Conclusion
L'activité d'exploitation du terminal à
conteneur de Doraleh souffre d'un manque certain de reconnaissance de l'offre
de service à ces clientèles. Nous ne pouvons qu'espérer
une reconnaissance rapide, que par les autorités publiques, des
spécificités attachées à cette activité, qui
est considérée comme facteur de développement et de
croissance économique nationale.
Pour faire face à la concurrence régionale et
internationale, les politiques ne doivent plus se contenter de réformes
incomplètes. Les principes de participation de part d'investissement par
le gouvernement doivent impérativement être assouplis pour
autoriser plus de concurrence sur la zone portuaire. Il est également
primordiale de requalifié les stratégies appliquées par
les opérateurs et de prendre conscience des faits négatifs que
les opérateurs sont actuellement entraîne de réaliser.
Nous ne plaidons pas en faveur d'une privatisation des ports.
Les ports ont besoin d'une autorité publique de régulation mais
recentrée sur ses seules fonctions régaliennes. L'entrée
des acteurs et des financements prives ne doivent pas faire craindre une
privatisation mais au contraire permettre d'optimiser la productivité et
la compétitivité de l'activité d'opérateur de
terminaux. Les conflits sociaux incessants qui ne rendent attractive, ni
l'activité d'exploitation de terminal, ni les ports Djiboutiens,
témoignent de l'incapacité des autorités à faire
accepter les réformes portuaires dont nous sommes victimes depuis
quelques mois.
L'idée essentiel poursuivit est que le gouvernement
puisse mettre en place une reforme portuaire qui remet en question
l'activité de notre actuelle terminal et de voir la concordance
idéale qui pourrait redynamisée pour enfin atteindre nos
objectifs et de voir le boitement dont on était victime.
La récolte cueillit en tant qu'étudiant
témoigne de notre prise de conscience dans le domaine portuaire, dont
nos perspectives coïncides avec le temps. Afin de mieux cerner et de
préciser, que ce mémoire n'est point l'acte d'un autrui, mais une
réflexion mûre et fraîche d'un étudiant, ayant
l'audace et l'ambition de changer un mal en un bien tout comme disait OBAMA, le
président des Etats-Unis : « We can
change »
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