Facteurs limitant l'utilisation des services de conseil dépistage volontaire (CDV) du VIH par les populations de 15-49 ans du district sanitaire de Kaya.( Télécharger le fichier original )par Siméon SAWADOGO Ecole Nationale de santé Publique (ENSP) de Ouagadougou/Burkina Faso - Diplôme supérieur des attachés de santé en épidémiologie 2007 |
2.1.4 Les obstacles à l'utilisation des services de CDVLes obstacles à l'utilisation des services de CDV ont été abordés par plusieurs auteurs. La lecture des écrits sur l'utilisation des services permet de nous apercevoir que selon divers auteurs, une meilleure utilisation des services de CDV requiert l'adéquation de plusieurs composantes parmi lesquelles il y a les connaissances des prestataires, les facteurs liés aux populations et l'organisation et le fonctionnement des services de CDV. 2.1.4.1 Les connaissances des prestataires des services de CDV Les connaissances des prestataires sont un élément essentiel pour l'offre des services de CDV. En 2001, Family Health International a montré dans une étude entrant dans le cadre de la mise en oeuvre d'un projet de prévention et de soins, que l'un des obstacles au CDV dans les pays en voie de développement est le manque de personnel qualifié. L'aptitude des prestataires à offrir des services de CDV est donc conditionnée par une connaissance théorique étoffée du processus de conseil dépistage volontaire du VIH y compris la communication pour le changement de comportement22(*). Cependant, SOME Fatou (2001) dans son étude sur les facteurs influençant la communication interpersonnelle dans les maternités du district sanitaire du secteur 30 de Ouagadougou constate que 66,7% des personnes interrogées donnent des définitions incorrectes de la communication interpersonnelle et 87% des enquêtés n'ont pas réussi à cocher les éléments du processus de communication23(*). Dans un étude similaire intitulée: «Relation soignants/soignés: contribution pour une amélioration de la communication entre les soignants et les soignés dans la zone sanitaire de Bittou », BEOGO Téllé Gaston (1997) révèle que 60% des enquêtés qui assurent la consultation curative ne savent pas définir la communication interpersonnelle24(*). Ces deux auteurs s'accordent pour dire que ces insuffisances de connaissances théoriques ont des répercussions néfastes sur la pratique quotidienne des prestataires. Ces insuffisances ne peuvent que freiner l'utilisation des services par les populations. 2.1.4.2 Les facteurs liés aux populations De la lecture des écrits, il ressort qu'un nombre important d'obstacles à l'utilisation des services de CDV est lié aux populations. Certains pensent que l'utilisation des services de CDV dépend de certaines caractéristiques sociodémographiques. C'est le cas de SAWADOGO Jean Noël (2003) qui affirme dans son étude dénommée : « Dépistage sérologique volontaire du VIH : connaissances et attitudes des jeunes dans la commune de Kaya» que les élèves et les étudiants sont les plus nombreux à venir se faire dépister au CHR de Kaya. Il ajoute que la scolarisation des jeunes est un atout pour que ceux-ci servent de relais pour la diffusion des informations reçues sur le CDV1(*)2. Dans le même ordre d'idées, ZIGANI Z. (2004) révèle dans son étude titrée : «Etude des facteurs expliquant la faible utilisation des services de conseil dépistage volontaire du VIH dans la ville de Ouagadougou par le secteur informel : cas des personnes exerçant dans le petit commerce » que 40% de ses sujets interrogés ne sont pas instruits. Ce qui constitue un obstacle à la compréhension des messages de sensibilisation et un frein à l'utilisation des services de CDV par les petits commerçants de la ville de Ouagadougou25(*). En revanche, ZONGO K. Dénis (2006) affirme à travers son étude portant sur les facteurs limitant l'adhésion des femmes enceintes au conseil et au dépistage volontaires du VIH/SIDA au district sanitaire du secteur 30 de Ouagadougou, qu'aucune caractéristique des femmes enceintes enquêtées ne constitue un obstacle à leur adhésion au CDV. Il conclut qu'il n'y a pas de relation statistiquement significative entre l'âge (p=0,0666), la profession (p=0,268), le statut matrimonial (p=0,494), le niveau scolaire des femmes enceintes (p=0,825), la religion (p=0,616) d'une part et l'acceptabilité des femmes enceintes au conseil dépistage volontaire du VIH au district du secteur 30 d'autre part. Il a utilisé un seuil de signification de 0,0526(*). De plus, l'utilisation des services de CDV est tributaire des connaissances des populations sur le VIH/SIDA. La méconnaissance de l'existence du VIH/SIDA, la non maîtrise des voies de transmission, des moyens de prévention du VIH/SIDA et l'ignorance de la notion de séropositivité sont autant d'obstacles à l'utilisation des services de CDV selon divers auteurs. Ainsi, TRAORÉ Flore (1997) dans son étude portant sur l'acceptabilité par les parents d'enfants hospitalisés en milieu pédiatrique de Bobo Dioulasso : dépistage de l'infection à VIH trouve que la majorité des enquêtés (70,7%) déclare qu'elle a vu une personne malade de ce qu'elle pensait être le SIDA. Selon elle, cette connaissance de l'existence du SIDA de la part des enquêtés tranche d'avec la considération primaire du SIDA comme « syndrome inventé pour décourager les amoureux ». Et cela milite en faveur de l'acceptabilité du test par les enquêtés. En outre, les résultats de son étude révèlent que 50% des enquêtés ne savent pas que l'on peut être infecté par le VIH et paraître en bonne santé. De plus, elle a trouvé que 47,1% des personnes interrogées dans son étude ont une mauvaise connaissance des voies de transmission du VIH27(*). Quant à SAWADOGO J.N. (2003), il affirme dans son étude que 40% des jeunes interrogés ne connaissent pas les voies de transmission du VIH1(*)2. Concernant les moyens de prévention du VIH, ROUAMBA George (2006) dévoile à travers une étude descriptive axée sur les facteurs déterminant la faible fréquentation du centre de dépistage volontaire du VIH/SIDA par les femmes en âge de procréer dans la commune de Manga, que la moitié des sujets enquêtés connaît le port du condom comme seul moyen de se préserver contre le VIH et aucune femme n'a évoqué le dépistage volontaire du VIH comme moyen de prévention28(*). ZIGANI Z. (2004) abonde dans le même sens en affirmant que 70% des enquêtés de son étude connaissent seulement le port du préservatif comme moyen de prévention du VIH2(*)5. D'autres facteurs liés aux populations sont des écueils à l'utilisation des services de CDV. Il s'agit notamment de la méconnaissance des risques devant lesquels le recours aux services de CDV est nécessaire et la non maîtrise des avantages du CDV. En ce qui concerne les risques, le SP/CNLS indique que devant les risques ci-après, l'utilisation des services de CDV est nécessaire : Les partenaires multiples; les rapports occasionnels non protégés; le fait pour une femme d'être enceinte ou le consultant dont la femme est en enceinte; en cas de maladies chroniques et /ou de décès dans l'entourage (conjoint ou conjointe); les antécédents de transfusion sanguine; les antécédents de piqûre ou de coupure par un objet souillé de sang; en cas de séropositivité du conjoint ou de la conjointe et la présence d'un symptôme évocateur du VIH chez une personne. A ces éléments il faut ajouter : Le besoin de connaître son statut sérologique, un projet de voyage à l'étranger et un projet de mariage29(*). Cependant, plusieurs personnes méconnaissent ces risques. En témoigne l'étude de SAWADOGO J.N. (2003) qui révèle que 98,5% des jeunes interrogés ne connaissent pas les risques devant lesquels le recours aux services de CDV est nécessaire. Il en est de même pour les avantages du CDV car il précise dans la même étude que 96,93% des sujets enquêtés ne connaissent pas les avantages du CDV1(*)2. Quant à ZIGANI Z. (2004), il énonce dans son étude que 75% des enquêtés ne connaissent pas les avantages du CDV2(*)5. Pourtant, le CDV présente de nombreux avantages parmi lesquels il y a la prévention de nouvelles infections liées au VIH. En effet, SWEAT et al. l'ont montré à travers une étude portant sur le rapport coût/efficacité du CDV entre 1998 et 2000. Ils ont utilisé une cohorte de dix mille (10000) personnes fréquentant les services de CDV et ils ont estimé que le CDV avait permis d'éviter 1104 infections au Kenya et 985 infections en République unie de Tanzanie30(*). Pour l'ONUSIDA, le CDV joue un rôle important dans la prévention du VIH car il aide les individus à modifier leurs comportements sexuels afin d'éviter, s'ils sont séropositifs, de transmettre le VIH à leurs partenaires sexuels ou de rester séronégatifs s'ils ne sont pas infectés. L'autre rôle primordial du CDV est de faciliter le recours précoce et adéquat des personnes séropositives ou séronégatives au VIH aux services tels que la prise en charge, la planification familiale, le soutien psychologique et social, l'assistance juridique et le conseil en matière de vie positive. Le CDV est également crucial pour permettre aux femmes et à leurs familles de profiter des interventions visant à prévenir la transmission du VIH de la mère à l'enfant. Un accès accru au CDV, permet en outre de contribuer à combattre la stigmatisation et la discrimination, à promouvoir la sensibilisation et à soutenir les droits de l'homme30. Pour Peter Piot et al., les avantages du CDV pour la communauté sont la prévention de la transmission du VIH grâce à un changement éclairé de comportement et l'identification des candidats potentiels aux essais de médicaments et de vaccins31(*). Pour le SP/CNLS-IST, le CDV participe au niveau national à une meilleure surveillance épidémiologique et une meilleure planification des politiques et des stratégies de lutte contre le VIH/SIDA mais surtout à une prise en charge précoce et efficace de l'infection à VIH2(*)9. Certes, le CDV comporte de nombreux avantages mais les études révèlent que l'existence de la stigmatisation liée au VIH empêche les populations d'en bénéficier. En effet, OUEDRAOGO T.L. et al. (2001) dans leur étude dont le thème est : « infection à VIH et modifications des relations sociales : étude auprès de 188 personnes infectées par le VIH à Ouagadougou » indiquent que l'évènement le plus vécu par les personnes interrogées est le rejet franc par la famille de la PVVIH. Ils ajoutent que les malades du SIDA sont considérés comme des « pestiférés », la matérialisation de la honte et de la mauvaise conduite. Ils concluent que si le recours au test de dépistage volontaire du VIH reste faible, c'est bien parce que les gens ont peur des réactions négatives de leur entourage. Selon la même étude, les sujets interrogés affirment que ces réactions se traduisent par la séparation de lit dans le couple, le divorce, le rejet par la famille, la décision personnelle de s'isoler, les moqueries/critiques/mépris, les exclusions des prises de décision au sein de la famille, l'isolement et l'interruption des visites par les parents32(*). ZIGANI Z. (2004) précise aussi dans son étude que la majorité des personnes qui sont à l'origine du rejet d'une PVVIH appartient à la famille de celle-ci qui doit pourtant être son premier soutien2(*)5. Si la stigmatisation est présentée comme un écueil à l'utilisation des services de CDV par divers auteurs, il en est de même de la méconnaissance de l'existence des services de CDV et de l'existence d'une prise en charge médicale par les ARV à coût réduit par les populations. En effet, Family Health International en juin 2001 a montré dans une étude que parmi les obstacles au CDV dans les pays en voie de développement, il y a l'ignorance des clients potentiels concernant l'existence des services de CDV2(*)2. ROUAMBA George (2006) affirme dans son étude que la moitié des femmes interrogées ignore l'existence du centre de dépistage du VIH de Manga depuis sa création en 2002. En outre, il pense que la prévention du SIDA par le dépistage volontaire du VIH doit nécessairement intégrer la prise en charge médicale adéquate si l'on veut que plusieurs femmes en âge de procréer y adhèrent2(*)8. Malgré ces obstacles, plusieurs auteurs révèlent que les populations sont disposées à faire le test de dépistage du VIH. A ce propos, SAWADOGO Jean Noël (2003) indique dans son étude que 80% des enquêtés accepteraient le test de dépistage du VIH si on le leur proposait1(*)2. ZIGANI Z. (2004) a aussi trouvé dans son étude que 75% des sujets enquêtés sont disposés à faire le test de dépistage du VIH si on le leur proposait2(*)5. Une étude semblable réalisée par DAMESYN et al en 1998 portant sur des jeunes couples en zone rurale du Kenya occidental a montré que 95% des participants accepteraient le test s'il était gratuit. S'ils devaient payer le service, 31% à 41% ont indiqué qu'ils payeraient le montant indiqué3(*)0. Plusieurs obstacles au CDV sont imputables aux populations mais il n'en demeure pas moins que certains aspects liés à l'organisation et au fonctionnement des services entravent l'utilisation des services de santé en général et des services de CDV en particulier.
L'organisation est un processus systématique de recherche d'amélioration. Une bonne organisation des services nécessite la mise en place d'instruments d'organisation des services. Ces instruments sont notamment la description des postes, l'organigramme, la répartition des tâches, le planning des congés et le calendrier de travail33(*). Ceux-ci permettront de rationaliser le travail en déterminant les activités nécessaires en vue de leur perfectionnement. Toutefois, SESSOUMA N. Abdoulaye (2003) à travers une étude descriptive appelée : « Étude de la performance du système de surveillance des maladies à potentiel épidémique dans le district sanitaire de Kaya » a trouvé que 33,33% des formations sanitaires visitées ne disposent pas de répartition des tâches et le calendrier de travail est quasi inexistant dans les formations sanitaires de Kaya34(*). Quant à S0ME/SO Fatou (2001), elle a révélé à travers son étude que l'organisation des activités est défaillante dans les maternités du district sanitaire du secteur 30 de Ouagadougou, en témoigne la mauvaise répartition des tâches2(*)3. En plus, nombreux sont ceux qui pensent que certaines lacunes de la planification des activités de CDV constituent des obstacles au CDV. C'est le cas de ZIGANI Z. (2004) qui conçoit que la non prise en compte des petits commerçants dans la planification des activités de CDV constitue un handicap à l'utilisation des services de CDV par ces derniers. Il précise en outre que 91% des sujets enquêtés n'ont pas assisté à une séance de sensibilisation sur le CDV pour cause d'insuffisance dans la planification de celle-ci2(*)5. De plus, ROUAMBA G. (2006) indique dans son étude qu'aucun conseiller CDV n'a été supervisé, ni bénéficié d'un recyclage après sa formation initiale par défaut de planification de ces activités. Selon lui, cela n'est pas de nature à renforcer les connaissances des conseillers CDV et sape leur abnégation à fournir des prestations de qualité aux populations2(*)8. SOME F. (2001) a indiqué également que l'insuffisance de connaissances constatée chez les personnes interrogées est imputable au fait que 60% des enquêtés de son étude2(*)3 n'ont bénéficié d'aucune supervision. Le fonctionnement des services de CDV est aussi incriminé par certains auteurs, comme un facteur pouvant freiner le désir d'utilisation des services de CDV. D'abord, ROUAMBA G. (2006) a montré à travers son étude que les services de CDV ne sont pas permanents, ce qui occasionne de multiples rendez-vous et crée un sentiment de manque de confiance entre les femmes et les conseillers du centre de dépistage du VIH de Manga28. Ensuite, ZIGANI Z. (2004) ajoute que le réaménagement des programmes des services de CDV est nécessaire pour permettre au plus grand nombre de personnes exerçant dans le petit commerce de les utiliser2(*)5. Enfin, SESSOUMA N.A. (2003) constate que 79% des agents interrogés n'ont jamais pris part à une réunion de service. Selon lui, cet état de fait ne favorise pas les échanges d'expériences nécessaires à l'amélioration des prestations3(*)4. Une bonne organisation et un bon fonctionnement des services de CDV sont donc nécessaires pour permettre aux populations d'adhérer au CDV. * 22 Family Health International, conseil dépistage du VIH en Afrique, cadre stratégique, 2001, 15 pages * 23 SOME Fatou, les facteurs influençant la communication interpersonnelle dans les maternités du district sanitaire du secteur 30 de Ouagadougou, mémoire de fin d'études, ENSP, 2001, 102 pages * 24 BEOGO T. Gaston, relation soignants/soignés : contribution pour une amélioration de la communication entre les soignants et les soignés dans la zone sanitaire de Bittou, mémoire de fin d'études, ENSP, 1997, 97 pages * 12 SAWADOGO Jean Noël, Dépistage sérologique volontaire du VIH : connaissances et attitudes des jeunes dans la commune de Kaya, mémoire de fin d'études, ENSP, 2003, 105 pages * 25 ZIGANI Z., étude des facteurs expliquant la faible utilisation des services de CDV du VIH dans la ville de Ouagadougou par le secteur informel : cas des personnes exerçant dans le petit commerce, mémoire de fin d'études, ENSP, 2004, 100 pages * 26 ZONGO K. Dénis, les facteurs limitant l'adhésion des femmes enceintes au conseil et au dépistage volontaires du VIH/SIDA au district sanitaire du secteur 30 de Ouagadougou, ISD, Dakar, 2006, 79 pages * 27 TRAORÉ Flore, Acceptabilité par les parents d'enfants hospitalisés en milieu pédiatrique de Bobo Dioulasso : dépistage de l'infection à VIH, thèse de doctorat, UO, 1997, 136 pages * 12 SAWADOGO Jean Noël, Dépistage sérologique volontaire du VIH : connaissances et attitudes des jeunes dans la commune de Kaya, mémoire de fin d'études, ENSP, 2003, 105 pages * 28 ROUAMBA George, les facteurs déterminant la faible fréquentation du centre de dépistage volontaire du VIH/SIDA par les femmes en âge de procréer dans la commune de Manga, mémoire de fin d'études, UO, 2006, 108 pages * 25 ZIGANI Z., étude des facteurs expliquant la faible utilisation des services de CDV du VIH dans la ville de Ouagadougou par le secteur informel : cas des personnes exerçant dans le petit commerce, mémoire de fin d'études, ENSP, 2004, 100 pages * 29 SP/CNLS-IST, contenu des rapports, deuxième session, Ouagadougou, décembre 2002, 186 pages * 12 SAWADOGO Jean Noël, Dépistage sérologique volontaire du VIH : connaissances et attitudes des jeunes dans la commune de Kaya, mémoire de fin d'études, ENSP, 2003, 105 pages * 25 ZIGANI Z., étude des facteurs expliquant la faible utilisation des services de CDV du VIH dans la ville de Ouagadougou par le secteur informel : cas des personnes exerçant dans le petit commerce, mémoire de fin d'études, ENSP, 2004, 100 pages * 30 ONUSIDA, impact du conseil et test volontaire : aperçu à l'échelle mondiale des avantages et des difficultés, Genève, 2002, 101 pages * 31 OMS, PIOT P. et al., SIDA en Afrique, manuel du praticien, Genève, Suisse, 1994, 131 pages * 29 SP/CNLS-IST, contenu des rapports, deuxième session, Ouagadougou, décembre 2002, 186 pages * 32 OUEDRAOGO T.L. et al., Infection à VIH et modification des relations sociales : étude auprès de 188 personnes infectées par le VIH à Ouagadougou, BF, cahier santé n°4, 2001, 4 pages. www.john-libbey-eurotext.fr * 25 ZIGANI Z., étude des facteurs expliquant la faible utilisation des services de CDV du VIH dans la ville de Ouagadougou par le secteur informel : cas des personnes exerçant dans le petit commerce, mémoire de fin d'études, ENSP, 2004, 100 pages * 22 Family Health International, conseil dépistage du VIH en Afrique, cadre stratégique, 2001, 15 pages * 28 ROUAMBA George, les facteurs déterminant la faible fréquentation du centre de dépistage volontaire du VIH/SIDA par les femmes en âge de procréer dans la commune de Manga, mémoire de fin d'études, UO, 2006, 108 pages * 12SAWADOGO Jean Noël, Dépistage sérologique volontaire du VIH : connaissances et attitudes des jeunes dans la commune de Kaya, mémoire de fin d'études, ENSP, 2003, 105 pages * 25 ZIGANI Z., étude des facteurs expliquant la faible utilisation des services de CDV du VIH dans la ville de Ouagadougou par le secteur informel : cas des personnes exerçant dans le petit commerce, mémoire de fin d'études, ENSP, 2004, 100 pages * 30. ONUSIDA, impact du conseil et test volontaire : aperçu à l'échelle mondiale des avantages et des difficultés, Genève, 2002, 101 pages * 33 DRS-CN, cours de perfectionnement des membres des équipes cadres à la gestion des districts sanitaires, module 4, version révisée : qualité de soins et organisation des services, Kaya, 2005, pages 34-46 * 34 SESSOUMA N. Abdoulaye, Étude de la performance du système de surveillance des maladies à potentiel épidémique dans le district sanitaire de Kaya, mémoire de fin d'études, ENSP, 2003, 101pages * 23 SOME Fatou, les facteurs influençant la communication interpersonnelle dans les maternités du district sanitaire du secteur 30 de Ouagadougou, mémoire de fin d'études, ENSP, 2001, 102 pages * 25 ZIGANI Z., étude des facteurs expliquant la faible utilisation des services de CDV du VIH dans la ville de Ouagadougou par le secteur informel : cas des personnes exerçant dans le petit commerce, mémoire de fin d'études, ENSP, 2004, 100 pages * 28 ROUAMBA George, les facteurs déterminant la faible fréquentation du centre de dépistage volontaire du VIH/SIDA par les femmes en âge de procréer dans la commune de Manga, mémoire de fin d'études, UO, 2006, 108 pages * 23. SOME Fatou, les facteurs influençant la communication interpersonnelle dans les maternités du district sanitaire du secteur 30 de Ouagadougou, mémoire de fin d'études, ENSP, 2001, 102 pages * 25 ZIGANI Z., étude des facteurs expliquant la faible utilisation des services de CDV du VIH dans la ville de Ouagadougou par le secteur informel : cas des personnes exerçant dans le petit commerce, mémoire de fin d'études, ENSP, 2004, 100 pages * 34. SESSOUMA N. Abdoulaye, Étude de la performance du système de surveillance des maladies à potentiel épidémique dans le district sanitaire de Kaya, mémoire de fin d'études, ENSP, 2003, 101pages |
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