2. 1. 2 - Soufre total et autres contaminants : Teneurs
maximales en
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composés soufrés : de 50 à 150
mg/Smmaximum
Sont aussi considérés comme des
impuretés, les composés soufrés qui sont les plus
gênants mais aussi l'oxygène, l'azote et même des atomes
métalliques tels que le nickel et le vanadium. L'oxygène n'est
pas un contaminant naturel du gaz produit mais il apparaît souvent dans
les analyses. Son apparition est due aux entrées d'air dans les
installations à basse pression. Il peut être corrosif et dans
certaines proportions, former aussi un mélange explosif avec le gaz.
2. 1. 3 - Teneur en CO2 : De 2 à 3 % molaire
maximum
Le CO2 diminue le pouvoir calorifique du gaz naturel car il ne
fournit pas de chaleur de
combustion. Il est donc extrait, généralement
lorsqu'il est enlevé en même temps que l'H2S dans
différents procédés. Il doit être
éliminé quand le gaz doit être refroidi dans certains
domaines (essentiellement dans le cas de liquéfaction -GNL) de
température (cristallisation
bouchages).
2. 1. 4 - Point de rosée
Point de rosée eau : de l'ordre de -15°C à
70bar ;
Point de rosée hydrocarbure : de l'ordre de - 2 °C
à 70 bar.
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Optimisation d'un procédé de déshydratation
de gaz naturel
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2. 1. 5 - Pouvoir calorifique
Pouvoir calorifique inférieur : C'est
la quantité de chaleur, que dégage la combustion complète
à pression constante (de 1.01325 bar), de 1 kg de combustible liquide ou
de 1 m3 de gaz (conditions normales). Les produits de la combustion sont
ramenés à la température de 0°C et l'eau provenant de
la saturation en eau du combustible est supposée rester à
l'état vapeur à cette température.
Pouvoir calorifique supérieur :
Même définition que pour le PCI mais l'eau est
supposée totalement condensée à 0°C.
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