CHAPITRE II : INTERNET
Introduction
Depuis son invention l'ordinateur a évolué
à pas de géant en terme de vitesse de processeur, qualité
de l'image et du son, portabilité, capacité de stockage. Et
Internet est devenu quasiment indispensable pour tout détenteur
d'ordinateur, outil de recherche, lieux de divertissement, moyen de
communication. D'après Wikipédia, l'encyclopédie libre,
Internet est le réseau informatique mondial qui rend accessible au
public des services comme le courrier électronique et le World Wide Web.
Ses utilisateurs sont désignés par le néologisme «
internaute ». Techniquement, Internet se définit comme le
réseau public mondial utilisant le protocole de communication IP
(Internet Protocole). Le web est un système hypertexte public
fonctionnant sur Internet et qui permet de consulter, avec un navigateur, des
pages mises en ligne sur des sites. L'image de la toile vient des hyperliens
qui lient les pages Web entre elles. De nos jours, l'Internet est devenu une
grande plateforme multimédia grâce au format de compression et
à l'augmentation de la vitesse des transferts de données. Il y'a
des centaines de sites qui permettent de visionner des films, d'autres de la
télécharger plus ou moins légalement, d'autres sont juste
des outil de promotion ou d'information sur les films. Alors comment trouver
son chemin dans la toile ? D'abord nous allons étudier la question du
téléchargement et commencer par la naissance des
communautés de P2P et comment cela a évolué pour donner
des possibilités légales de téléchargement avec la
VOD.
L'histoire du P2P
Il y'a près de dix ans déjà, en 1998 que
Shawn Fanning décida de créer un logiciel afin d'échanger
des fichiers MP3 entre amis sur le Net au lieu de se déplacer à
chaque fois pour échanger des CD. Une idée simple mais qui a
révolutionné les habitudes de consommation, d'utilisation du web,
de l'industrie du disque et des autres médias. En quelques mois le
logiciel est téléchargé des milliers de fois.
La RIAA (Recording Industry Association of America), prise de
court par le P2P, et par les baisses substantiel de vente de CD ( -20 % sur les
deux titres ) décide de porter plainte contre Napster pour violation des
droits d'auteurs. Et en 2000, Napster se retrouve face aux avocats de Metallica
et Dr Dre. Alors pour éviter la fermeture des serveurs, Napster lance le
déploiement immédiat d'un filtre anti-piratage empêchant la
circulation des morceaux sous le coup de droits d'auteurs. Ceci à pour
cause la diminution drastique des titres disponibles et la migrations des
utilisateurs de Napster vers d'autres systèmes d'échange de
fichiers MP3 comme Napigator. Ainsi un nouveau Napster payant naîtra le
premier trimestre 2002 suite à un accord signé avec la National
Music Publishers Association (NMPA) qui regroupe les éditeurs de musique
américains indépendants. Maintenant les réseaux P2P comme
Emule et Kazaa n'échangent pas seulement des fichiers audio mais aussi
des fichiers vidéo grâce au format DivX. L'industrie du
cinéma s'est cru longtemps protégé du
phénomène de piratage dû à la taille énorme
des fichiers vidéo, mais l'apparition du format de compression DivX leur
a prouvé le contraire.
Explication du phénomène P2P
Dans un article paru dans « sens public6
» Sophie Boudet-Dalbin nous donne quelques explications sur le
phénomène P2P. Parmi l'ensemble des éléments
avancés par les utilisateurs des réseaux P2P, trois causes
principales sont souvent évoquées comme justifiant le
téléchargement d'oeuvres, notamment cinématographiques.
Un grand nombre d'internautes critiquent le coût de
vente, dans les circuits de distribution actuels, des oeuvres
cinématographiques. Pour beaucoup, si l'internaute pirate, sait qu'il a
choisi de commettre un acte illégal face à la pression du prix
actuel de la culture et que dans tous les cas, certains n'ont pas les moyens
financiers d'acquérir ces produits.
Autre argument avancé : le choix proposé sur
les réseaux P2P. Beaucoup d'utilisateurs critiquent la sélection
des films distribués en Europe. Ils découvrent, grâce aux
listes de discussions sur les réseaux P2P notamment, des films peu
connus qu'il est impossible de se procurer et d'acheter dans le commerce.
Certains utilisent également ces systèmes afin d'obtenir des
oeuvres épuisées et donc impossibles à acquérir par
les réseaux traditionnels. Le travail d'internautes pour sous-titrer les
films permet en outre de diffuser à un public plus large des films
rarement traduits ou exportés (comme par exemple des films d'animation
japonais). Au final, les internautes tiennent à marquer une
volonté de « non-alignement culturel ».
Enfin, le besoin de tester les nouveaux produits incite
à télécharger. Cela précède, en
théorie, l'achat. L'utilisation des réseaux P2P serait le
meilleur moyen de se faire une idée de ce que l'on veut acheter.
On voit cependant que le public a du mal à faire
abstraction du support. Il est toujours possible de graver les fichiers
téléchargés par les systèmes de P2P sur CD, mais
les services associés qu'offrent les DVD sont déterminants. Il ne
faut pas négliger la valeur de services comme le support physique, les
compilations à la demande, la recherche, le filtrage, etc.
6
http://www.sens-public.org/spip.php?article321
La production et la mise à disposition d'un contenu
coûtent de moins en moins cher. La distribution en ligne est un acte
assez simple. Reste à créer notoriété,
crédibilité et trafic, ce qui est sans doute l'une des
justifications majeures de la présence et du coût de
l'intermédiaire. Le P2P est le symptôme d'une relation
différente à l'oeuvre, à l'art, à l'artiste,
à l'industrie. Tout cela est en mutation.
La VOD et location de DVD par Internet
Pour les internautes ne souhaitant pas pirater des oeuvres et
surtout d'avoir une meilleur garantie de la qualité de ce qu'ils vont
regarder préféreront les service de VOD et location par internet.
Cela fait déjà plusieurs années que les internautes
peuvent acheter leur DVD en ligne avec des sites comme amazon, fnac,
priceminster, ebay et bien d'autres encore. Le grand avantage de ses services
et qu'il n y'a plus besoin de ce déplacer physiquement et permet de
rechercher des films rares. La VOD permet de voir un grand nombre de films en
évitant pour les cinéphiles d'avoir des étagères
remplie de DVD.
Avec la VOD, deux modes de mise à disposition des
vidéos sélectionnées sont disponibles: streaming (dans ce
cas, il n'y a pas d'enregistrement sur le disque dur et on visionne le document
au fur et à mesure de sa transmission), téléchargement
simple (donc avec stockage sur le disque dur avant lecture) ou
téléchargement progressif (qui permet de commencer à
visualiser le film avant qu'il ne soit complètement
téléchargé). Tous les transférts de films sont
soumis à des téchnologies de protection. Le DRM (Digital Right
Managment) présenté par Microsoft est utilisé en
majorité. Il permet de limiter la durée d'utilisation du film
dans le temps, et interdit toute copie. Avec le DRM de Microsoft, le
média téléchargé n'est généralement
« lisible » que sur l'ordinateur qui a été
utilisé pour le téléchargement (ou éventuellement
sur un ou deux autres si l'achat de licences multiples a été
proposé). Il en est de même pour les copies sur DVD, qui ne
fonctionneront donc, ni sur un autre ordinateur ni sur un lecteur de salon.
Exemples de sites de VOD
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mode de transfert
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Validité de la location
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Protection numérique
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Canalplay
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Téléchargement progressif
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24h
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DRM
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TF1Vision
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Streaming
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3 à 24h
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DRM
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TPSVOD
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Streaming
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3 à 24h
|
DRM
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VODEO TV
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Streaming ou téléchargement
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48h ou achat
|
DRM
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Arte VOD
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Téléchargement progressif ou simple
|
48h
|
DRM
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FNAC
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Téléchargement
|
achat
|
DRM
|
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La VOD représente un avantage majeur pour le court
métrage car cela permet tout simplement de voir des films qui ne sont
pas accessibles en grand magasin, comme les Fnac et Virgin.
Locafilm fonctionne comme le site de location en ligne
américain Netflix, son précurseur -fondé en 1998- et
inspirateur-. L'internaute s'inscrit sur Locafilm, choisit une formule
d'abonnement (forfaits mensuels ou packs permettant de louer 2 à 4 DVD
par mois ou de visionner 10 à 100 DVD par an pour des tarifs allant de
26euros à 265), constitue une liste d'au moins 20 titres qu'il
désire regarder.
Locafilm fait parvenir sous enveloppe deux de ses souhaits.
C'est à ce moment-là, que Locafilm diverge de ses concurrents
physiques classiques. Ce service n'applique aucune pénalité de
retard : l'amateur de 7ème art peut prendre autant de temps qu'il le
souhaite pour voir son oeuvre fétiche. Lorsque c'est fait, il renvoie
dans une enveloppe prépayée ses disques à Locafilm et peut
recevoir deux autres titres de son classement, tout ça sans se
déplacer ni dépenser un centime.
La formule a séduit les internautes. La
société, basée à Lyon, affiche un chiffre
d'affaires en progression de 200% d'une année sur l'autre. Avec 32.000
clients et 600.000 connexions, locafilm est la deuxième dans la location
en ligne, derrière Glowria.
Locafilm possède un catalogue impressionnant : plus de
17.000 références, bien plus que ce que peut proposer et stocker
un vidéoclub traditionnel. Chaque film comporte sa fiche que peuvent
compléter et noter les utilisateurs comme les critiques de
cinéma. La réservation se fait par le net comme par
téléphone.
L'Internet-TV : qu'est ce que c'est ?
Sites de partage vidéo
dailymotion
eyeka
Google video
ifilm
kewego metacafé
MobIR
MSN soapbox
mypsace Scroon TiviPro Vigloo Vpod
Yahoo video
youtube
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L'Internet-TV, webtv, site de partage vidéo, met
à la disposition du public des contenus audiovisuels à travers le
World Wide Web et utilise pour la transmission des données la
technologie du streaming. Afin de permettre aux internautes de visionner leurs
programmes sur le Net, les opérateurs convertissent leurs
émissions vidéo en un format compatible avec l'Internet et les
présentent sur leurs pages Web. Pour visionner, l'utilisateur a recours
à son navigateur Web, complété par les plug-in
multimédia correspondant (Windows Media Player, Real Player, Quicktime).
Habituellement, il suffit d'avoir une liaison Internet ISDN (RNIS). Ces webtv
peuvent être classés sous différentes catégories
suivant leur offre. D'abord il y'a les sites de
service communautaire de vidéo personnelle comme
myspace, puis il y'a des sites plus basés sur le modèle de la
télévision comme
Latélélibre.fr, et des
sites plus spécialisé dans le court métrage. Nous allons
examiner quelques sites les plus intéressants en terme de
phénomènes de société comme youtube avec ces
problèmes juridiques et en terme de valorisation des courts
métrages comme ifilm et eyeka.
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Un exemple de réussite sur le web :
|
série Chad Vader, consacrée à un
gérant d'épicerie, frère cadet du
redoutable homme en noir de La guerre des étoiles. En quelques mois, les
mésaventures de Chad Vader ont été vues par plus de dix
millions d'internautes. Sur cette lancée, les deux réalisateurs
ont laissé leur emploi,
produit un DVD réunissant les premiers épisodes
de la série et imposant leur propre espace
|
Web, celui de Blame Society Productions (
www.splu.net)
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Ces dernières années sur le net il y'a eu une
explosion de « User-generated content » (contenu
généré par les utilisateurs). Ceci est du à
l'engouement des plateformes de partage vidéo comme DailyMotion et
YouTube. Ces sites permettent aux internautes de publier, partager, visualiser,
noter et commenter des vidéos.
Le géant Youtube, est un des sites les plus
visités au monde, avec un inventaire qui comprend des millions de clips.
On y trouve tout et n'importe quoi, même des courts métrages
figurant dans la catégorie«short film». YouTube classe les
courts métrages selon leur popularité, l'appréciation du
public et les catégories dont ils relèvent.
IFILM, un autre site de partage vidéo, ressemble
beaucoup à youtube car il permet de déposer des vidéos
regarder par des millions d'internautes chaque mois. Son inventaire comprend
des clips de longs métrages, music videos, court métrage, TV
clips, bande annonce de jeux vidéo, sports. Ifilm a de nombreux
partenaires publicitaires comme Sony, Time Warner, Walt Disney, Microsoft, HP,
Dell, Intel, Activision, T-Mobile, Verizon, Toyota et Honda.
En Octobre 2005, IFILM fut racheté par Viacom
International, Inc., et fait part du groupe MTV qui inclut, MTV, VH1,
Nickelodeon, Comedy Central, TV Land, CMT, Spike TV et Logo. Le group MTV est
un des plus gros au monde avec une capacité d'attendre plus d'un
milliard de téléspectateurs à travers le monde. Donc un
film diffusé sur ce réseau, aurait des possibilités
beaucoup plus réelles que sur youtube.
Plus proche de nous en Europe, Kewego et Scroon crée
de nouveaux services. Créée en 2003 par Michel Meyer et Olivier
Heckmann, Kewego développe une des premières plateformes
européennes d'agrégation et de diffusion de contenus audiovisuels
à destination des particuliers et des professionnels. Kewego est
présent dans 1 0 pays européens et offre des services aux
professionnels tels que la création et diffusion de publicité ou
de sites vidéos. Par exemple, M6.fr s'est mis en partenariat avec Kewego
un site gratuit d'échange de vidéos appelé
wideo.fr.
Scroon a été conçu et bâti
d'emblée sur une architecture convergente entre le web et le mobile.
Autrement dit, ce n'est pas un site Internet de partage vidéo auquel on
a rajouté une application mobile, ou l'inverse. Scroon permet d'envoyer
des vidéos depuis un ordinateur, mais aussi depuis un mobile.
Cette mode de contenu généré par les
utilisateurs se déplace de l'ordinateur et s'attaque au
téléviseur. WAT lancé parTF1 avec la technologie de
dailymotion permet d'avoir les vidéos les plus populaires
diffusées sur la chaîne. Mais la vraie innovation a
été faite par free
qui lance une offre permettant aux internautes de devenir
créateurs et animateurs de leur propre chaîne et de partager leurs
contenus en Live ou en différé. Free sera très vigilant
afin d'éviter que les contenus ne soient publiés sans
autorisation comme c'est le cas, trop souvent selon certains, sur les sites de
partage de vidéos en ligne. Et donc pour limiter les dérapages ou
les violations de vidéos protégées par des copyright, Free
a mis en place un système d'alerte afin de signaler tout abus. Les
programmes non conformes rapportés seront supprimés.
Particularité importante de ce service, il est accessible directement
sur un téléviseur et pas seulement sur le PC, à la
condition d'être équipé d'une Freebox HD.
Finalement le site de partage vidéo le plus
intéressant en terme de contenu et de valorisation, est Eyeka.
Fondée en 2006 il n'offre pas un inventaire fourre tous, mais des
catégories beaucoup plus classifiées et ordonnées avec une
sélection limité de vidéos. Par exemple dans la
catégorie fiction, on peut trouver les sous-catégories suivante :
abstrait, animation, fausses pubs, fausses bandes
annonces, action, drame, horreur, humour, romance, science
Fiction et manga. Les vidéos peuvent être ensuite triées
par intérêt, moins vues, plus vues, plus récentes ou plus
anciennes, mieux notées ou moins bien notées. De plus, des
inscriptions à des compétitions sont proposées pour les
réalisateurs. L'attrait réel de eyeka est ses chaînes
thématiques vraiment variées sur le contenu et leur rôle.
Certaines chaîne sont des vitrines de festival comme Kosmopolite ou
FrancoFoliesTV. D'autres chaînes, comme pilotes d'essai, sont plus
ciblés à l'usage des professionnels, ainsi les
réalisateurs sont représentés auprès de
professionnels de l'audiovisuel par eyeka. Et certaines chaînes ont des
thématiques contemporaines sur les jeux vidéo et autres
phénomènes de société comme second life. Cette
chaîne observe la manière dont l'univers virtuel prolonge et
enrichit la réalité, jusqu'à l'influencer en retour avec
ses concerts, expositions, projections, soirées, débats, et
concours. Bien entendu, eyeka permet également de visionner des
vidéos sur téléphone portable sur WAP.
Web TV de eyeka
Politique Remix Kosmopolite Canal mobile
PoliTIC Show Festival 4 Écrans Services Mobiles
François Nemeta Prix Eyeka Street Mobile News
Prix Eyeka Vidéo Connexion Face Hunter
Pilotes d'essai Les filmistes Chro.TV
Voyage Bikini's College Generations
Eyeka Series Jérémie Roux Factoïd
World of Electors L'autre TV Xavier Faltot
Second Life Reports Systaime Canon
48 Hours Film Project FrancoFoliesTV Salon de la TV
Eyeka assure la promotion et la distribution, directement ou
indirectement, des créations auprès de ses clients et de ses
partenaires, notamment des fournisseurs de services de communications
électroniques (e.g. opérateurs de téléphonie
mobile), des prestataires de services en ligne sur Internet, des entreprises de
communication audiovisuelle (e.g. chaînes de télévision) ou
radiophonique, des entreprises de presse, des annonceurs, des agences de
publicité et des clients finaux (e.g. utilisateurs de
téléphones mobiles, utilisateurs de l'internet). Donc, eyaka
assure un partage des revenus avec ces contributeurs en cas de distribution
avec d'autres partenaires. La
diffusion en ligne sur la plateforme
eyeka.com n'entraîne aucune
rémunération, mais des possibilités de revenu pour les
créateurs.
Mais tous les sites de partage vidéos ne
vérifient pas scrupuleusement les contenus chargés sur leur site,
donc on peut y trouver de nombreuses vidéo non seulement
diffusées mais modifiées sans le consentement des ayants droit.
Donc, nous allons voir les complications juridiques rencontrées par les
web tv.
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