CHAPITRE III : Hydrogéologie
![](Etude-piezometrique-et-hydro-chimique-de-la-nappe-des-calcaires-du-Murdjadjo--lechelle-du-ba36.png)
Figure n°25- Carte piézométrique de
Ras-el-Aïn
2007
Équidistance des courbes : 5m
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CHAPITRE III : Hydrogéologie
![](Etude-piezometrique-et-hydro-chimique-de-la-nappe-des-calcaires-du-Murdjadjo--lechelle-du-ba37.png)
Figure n°27- Carte piézométrique de
Ras-el-Aïn
2018
Équidistance des courbes : 10 m
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CHAPITRE III : Hydrogéologie
VII/- Conclusion :
La comparaison des cartes, nous a monté que
l'évolution piézométrique devient légèrement
plus sollicitée (augmentation de dépressions), ceci dépend
de la forte implantation des ouvrages sur toute la surface du flanc Sud du
Murdjadjo et la surexploitation des nappes.
L'extension du bassin d'alimentation vers Daya Morsly en
direction du plateau d'Oran, vers l'Est est bien évidente,
caractérisée par un axe de drainage principal bien
prononcé.
L'homogénéité de l'Aquifère des
calcaires, accusée par une dynamique sensiblement stable à
l'échelle spatio- temporelle semble ainsi bien confirmée, au vu
des cartes piézométriques actualisées (carte 2018).
Cependant, il est à noter que l'allure des courbes
hydrohypses pour la période 2018, manifeste un nodule d'espacement de
plus en plus serré, marqué par un dôme
piézométrique enregistrant un côté atteignant 230 m
.En revanche, la période 2007, montre une altitude
piézométrique maximum de l'ordre de 170 m.
Cette situation peut être l'apport d'eau des
précipitations qui est très élevé en 2016
(Jusqu'à 600 mm) comparé à celui enregistré en 2007
(300mm).
Les paramètres hydrodynamiques exploités
ultérieurement, confirment la stabilité du caractère
dynamique de la nappe à l'échelle du bassin de Ras el
AÏn.
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CHAPITRE III : Hydrogéologie
CHAPITRE IV : Hydrochimie
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