EPIGRAPHE
« Peut-être seulement le Vieux qui a
provoqué tout ceci avec le son des tam-tam, sait que « l'homme
», ce héros, marque de sa mort la fin d'une Afrique et donne le
début d'une autre ».
Elisabeth OYANE MEGNE
In« La poétique
cubaine aux sources de l'oralité bantou »
DEDICACE
A feu mon grand-père Paul ONJI'I ESONO, fondateur de
l'Abââ de Mebem ;
A tous les acteurs qui oeuvrent par une action
dynamique,afin que les peuples d'Afrique perpétuent leurs traditions
malgré la mouvance de la modernisation.
REMERCIEMENTS
Chaque étape du chemin difficile qui mène
à la gradation dans la connaissance est généralement
abordée et bravée avec l'aide ou le soutien des Maîtres.
Tout seul, il serait prétentieux de croire que l'on irait loin...sinon
vers quoi ?
Je remercie de prime abord le Professeur Eugène BOOH
BATENG, mon directeur de mémoire qui, malgré ses occupations
importantes, a consenti à m'accorder tout le temps nécessaire,
avec beaucoup de sollicitude, afin de conduire ce travail. Il s'est
approprié cette thématique et la bonne compréhension qui
en a résulté a favorisé la symbiose entre lui et moi.
Certes, il s'agit pour lui d'une contrainte académique, mais j'aimerais
tant dire que c'est lui qui, après m'avoir suggéré de
mieux développer un article qu'il m'a commandé au sujet de
l'Abââ, m'a ouvert les yeux sur le vaste champ de recherche en
anthropologie de la communication. J'espère pouvoir y faire longue route
sous son encadrement.
De même, je tiens à remercier le Professeur
Laurent Charles BOYOMO ASSALA, Directeur de l'Ecole Supérieure des
Sciences et Techniques de l'Information et de la Communication pour son
soutien, son encadrement académique, ses précieux conseils et ses
encouragements, grâce auxquels nous avons pu arriver à ce stade de
notre formation et de notre travail de recherche.
Je remercie le Docteur MESSANGA OBAMA qui, de façon
spontanée, a participé significativement à
m'éclairer dans le domaine de l'anthropologie. Ma reconnaissance est
également exprimée au Docteur Emmanuel NDJEBAKAL dont la vision
m'a permis de développer le volet de ce travail de recherche relatif aux
réseaux sociaux.
Je remercie aussi tous ces
« lettrés traditionnels», selon
une expression de mon directeur de recherche, grâce à qui les
connaissances à nous transmises ont servi à plus d'un titre. Ils
sont en effet détenteurs d'un autre type de savoirs dont les chercheurs
peuvent s'inspirer pour développer des travaux au profit de la science.
C'est le cas du patriarche Jean Marc NDONG ONDJI'I, aîné et chef
de l'Abââ de Mebem qui m'a accordé plusieurs entretiens et
mis à ma disposition des documents anciens.
Je ne saurai oublier Ghislaine Sandrine FOUDA, mon
épouse. Son soutien affectif et psychologique m'a ragaillardi quand
j'éprouvais beaucoup de difficultés à devoir concilier mes
responsabilités familiales, mes tâches professionnelles et mon
travail académique.
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