Problématique de l'autofinancement des asbl. cas de l'archidiocèse de Mbandaka-Bikoro( Télécharger le fichier original )par Nicolas BAIBOLAKA Université Catholique du Congo - Master 2014 |
III.4.2 Indicateurs de résultats monétaireNous allons, par économie de temps, nous préoccuper seulement et simplement de Cash flow et de la capacité d'autofinancement. a. Cash flowLe cash flow désigne les montants d'argent liquide encaissés ou dépensés par une entreprise sur une période déterminée (parfois pour un projet spécifique), le cash flow (aussi appelé flux de trésorerie) sert à évaluer l'état ou la performance d'une société ou d'un projet, à identifier les problèmes de rentabilité (une entreprise n'est pas forcément rentable quand elle fait des profits, et une société peut être déficitaire en raison d'un manque de liquidités même en faisant des bénéfices). Il est puisé dans le TFR comme étant résultat brut d'exploitation. Il se présente donc comme suit : Tableau n°... cash flow
Source : TFR Il est clairement remarquable que l'AMB, en 2011 a fait enregistrer un accroissement monétaire de 192 424.74 et une baisse de 77 792.85 en 2012. b. Capacité d'autofinancementLa capacité d'autofinancement (CAF) représente l'ensemble des ressources dégagées par une entreprise ou une association au cours d'un exercice du fait de ses opérations de gestion. Il est utilisée pour investir (ou augmenter le fonds de roulement), rembourser des emprunts, épargner, ou encore verser des dividendes aux actionnaires. Il est obtenu par la formule que voici : Bénéfice de l'exercice+ chargée internes - produits internes Tableau n°... CAF
Source : nous même Partant de ce tableau, nous pouvons dire que l'AMB est capable de payer ses dettes d'autant plus qu'il fait un surplus monétaire en un peu plus considérable. |
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