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Ecriture romanesque post-apartheid chez J.M. Coetzee et Nadine Gordimer

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par Ives SANGOUING LOUKSON
Université de Yaoundé I - Master2 0000
  

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III-1-1- Les Traces de l'Afrique du Sud

Personnage de premier plan dans The other of silence, Hanna X est une jeune femme âgée entre 20 et 25 ans. Elle est une Allemande originaire de la ville de Bremen en Allemagne fédérale176(*). À l'âge scolaire, Hanna X se découvre la vocation d'entreprendre des pérégrinations aux destinations inverses à celles de son enseignante de Géographie Fräulein Brauenschweig. Pour Hanna X, en effet, Fräulein Brauenschweig représente un modèle, une personne bien qui sait la comprendre contrairement à la majorité de ses encadreurs. Brauenschweig a d'ailleurs influencé Hanna X au point de provoquer le déclic de la curiosité chez son élève. S'émerveillant de ce que son professeur Fräulein Brauenschweig ait assez voyagé dans l'Allemagne et l'Europe de l'est (OS : 62) l'enthousiasme d'Hanna X pour les découvertes s'aiguise et lui fait penser :

When I grow up I want to travel too (...) I'll go right round the world. I want to see everything (...) all these places with the singing names (...) Cordoba. Carcassonne. Tromso. Novgorod. The Great Wall of China. The Bosporus. Tasmania. Saskatchewan. Arequipa. Thierra Del Fuego. Sierra Leone. Yaoundé. Okahandja. Omaruru. I want to go where the birds go in winter. To the warm places of the earth. The far side of the wind. Where there is sun, and strange animals, and cannibals, and dragons, and palm trees. (OS : 62)

Suite à de répétitives tracasseries dans l'orphelinat qui l'avait recueillie, Hanna X ne manque pas de saisir l'opportunité de la déportation dans la Frauenstein, une institution chargée de gérer des femmes considérées ennuyeuses en Allemagne. Cette institution est basée dans une colonie allemande ; le sud-ouest africain encore appelée la Namibie. En Allemagne, les tracas d'Hanna X s'expliquent par la conjugaison de la cruauté et de l'avidité sexuelle autant des animateurs de l'orphelinat, the Little children of Jesus, à l'instar de Pasteur Ulrich qui a tenté par plusieurs reprises de la violer, que des employeurs de fortune que lui trouvent spontanément le même orphelinat.

À la question de savoir si Hanna X est réellement certaine de comprendre les enjeux de son choix d'aller en Afrique, elle répond à la responsable en chef de l'orphelinat : « It is not Germany I want to get away from. Frau Sprandel. It is Africa I want to go to » (OS: 134)

Hanna X est aussitôt embarquée dans une aventure au cours de laquelle les motivations sécrètes de sa décision seront en conflit perpétuel avec la stigmatisation dont souffre toute femme en déportation ou déportée par le gouvernement allemand chargé des colonies pour le sud-ouest-Africain. En effet, pour le gouvernement allemand chargé des colonies, les femmes blanches en déportation ou déportées par bateau puis par train à destination de la Namibie, puis dans le cas d'Hanna X pour la Frauenstein, y vont toutes soit « for the support or delectation of its (Allemagne) menfolk » (OS: 11), soit pour permettre aux agents coloniaux allemands d'assouvir leurs besoins biologiques de procréation ou pour leur permettre de satisfaire ce qu'André Brink appelle « an uncomplicated fuck » (OS: 5)

La raison de cette chosification absolue des femmes blanches ou de leur réduction arbitraire à la sexualité est que, l'Allemagne étant en plein dans la colonisation, les femmes indésirables, répudiées ou en chômage là-bas, se rendraient au moins utiles à l'Allemagne dans le Sud-Ouest-Africain :

Not all the women were flotsam from the fatherland washed up in search of employment or matrimony. But they had in common the fact that they were all rejects of society, whether through widowhood, indigence, moral turpitude or disability of one kind or another, and that no one else could or would be burdened with the care of them. (OS : 12)

Il est difficile de ne pas observer à ce niveau comment André Brink se sert d'Hanna X pour mettre une sorte d'épine dans la botte de l'homme blanc en général, allemand en particulier. André Brink relativise en effet la vision globalisante ou généralisante du gouvernement allemand dans sa fiction au sujet des femmes pour qui, toute femme n'est utile qu'à cause de son sexe. André Brink fragilise cette vision en la restituant dans ses faiblesses et ses absurdités que seule Hanna X permet de percevoir. C'est là peut-être une des raisons de l'exhumation d'Hanna X de ses cendres comme le fait le narrateur. Car il ne faut pas l'oublier, le narrateur a inventé Hanna X après avoir constaté le mutisme dont elle fut l'objet en Allemagne, lorsqu'un siècle après la vie réelle d'Hanna X, il y est allé pour investiguer sur ce personnage important pour lui/elle :

When nearly a century later I went to Bremen myself in a last-ditch attempt to return to sources, it only too predictably brought me up against the blank of the War. Almost nothing had survived that destruction: no records, no registers, no letters; and it was too late for the memories of survivors. I had no date of birth, no names of parents, to go by (...) Here was, has been, no Hanna X. or, perhaps, too many. Total zerstört (...) For reasons too dark to unravel, that moment when Hanna X's life breaks into story comes (...) in the lugubrious building of Frauenstein... (OS : 6-8)

En effet, Hanna X est d'un bord radicalement contraire à celui du patriarcat que le gouvernement soutient. Elle rappelle au patriarcat que la femme ne se résume pas simplement au sexe, elle a droit de disposer d'elle-même, de rêver de son avenir ou de l'avenir de la Nation comme le récit de Jeanne D'arc177(*), qui suscite l'émulation d'Hanna X, le révèle à suffisance. La femme a, c'est encore ce qu'Hanna X aide à comprendre, droit d'être considérée comme citoyenne au sens de D. F. Thompson178(*).

Aussi intéressante que soit l'importance d'Hanna X aux yeux du narrateur de The other side of silence, elle ne dit point en quoi ce roman traite de l'Afrique du Sud, et surtout d'une façon contraire à J.M. Coetzee dans Elizabeth Costello. Dans The other side of silence, deux éléments textuels orientent subtilement le lecteur vers la conclusion que le roman est véritablement centré sur l'Afrique du Sud. Il s'agit de la nationalité d'Hanna X et surtout de la localisation spatiale de l'institution à partir de laquelle l'essentiel de l'histoire a lieu dans le roman : la Frauenstein.

La nationalité du personnage central fait songer à un fait historique réel en rapport avec la Namibie, pays voisin de l'Afrique du Sud. En effet, l'Allemagne a réellement colonisé la Namibie. Quelques faits de cette colonisation sont d'ailleurs romancés par l'écrivain allemand Uwe Timm dans son roman intitulé Morenga179(*) qu'André Brink semble n'avoir pas ignoré lors de la rédaction de The other side of silence. Or, la Namibie reste un lieu de transit à destination de la Frauenstein pour les déportées au nombre desquelles Hanna X.

Par ailleurs, l'Allemagne a été effectivement présente en Afrique du Sud à travers des contingents de migrants qui « entre 1848 et 1858 s'installent en Afrique du Sud, du côté d'East London »180(*) ainsi que l'écrit Georges Lory dans son ouvrage intitulé L'Afrique du Sud. Ces migrants ont fait suite, après la compagnie commandée par Jan Van Riebeck, aux Hugenots, suivis à leur tour par des contingents anglais qui perçurent tous l'Afrique du Sud comme une terre d'accueil181(*).

Confrontés à The other side of silence, on peut dire de ces faits historiques qu'André Brink s'efforce à les restituer artistiquement au moyen de l'itinéraire d'Hanna X et de ses désirs. Dans le roman en effet, la Namibie, mais surtout sa capitale Windhoek sert d'escale à la déportation d'Hanna X. Le désir d'aller en milieu tropical ou en Afrique chez Hanna X n'est pas sans rappeler l'intension qui justifia la migration d'Allemands vers l'Afrique du Sud.

Voilà qui n'autorise pas déjà, comme c'était le cas avec Elizabeth Costello de J. M. Coetzee, de déduire d'une quelconque excentricité chez André Brink par rapport à l'Afrique du Sud. En effet, on le voit, au contraire de J. M. Coetzee, en période post-apartheid, André Brink se révèle plus que jamais préoccupé par le passé et le présent de son pays. Brink pense d'ailleurs non pas devoir condamner ou ignorer ces passé et présent, mais les assumer. C'est du moins une thèse dont il est question d'examiner le mode d'insertion dans The other side of silence partant de la particularité de la Frauenstein dans ce roman.

La Frauenstein occupe une place centrale dans le roman d'André Brink. Quasiment plus de la moitié de l'ensemble des événements relatés dans ce roman ont par exemple pour toile de fond la Frauenstein. En outre, c'est à partir de cette institution qu'Hanna X prend la résolution irréversible de briser les chaînes de la dépendance qui l'empêchaient d'affronter le patriarcat et de défendre son autonomie. Même si, à la fin du roman on voit Hanna X à Windhoek où elle se venge de Hauptmann Böhlke, il reste que la Frauenstein sert de fondation solide à l'émancipation d'Hanna X. Hauptmann Böhlke est en effet ce cruel homme d'arme qui, après avoir violé Hanna X, introduisit son sexe en érection dans la bouche d'Hanna X (OS : 146) en faisant savoir à sa victime que : « When I fuck a woman (...) She stays fucked » (OS : 145)

La localisation géographique de la Frauenstein permet aussi d'envisager cette institution comme une espèce de masque dont se sert André Brink pour suggérer la centralité de son roman sur l'Afrique du Sud. Pour se faire une idée de la localisation de la Frauenstein, il importe de convoquer le narrateur intra-diégétique de The Other Side of Silence :

Frauenstein exists, (...) not on the Rhine or in Bavaria but in the African desert (...) Upon the arrival of a female shipment in the bay of Swakopmund, after a journey of thirty days along the west coast of Africa (...) Then followed the four-day train journey to Windhoek, a seething and brawling sleepless rage in which women were tried out and passed on and exchanged or reclaimed among battling suitors (...) the ultimately rejected, found unworthy by even the most disreputable of men were candidates for Frauenstein (...) in to the interminable silence of the desert. (OS : 11-12)

En d'autres termes, pour atteindre la Frauenstein en provenance de l'Allemagne, on traverse Windhoek, la capitale de la Namibie à destination du désert qui sert de macrocosme sur lequel est érigé la Frauenstein dans la diégèse de The other side of silence.

Dans la réalité, le désert qui s'étend après Windhoek est localisé au sud de la Namibie et il s'appelle le désert du Kalahari. C'est un espace naturel charnière entre la Namibie, le Botswana et l'Afrique du Sud. Comparée à la Namibie et le Botswana, l'Afrique du Sud a la particularité de bénéficier de l'espace moyen de couverture par le désert du Kalahari. Le Botswana est le pays voisin de l'Afrique du Sud le plus couvert et la Namibie le voisin le moins couvert par le désert.

Il est difficile de ne pas voir la transparence de l'Afrique du Sud au moins géographiquement dans le volume textuel qui est produit dans The other side of silence à partir de la Frauenstein, la Namibie et les autres espaces entourés par le désert qui abritent les événements. En effet, le roman est divisé en deux parties. Toute la première partie est relatée du point de vue de la Frauenstein avec une multiplication importante de flash-back ayant pour fin de fixer le lecteur sur comment Hanna X est humiliée, chosifiée et réduite au silence avant son arrivée à la Frauenstein. La deuxième partie est racontée certes à partir du désert, mais hors de la Frauenstein. Il y est question de l'itinéraire de « l'armée de vas-nus-pieds »182(*), les combattants pour la liberté, armée fondée par Hanna X à destination de Windhoek. Les escales de ce bataillon d'Hanna X sont respectivement « The Rheinish mission » (OS : 173) où l'ancien esclave Kahapa se venge de son ancien Maître et bourreau Albert Grubert et « The fort » commandé par le capitaine Weiss (OS : 234), fort que la bande à Hanna X prend d'assaut avant d'éliminer ses 24 soldats (OS : 235). Le roman s'achève à Windhoek (Namibie) où Hanna X humilie publiquement son ancien bourreau Hauptmann Böhlke après avoir renoncé à éliminer ce partisan du patriarcat ainsi que nous l'apprend le narrateur :

No. No, she will not kill him. It is no longer necessary. It not worth it. Killing him cannot undo the world that has made him possible. She need not stoop to that. It is too simple. And there has been blood enough. All she needs is to make sure the world will take note... (OS : 306).

Alors que les deux escales du bataillon d'Hanna X après la Frauenstein peuvent avoir eu lieu sinon en Afrique du Sud, du moins au Mozambique, celui de la Frauenstein, au regard autant de l'importance de cette station dans tout le récit que de la nationalité d'André Brink, a certainement lieu en Afrique du Sud. Ce d'autant que Brink choisit de ne pas voiler l'escale de la Namibie en restituant la dénomination de la capitale de ce pays telle qu'elle : Windhoek. Le moins qu'on puisse dire c'est que The other side of silence est focalisé sur le Sud du continent africain traversé par le désert du Kalahari. Peut-être vaut-il mieux de s'essayer à la schématisation de l'itinéraire diégétique d'Hanna X dans ses rapports avec la réalité afin de mettre aisément en évidence comment cet itinéraire recoupe la réalité de manière à permettre d'envisager la virtualité de l'Afrique du Sud au-delà de cette institution aux contours déterminants pour l'ensemble du roman : La Frauenstein.

Schéma 1 : Itinéraire d'Hanna X sur la base de la carte géographique du sud du continent africain

LÉGENDE

Itinéraire d'Hanna X

Afrique du Sud

Désert du KALAHARI

Localisation certaine de la Frauenstein Localisation possible de la Rheinish

Mission

N Kaokoveld, lieu de naissance de Kahapa

Europe

Bremen

Allemagne

Bay of Swarkopmund

Windhoek

Namibie

Botswana

Lesotho

Swaziland

Pretoria

Bloemfontein

Le Cap

Madagascar

+

N

Le récit fait savoir que le Kaokoveld où est né Kahapa se localise plus au nord de la Rheinish mission, premier lieu d'escale de l'armée d'Hanna X en parturition avec son départ volontaire de la Frauenstein, suivie à cet effet par la jeune Katja (OS : 203). Cette information conforte la place de la Frauenstein au sud de la Rheinish mission telle qu'elle apparaît dans le schéma ci-dessus, rendant évidente la localisation de la Frauenstein en Afrique du Sud. Il apparaît ainsi avec Philippe Hamon que « ce n'est jamais, en effet, le « réel » que l'on atteint dans un texte, mais une rationalisation, une textualisation du réel, une reconstruction a postériori encodée dans et par le texte »183(*).

Maintenant qu'il est clair que The other side of silence est centré sur l'Afrique du Sud, il convient d'examiner les figures du discours que Brink propose sur ce pays dans son roman. Le détour par cet examen aiderait sinon à préciser en quoi les idéaux d'André Brink s'écartent de ceux de J. M. Coetzee en période post-apartheid, du moins à multiplier des lieux de démarcation entre ces deux écrivains blancs sud-africains.

* 176 L'Allemagne fédérale est constituée de 16 états fédérés appelés des Länder. Bremen est la capitale de l'Etat de Bremen. Le Land de Bremen a la particularité de représenter le Land le plus petit en superficie comparé aux 15 autres Länder. Cette particularité n'est certainement pas fortuite dans The other of silence. Voir, Peter Hintereder (s/d), Allemagne. Faits et réalités, Berlin, Francfort sur-le-Main, Societäts-Verlag, décembre 2007, PP.17-25. Peut-être que Brink a voulu suggérer que son roman n'a pas pour objet majeur l'Allemagne. Peut-être aussi que la petitesse en superficie de Bremen est un embrayeur que Brink déploie pour signaler d'entrée de jeu le peu d'importance des origines d'Hanna X pour son roman, Brink invite sans doute à s'intéresser davantage aux actes ou à l'identité qu'Hanna X construit le long du récit. Si tel est le cas, de prime abord, Brink souligne déjà des points de démarcation entre Hanna X et Elizabeth Costello de Coetzee. La deuxième est Australienne blanche tandis que la première est Allemande blanche. Alors que Costello appartient à la classe bourgeoise, Hanna X, elle appartient à la classe des va-nu-pieds, des femmes considérées comme sans importance pour les Allemands d'Allemagne si oui pour les Allemands des colonies allemandes en Afrique.

* 177 Dites la pucelle d'Orléans, héroïne française (1412-1431). Elle appartenait à une famille de paysans. Très pieuse, elle entendit des voix qui l'engageaient à délivrer la France, ravagée par l'invasion anglaise. Robert de Baudricourt, capitaine de Vaucouleurs ne voulut pas d'abord déférer à son désir, d'être conduite auprès de Charles VIII ; il n'y consentit qu'à l'époque du siège d'Orléans (1429). Jeanne vit le roi de France à chinon, réussit à la convaincre de sa mission, fut mise à la tête d'une petite troupe armée, obligea les Anglais à lever le siège d'Orléans, les vainquit à Patay et fit sacrer Charles VIII à Reims (17 Juillet), mais elle échoua devant Paris. A Compiègne, elle tomba aux mains des Bourguignons (23 mai 1430). Jean de Luxembourg la vendit aux Anglais. Ceux l'ayant déclarée sorcière, la firent juger par un tribunal ecclésiastique présidé par l'évêque de Beauvais, Pierre Cauchon. Elle s'y défendit avec autant d'habileté que de simplicité et de courage. Déclarée hérétique et relapse, elle fut brûlée vive le 30 mai 1450 à Rouen. En 1450, un procès aboutit à une réhabilitation solennelle, qui fut proclamée en 1456. Jeanne a été béatifiée en 1909 et canonisée en 1920. Fête religieuse le 30 mai ; fête nationale en France le dimanche qui suit le 8 mai.

* 178 Pour D.F Thompson, la citoyenneté signifie l'autonomie, la participation et l'influence de l'individu vis-à-vis de la société. Voir à ce propos D.F. Thompson, The Democratic Citizen : Social Science and Democratic Theory in the twentieth Century, Cambridge, Cambridge University Press, 1970, cité par Philip Wexler, « Citizenship in the Semiotic Society », in Bryan S. Turner (s/d), Theories of Modernity and Post modernity, London, Thousand Oaks,. New Delhi, Sage Publications, 1990, p.165.

* 179 Uwe Timm, Morenga, Berlin, Rowohlt, 1907.

* 180 Georges Lory, L'Afrique du Sud, Paris, Karthala, 1998, p. 33.

* 181 Voir, Claude Wauthier, « Trois siècles d'histoire », in Notre Librairie. Littérature d'Afrique du Sud 1, Avril-Juin 1995, p. 10.

* 182 Nicolas Michel, « Hanna la Haine », in Jeune Afrique l'intelligent n°2213 du 8 au 14 juin 2003, p. 111.

* 183 Philippe Hamon, « Un discours contraint », in Gérard Genette et Tzvetan Todorov, Littérature et réalité, Paris, Seuil, 1982, p.129.

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"Piètre disciple, qui ne surpasse pas son maitre !"   Léonard de Vinci