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L'impact religieux et socio-économique de l'épiscopat de monseigneur Paul Etoga sur le développement de la mission catholique de Nlong de 1995 a 1987

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par Joseph Hervé NGAH EKANI
Université Yaounde I - DIPES II 2007
  

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B. L'évolution des sacrements de l'Eglise

Les sacrements sont les signes efficaces de la grâce, institués par le Christ et confiés à l'Eglise, par lesquels la vie divine nous est dispensée9. L'Eglise Catholique reconnaît sept sacrements à savoir le baptême, la confirmation, l'eucharistie, la pénitence, l'onction des malades, l'ordre et le mariage.

Les registres de la mission catholique de Nlong ont permis d'élaborer le tableau ci-dessous :

Tableau N°4: Récapitulatif des baptêmes, des communions, des confirmations, et des mariages de Nlong de 1951 à 1987.

ANNEES

BAPTEMES

COMMUNIONS

CONFIRMATIONS

MARIAGES

1951-1955

380

290

150

96

1956-1960

516

616

190

104

1961-1965

520

530

300

180

1966-1970

400

450

400

65

1971-1975

404

400

150

75

1976-1980

520

550

570

50

1918-1985

488

400

275

35

1986-1987

100

100

50

15

TOTAL

3328

3336

2085

620

Sources : Registres des baptêmes, communions, confirmations et mariages de la mission catholique de Nlong.

8 J. P. Messina et J. V. Slageren, Histoire du christianisme au Cameroun, des origines à nos jours, Paris, Karthala, 2005, p. 88.

9 Anonyme, Catéchisme de l 'Eglise Catholique, p. 248.

1. Le baptême

Le saint baptême est le fondement de toute la vie chrétienne et la porte qui

ouvre l'accès aux autres sacrements. C'est le sacrement de la régénération par l'eau et dans la parole10. Le seigneur lui-même affirme que le baptême est nécessaire pour le salut. Aussi, a-t-il commandé à ses disciples d'annoncer l'évangile et de baptiser toutes les Nations. Le baptême est nécessaire au salut pour ceux auxquels l'évangile a été annoncé et qui ont eu la possibilité de demander ce sacrement11.

La courbe ci-dessous permet d'apprécier l'évolution des baptêmes de la mission catholique de Nlong de 1955 à 1987.

Courbe N°2 : Evolution des baptêmes de Nlong de 1955 à 1987.

Baptêmes

700 600 500 400

300
200
1 00

0

 
 
 

Années

1955 1960 1965 1970 1975 1980 1985 1990

Source : Courbe réalisée par nous grâce au registre des baptêmes
de la paroisse de Nlong.

10 Anonyme, catéchisme de l'église catholique, p. 266.

11 Ibid, p. 273.

Avec le sacre de Mgr. Paul Etoga en 1955, la mission catholique de Nlong connaît une augmentation sensible du nombre de baptêmes. A partir de 1966, ce nombre subit une baisse importante. Il est à noter que pendant cette période, le prélat se concentrait à bâtir le diocèse de Mbalmayo. L'autre facteur qui peut expliquer cette baisse est la pénurie des prêtres à Nlong12. En 1969, Mgr. Jean Zoa en tournée épiscopale à Nlong ironisait sur ce manquement en disant aux populations : « Vous vous plaignez de la pénurie des prêtres. Moi, je sais que vous avez deux prêtres dont l'un est en pantalon13 »14. Plusieurs personnes interrogées à Nlong pensent que monseigneur Jean Zoa alors archevêque de Yaoundé, refusait délibérément d'affecter les prêtres à Nlong par simple négligence. Cela dans le but de ternir l'image de la paroisse d'origine de Mgr. Paul Etoga15.

En 1976, une augmentation du nombre des baptêmes est perceptible grâce à l'engouement des populations au sacre de Mgr. Athanase Balla, originaire de Nlong, comme évêque du diocèse de Bafia. L'année 1981 est marquée par une diminution du nombre de baptêmes qui s'est amplifié en 1987. Cette chute est due au démembrement de la paroisse de Nlong.

2. La Confirmation et la communion

Par le sacrement de la confirmation, le lien des baptisés avec l'Eglise est rendu solide. Ils sont enrichis d'une force spéciale de l'Esprit Saint et obligés à répondre et à défendre la foi par la parole et par l'action, en vrai témoin du christ16. De ce fait, la confirmation apporte croissance et approfondissement de

12 On observe qu'à partir de 1966, il n'existe plus de poste de vicaire à Nlong. Un seul prêtre doit s'occuper de toute la Mission Catholique.

13 Le prêtre en pantalon ici est le chef catéchiste Joseph Zoa. La mission catholique fonctionnait avec un seul prêtre nommé Mathias Ateba .

14 M.J.G. Owona, « la mission catholique de Nlong de 1923-1966 : origine et évolution », Mémoire de Dipes II, ENS, 1998, pp. 58-59.

15 Monseigneur Paul Etoga disait à qui voulait l'entendre que c'est lui qui devait normalement être nommé archevêque en lieu et place de monseigneur Jean Zoa. Ce dernier digérait mal cette déclaration puisqu'il était titulaire d'un doctorat « summa cum laude » en 1953 obtenu au séminaire de la propagande. Ce diplôme était nécessaire pour occuper une telle fonction.

16 Anonyme, p.278.

700

Communions Confirmations

600

500

400

300

200

100

0

Années

la grâce baptismale. A la mission catholique de Nlong, ce sacrement avait lieu une fois par an ou après deux ans. Cela dépendait du passage de l'évêque à la Mission.

L'eucharistie quant à elle est source de toute la vie chrétienne17. Elle est souvent assimilée à la communion parce que c'est par ce sacrement que les catholiques s'unissent au Christ. Pour recevoir la sainte communion pendant la célébration de l'eucharistie, il faut d'abord prendre la première communion d'une part, et d'autre part se confesser.

L'examen de passage pour recevoir la première communion était rigoureux. Il fallait faire au moins deux ans d'étude du catéchisme18. L'examen final était supervisé par le curé. La courbe ci-après permet d'apprécier les évolutions respectives des communions et des confirmations de Nlong.

Courbe N°3 : Evolution des communions et des confirmations de Nlong de 1955 à 1987.

Effectifs

1955 1960 1965 1970 1975 1980 1985 1990

Sources : Courbe réalisée par nous grâce au registre des communions et des confirmations de la paroisse de Nlong.

17 Ibid, p.285.

18 Charles Messi, 52 ans, chef catéchiste actuelle de la paroisse de Nlong, le 06 Décembre 2007.

La courbe des confirmations évolue en dents de scie. Le sommet des dents correspond aux visites de l'évêque dans la localité. Puisque, seuls les évêques ont qualité à confirmer même s'il peut pour certaines raisons19concéder cette faculté à des prêtres. D'après Le catéchisme de l'Eglise Catholique : « Il est concevable de par le sens même du sacrement qu'il (l'évêque) le confère lui- même, n'oubliant pas que c'est pour cette raison que la célébration de la confirmation a été temporellement séparée du baptême »20.

A chaque fois que Monseigneur Paul Etoga se rendait à Nlong, il confirmait les enfants à la mission. En 1958, il confirma plus de trente enfants. Lors de la première messe de Mgr. Athanase Balla en tant qu'évêque à Nlong, Mgr. Paul Etoga confirma plusieurs enfants. C'est cela qui explique l'augmentation du nombre de confirmations entre 1976 et 1980.

Les communions quant à elles étaient constantes. Cependant, en 1987 la paroisse de Nlong enregistra une chute brutale du nombre des communions à cause de son démembrement. Avant le concile21 Vatican II, Mgr. Paul Etoga s'opposa à la fête profane qui suivait la cérémonie des communions. Selon lui, cette fête entachait la cérémonie. Pour D. Massi Gam's :

Tout ce qui était occidental était considéré comme sacré mais tout ce qui était issu du Camerounais (Africain) : Tam-tam, tambour, balafon, cri de youyou de femmes et le port des tenues traditionnelles africaines étaient considérés comme de la profanation ou du syncrétisme22.

Monseigneur Paul Etoga était tout simplement fidèle aux principes de l'Eglise Catholique.

19Si un chrétien est en danger de mort tout prêtre doit lui donner la confirmation. En effet, l'Eglise veut qu'aucun de ses enfants même tout petit ne sorte de ce monde sans avoir été parfait par l'Esprit Saint avec le don de la plénitude du Christ.

20 Anonyme, p. 283.

21 Le concile est une réunion d'évêques qui décident des questions de doctrine et de discipline ecclésiastique.

22 D. Massi Gam's, «l'évolution complexe de l'évangile en rapport avec la culture dans l'histoire de l'Eglise en Afrique : cas du Cameroun au XXe siècle», Mémoire DETA, Faculté de théologie de Yaoundé.

3. Le mariage

Le sacrement du mariage signifie l'union du Christ et de l'Eglise. Il donne aux époux la grâce de s'aimer de l'amour dont le Christ a aimé son Eglise. La grâce du sacrement perfectionne ainsi l'amour humain des époux. Il affermit leur unité indissoluble et les sanctifie sur le chemin de la vie éternelle23. Le mariage se fonde sur la volonté de se donner mutuellement et définitivement dans le but de vivre une alliance d'amour fidèle et fécond24. Puisque le mariage établit les conjoints dans un état public de vie dans l' Eglise, il convient que sa célébration soit publique, dans le cadre d'une célébration liturgique devant le prêtre (ou le témoin qualifié de l'Eglise), les témoins et l'assemblée des fidèles. La courbe ci-dessous permet d'apprécier l'évolution du mariage à Nlong de 1955 à 1987.

Courbe N° 4 : Evolution des mariages de 1955 à 1987 à Nlong.

Effectifs

1 80
1 50
1 20

90
60
30

0

 

Années

1955 1960 1965 1970 1975 1980 1985 1990

Source : Courbe réalisée par nous à partir du registre des mariages de la mission catholique de Nlong.

A Nlong comme partout au Cameroun, la célébration du sacrement de mariage était précédée par la célébration du mariage civil sous régime monogamique. On exigeait des chrétiens une préparation convenable pour la réception de ce sacrement25. Les fiancés devaient suivre un stage de six à vingt quatre mois dans le sixa. Tout ceci ne décourageait pas les chrétiens. Entre 1955 et 1965, Nlong connaît une augmentation du nombre de mariage. A partir de 1968, ce nombre connaît une baisse progressive. Cela est dû à la fermeture du sixa. Cette fermeture avait été précédée de nombreuses plaintes contre les pratiques peu orthodoxes26qui existaient au sein de ce sixa. A partir de 1975, d'autres raisons peuvent expliquer cette baisse comme l'exode rural27, le démembrement de la paroisse, etc.

4. La pénitence et l'onction des malades

Le sacrement de pénitence et de réconciliation est un sacrement qui consacre une démarche personnelle et ecclésiale de version, de repentir et de satisfaction du chrétien. C'est un sacrement de réconciliation car, il donne au pécheur l'amour de Dieu qui réconcilie. Le Christ a institué le sacrement de pénitence pour tous les pécheurs de son Eglise28. C'est à eux que ce sacrement offre une nouvelle possibilité de se convertir et de retrouver la grâce de la justification.

A Nlong, on obtenait le sacrement de pénitence après la confession des péchés devant le prêtre à la veille des fêtes religieuses comme pâque, noël, etc. Mais, certaines personnes venaient demander la confession elles-mêmes parce qu'elles se sentaient coupables d'avoir péché. Elles prenaient ainsi la résolution de ne plus recommencer. Les Béti de Nlong étaient habitués à ce genre de « cérémonie » où, le malade ou le pécheur se confessait pour obtenir une

25 J. Criaud, La geste des spiritains, p. 92.

26 D'après plusieurs informations, les prêtres étaient accusés d'avoir des relations intimes avec les femmes du sixa. C'est cela qui justifiait que certaines d'entre elles passaient plus de quatre ans dans le sixa.

27 Plusieurs jeunes en âge de se marier ont quitté Nlong pour aller chercher fortune ailleurs.

28 Anonyme, p. 310.

63 guérison. En moyenne, de 1955 à 1987, on enregistrait à la mission catholique de Nlong 500 confessions par an29.

L'onction des malades quant à elle, est le sacrement qui a pour but de conférer une grâce spéciale au chrétien qui éprouve des difficultés inhérentes en cas de maladie grave ou de vieillesse30. Elle consiste à l'onction de l'huile sainte sur le front et sur la main du malade. A Nlong, ce sont les parents du malade qui demandaient au catéchiste de faire venir le prêtre pour administrer ce sacrement. Mais, avant d'y aller le prêtre demandait au catéchiste si le malade vivait selon les exigences catholiques lorsqu'il était en bonne santé. Il arrivait parfois que les prêtres refusent de faire l'extrême onction à un païen ou à un polygame.

Les sacrements ne sont pas les seuls éléments qui contribuent au développement de l'Eglise comme disait le pape Jean XXIII que cite André Seumois en ces termes :

Pour la constitution intégrale de l'Eglise dans diverses régions, il ne suffit nullement en ce qui concerne les nouvelles communautés de fidèles de convertir des individus à la religion Catholique, de les baptiser et les enregistrer en grand nombre dans les catalogues ; il est aussi et surtout nécessaire de leur fournir une formation chrétienne indiquée selon les situations et de les rendre aptes à se charger selon leur capacité des activités qui peuvent profiter à la vitalité présente et au développement futur de l'Eglise31.

A cet effet, il est important d'étudier l'action des confréries sur le développement de la mission catholique de Nlong de 1955 à 1987.

C. La redynamisation des confréries

Les confréries sont des associations de laïques fondées sur les principes religieux. Ces associations se consacrent volontiers à vivre cette spiritualité dans l'Eglise. Avant le sacre de Mgr. Paul Etoga, les confréries de Nlong

29 AMCN, Rapports annuels de la Mission Catholique de Nlong de 1955 à 1987.

30 Anonyme, p. 326.

31 A. Seumois, Théologie missionnaire. Section I. Délimitation de la fonction missionnaire de l'Eglise, Rome, OMI, 1973, p. 35.

fonctionnaient de manière plus ou moins performante32. Après 1955, le nombre de membres dans les confréries augmenta comme le prouve le tableau ci- dessous :

Tableau N°5: Confréries de la mission catholique de Nlong de 1945 à 1985.

CONFRERIES

NOMBRE DES MEMBRES

1945

1955

1965

1975

1958

Saint sacrement

428

800

650

300

0

Sainte vierge Marie

207

500

800

500

350

Sainte Agnès

150

200

150

50

0

Sainte Anne

190

300

200

25

0

Saint Jean

24

50

40

10

0

Saint Rosaire

842

1500

1000

700

300

Source : AMCN, Listes des confréries de la mission de 1945 à 1985.

Les confréries fonctionnaient selon les vertus du Saint de leur nom de baptême. A titre d'exemples, la confrérie du Saint Rosaire avait pour objectif la pratique de la prière. Ses membres se réunissaient à la mission tous les samedis soir pour prier le rosaire. Dans la prière, l'Esprit Saint unit le fidèle à la personne du fils unique et en son humanité glorifiée33. La confrérie de la Sainte vierge Marie était composée des femmes qui se donnaient pour ambition de servir l'Eglise. Ces femmes s'occupaient de la propreté de l'église, en lavant le sol tous les samedis matin. Pendant les messes, elles s'occupaient de la discipline et veillaient que chaque chrétien soit bien assis34. Après 1975, les confréries de Nlong perdirent progressivement leur ampleur. Néanmoins, elles ont donné à leurs membres, un profil de chrétien qui leur permettait d'entrer dans un processus de transformation et de renforcement de leur foi.

32 Entretien avec Charles Messi.

33 Anonyme, p. 542.

34 Entretien avec Brigitte Ngah.

D. L'implantation des congrégations religieuses

En 1956, la congrégation des Frères du Sacré coeur fusionna avec la congrégation des Frères de Saint Joseph. Cette fusion chamboula les objectifs de cette dernière. En effet, les Frères de la congrégation de Saint Joseph vivaient comme des ouvriers. Pour éviter une éventuelle démission massive de ces derniers, Mgr. René Graffin avait commencé à travailler pour cette fusion en 195535 avant l'arrivée d'autres congrégations des Frères au Cameroun. La congrégation des Frères du Sacré coeur s'installa à Nlong sur le site de la congrégation des Frères de Saint Joseph et mit l'accent sur l'enseignement général.

La fusion de ces deux congrégations sera à l'origine du transfert définitif de l'imprimerie de Nlong à Yaoundé. Pour le Frère Jean Marie, le manque de personnel qualifié a milité en faveur de ce transfert. Nonobstant, Mgr René Graffin pouvait affecter le personnel qualifié à Nlong au lieu de transférer l'imprimerie à Yaoundé. C'est pourquoi plusieurs personnes interviewées à Nlong pensent que Mgr. René Graffin l'avait fait pour ternir la renommée de la mission catholique de Nlong, Mission d'origine de Mgr. Paul Etoga.

En 1958, un noviciat, chargé de former les futurs Frères est crée au sein de cette congrégation à Nlong. Pour devenir Frère, il fallait suivre trois années d'études et d'épreuves36. Le candidat passait par des niveaux précis : aspirant, postulant et novice. Plusieurs personnes, originaires de Nlong, entrèrent au noviciat pour devenir Frère.

En 1987, la congrégation des Frères du Sacré coeur est présente à Nlong. Cependant elle n'a plus dans ses effectifs les Frères originaires de Nlong, puisque ces derniers ont tous démissionné. Cela apparaît pour le prélat comme un échec dans son ministère pastoral car pour lui vivre dans l'humilité37et la prière constituait le salut de la vie éternelle.

35 AAY, Rapport quinquennal de l'archidiocèse de Yaoundé, le 26 Décembre 1955, p. 6.

36 Frère Puis Essengue, 90 ans, Frère de la congrégation des Frères du Sacré coeur, Nlong le 6 Décembre 2007.

37 Entretien avec le Frère Jean Marie.

Le sacre de Mgr. Paul Etoga a donc été à l'origine de l'augmentation du nombre de sacrements à la mission catholique de Nlong. Les messages adressés aux populations de Nlong ont contribué à renforcer la foi de ces dernières. Cet enthousiasme a permis aux populations d'évoluer dans les mentalités en intégrant l'évangile dans leur vie. Ce fait justifie ainsi l'amplification des vocations au sein de la population.

II. SUR LE PLAN DES VOCATIONS

La vocation est le mouvement intérieur par lequel une personne se sent appelée au sacerdoce ou à la vie religieuse. Après le sacre de Mgr. Paul Etoga, plusieurs personnes, originaires de la paroisse de Nlong furent appelées pour le sacerdoce et surtout à la vie religieuse.

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"Il faudrait pour le bonheur des états que les philosophes fussent roi ou que les rois fussent philosophes"   Platon