et des artefacts qu'ils contiennent est illustrée dans cette figure.
25 Joseph Gaby, UML 2 Analyse et conception, op.cit. P.65
78

Figure 12: Représentation graphique des noeuds, de leurs liens et des artefacts
Le modèle d'exploitation définit les applications installées sur les postes de travail, les composants métier déployés sur les serveurs et les instances de Base de Données implantées sur les serveurs également.
Le serveur Base de Données va comprendre un système de gestion de base de données et la base de données. Cette dernière est mise sur un serveur car c'est une ressource partagée.
Le serveur WEB comprendra les pages web de l'application, un moteur de gestion des scripts.
Le serveur applicatif sert à la maintenance de la Base de Données. L'administrateur de la Base de Données accède au serveur Base de Données grâce à un logiciel de communication tel que TelNet. Le réceptionniste accède à la base de données grâce au logiciel de communication. Pour la sécurité, le Firewall sera installé directement sur le serveur applicatif.
Le système informatisé pour la planification et le suivi de gestion des projets des établissements scolaires comprend :
? Un serveur de base de données ; ? Un serveur applicatif ;
? Un serveur web pour les utilisateurs. ? Une connexion entre les noeuds.
79
Le diagramme de déploiement élaboré sur base de ces noeuds est le suivant :

Figure 13: Diagramme de déploiement
80
L'étude au point de vue dynamique consiste à décrire les états d'objets au cours du fonctionnement du système à concevoir. A ce stade, nous présentations un diagramme d'activités avec une variante du diagramme d'états-transitions.
Le diagramme d'activité représente la dynamique du système. Il montre l'enchaînement des activités d'un système ou même d'une opération. Le diagramme d'activité représente le flot de contrôle qui retrace le fil d'exécution et qui transite d'une activité à l'autre dans le système.
En d'autres termes, ce diagramme modélise le déroulement des activités du système sous forme d'étapes séquentielles. Les transitions sont déclenchées par la fin d'une activité et provoquent le début immédiat d'une autre.
Cette dernière se manifeste par l'ajout au diagramme d'activités des éléments suivants :
a. Etat :
Un état est un point où un certain événement doit avoir lieu avant que l'activité puisse
continuer.
? L'état initial :
Ceci montre le point de départ ou la première activité de l'écoulement.
Dénoté par un cercle plein.
? L'état final :
L'extrémité du diagramme d'activité est montrée par un symbole de boudine, également appelé comme activité finale.
b. Activité :
Une activité (activity) décrit l'exécution de fonctionnalités ou de comportements. Elle est modélisée par plusieurs noeuds reliés par des flèches.
81
On distingue les noeuds d'action, les noeuds de contrôle et les noeuds objets. Les activités possèdent tant un modèle de flux de contrôle qu'un modèle de données. Elle est Représentée par un rectangle avec les bords (presque ovales) arrondie.
Activité
c. Action :
La plus petite unité de fonction exécutable au sein d'une activité est l'action (action). Elle est représentée sous forme de rectangle aux angles arrondis. Ce rectangle contient le nom ou une brève description de l'action. Si une action est un appel d'activité, alors un petit symbole de fourchette est apposé en bas, à droite.
d. Transition :
? Transition automatique :
Elle représentée par une flèche simple qui est franchie quand l'activité précédente est finie.
Transition (automatique)
|
Une activité |
Autre activité |
|
? Transition gardée (alternative) :
Elle représentée par une flèche avec une condition entre crochets qui est franchie si la condition est vérifiée.

Gardée ou alternative
[Sinon]
Condition de garde
Une activité
[Non accepter]
Autre activité
La figure suivante présente le diagramme d'activités du système GESTPRO_ETS.
82

Figure 15 : Diagramme d'activité
1. Définition du Cahier des charges.
Le cahier des charges est un document de synthèse des études préalables. Il doit à la fois fournir au concepteur les informations nécessaires et indique les problèmes que les propositions de matériels devront résoudre26.
En d'autre terme, est un document contractuel décrivant ce qui est attendu explicitement entre maître d'oeuvre (Fournisseur) et maître d'ouvrage (Client). Il s'agit donc d'un document décrivant de la façon la plus possible le contenu de la prestation attendue et il contient les vocabulaires simples, des éventuelles contraintes concernant les conditions techniques de production, d'exploitation et qualité27.
Le cahier de charge a un double objectif :
? C'est un catalogue destiné à la préparation d'un contrat et
26 P.A POUNET, le lancement d'un système informatique de gestion, Dunod, France, 1969, P48.
27 Idem
83
· un document interne qui va servir à l'étude détaillés de la nouvelle organisation.
Le cahier de charge décrit les éléments suivant :
· Les besoins des utilisateurs ;
· L'environnement du travail ;
· Caractéristique des matériels et logiciels ;
· Coûts d'implémentation du système ;
· Coûts du projet ;
· Délai d'exécution des travaux.
a) Besoins des utilisateurs
Lors de notre passage au sein du Fonds de Promotion pour l'Education Nationale,
les utilisateurs ont exprimé leurs besoins liés au résultat que cette application sera en
mesure de produire :
? Sur le plan des interfaces :
- Les interfaces de saisie ;
- Les interfaces de Mise à Jour ;
- Etc...
? Sur le plan des états :
- Le répertoire des projets ;
- Le répertoire des établissements scolaires.
b) Environnement de travail
Après avoir conçu le système d'information, celui-ci doit être implémenté dans un environnement. Nous avons opté pour l'environnement multiposte. L'environnement de travail multiposte consiste à tout centralisé dans un serveur distant qui regorge la logique applicative, l'accès aux données et l'interface utilisateur.
84
c) Caractéristiques des matériels et logiciels
Un système d'information informatisé pour être mis en place exige des ressources matérielles (HARDWARE) et logicielles (SOFTWARE) pour prendre en charge l'application développée.
En se réfèrent au cahier de charges, nous proposons d'équiper ce service avec des matériels informatiques et des logiciels approprié dont les caractéristiques sont ci - après :
a) Aspect matériel
|
Désignation matérielle |
Qté |
Unité |
Coût unit $ |
Coût total $ |
|
Ordinateur Dell |
10 |
Pièce |
650 |
6500 |
|
Onduleur UPC 650 VA |
30 |
Pièce |
105 |
3150 |
|
Switch 8 ports catalyst 10/100/1000 mbps |
4 |
Pièce |
160 |
720 |
|
Imprimante laser jet |
15 |
Pièce |
400 |
6000 |
|
Scanneur |
2 |
Pièce |
170 |
340 |
|
Câble UTP catégorie 5 |
2 |
Rlx |
150 |
300 |
|
Pince à sertir |
10 |
Pièce |
25 |
250 |
|
Testeur de signal |
5 |
Pièce |
15 |
75 |
|
Connecteur RJ-45 |
1000 |
paquet |
0.5 |
500 |
|
Serveur |
2 |
Pièce |
11000 |
22000 |
|
Goulotte |
100 |
mètre |
55 |
5500 |
|
Clé USB |
5 |
Pièce |
10 |
50 |
|
TOTAL1 |
66835 |
|||
Tableau 14 : Aspect matériel
85
b) Aspect logiciel
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
||
|
|
|
|
|
||
|
|
|
|
|
||
|
|
|
|
|
||
|
|
|
|
|||
|
|
|
|
|
||
|
||||||
Tableau 15 : Aspect logiciel
c) Maintenance des logiciels et des équipements informatiques
|
Désignation et caractéristiques |
Unité |
Qté |
Coût ut $ |
Coût total $ |
|
Entretien du réseau Intranet |
Trimestre |
4 |
900 |
3600 |
|
Entretien et réparation des ordinateurs |
Trimestre |
18 |
60 |
1080 |
|
Entretien et réparation des imprimantes |
Trimestre |
5 |
40 |
200 |
|
Travaux d'entretien et de restauration de la base de données |
Mensuelle |
12 |
500 |
6000 |
|
Maintenance des applications et des serveurs |
Semestrielle |
2 |
3000 |
6000 |
|
TOTAL3 |
16880 |
|||
Tableau 16 : Maintenance des logiciels et des équipements informatiques
4 Coût d'implantation du système : 5000$
4 Délai d'exécution du projet : ?3 Mois
4 Coût total : Total1 + Total2 + Total3+ Coût d'implémentation = 89.265$
86
2. Architecture Client/serveur
Les architectures client-serveur constituent une étape importante dans l'évolution des systèmes d'informations. Ce type d'architecture est constitué uniquement de deux parties: un client qui gère la présentation et la logique applicative, un serveur qui stocke les données de façon cohérente et gère éventuellement une partie de la logique applicative. L'interface entre ces deux parties est classiquement le langage SQL (dans sa version normalisé ou dans une version propriétaire)28.
La configuration géographique du système d'information impose un développement d'une solution Client/serveur à trois niveaux : un serveur de la base de données et un serveur Web reliés aux différentes stations des activités administratives.
Puisque nous développons une application Web, nous faisons face à plusieurs contraintes techniques :
? Performance : Besoin d'un lien Internet permettant des actions/réponses à haute vitesse
? Sécurité : Besoin d'un serveur dédié à l'Internet, en plus d'un ?firewall? afin d'empêcher des malfaiteurs d'entrer dans le système et de le rendre inutilisable.
? Interopérabilité : Besoin de logiciels ou matériels de réseautique afin de permettre la conception et l'exécution du système.
? Disponibilité : Étant donné que le logiciel sera développé pour l'Internet et que l'accès sera 24/24h, des postes dédiés seront mis à la disponibilité 24/24h pour des changements éventuels.
Toutes les stations sont reliées au serveur web pour tous les processus de la réalisation de projet des établissements scolaires effectués sur leur terminal, au serveur de Base de données qui stockent les données persistantes. Dans le cas de notre application un serveur Web sera relié au poste de client.
28 Web Service. [En ligne]. Disponible sur http://cours-info.iut-bm.univ-fcomte.fr/ , consulté le 06/07/2015.
87
En règle générale, une application est découpée en 3 niveaux d'abstraction :
- La couche présentation : qui gère les interactions utilisateur/machine ;
- La couche traitements : contrôles effectués au niveau du dialogue avec
utilisateur/machine ou L'application elle-même ;
- La couche de données : Gère le stockage des données et l'accès à ces dernières
Dans une approche d'application de type 1-tiers, les trois couches sont fortement et intimement liées, et s'exécutent sur la même machine. Dans ce cas, on ne peut pas parler d'architecture client-serveur mais d'informatique centralisée.

Figure16 : L'architecture 1-tiers
L'architecture à deux niveaux (aussi appelée architecture 2-tiers, tiers signifiant tierce partie) caractérise les systèmes clients/serveurs dans lesquels le client demande une ressource et le serveur la lui fournit directement. Cela signifie que le serveur ne fait pas appel à une autre application afin de fournir le service.
Présentation et traitements sont sur le client, Les données sur le serveur et le contexte multi-utilisateurs avec accès aux données centralisées (middleware).
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Figure17 : L'architecture 2-tiers
Dans l'architecture à 3 niveaux (appelées architecture 3-tiers), il existe un niveau intermédiaire, c'est-à-dire que l'on a généralement une architecture partagée entre: ? Le client: le demandeur de ressources ;
? Le serveur d'application (appelé aussi middleware): le serveur chargé de fournir la ressource mais faisant appel à un autre serveur ;
? Le serveur secondaire (généralement un serveur de base de données), fournissant un service au premier serveur

Figure18: L'architecture à 3 niveaux
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Cette étape consiste à réaliser concrètement dans un langage de programmation, sur du matériel. C'est au cours de cette étape qu'à lieu la véritable naissance du futur système d'information, la responsabilité du système d'information est transférée de l'analyste programmeur (maître d'oeuvre) aux utilisateurs (maître d'ouvrage).
Toute fois le concepteur est appelé à maitriser la programmation afin de débloquer les situations éventuelles qui peuvent arriver et de bien conduire le projet informatique.
En pratique, pour le développement du système d'information, le langage de modélisation unifié (UML) met à l'usage des concepteurs des outils d'atelier de génie logiciel entre autre :
? Le maquettage ? Le prototypage
Le maquettage est un outil qui permet la création des maquettes. Par définition : la maquette d'un système d'information est une implémentation de ce système qui a l'apparence des programmes qui supporteront ce système d'information et qui fonctionne comme ces programmes mais avec des performances dégradées.
La nouvelle vision du concepteur dans l'ingénierie des systèmes d'information donne la possibilité au concepteur d'alléger la tâche du programmeur par la conception des maquettes.
Le prototypage est un outil de génie logiciel qui a pour but de créer de prototypes. Ainsi, le prototype d'un système d'une information est une première implantation de ce système d'information qui fonctionne comme des programmes qui supporteront ce système d'information.
C'est sur base du prototypage le programmeur ou développeur va enchainer avec le positionnement des propriétés et l'écriture des codes.
Apres installation de SQL Server 2012, vient le tour de son implémentation sur ordinateur par la procédure suivante :
90
Concernant notre logiciel, nous avons porté notre choix sur la plate-forme de développement Java car il apporte une puissance inégalée et nécessite une rigueur importante. Le Java fournit un ensemble de technologies et d'outils facilitant le développement d'applications : Applications Windows classiques, applications web, services Windows et services web.
En définitive le système de gestion de base données c'est un logiciel supportant le modèle relationnel, et qui manipule les données avec des opérateurs relationnels. Pour l'implémentation de la base de données « GEST_PROJET », nous avions opté comme SGBD ; SQL Server 2012.
Le SQL Server 2012, est un Système de Gestion de Base de Données (SGBD), ce qui lui confère une très grande capacité à gérer les données tout en conservant leur intégrité et leur cohérence. SQL Server est un SGBDR (Système de Gestion de Base de données Relationnelle) entièrement intégré à Windows, ce qui autorise de nombreuses simplifications au niveau de l'administration, tout en offrant un maximum de possibilités.
SQL Server est chargé de :
- stocker les données,
- vérifier les contraintes d'intégrité définies,
- garantir la cohérence des données qu'il stocke, même en cas de panne (arrêt
brutal) du système,
- assurer les relations entre les données définies par les utilisateurs.
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Lancement de SQL Server 2012 en cliquant sur Démarrer/programmes ou tous les programmes, pointer SQL Server 2012 et cliquez sur SQL Server Management Studio, un boite de dialogue s'affiche et vous demande de vous connecter en choisissant le mode d'authentification soit Windows ou SQL Server.
Par défaut, c'est l'authentification Windows qui s'affiche et là, il suffit de cliquer sur se connecter, directement vous avez accès au serveur. Après s'être connecté, l'interface de SQL Server Management Studio s'affiche comme suit :

Au début des années 90, Sun travaillait sur un projet visant à concevoir des logiciels simples et performants exécutés dans des PDA (Personnal Digital Assistant). Le langage C++ a été retenu pour la programmation de ces logiciels, mais le langage C s'est avéré peu performant, notamment en ce qui concerne la sécurité et la facilité d'utilisation.
Nous avons donc opté pour un nouveau langage spécifique inspiré du C : le langage Java.
? orienté objet : Java est un langage full objet c'est-à-dire qu'il respecte une approche orientée objet de la programmation, sans qu'il ne soit possible de programmer autrement. En clair, contrairement au C++, on ne peut faire que de la programmation orientée objet avec Java.
? portable : un programme écrit en Java sur une plate-forme peut être exécuté sans aucune modification sur un autre système, à condition bien sûr qu'un
92
environnement d'exécution (i.e. une machine virtuelle) soit disponible sur ce dernier.
? interprété : Un programme écrit en Java est exécuté par un interpréteur qui traduit en temps réel les instructions Java en instructions exécutables par le système hôte. En fait, une source écrite en langage Java n'est pas exécuté tel quel : Une source Java est transformé en un fichier qui sera interprété par une machine virtuelle. Il convient de noter que la portabilité de Java découle du fait qu'il soit interprété.
? doté d'une API évoluée : Java est livré en standard avec une importante API (Application Programming Interface) : threads, sockets, entrées/sorties...
? orienté réseau : Non seulement Java dispose de fonctions standards permettant la gestion de sockets mais il est intrinsèquement prévu pour fonctionner dans un environnement réseau de type Internet/intranet, via la création d'Applets exécutées dans un navigateur web.
A partir de la version 1.1 du JDK, l'API JDBC (Application Programming Interface Java DataBase Connectivity) fait partie intégrante de la plate-forme Java. JDBC est un ensemble de classes et interface permettant de réaliser des connexions vers des bases de données et d'effectuer des requêtes avec le langage de requêtes structuré SQL (Structure Query Language). En plus de tout ce que fait ODBC (Open DataBase Connectivity), JDBC permet aussi l'accès à des sources de données sous forme de fichiers comme XML. En Java L'API JDBC est représenté par le package java.sql29.
1. Ouvrir le panneau de configuration,
2. Sélectionner l'Administrateur de source de données ODBC,
3. Cliquer sur l'onglet DNS Système,
4. Cliquer sur le bouton Ajouter,
29 Josich MUKENGE MBUMBA, Le Langage Java et Nous, Ed. CRIGED, Octobre 2012, P.129
93
5. Sélectionner dans la liste le pilote SQL Server puis cliquer sur le bouton terminer,
6. Indiquer un nom pour la source de données et sélectionner à quel serveur SQL Serveur voulez-vous vous connecter ?,
7. Cliquer sur le bouton Suivant,
8. Sélectionner la base de données à utiliser,
9. Cliquer sur le bouton Suivant, et fermer la fenêtre de l'administrateur de source ODBC.
Dans une application Java qui utilise une base de données, la mention de l'URL de la base de données est obligatoire :
String url= «jdbc:odbc:PROJET_FPEN»;
94
Dès qu'un driver a reconnu le gestionnaire de base de données correspondant à URL fournie, il lance une connexion à la base de données et utilise le nom d'utilisateur et le mot de passe indiqués. L'établissement de la connexion se fait selon le code suivant : Connection con=null ;
con= DriverManager.getConnection (url, « », « »);
L'objet Connection créé va permettre d'interagir avec la base. Pour réaliser des requêtes de sélection, un objet de type Statement doit être générer.
Statement requete=con.createStatement () ;
Le résultat d'une requete est récupéré au moyen d'un objet de type ResultSet. Cette interface permet d'accéder aux données extraites grâce à la requête.
1. Ecran de Démarrage
Lorsque l'application est lancée une page d'accueil s'affiche pour le démarrage de l'application, ceci dure pendant quelques secondes pour faire l'appelle de la boite de connexion (mot de passe).

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1.1 Ecriture des codes
public class Menu_principal extends javax.swing.JFrame {
private Timer t = null;
private int count=0;
public Menu_principal() {
initComponents();
this.setTitle("La page d'acceuil...");
t = new Timer(100, new ActionListener() {
public void actionPerformed(ActionEvent e) {
count ++;
jProgressBar1.setValue(count);
if(jProgressBar1.getValue() < 100){
jProgressBar1.setValue(jProgressBar1.getValue() + 1);
}
if(jProgressBar1.getValue() == 100){
//setVisible(false);
F_authentification fr =new F_authentification();
fr.setVisible(true);
t.stop();
}
}
});
t.start();
}
2. Boite de Connexion
Cette interface nous permet pour la sécurisation de l'application, avant d'y accéder il faut taper le mot de passe.
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2.1 Ecriture des codes
private void connexionActionPerformed(java.awt.event.ActionEvent evt) {
try
{
connexion con=new connexion();
ResultSet requete= con.resultat("select * from tableconnexion WHERE
username='"+txtusers.getText()+"' and password='"+txtpassword.getText()+"'");
if(requete.next()){
setVisible(false);
Menu fr=new Menu();
fr.setVisible(true);
}
catch(Exception e)
{
JOptionPane.showMessageDialog(null, "Nom utilisateur ou mot de
passe est incorrect");
}
txtusers.setText("");
txtpassword.setText("");
txtusers.requestFocusInWindow();
}
}
3. Menu Principal
Cette interface nous permet de faire le choix des interfaces tels que l'interface pour la saisie des projets, la grille des données, la saisie des Etablissements scolaires...
97

3.1 Ecriture des codes
package projet_fpen;
import javax.swing.JOptionPane;
public class Menu extends javax.swing.JFrame {
public Menu() {
initComponents();
this.setTitle("Menu principal");
// this.setExtendedState();
}
public void actionPerformed(java.awt.event.ActionEvent evt) {
projetActionPerformed(evt);
}
});
nouveau.add(projet);
nouveau.add(jSeparator4);
etablissement.setText("Etablissement");
nouveau.add(etablissement);
nouveau.add(jSeparator5);
responsable.setText("Responsable");
nouveau.add(responsable);
nouveau.add(jSeparator6);
regime.setText("Regime");
regime.addActionListener(new java.awt.event.ActionListener() {
public void actionPerformed(java.awt.event.ActionEvent evt) {
regimeActionPerformed(evt);
98
}
});
nouveau.add(regime);
nouveau.add(jSeparator7); dossier.setText("Dossier"); nouveau.add(dossier);
nouveau.add(jSeparator8); fonction.setText("Fonction"); nouveau.add(fonction); nouveau.add(jSeparator10); fichier.add(nouveau);
fichier.add(jSeparator1);
imprimer.setText("Imprimer");
rep_projet.setText("Les repertoires des Projets des Etablissements"); imprimer.add(rep_projet);
jSeparator3.setBackground(new java.awt.Color(255, 0, 0)); imprimer.add(jSeparator3); rep_etab.setText("Les repertoires des Etablissements"); imprimer.add(rep_etab); imprimer.add(jSeparator11);
fichier.add(imprimer); fichier.add(jSeparator2);
quitter.setText("Quitter");
quitter.addActionListener(new java.awt.event.ActionListener() {
public void actionPerformed(java.awt.event.ActionEvent evt) {
quitterActionPerformed(evt);
}
});
MAJ_projet.setText("MAJ Projet");
java.awt.EventQueue.invokeLater(new Runnable() {
public void run() {
new Menu().setVisible(true);
}}) ; }
}
99
4. Formulaires
4.a) Formulaire Encodage des Projets des établissements
C'est une interface qui nous permet de faire l'enregistrement des nouveaux projets des établissements scolaires.

private void btnajouterActionPerformed(java.awt.event.ActionEvent evt) { try {
connexion con =new connexion();
ResultSet Rs=con.resultat("Select * from projet
where
code_projet='"+recherche.getText()+"'");
if(Rs.next()){
JOptionPane.showMessageDialog(null,"Attention, ce code projet existe déjà,
veuillez choisir un autre !. ");
}
else {
con.resultat("insert into
projet(code_projet,libelle_projet,nom_etabli,regime,cout_projet,date_ass,observation) values
('"+txtcodeprojet.getText()+"','"+txtlibelleprojet.getText()+"','"+nometabli+"','"+regime+"','"+
txtcout.getText()+"','"+date_assistance+"','"+txtobs.getText()+"')");
} }
catch (Exception ex) {
JOptionPane.showMessageDialog(null,"Erreur "+ex.getMessage());
100
txtcodeprojet.setText("");
txtlibelleprojet.setText("");
txtcout.setText("");
txtobs.setText("");
txtcodeprojet.requestFocusInWindow();
jTable2.setModel(new javax.swing.table.DefaultTableModel(listeeleve("select * from
projet"),new
String[]{"Code_projet","Libelle_projet","Nom_etabli","Regime","Cout_projet","Date_ass","
Observation"}));
}
a) Formulaire Encodage des Régimes des établissements
C'est une interface qui nous permet de faire l'enregistrement des régimes des établissements scolaires.

4. Etats de sortie
a. Répertoire des projets des établissements
101

b. Répertoire des établissements

102
La recherche opérationnelle que nous avons menée portait sur le système informatisé de planification et suivi de gestion des projets des établissements scolaires. Le but était de contribuer à l'amélioration du fonctionnement du système de gestion des projets des établissements. Nous avons mené une enquête descriptive qui a consisté à une interview avec consentement des intervenants dans la direction technique du FPEN, une revue documentaire suivi d'une observation des supports utilisés.
En effet, Il était question de concevoir une base de données qui devrait pallier à des faiblesses de l'ancien système. Ce projet de développer une application de nouvelle technologie de l'information et de la communication fonctionnelle qui permet d'offrir la possibilité de gérer les activités du FPEN et arrivé à résoudre les difficultés au sein de l'organisation.
Nous avions recouru au langage de modélisation UML pour modéliser le obtenir système et notre base de données ; cela est dit, ce travail a été pour nous une occasion de réfléchir sur la manière de conduire un projet informatique.
Au cours de cette étude, nous avions visé à faire :
Une problématique qui est un ensemble des difficultés que l'on trouve dans le système en place ;
Une hypothèse qui a pour but de rendre l'ancien système de gestion automatique.
Une étude préalable qui a pour but de connaitre le fonctionnement du système existant, de critique et de proposer les solutions nouvelles .
Ce travail étant une composition scientifique et humaine, loin de nous est l'intention de lui garantir un caractère excellent. Nous osons croire que les insuffisances éventuelles qui pourront être observées, mériteront une correction scientifique valable permettant l'amélioration et la perfection de l'esprit scientifique et surtout dans le domaine de mise en place des structures informatiques en général.
103
I. Ouvrages
1. Camille MOINE : informatique appliqué à la gestion 1ér et 2ème année, 1ér 2ème 2è édition, 2008.
2. Jean Luc BATISTE, Merise Guide pratique, éd. eni. Lille(France), 1999
3. Joseph Gabay, analyse et conception, Mise en oeuvre guidée avec études de cas, Eyrolles, 2000.
4. Joseph Gaby, UML 2 Analyse et conception, Edition DUNOD, Paris, 2008.
5. Josich MUKENGE MBUMBA, Le Langage Java et Nous, Ed. CRIGED, Octobre 2012.
6. M'VIBUDULU J.A., L.D. KONKFIE, Technique des bases de données Etudes et Cas : 2emeEdition Corrigée et révisée, Kinshasa, CRIGED, Décembre 2012.
7. Pascal Roques, Cours de UML 2 pour la pratique, inédit, Eurolls, 2006.
8. P.A POUNET, le lancement d'un système informatique de gestion, Dunod, France, 1969.
9. Pinto et Grawitz., Les méthodes en sciences sociales, éd. Dalloz, Paris, 1971.
10. Philipe Mathieu Cours de base de données (de Merise à JDBC) Inédit. Lille(France) 1999.
II. Cours
1. Emmanuel KANGA MATONDO, Question Approfondie de l'informatique, ISC Gombe, 2015, Inédit.
2. MAPHANA MA NGUMA, Cours d'audit informatique, ISC/Gombe, 20125, inedit.
3. MVIBUDULU KALUYIT, Méthode d'analyse informatique, ISC Gombe, 2012, Inédit.
4. Jacques MATAYA MAMBUNI, Analyse des organisations, ISC/Kin, L2 INFO, 2015, inédit.
5. Josich MUKENGE MBUMBA, Cours de conception des systèmes d'information « Etude de Cas », Inédit/ISC
104
III. Webographie
1. Cyril Gruau, Conception d'une base de données [en ligne] disponible sur http://www.win-design.com/fr/index.htm, (consulter le 14/01/2015 à 20:45)
2. Techniques d'ordonnancement. [En ligne]. Disponible sur : http://www.univ-lemans.fr/~kzhao, Consulté le 15/01/2015.
3. Web Service. [En ligne]. Disponible sur http://cours-info.iut-bm.univ-fcomte.fr/doc/bm.html , consulté le 06/07/2015.
105
INTRODUCTION 1
PREMIERE PARTIE : CADRAGE DU PROJET ET APPROCHE CONCEPTUELLE 2
CHAPITRE I : TERMES DE REFERENCES 3
I.1. PROBLEMATIQUE 3
I.6 CANEVAS DU TRAVAIL 6
CHAPITRE II : PLANNING PREVISIONNEL DE REALISATION DU PROJET 7
II.0. INTRODUCTION 7
II.1. TECHNIQUE D'ORDONNANCEMENT 7
III.1. LA METHODE M.P.M (METHODE DES POTENTIELS METRA) 8
II.1. TABLEAU D'ENCHAINEMENT DES TACHES 9
II.2. CALCUL DES NIVEAUX 9
II.3. DIAGRAMME MPM 10
II.4. CALCUL DES DATES 10
II.5. DETERMINATION DES MARGES 12
II.6. DETERMINATION DES TACHES ET CHEMIN CRITIQUE 13
II.7.1 DETERMINATION DES TACHES 14
II.7.2. DETERMINATION DU CHEMIN CRITIQUE 14
II.8. TABLEAU SYNTHETIQUE 16
II.9. TABLEAU SYNTHETIQUE 17
CHAPITRE III : CONCEPTS DE BASE 18
III.1. AVENEMENT DE LA BASE DE DONNEES 18
III.1.1 SYSTEME DE GESTION DES BASES DE DONNEES 18
III.1.2 BASE DE DONNEES 19
III.1.3 DIFFERENTS MODELES DES BASES DE DONNEES 19
III.1.4 OBJECTIF D'UNE BASE DE DONNEES. 20
III.2. CONCEPTS INFORMATIQUE 21
III.2.1. CONCEPTION 21
III.2.2. SYSTEME 22
III.2.3. SYSTEME D'INFORMATION ET SYSTEME INFORMATIQUE 22
III.2.3.1 SYSTEME D'INFORMATION 22
III.2.3.1.1 QUALITES DU SYSTEME D'INFORMATION 23
III.2.3.1.2 ARCHITECTURES D'UN SYSTEME D'INFORMATION 24
III.2.3.2 SYSTEME INFORMATIQUE 24
III.2.4. APPROCHE SYSTEMIQUE 24
III.2.5. MODELISATION SYSTEMIQUE DE L'ENTREPRISE 25
III.3. CONCEPTS RELATIFS A LA PLANIFICATION ET SUIVI DE GESTION DES PROJETS DES
ETABLISSEMENTS SCOLAIRES. 27
III.3.1 GESTION : 27
III.3.2 PROJET :. 27
III.3.3 ETABLISSEMENT : 27
DEUXIEME PARTIE : ETUDE PREALABLE 28
OBJECTIFS : 29
NATIONALE (FPEN) 29
I.1. BREF APERÇU HISTORIQUE 29
I.2. SITUATION GEOGRAPHIQUE 30
I.3. OBJECTIF DU FPEN 30
I.4. FORME JURIDIQUE 30
I.5. ACTIVITES PRINCIPALES 30
I.6 STRUCTURE ORGANISATIONNELLE 31
I.6.1 ORGANIGRAMME DU FONDS DE PROMOTION POUR L'EDUCATION NATIONALE(FPEN) 32
I.6.2 JOB DESCRIPTION 33
106
I.6.2.1 LA DIRECTION GENERALE 33
CHAPITRE II. ANALYSE DE L'EXISTANT 34
2.1. BUT : 34
II.1 STRUCTURE FONCTIONNELLE DE GESTION DES PROJETS DES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES 35
II.1.0 LA DIRECTION TECHNIQUE 35
II.2 DESCRIPTION DES ACTIVITES 37
II.3 ORGANIGRAMME FONCTIONNEL DE LA DIRECTION TECHNIQUE DU FPE 37
II.4 IDENTIFICATION DES PROCESSUS 38
II.4.1 PROCESSUS DE FINANCEMENT ET REALISATION DES PROJETS DES ETABLISSEMENTS 38
II.4.1.1 PRESENTATION 38
II.4.1.2 ETUDE DES POSTES DE TRAVAIL 38
II.4.1.2.1. RECENSEMENT ET DESCRIPTION DES POSTES 38
II.4.1.2.1.1. RECENSEMENT DES POSTES 38
II.4.1.4 ETUDE DES DOCUMENTS 40
II.4.1.5. SCHEMA DE CIRCULATION DES INFORMATIONS 44
II.4.1.5.1. SYMBOLES UTILISES 45
II.4.1.5.2. COMMENTAIRES 45
II.5. ETUDE DES MOYENS DE TRAITEMENT DES INFORMATIONS 46
II.5. DIAGRAMME DE FLUX 47
II.5.1. DEFINITIONS 47
II.5.2. ILLUSTRATION 48
CHAPITRE III. BILAN CRITIQUE 49
III.1 AU NIVEAU DE L'ORGANISATION ET DE LA GESTION 49
III.2 AU NIVEAU DU SYSTEME D'INFORMATION 50
III.3 AU NIVEAU DES DOCUMENTS 50
III.4 AU NIVEAU DES TRAITEMENTS 50
III.5 AU NIVEAU DES MOYENS FINANCIERS 50
III.6 AU NIVEAU DES MOYENS HUMAINS 50
III.7 AU NIVEAU DES MOYENS MATERNELS 50
CHAPITRE IV : PROPOSITION DES SOLUTIONS 51
IV.1 SOLUTION MANUELLE 51
IV.2 SOLUTION INFORMATIQUE 51
IV.3 SCENARIO DE REORGANISATION DU SYSTEME EXISTANT 52
IV.4 SCENARIO D'INFORMATISATION 52
IV.5 CHOIX DE LA MEILLEURE SOLUTION 53
TROISIEME PARTIE : CONCEPTION ET REALISATION DU NOUVEAU SYSTEME
D'INFORMATION 54
CHAPITRE I : CONCEPTION DU NOUVEAU
SYSTEME D'INFORMATION AVEC LE
LANGAGE DE MODELISATION UNIFIEE (UML) 56
I.1 PRESENTATION DE L'UML 56
I.1.1 LANGAGE DE MODELISATION UNIFIEE (UML) 56
I.1.2 LE FORMALISME D'UML 56
I.1.3 MISE EN OEUVRE D'UNE DEMARCHE A L'AIDE D'UML : 57
I.1.4 LES DIAGRAMMES UML 58
I.2 ETUDE DU POINT DE VUE FONCTIONNEL 59
I.2.1 DEMARCHE D'ELABORATION D'UN CAS D'UTILISATION 59
I.2.1.1 LES CONCEPTS DE BASE 61
I.2.2 IDENTIFICATION DES ACTEURS 63
I.2.3. IDENTIFICATION DES CAS D'UTILISATION 63
I.2.3. 1. ILLUSTRATION DU DIAGRAMME DE CAS D'UTILISATION 64
I.2.4. DESCRIPTION DES CAS D'UTILISATION 65
I.2.5. ELABORATION DU DIAGRAMME DE SEQUENCES 66
I.3 ETUDE AU POINT DE VUE STATIQUE 67
I.3.1 ELABORATION DU DIAGRAMME DE CLASSES 67
107
I.3.1.1. LES REGLES DE GESTION ET D'ORGANISATION 68
I.3.1.2. CLASSES D'OBJET IDENTIFIEES 68
I.3.1.2 : DIAGRAMME DE CLASSES 71
I.3.1.3. CONCEPTS ELEMENTAIRES : 71
I.3.1.4. LA MULTIPLICITE DES ASSOCIATIONS (CARDINALITES) 73
I.3.1.5. ILLUSTRATION DU DIAGRAMME DE CLASSES 74
LES CODES DE JAVA RELATIFS AUX DIAGRAMMES DE CLASSES 75
I.3.2. ELABORATION DU DIAGRAMME DE DEPLOIEMENT 77
I.3.3. CONCEPTION DU MODELE D'EXPLOITATION 78
I.4 ETUDE AU POINT DE VUE DYNAMIQUE 80
I.4.1 DIAGRAMME D'ACTIVITES 80
I.4.2. CAHIER DES CHARGES 82
CHAPITRE II. DEVELOPPEMENT DU SYSTEME D'INFORMATION INFORMATISE 89
II.1. LE MAQUETTAGE 89
II.2. LE PROTOTYPAGE 89
II.3. CHOIX DE LA PLATE-FORME DE DEVELOPPEMENT 90
II.3.1 BREVE PRESENTATION DU SGBD (SQL SERVER 2012) 90
II.3.1 : CREATION DE LA BASE DE DONNEES A PARTIR DE MICROSOFT SQL SERVER 2012 90
II.3.1. BREVE PRESENTATION DU LANGAGE DE PROGRAMMATION CHOISI 91
II.3.1.1. PRESENTATION 91
II.3.1.2. ATOUTS DE JAVA : 91
II.3.1.2 ACCES AUX BASES DE DONNEES 92
II.3.1.3. PARAMETRAGE DE LA SOURCE DE DONNEES ODBC 92
II.3.1.2. CONNEXION DE LA BASE DE DONNEES 93
II.3.1.3 LES REQUETE DE SELECTION ET DE MISE A JOUR 94
II.3.1.1. CREATION DES INTERFACES 94
1. ECRAN DE DEMARRAGE 94
1.1 ECRITURE DES CODES 95
2. BOITE DE CONNEXION 95
2.1 ECRITURE DES CODES 96
3.1 ECRITURE DES CODES 97
4. FORMULAIRES 99
CONCLUSION GENERALE 102
BIBLIOGRAPHIE 103
I. OUVRAGES 104
II. COURS .104
III.WEBOGRAPHIE 104