RÉPUBLIQUE DU CAMEROUN REPUBLIC OF
CAMEROON
Paix - Travail - Patrie Peace - Work -
Fatherland
UNIVERSITÉ DE YAOUNDE I
UNIVERSITY OF YAOUNDE I
FACULTE DES SCIENCES
FACULTY OF SCIENCE
DÉPARTEMENT DE PHYSIQUE
DEPARTMENT OF PHYSICS
LABORATOIRE DE MECANIQUE
Influence d e la dispersion aléatoire faib le
sur la transmission par solitons et du Mélange a quatre ondes dans
les fibres optiques
MÉMOIRE Présenté
en vue de l'obtention du Diplôme d'Etudes Approfondies en
Physique (D.E.A) Par Lucien MANDENG
MANDENG, Maître es
sciences Option : Mécanique
Matricule : 02Q076
Sous la direction du Sous la supervision du
Dr. Laurent NANA Pr. Timoléon Crépin
KOFANE
Chargé de cours Professeur
Université de Douala Université de Yaoundé
I
Année académique 2006 - 2007
D édicace
Ce mémoire est dédié a toute ma
famille en partant des lointains ancetres aux descendants a venir'
particulièrement a la mémoire de feu mon frère ainé
IVI A N D ~N G
Clément Hervé.
Re mercie ments
M es re mercie ments s'ad ressent a tous ceux qui d e p
rès ou d e loin quelques soient les moyens ont eu a m'aid er pour la
réalisation d e ce travail.
Je p ense p articulière ment :
- Au personnel enseignant d u d ép arte ment d e
physique d e la faculté des sciences a
l'U niversité d e YAOUNDE I' aux
Professeurs' D octeurs et d octorants qui ont eu
à m'encad rer : Pr. Timoléon C rép
in KO FAN E' Pr. Paul WO AFO ' Pr. Claude Marie N GABIREN G
...
- Au D r. Laurent NANA.
- A M . FEWO .
- A M . N change AD AM O U .
- A mes parents M . et Mme MAN D EN G qui m'ont toujours
soutenus.
- A toute ma famille.
- A la Famille YANA.
- A mes ami(e)s : Jacques Christian KO TTA ' Fredy
FEZEU ' Patrick NJIO N O U ' Placid e O M BO LO ' C hristelle NAN G N
E' Yoland e KEMA G O UA ' MAYEGA ' Bernard BIN D EG ' Laurent FO
TZE' Patrick NYAN DJO U .
- A tous ceux qui ont eu a c euvrer pour que ma
soutenance d e sortie d e l'E.N .S d e YAOUNDE soit une réussite : Rev.
Pasteur Emile MAN D EN G et sa fe mme' ma famille (mes p
arents' Mme Emilienne NYO BE' Mme BIEN D ' Mama
Franc' Mlle Bénédicte N G O N LEN D ' Gabriel M INYEM
EC K' Dora AN D EM E' ma sc eur S ylvie' mon
frère ainé Antoine' mon petit frère
Patrick' Louis - C ésaire' S eh BADJE'
M arthe' Yoland e KEMAG O UA ' Hans NWAHA ' Placid e O M BO LO '
Jean - Baptiste N DJIN GU E' Fredy FEZEU ' Patrick NJIO N O U '
Annie....
Bref a tous ceux d ont j'oub lie certaine ment les no ms
ici' merci a tous.
Table des matières
D édicace
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2
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Re mercie ments
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3
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Table des matieres
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4
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Résumé
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5
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Abstract
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6
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Introduction Générale
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7
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1 G énéralités sur les ondes
solitaires et les téléco mmunications op tiques haut
débit
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9
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1.1 Bref historique sur les ondes solitaires
[4'6'17] 8 8 8 8 8 8
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8
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8
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8
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8
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8 9
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1.2 Téléco mmunications optiques haut d
éb it [7]8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8
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8
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8
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8
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8
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.10
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2 L'équation de SNL et un modele pour
l'évolution du Mélange a quatre ondes
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19
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2.1 O rigine d e l'équation modele non
linéaire d e Schrodinger [4]
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19
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2.2 Equation modele et parametres de trans mission8 8 8 8
8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8
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8
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8
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8
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8
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.23
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2.3 Modele de l'évolution du mélange a
quatre ond es (FWM ) et la condition d e résonance [1]8 8 8 8 8 8 8 8 8
8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 .8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8
28
3 L'évolution du FWM et la dispersion stochastique
faible comparée a la gestion de dispersion 3 7
3.1 Equation S N L avec la dispersion stochastique faib
le [1'19]8 8 ..8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 .37
3.2 Résultats numériques pour
l'évolution du FWM en p résence d 'une faible dispersion
stochastique ou aléatoire8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8
8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 .38 3.3 C o mp araison entre la dispersion stochastique
faib le et la dispersion gérée8 8 8 8 8 8 ..41
Conclusion G énérale 47
Annexe 1 49
Annexe 2 54
Bib liograp hie 59
Résumé
Dans ce mémoire, il est question de
présenter les effets de la dispersion aléatoire faible sur les
solitons1 enveloppes de transmission dans les fibres optiques et sur
les produits du mélange à 4 ondes.
Il s'agit du développement de l'article des
chercheurs Rudy L. HORNE , C.K.R.T Jones et
Tobias SCHAFER, les deux premiers étant du
département des mathématiques de l'Université de la
Caroline du Nord à Chapel Hill aux Etats - Unis , le dernier appartenant
au Staten Island College à New - York aux Etats - Unis. Cet article est
apparu dans la revue internationale de physique « PHYSICA D » et a
pour référence: Physica D 205 (2005) 70 -
79.
Ce sujet est intéressant dans la mesure oil dans
plusieurs applications de la physique qui utilisent les solitons comme
véhicules de l'information, ceux - ci peuvent être détruits
après une ou plusieurs interactions entre - eux (collisions inter -
solitons de fréquences voisines). Ces interactions peuvent
résulter de la dégradation du signal initial autant que de
l'apparition des sous - produits non linéaires parasites qui affectent
la performance du système de transmission optique. Dans les
systèmes de communication optique non linéaires,
particulièrement ceux utilisant le multiplexage en longueur d'onde
(WDM)2, les interactions entre deux solitons de fréquences
voisines induisent la croissance des composantes du Mélange à 4
ondes (FWM)3. Il est montré dans ce travail que
l'introduction d'un bruit faible (processus stochastique) dans le
système considéré (à travers le terme de
dispersion) réduit la croissance des composantes dudit Mélange
à 4 ondes. La dispersion aléatoire affecte aussi la condition de
résonance concernant le Mélange à 4 ondes. Ce qui est
surprenant, c'est qu'on constate que l'effet du bruit faible dans le terme de
dispersion a un impact comparable (sinon encore meilleure) à la
technique déterministe usuellement utilisée pour résoudre
le même problème notamment celle de la gestion de
dispersion.
1 Solitons : ondes solitaires
2 WDM : Wavelength - Division Multiplexing
3 FWM : Four - wave mixing
Abstract
In this work, it is question to present the effects of weak
randomness on pulse interactions and four - wave mixing products.
In fact, It is a development of the paper of researchers
Rudy L. HORNE , C.K.R.T Jones, Tobias
SCHAFER , the two first being in Mathematics' s department of North
Carolina University at Chapel Hill in U.S.A , the last one belonging to
Mathematics ` s Department of Staten Island College at New - York in U.S.A.
This paper has appeared into the international review of physic «PHYSICA
D» and has the following reference: Physica D 205 (2005) 70 -
79.
This research subject is very important in the case that,
in many physical applications that use pulses as information carriers, pulses
may be distorted after one or many interactions (collisions between solitons
having neighbours frequency). These interactions can result in initial pulse
degradation as well as the production of non linear by - products that affect
system performance. In nonlinear optical communications systems, particularly
wavelength - division multiplexing (WDM), pairwise pulse interactions induce
Four - Wave Mixing (FWM) components growth. It is shown here that, the
introduction of small noise (stochastic process) in the underlying system
(trough the dispersion term) reduces the growth of this FWM. The weak random
dispersion also affects the resonance condition concerning Four - Wave Mixing.
What is surprising, is that we note effect of weak randomness in the dispersion
term is shown to have a comparable impact as that of using the much more
drastic deterministic dispersion management (DM) technique.
Introduction Générale
L'on ne saurait se tro mp er en disant que les
téléco mmunications sont l'invention la plus p
rolifique' utile et imp ortante de ces d ernières
décennies : p artant de la télép honie' en
passant par internet... b ref tous les médias modernes d e communication
a distance [1-7]. Plusieurs travaux de recherche subventionnés par des
grand es Entreprises d e téléco mmunications' se
retrouvent dans ce do maine [7'20(5)]. D e plus en plus'
des techniques pour améliorer les communications sur des longues
distances ( milliers d e km) a des débits d e plus en
élevés (Gb its/s)' sont mises au p oint'
ceci' du d o maine théorique au do maine exp
érimentale. C ela p eut exp liquer la p rolifération d 'articles
scientifiques sur les téléco mmunications [7]. C e qu'on ap p
elle 0 cable coaxial » a été pendant une certaine
époque le meilleur moyen pour transporter les informations sur d e
longues distances. D ep uis quelques années' la fibre op
tique' après avoir sup planté ce d ernier'
est devenue un des médias les plus utilisés pour transporter tous
les types d e données (audio' vid éo'
Internet). C e choix est dil aux efforts soutenus des chercheurs dans le do
maine des téléco mmunications op tiques. Puisque l'on s'est rendu
co mp te que la lumière (étant une ond e électro
magnétique se prop ageant a la plus grande vitesse existante dans
l'Univers d 'après le Relativité Restreinte d 'Alb ert EINSTEIN)
p ouvait servir a transporter les informations sur d e longues distances a des
vitesses non envisageab les jusqu'à lors. C e qui a pour
conséquence l'augmentation presque exp onentielle des déb its
dans les téléco mmunications [1-7].
Les télécommunications optiques sont la
première application d 'un champ d 'investigation extrèmement pro
metteur pour le chercheur et l'ingénieur. H éritières d e
la radioélectricité' les transmissions op tiques ont
vu leur développ e ment b asé sur l'existence de trois notions a
priori indép endantes : le canal d e trans mission' le signal
a trans mettre et le bruit [17]. Quelques dérogations a ce grand princip
e sont bien silr app arues' co mme les non -
linéarités parasites (par exe mple en ce qui concerne ce
travail' l'on considère co mme canal de transmission les
systè mes mono modes a très hauts d éb its utilisant la
technique du multiplexage en longueur d 'onde' l'une des non -
linéarités parasites est le mélange a quatre ond es) [17].
Les recherches dans ce d o maine sont donc axés dans
l'amélioration de la transmission d e d onnées par fibre op tique
que l'on p eut diviser en deux catégories : a) l'étude des co mp
osants b ) l'étude d e propagation. Notre mé moire s'inscrit dans
la d euxiè me catégorie qui est plus théorique que
pratique' notamment ici nous montrons par exe mp le que
l'introduction des
p rocessus stochastiques (avec une faib le
intensité) dans l'équation régissant la propagation d e la
lumiêre (plus précisé ment dans le terme d e dispersion)
dans les fibres mono modes utilisant le multiplexage en longueur d 'onde
réduit de maniêre comparable l'effet non - linéaire
parasite qu'est le mélange a quatre ondes et par conséquent
améliore la transmission des signaux op tiques dans la fibre
[1].
Tout d 'ab ord co mpte tenu du fait que le do maine
des téléco mmunications op tiques est un vaste champ d
'investigation encore jeune et donc pas três b ien connu' nous
jugeons utile de p résenter dans le premier chap itre des
généralités sur les ond es solitaires'
téléco mmunications op tiques' fibres op
tiques' technique du multiplexage en longueur d 'onde'
mélange a quatre ond es... ' afin d'être ap te a b ien app
réhend er l'objet focal de ce travail qui est une fois de plus exp
osée a la fin dudit chap itre.
Ensuite dans le second chapitre' nous d
évelop p ons l'équation modêle de S N L4 qui
sera utilisée tout au long de ce travail ainsi que un modêle pour
l'évolution du Mélange a quatre ond es et la condition de
résonance.
Dans le troisiê me chapitre' nous
montrons par des résultats numériques comment la dispersion
stochastique faib le réduit les co mp osantes du FWM . Nous testons
cette hyp othêse en co mp arant ce résultat a celui de la
méthode usuelle qu'est la gestion d e dispersion ou D M 5
[2]' ceci' pour le cas des fibres optiques
réelles6. Tout ce travail nous p ermet a la fin d e ce chap
itre d 'éb aucher des perspectives d 'investigation ultérieure
qui p ourraient en découler. ...
4SNL : Schrödinger Non Linéaire
5 DM : Dispersion management
6 Fibres optiques réelles : Fibres avec
pertes
Chapitre 1 Généralités sur les ond
es solitaires et les
téléco mmunications op tiques haut d
éb it
1.1 Bref historique sur les ond es solitaires [4' 6'
17]
En 1834' John SCOTT RUSSEL ob serva une
onde hydrodynamique (vague) se d éplacant le long du canal Edinburgh -
Glasgow. Il suivit (sur le dos d 'un cheval) la vague le long du canal et ob
serva que la vague conservait sa forme. Il voulut plus tard app eler ce p
héno mène : < translation d 'une grande onde ». C eci est
connu co mme étant la première observation de ce qu'on connait
aujourd 'hui sous le nom de < S oliton ».
L'histoire des solitons de 1834 a 1970 a
été écrite par p lusieurs auteurs. En 1973' les
solitons étaient aussi prédits co mme étant susceptib les
d'apparaitre dans les systè mes de fibres op tiques. Dans les articles
de HASEGAWA et TAPPERT' ces derniers montraient que les
équations de MAXWELL p euvent ètre app roximées par une
équation d e SCHRODINGER non linéaire. Ils montraient ensuite que
l'équation p ossédait des solutions (solitons) : les ond es
solitaires dans les fibres corresp ond ant a une dispersion anormale ap p
elées solitons b rillants (< bright » ou encore de type envelopp
e) et les ond es solitaires dans les fibres corresp ondant a une dispersion
normale app elées solitons somb res (< dark » ou encore d e type
trou). Dans une ond e solitaire b rillante' l'intensité
décroit vers zéro aux grand es distances tandis que pour une ond
e solitaire sombre on a une d écroissance locale en intensité a p
artir d 'une valeur d e base non nulle.
Mème avec la p rédiction
théorique de l'existence des solitons dans les fibres
optiques' ce n ' est que vers 1980 que les solitons sont pour la
première fois ob servés dans une fibre par M O LLENAU
ER' STOLEN et GORDON.
Dans ce travail' on se réfère
aux ondes solitaires sous la déno mination d e solitons. Les solitons
app araissent dans l'équation S N L co mme un résultat de
l'équilib re entre la dispersion et la non linéarité.
Aussi' l'imp ortance pour les objectifs d e transmission par
impulsions lumineuses résident dans le fait que les solitons p
ossèdent deux propriétés re marquables :
(i) Les solitons sont stables sous d e faib les
perturbations et p euvent se prop ager sur d e
très grand es distances.
(ii) C es ond es préservent (avec des p
aramètres dynamiques convenab les) leur
structure après d 'éventuelles collisions
entre elles.
1.2 Téléco mmunications op tiques haut
débit [7] 1.2.1 Historique
Les réseaux d e téléco mmunication
dans les années 70 rep osent sur deux types d e systè mes : le
cable coaxial et les faisceaux hertziens.
Le réseau hertzien est b asé sur une
infrastructure de relais (distant d 'environ 50 km les uns des autres) et
utilise diverses b andes de fréquences essentielle ment autour de 6/7 G
Hz et 11 GHz. D e 1975 a 1985' la recherche se concentre sur les
prob lè mes que pose l'augmentation de la b and e p assante liée
au passage d e l'analogique au numérique' et des d
évelopp e ments imp ortants voient le jour. Ainsi' des
faisceaux hertziens p ermettant la transmission de 8 canaux (7 plus un canal de
secours) a 140 Mb it/s' soit environ 1 Gb it/s sur un lien sont disp
onibles dès la fin des années 80. Le rend e ment sp
ectral' qui rep résente l'efficacité dans
l'utilisation du sp ectre' atteint alors environ 4 b it/s/H
z' grace a des sché mas d e modulation p
erformants.
Les lignes d e transmission utilisant le cable coaxial
p ossèdent' quant a elles' une longueur du pas d e
régénération b eaucoup plus faib le du fait de la
très forte atténuation du milieu. Le systè me de base de
ces réseaux a une cap acité de 140 Mb it/s avec un esp ace ment
entre chaque rép éteur de l'ordre de 2 km. Les d erniers d
évelop p e ments sur ces lignes d e transmission ont p ermis d 'ob tenir
une cap acité d e 560 Mb it/s avec le mème esp ace ment entre
rép éteurs. C o mme a l'ép oque les cables interurb ains
disp osaient typique ment de 8 a 12 p aires' la cap acité
d'une ligne atteignait 2 ou 3 Gb it/s.
C 'est vers la fin des années 80 que vont
apparaitre les premiers systè mes d e transmission optique : une p
ériod e d e coexistence commence avec les autres réseaux. C e d
évelopp e ment commercial est l'ab outisse ment de plus de deux d
écennies de recherche de base pour ob tenir des co mp osants et disp
ositifs (en p articulier des sources)' mais aussi des fibres dont
l'atténuation est compatible avec les exigences d'un réseau d e
téléco mmunication.
Les premières années d e l'op tique sont
marquées par des évolutions imp ortantes :
· Le passage de la fibre multi
mode7' utilisée dans les premières exp
érimentations' a la fibre mono mod e qui propose des d
éb its sans rapport avec la première.
· Le passage successif de la première
fenétre d e transmission autour d e 850 nm (fibre multi mode) a la d
euxiè me autour de 1310 nm (minimum d 'atténuation d'environ
0'3 a 0'4 dB/km)' puis a celle autour de 1550
nm (minimum d 'atténuation de 0'2 dB/km)' qui est
la norme aujourd 'hui en matière d e réseau. C es change ments de
fenétre d e transmission ont été rendus p ossib les par
l'amélioration des techniques de fabrication des préformes et au
développ e ment des sources op tiques.
S i' dans les premières
années' le réseau optique a un déb it qui ne
surp asse pas encore celui des lignes d e transmission utilisant le cable
coaxial' il p résente quand méme un avantage
indéniab le face a ce dernier : l'esp ace ment entre chaque rép
éteur est plus imp ortant' d e l'ordre
d e quelques dizaines d e kilo mètres (par exe
mple environ 70 km pour un systè me a 560 Mb it/s a 1550
nm).
Les réseaux d e téléco
mmunications rep osent donc toujours sur deux systè mes' la
radio et le cable qui d e coaxial est devenu op tique. L'avantage de la fibre
op tique par rapport au cable coaxial (augmentation du pas de
régénération et d onc diminution des rép
éteurs et des cofits d e fabrication des lignes de transmission) va
trouver un champ d 'ap plication dans le
d o maine des téléco mmunications
très longues distances (en p articulier dans les lignes de transmission
sous-marines) : des cables optiques furent envisagés dès lors que
la fiab ilité des co mp osants optiques permit d e les immerger. Le
premier cable sous- marin transatlantique8 TAT 8 utilisant des
fibres optiques fut p osé en 1988 et offre une cap acité d e 280
Mb it/s par p aire de fibres a 1310 nm. TAT 9 qui suivit en 1991'
travaille quant a lui a 1550 nm' avec une cap acité de 560 Mb
it/s par p aire de fibres.
La notion d e ligne d e transmission otout-optique»
faisant app el exclusive ment a la fibre op tique apparait au déb ut des
années 1990.
D e 1992 a 1996' vont se b -tir les
réseaux 0 tout-op tique » d e grande cap acité utilisant la
fibre mono mode standard ap p elée G-6529' chaque
fibre étant capable de transporter un d éb it
d e 2'5 Gb it/s avec un pas moyen d e
régénération de 90 km. C ette évolution
technologique
7 La fibre multimod e conserve cep end ant sa
pertinence dans d 'autres d o maines tels que l'aéronautique par exe mp
le.
8 TAT : Câble sous - marin transatlantique
9 Norme ITU - T.
des réseaux 0 tout-optique » a
été rendue possible par la mise au point d 'amp lificateurs op
tiques des la fin des années 80. En général'
l'amplificateur utilise une fibre ED FA10; ainsi cela p ermet d e
contrô ler sans conversion électro-optique la puissance des
signaux trans mis et co mp ense les p ertes sub ies lors de la
propagation.
En 1995 le premier réseau sous-marin utilisant
la technologie d e l'amp lification op tique a fibre d op ée a l'erb ium
(ED FA) est mis en service. C ette liaison longue d e 6300 km (TAT
12' TAT 13) co mp orte 133 rép éteurs en ligne et
propose un d éb it total de 10 Gb it/s trans mis sur deux fib
res' équip ées chacune d 'une longueur d'onde
modulée a 5 Gb it/s.
Enfin la véritab le révolution
technologique va se produire avec l'app arition du multiplexage en longueur
d'onde ou WD M qui amene donc une multiplication par un facteur consid
érab le de la cap acité du réseau. Lintérét
principal de cette technique' qui a fait sa p
opularité' est d e p ouvoir réutiliser la fibre
déjà installée' ce qui n'entraine pas de
surcout pour d e nouvelles infrastructures. Le p aragraphe suivant va nous exp
liquer son fonctionne ment
1 .2.2 Multiplexage, modulation WDM
Un avantage des amplificateurs op tique a fibres dop
ées a l'Erb ium (ED FA) est le fait qu'ils présentent une b ande
sp ectrale d 'amplification de 30 a 40 nm. 1l est donc possible d 'amplifier
simultané ment p lusieurs canaux d e longueurs d 'ond e voisines dans
cette plage sur une méme fibre. C ette technique app elée
multiplexage en longueur d 'ond e ou WD M p ermet d e multiplier le d éb
it des réseaux d e téléco mmunications par le no mb re de
canaux.
Dans toute trans mission' il est d onc
intéressant d e faire passer au méme moment dans le méme
conducteur (ici une méme fibre) un maximum d e communications
concurrentes' sans que l'une ne vienne b rouiller l'autre. O n les
ache mine d onc chacune sur une longueur d'onde différente : c'est le
multiplexage.
Le multip lexage et sa fonction inverse sont
assurés par des M ux/D e mux. Les différentes longueurs d 'ond e
sont générale ment asse mb lées et sép arées
par des p rocédés optiques' co mme les filtres en
couches minces (les plus co mmuné ment rép andus). Plusieurs
trains d e signaux numériques a la méme vitesse de modulation
sont associés' mais chacun a une longueur d 'ond e
distincte.
10 Dans laquelle se p roduit un
mécanisme d e transfert d e puissance entre une p o mp e op tique et le
signal a transporter.
Fibre
MULTIPLEXEUR
DEMULTIPLEXEUR
Récepteur 2
Emetteur A2
1, 2, ..., N
Récepteur AN
Emetteur X1
Récepteur X1
Emetteur AN
Compensateur de dispersion
Amplificateur optique
Figure 1.1. Principe dXune liaison WD M11
C ette figure 1.1 montre le fonctionne ment la
technique WD M : p lusieurs signaux sont
multiplexés1A' ensuite drainés dans la
méme fibre dans laquelle ils sont amplifiés a chaque fois par des
amp lificateurs optiques. Arrivés a la réception les signaux sont
d é multip lexés et trans mis chacun vers le récep teur
corresp ondant.
11 Toutes les figures apparaissant dans ce chapitre
sont inspirées de la référence [7], sauf les figures 1.3,
1.4, 1.5
12 Technique analogue à celle de
modulation/démodulation de fréquences usuelle.
Figure 1. 2. Opportunité d 'utilisation du
multiplexage couplée a l'amp lification optique
C ette figure 1.2 montre le principal profit de la
technique du multiplexage en longueur
d 'onde (WD M )' a savoir le fait qu'elle rend inutile
l'utilisation des rép éteurs/régénérateurs
intermédiaires1B .
Il est a noter que la technologie du multiplexage en
longueur d 'onde (WDM) et en p articulier le multiplexage en longueur d 'onde
dense (DWD M)1C' du fait des fortes p uissances op tiques
guidées va introduire des effets non linéaires qui en
dégradent les performances dont les plus imp ortants sont :
· L'auto modulation de phase ou S PM
1D.
· La modulation de phase croisée ou
diaphonie entre canaux' app elée XPM
1E.
13 Qui eux obligent l'utilisation de plusieurs fibres
optiques, ce qui n'est pas le cas de la WDM, celle - ci est donc non seulement
plus économique mais plus performante et réalise la même
opération.
14 DWDM : Dense Wave - length Multiplexing
15 SPM : Self Phase Modulation
· Le mélange a quatre ondes noté FWM
17 qui créerait de lXinter-modulation op tique entre les
différents canaux.
· La diffusion RAMAN stimulée ou S RS
18 qui augmente les écarts de puissance revue entre canaux et
par conséquent produit une trop grande dispersion du rapport signal/b
ruit' il y a égale ment la diffusion RAMAN auto - induite
dans laquelle on assiste a un transfert d 'énergie des courtes aux grand
es longueurs d 'ondes par vibrations moléculaires (phonons op tiques)
dans la silice [18].
· La diffusion BRILLO U IN stimulée ou S
BS 1H' il y a p erte de puissance du signal a l'ap proche
du seuil par transfert de puissance a l'ond e STO KES ' cet effet est similaire
a la diffusion RAMAN stimulée [18].
Pour ce qui est de notre travail on s'intéresse
unique ment a l'effet non linéaire du élange a quatre
ondes.
1.2.3 Le mélange a quatre ondes (FWM)
[20(4)]
Le mélange a quatre ond es est un effet
optique non linéaire' qui consiste en une inter - modulation
entre deux ou trois ondes électro magnétiques qui en
générent ou amp lifient une ou deux autres. C 'est un processus
du troisiéme ordre qui est générale ment d
'intensité faible et intéressant seule ment en l'ab sence de p
rocessus d e second ordre.
L'accord de phase est en général
réalisé non colinéaire ment dans les solides et
colinéaire ment en utilisant la dispersion anormale dans les gaz. Le p
rocessus p eut étre large ment plus efficace en présence d 'une
résonance a un ou deux photons.
Le mélange a quatre ondes joue un role
important dans la génération de super continuum dans les fibres
op tiques a cristal photonique' particuliérement dans le
cas
d 'impulsions longues. C 'est égale ment une
cause d e géne majeure dans le do maine d e téléco
mmunications par fibre op tique particuliérement dans le cas du
multiplexage en longueur d 'onde co mme nous le mentionnons d ep uis le d
éb ut et c'est pour annuler cet effet négatif qu'on introduit ici
une dispersion aléatoire faib le dans l'équation
d'évolution des solitons dans les fibres optiques.
16 XPM : Cross Phase Modulation
17 FWM : Four Wave Mixing
18 SRS : Stimulated RAMAN Scattering
19 SBS : Stimulated BRILLOUIN Scattering
1.2.4 Fibre optique [7' 12' 20] a) Description
Une fibre op tique est un guide d 'ond e
diélectrique qui posséde générale ment une
symétrie de révolution. Une fibre classique est constituée
par deux couches de matériaux transp arents a base d e silice ap p
elées le coeur' d 'indice d e réfraction
n1' et la gaine op tique qui entoure le coeur' d'indice
n2. L'indice n1 est sup érieur a n2 ce qui garantie la
réalisation de la condition de réflexion totale a l'interface
gaine - co eur c'est - a - dire qu'un rayon lumineux p énétrant
dans le coeur d e la fib re' a l'une de ses extré
mités' se p rop age longitudinale ment jusqu'a l'autre
extré mité grace aux réflexions totales qu'il sub it a
l'interface entre le verre d e coeur et le verre de gaine.
O n distingue :
> Les fibres multi modes' dans ce type de
fibres on a :
· la fibre a saut d 'indice 200/380
constituée d'un coeur et d'une gaine op tique en verre d e
différents indices de réfraction. C ette fibre p rovoque de par
l'i mp ortante section du coeur' une grand e dispersion des signaux
la traversant' ce qui génére une d éformation
du signal reçu :
Figure 1.3 S ché matisation de la propagation
dans la fibre a saut d'indice
· la fibre a gradient d'indice dont le coeur est
constitué de couches de verre successives ayant un indice de
réfraction p roche. Bande p assante typique 200- 1500Mhz par
km.
Figure 1.4 Schématisation d e la propagation
dans la fibre a gradient d'indice
> Les fibres monomodesA0 dont le coeur
est si fin que le chemin de propagation des différents modes est
pratique ment direct. La dispersion nodale d evient quasi ment nulle. La b and
e p assante trans mise est p resque infinie (sup érieur 10Ghz/km). C
ette fibre est utilisée essentielle ment pour les sites a distance. Le
petit diamétre du coeur (10um) nécessite une grande puissance d
'é mission' d onc des diodes au laser qui sont relative ment
onéreuses.
Figure 1.5 S ché matisation d e la propagation
dans la fibre a saut d 'indice mono mode
C es figuresA1 présentent les fibres
citées ci - dessus ainsi que leurs caractéristiques géo
métriques et de propagation. Le type sur laquelle nous app liquons notre
hypothése est le d ernier type : Fibre mono mode dans les
systémes du multip lexage en longueur d 'ond e (WD M).
b ) La dispersion dans les fibres optiques
Lorsqu'une impulsion se p rop age en régime
linéaire dans une fibre op tique' elle sub it un
phénoméne de dispersion qui se traduit par un étale ment
te mp orel de celle-ci (figure 1.5).
Figure 1.6 . Evolution de l'impulsion pendant sa
propagation dans la fibre optique
O n voit b ien qu'il y a étale ment te mp orel de
l'impulsion initial a la sortie de la fibre.
Plusieurs types d e dispersion existent'
contribuant tous a l'étale ment d e l'imp ulsion au cours de sa
propagation dans le guide : la dispersion intermodale' la dispersion
du matériau' la dispersion du guide. La so mme des
dispersions du guide et du matériau' rep résente
générale ment ce qu'on app elle : Dispersion chro matique
[7].
20 Ces fibres sont à sauts d'indice.
21 Elles proviennent de la référence
[20(9)] : figures 1.3, 1.4, 1.5.
Nous allons maintenant dans le second chap
itre' dévelop p er l'équation modele d e Schrodinger
non linéaire (S N L) qui sera utilisée tout au long d e ce
travail ainsi qu'un modele pour l'évolution du Mélange a quatre
ond es et la condition de résonance.
C hap itre 2 L'équation d e SNL et un modele pour
l'évolution du Mélange a quatre ond es
2.1 Origine d e l'équation modèle non
linéaire de Schrödinger [4]
Nous l'avons dit p récéde
mment' la dynamique des ond es solitaires dans les fibres
op tiques' a pour origine les équations qui
régissent celle de l'onde électro magnétique qu'est
la lumiére a savoir les équations d e MAXWELL
:
,...
rotE
at
,...
divB
a
I
A
( 2.1)
0
,...
D
,rotH = J
l l+aat
oil E et H
représentent les champ s électrique et
magnétique resp ective ment' tandis
que' D et B rep
résentent resp ective ment le vecteur d ép lace ment
électrique et l'induction magnétique. D ans une
fib re optique' on a Jl = 0 et
pl = 0 . D et
B sont reliés a E et
H p ar les relations :
D = e0E +P
ii= u0H
+M
|
( 2.2.a) ( 2.2.b)
|
M est le vecteur magnétisation et est
nulle dans notre cas (l'usage des fibres a silice) ; on a la
relation : e0 u0 = 1 c
2 oil c = 2, 9997 × 10
8 m · s -1 est la
vitesse de la lumiére dans le vide ' alors
que e0
et u0 sont resp ective ment la p
ermittivité électrique et la p erméab ilité
magnétique du vide. P est
le vecteur polarisation ' ce d ernier est constitué d 'une polarisation
linéaire P L et
d 'une polarisation non linéaire
PAIL : P = PL + PAIL
.
En p articulier' la p artie linéaire
est d onnée par :
S.V.P Ne pas distribuer / Please Do not
distribute
~~~ ~
( ) ( ) ( ) ( ) ( )
~~ ~
+? ~ - ~
= ~ -
1 0 '
? ? ~ i t t
~
?
PL r t
, t t E r t e
' , dt ' 2.3
( )
0
-?
x(1) est la susceptib ilité
électrique d e premier ordre.
La p artie non linéaire est plus co mp
liquée. Il est suffisant pour notre objectif d 'approximer
P NL par :
~~ ~
( ) ( ) ( )
~~ ~
2
P NL r , t ? ? 0 ? NL E E r
, t (2.4)
La non linéarité d e E
NL en E 2 rep résente la
non linéarité de KERR22 dans une fibre
mono mod e ; ici on a' E NL
E 2 = 2 n2 E 2
et n2 est la p artie non linéaire d
e l'indice d e
réfraction. En p renant le rotationnel de la
première équation du systè me (2.1) et en
utilisant les relations (2. 2)' on a :
~~ ~~ ~~
2 2
? ~ ? ? ~
2
1 E P L P NL
( 2.5)
-- ·2
u
2 2 0 ~ + ~
2 2
? ~ ? ? ~
? -
E =
c t t t
Nous consid érons que VD
V(E0 E).--0 ' car
VE contrib ue seule ment aux ordres sup
érieurs. Nous d éfinissons la transformée de FOURIER
:
~ ~
( ) ( ) ( )
~ ~ - ~
i t
0 ~
, ? ? +?
F r
~ ? ?
- = ~ F r t e
, dt 2.6.a
( )
0 -?
~ 1 ~
+?
( ) ~ ( ) ( )
~ - - ~
i ? ? t
0 ~
F r t
, = ~ -
F r , ? ? e ~ d ?
2.6.b
( )
0
2 ? -?
w0 est la fréquence princip
ale. La transformée d e FOURIER (TF) est prise au regard de
t associée a la variation w
- w0 de fréquence. En p renant la
transformée de FOURIER d e l'équation (2.5) on a
:
~ ' a
0 ~ I a 2 +*.
AE + CO E = u0 TF
f eoz( 1 )( t , t )e
[ ia( ")] + t2 k0 e
E]lNL 2
at2 J
.
car TF at 2 2 2
m2 ,
=-coo2 P A m
É + 7 È =- 7
V( 1) É+ g NL E)
aF
c c
22
Voir annexe 2.
Tout si mple ment p arce que TF (
f * g ) = f * g~ ' on p eut
égale ment simplifier en
consid érant le vecteur de propagation
? k 0 =0et en p osant que :
c
E ? , E = 1 + ? ~
? + ? ~ NL E 2.7
( ) ( ) ( ) ( )
2 1 2 ( )
O n ob tient :
~
AE+E
|
( )
? , E k 0 E ~
= 0 2.8
2 2 ( )
|
Nous p ouvons effectuer une sép aration d e
variables (x , y , z) de la maniere
suivante :
- L'évolution du champ
E le long d e la fibre p eut etre décrite suivant l'axe z
(c'est cette dynamique là qui nous
intéresse).
- L'évolution transverse du champ est
représentée par la fonction F (x ,
y) .
O n écrit :
~
~ i z
0
E r
( ) ( ) (
, ? - ? = F x y W z
, ~ , ? - ? ) e ?
2.9
( )
0 0
oft fl0 est le no mb
re d 'ond e et r = (x, y , z)
. En re mplaçant l'expression de E(r
, (0-(00) dans
l'équation (2.8) on aura2B :
~ ~~~
~
~~
~ a2 F
a2F
axe )
x2+ ay2 +
|
( ( ( ) ( ) ) )
2
k 2 1
1 + ? ? ?
~ - F = 0 2.10.a
( )
0 0
|
~ 2 2 F
a2* F
2k, -
W az 2 + W az
0 ( 2.10.b)
~ ~ =
~
- 2 n 2F 3 W
~
~
O n simp lifie la relation (2.10.b ) par F et
on la multiplie par W
|
' ensuite on la divise par
|
-2' on ab outit a :
|
|
|
23 Voir annexe 1
|
|
|
O0W
- 1 -
zz+ + n 2
0147 F 2 k
2 W-
W
|
2
=
|
|
0 2.11
( )
|
|
|
|
Posons E ( Z , T )
W( z ,t) ' T = t
- Az ' Z = z ;
l'équation (2.11) d evient donc24 :
2
AEZ + 161
Ems.+ n 2 F 2 k
02E
2
|
E
|
2=
|
0 2.12
( )
|
O n divise cette relation (2.12) p ar
130 ' tout en sachant
que O n aura :
|
1 ? ?
0 0
? 0 = = =
20 c 2/1c
|
iE Z + E TT + 2zn
2 F2w0 E
1612
2160
c
E 2 =
0 2.13
( )
2
O n p osera 132 =-
161 =-AZ) ' ofi
fl0
1
?1 = '
vg est la vitesse de group e du
soliton. )02
et
g
v
iE Z +
13(
2Z)
E TT + yE
|
E
|
2 = 0
|
( 2.14)
|
f(Z) representent le p rofil d e la
disp ersion . F (x , y) est la
distrib ution transversale dans la fib re ' ici (cas d 'une
fib re monomode) co mp te tenu d e la symetrie cylindrique F
(x, y) est constante tout le
long du cceur de la fib re et contrib ue a definir le terme concernant la
non
linearite cub ique ; on d efinit
Aeff = 1 co mme etant la section du cceur
d e la fib re qui varie
2AF2
entre 50 - 80 um 2
aux longueurs d 'onde de 1'55 um '
l'indice de refraction non lineaire n 2 = 3, 2 ×
10-16cm2 /W et la frequence
centrale w0 de l'impulsion a une valeur de
1200Thz a
0
2 = 1,55um . O n considere d onc le
coefficient non linéaire y = n
2 qui p our les fib res
cAeff
op tiques a des valeurs entre 2 et 30 W
- 1 km-1 [4].
En prenant en co mpte de tout ceci' (2.13)
devient :
24 co
a a a
2a
az = aZ ; az 2 -/31 a
T2
2 2
L'équation (2.14) est l'équation S N L avec
non linéarité cub ique25 sans amp
lification2E. Quand on y ajoute l'amplification on
a :
? ( )
Z 2
iE + E + ? E E = - i ? E
2.15
( )
Z TT
2
C ette dernière équation est
l'équation p rincip ale2F de notre analyse.
2 .2 Equation mod èle et paramètres de
transmission
Nous co mmençons notre analyse avec
l'équation mod èle de SCHRODINGER non
linéaire (S N L) (2.15) p récéd ente qui inclut la
disp ersion' la non linéarité cub ique et
l'amplification :
? ( )
Z 2
iE + E + ? E E = - i ? E
2.16
( )
Z TT
2
Le soliton envelop p e du champ électrique
est E (Z , T) oil Z
(mesurée en km) est la variable sp atiale de
propagation et T (mesuré en ps) est le
temps.
Les coefficients de p erte ou de non
linéarité et d 'amplification sont resp ective ment
d onnés par : 7 et
a ; le coefficient de dispersion est représenté
par ?(Z) .
Nous introduisons les variables adimensionnées
: c = Z / z * ' 2
= T / t * ' Pav
et
Q(4", 'r) = E(Z
, T ) / P* oil
P* dénotent resp ective ment
l'échelle de longueur
z * , t * , 16 av ,
et
caractéristique' l'échelle d e
temps caractéristique ' la dispersion moyenne et la
puissance maximale. Nous d éfinissons les
échelles d e longueur associées avec la dispersion (
zflav ) et la
non linéarité (
zNL ) données par
|
zflav t /
= * 2
|
16 av
|
et zNL = 1 /
P* . Ainsi' nous définissons le
pas
|
d 'amplification sans dimension par z
a = La / z* .
ici' La est le pas d
'amplification en
25 Elle est matérialisée par le terme
en 7 .
26 Généralement due à un apport
extérieur, ceci pour pallier à l'effet de l'amortissement. Dans
ce mémoire on considèrera - iaE dans le second membre de
(2.14) pour matérialiser l'amplification :a est le coefficient
d'amplification.
27 On a eu à ignorer les filtres.
dimension de longueur et est égal a 40Km
[1]. Avec ce change ment d e variab les'
l'équation (2.16) devient :
iQ 4. + d ( Z )
z* z*
v-rr+ zNL
2 z fl
av
|
Q
|
2
|
Q = - i FQ
|
( 2.17)
|
, ia(
Z)zflav
oft nous avons p osé d ( Z
)= 2 , z*ot = F et on
sait que zNL = 1 /
)43.
t*
Une forme plus convenante d e l'équation (2.16)
est ob tenue en effectuant des calculs
[ 1 dg ( c) =
-Fg( ()
2 d
c
supp lé mentaires : on prend
Q(4-, r) =
g(4)u(4-,r) qu'on
re mplace dans (2.16)' on forme deux
équations dont l'une en g(4) et
l'autre en u (4, r) ' ce qui nous
raméne au systéme suivant :
( 2.17)
L
W. d ( Z )
z* z
u ,,,+* g ( c)u
2u=0 C+ 2 z fl
zNL
av
Dans la deuxiéme relation de (2.17) le
coefficient d e la non linéarité est la fonction
p ériodique g(4) qui incorp
ore de maniére implicite le coefficient d 'amplification. C
ette fonction est relative au pas d 'amp lification sans
dimension za et satisfait
l'équation suivante:
dg
d4-
= - 2Fg ( 2.18)
S i on se trouve a l'amplificateur d e numéro d
'ordre n ' celui qui le suit directe ment est celui de
numéro d 'ordre n+1' par conséquent la fonction
g p eut étre intégrée entre
nza et
(n + 1 )za
'c'est - a - dire que la grandeur
adimensionnée 4- varie entre ces
deux b ornes :
nz a < 4 < ( n + 1
)za ( 2.19)
O n aura
fg
0 g( ) g dg ( y4) = - 2
FIC d `
l4g )= -
2F(` - nza) nzag0
En prenant l'exp onentiel des deux me mb res de cette
relation on a :
g = g0 exp [- 2F(` -
nza )]
Pour une convenance d 'écriture' on
consid érera p our la suite que : 4 z et
r --> t ' ce qui nous p
ermet d 'écrire l'expression explicite d e g
(4) :
g z = g exp ~ - 2 ? z
- nz a ~ , nz a ? z ? n + 1 z a 2.20
( ) 0 ( ) ( ) ( )
~ ~
La valeur d e g max
est telle que la valeur de g ( z) pour une p
ériod e sp atiale za soit
égale a 1 : (g ( z)
)= 1 la g( c) dc =1 1 la
g0 exp[ - 2r( c - nza )]
d4- =1
z a 0 za
0
L'intégration conduit a :
1
g 0 [ exp
za
1-
2
z a g
[ ( ) ] ~ 0 2
2 nz 1 [ e 2 nz 2 nz
- ? -
? = ~ - e - ? z ?
?
a
a a a
? - e ] 1
=
a ~~ 2 ? z
0
Pour cela on d oit consid érer qu'entre deux
amplificateurs successifs n=0 donc on aura :
g 0 21-z
21-z
( )
2 z a
- e - ? a
1 = ~ =
1 g 0
a
1- exp( - 21"za )
|
.
|
O n a en so mme :
( ) 2
2 ? z a
g z = ? ~ - ? - ~
exp 2 ( )
z nz , 1 2.21
nz z n z
? ? +
( ) ( )
z a a a
a
1 - e- ? ~ ~
A cause du fait que nous aurons a étab lir la
condition de résonance du Mélange a quatre ond
es (FWM) associée au cycle d 'amplification' on utilise
souvent [2'3] l'extension en série de
FOURIER d e g ( z) :
+Da
g ( z) = E g
max exp ( -ink az) ( 2.22)
dz
1 z a
oil k a = 27c/
za est le no mb re d 'onde caractéristique ;
et g max = f g( n = 0,
z)einkaz
za 0
Ici le terme g (n = 0,
z) provient de la relation (2.21) :
g n z g e - ?
( )
= = 2 z
0, 0
C e qui conduit a l'expression suivante2M
:
g
|
max = I"z a - inz
rza ( 2.23)
|
Pour arriver a réaliser un équilib re entre
les termes disp ersif et non linéaire' on choisit
nos paramétres d e la maniére suivante : z
* = zfl av = zNL .
C ette analyse nous p ermet de p rendre co mme
modéle l'équation d e S N L découlant d e
la deuxiéme relation du systéme (2.17):
u + g z u u =
( ) 2 0 2.24
( )
tt
2
iu z + d
( z)
oft on a effectué le change ment C
z et r --> t . O n note
que d ( z ) =
(d) + F( z) oft
(d) est la dispersion moyenne
et F ( z) est une fonction donnée.
Tout au long de ce travail' on va consid
érer que (d) 1 . Dans les
sections et chap itres suivants on étudiera les cas oft
F ( z ) = 0 et
F(z)# 0 .
Lorsqu'on p ose2H g ( z
) = 1 et F ( z ) = 0 '
l'équation (2.24) d evient :
1
iu z + 2utt +
u
0 2.25
( )
2
u=
Pour d éterminer la forme des solutions solitons
de cette équation (2.25)' on pose
u ( z , t ) = Af( z
,t ) exp[im( z ,t )]
qu'on re mplace dans la dite équation. O n ob
tient 3K:
i
( ) ( ) ( )
~ ~
2
u z t A h A t z T 2
( , ) sec
= ~ - ? + ~ exp exp ( )
~ ~ ~ A - ? z ?
i t 2.26
~
~ 2 ~
N ous tracons cette solution soliton en 3
dimensions31 sur la figure 2.1 suivante :
28 Voir annexe 1.
29 Cas des fibres optiques sans pertes, les solutions
solitons sont donc des solitons idéals.
30 Voir annexe 1.
Ici' A est l'amp
litud e du soliton' T est la p eriode te
mp orelle et n = Ac2t*2 All est
la frequence32 du soliton'
c est la vitesse d e la lumiere'
t* est l'echelle de temps caracteristique
precedemment d efinie'
'lest la longueur d 'onde du soliton et A2
denote la largeur du canal de la
fibre.
Dans ce travail' nous p rendrons les valeurs
des parametres d e transmission co mme vues a la reference
[1].
Ici le no mb re 1'763 represente la moitie d
e la largeur maximale du soliton ideale [1]. S i
on prend n = 3,9 on aura ? = 0,
62 × 10 - 9 m = 0,62 nm
? car
? 2
? =
? ?
.
Tct
*
Figure 2.1 Evolution de l 'amplitude de la solution
soliton (2.26 ) en fonction d e z et de t O n a eu a prendre pour cette figure
A=1' SI = 3 . 9 ' T=O.
Bien silr ici z et t sont sans dimensions' il
en est d e méme pour l'amp litude de la solution
soliton.
O n note sur la figure 2.1 que la solution soliton
ainsi représentée selon l'évolution sur
le temps t' a la forme (profil du soliton suivant
z) d 'un soliton type 0 pulse » (soliton envelopp e). O n
observe alors une croissance de la norme de -5 a 0 et une
décroissance (symetrique a la croissance par rapport a
0) de 0 a 5 suivant z' ceci' quelque soit
t.
31 La norme par rapport à la distance z et au
temps t
32 Voir référence [4].
2.3 Modèle de l'évolution du
mélange a quatre ondes (FWM) et la condition de résonance [1]
Le mélange a quatre ondes' nous
l'avons déjà dit est un p rocessus non linéaire qui
apparait suite aux collisions entre solitons lors du multiplexage en longueur d
'ond e (méthod e WD M). C 'est un p rocessus qui d égrad e la
performance de la transmission du signal impulsion véhiculant des
informations (données) a travers la fibre op tique. C et effet p eut
étre faib le' mais p eut étre amp lifié de plus
en plus que les collisions inter - solitons ont lieu. Pour un cas
intégrab le (fibre sans p ertes) de l'équation (2.24) c'est - a -
dire g ( z ) = 1 et d (
z ) = ( d) = 1 ' les termes du Mélange a
quatre ondes (FWM ) sont connus pour croitre jusqu'à une valeur maximale
a p artir d e z --> -. ' ensuite pour
décroitre vers zéro quand z --> +.
(voir figure 2.2) [4' 5]. Essentielle ment' le produit
FWM est réab sorb é dans les co mp osantes du soliton
aprés que la collision soit compléte.
Pour un cas non idéal d e l'équation
(2.2.10) c'est - a - dire g ( z ) # 1 et
d ( z ) = ( d) = 1 '
les produits du FWM croissent a p artir
de z --> -0. et se saturent a une valeur non
triviale (voir figure 2.3) [1 - 5]. Dans ce cas' un produit
permanent FWM interagit avec les impulsions p rincip ales et affecte la
transmission du signal dans les systémes WD M .
Tout au long de ce mé moire la L
2- norme d 'une fonction f ( z
, t) est d onnée p ar[1'3]
:
f 2 Log.' f (z
, t ) 2 dt ( 2.27)
Nous notons que' nous p ouvons exp rimer
la L 2 - norme dans le d o maine d e
FOURIER en utilisant le théoréme de PARS EVAL. Nous éb
auchons maintenant la dérivation d 'un modele linéaire d 'une
équation aux d érivées p artielles qui décrit
l'évolution du FWM permanent dans le cas non id éal
( g ( z ) # 1 ) ; en utilisant ce
modéle' nous dérivons une condition d e
résonance qui relie la fréquence du soliton
s' l'amplitude A
et le pas d 'amplification sans dimension
za . Nous suivons l'analyse originelle ment p
résentée dans les
références [2' 3].
Nous déco mp osons la solution d e
l'équation (2.24) de la maniére suivante :
u ( z , t ) -'="-" u soliton
+ u FWM oi1 usoliton 7.--. u1
+ u2 et uFWM -.=-" u112
+ u221 .
D onc on p eut ecrire que :
u (z,t):=-- u 1 (
z , t ) + u 2 ( z , t )
+ u 112 ( z , t ) + u
221 ( z , t) + ( 2.28)
u 1 ( z , t)
et u 2 ( z , t) sont nos
signaux solitons d'entree ayant les frequences resp ectives
511 et 522. Nous p
renons n2 = -n 1 = n ; cela implique que la
difference entre les frequences des signaux est AD =
512 - n 1 = 251 ; les termes u 112 (
z,t) et u 221 (
z,t) sont les co mp osantes
resp ective ment Stokes et Anti - Stokes des residus FVVM
avec les frequences resp ectivesBB :
n112 = 2521 - n 2 = -3n et n221 =
2522 -n 1 = 3n donc 52221 = -5
112 .
~
~
~
~
~
~
~
~
~
~
~
1=0 ( 2.29.c)
u 1 + u 2 2 + u *
u2 1
1 2
|
= 0 ( 2.29.d)
|
Lorsqu'on p rend u ( z ,
t) de la relation (2.28) et on le place dans l'equation (2.24)
on aB4 :
u1
2 2
+ 2
u2
u1
2 2
+ 2
u 2
1
iu + u g z u
+ ( ) (
1, z 1, tt 1
2
1
iu + u g z u
+ ( ) (
2, z 2, tt 2
2
) 0 2.29.a
= ( )
) 0 2.2
= ( )
9.b
2 2 *
iu 112, z + 1 u 112, tt
s-, + 2 ( z )[u
112 u 1 + u 2 + u
1 u2
2 1
iu 221, z + 2 u + 2 ( z
)
221, tt ..-. [u221
S eule nous interesse la derniere equation
(2.29.d)' celle qui correspond a la dynamique de la
co mp osante Anti - Stokes du FVVM : tout si mple ment p arce qu'elle
represente suffisamment l'evolution sp atiote mp orelle du
Melange a quatre ondes. O n va pour la suite
assimiler u 221 (
z,t) a q ( z , t)
et on va o mettre le terme en u 221
u1 + u2 2 p arce que celui - ci
est négligeable. C e qui conduit a la forme suivante pour
l'équation (2.29.d) :
1 = - g
* ( z )u 1 u 22
( 2.30)
iqz +q tt
2
C o mp te tenu de la solution (2.26)' on p eut
écrire u1 et
u2 d e la maniere suivante :
33 Il s'agit ici de la condition d'accord de phase
sans laquelle il n'y a pas apparition du Mélange à quatre
ondes.
34 Voir annexe 1
? ~
2
~
( ) (
, = 0 , - ? - ) exp ? - =
j
u j z t u j z t j z T j i j
t i z j ,
, 1 2 2.31
( )
~
2
~ ~
avec
A2;
u j 0 ( z ,t ) = A
j sec h ( A jt) exp
2
[i ' z (2.32)
oir A 1= A
2? A ' T 1=
-T2 T0
C e qui nous amene3D a :
~ u 1 * u 2 2 = A
3 sec h 2 [A (
t -52z + T0]sec h
[A ( t +52z - T 0 )
]exp ii [3nt
+ 1 ( A2 -522)z 2 ~ ~
g-12 ~
= u 10 u20 exp 3i nt - i
z
~ 2 ~
Pour determiner la solution d e l'equation (2.30) on p
eut poser que :
q
? 2( z , t ) = H ( z ,
t)ex43i nt - i 2
z)
(2.33)
O n prend la forme (2.33) qu'on p orte dans l'equation
(2.30) et on cherche3E une equation
pour H ( z , t)
:
1 [ H tt + 6 i S2H t - 2(2
51) 2 H ] = - g
( z )u 22 0 u 10 ( 2.34)
iH z +
2
avec
|
522
/44 = u1 * /4 exp - 3i
52t +i z ~
2
|
( 2.35)
|
35 Voir annexe1
36 Voir annexe1
En utilisant la relation (2.34)' on p eut d
ériver la condition d e résonance' elle relie
la fréquence du soliton1 ' l'amp
litude A et le pas d 'amplification sans
dimension za [10]. Pour
cela on doit prendre la transformée de FOURIER (T.F) d e
l'équation (2.34) :
I 1
T . F iiH
z + tt + 6i 52H t - 2(2 5I) 2
|
2 H ]} = T. F
{ -g ( z ) u 22 0 u10 } (2.36)
|
O n a T . F ( H ) =
f He- i° dt =
Hà . Ainsi la relation (2.36)
devient:
-?
oft
|
iH - 1 0
2
|
.(22 i z
( co, n)H= -
à , 2.37.a
g z e F z
( ) ( )
2 ? ( )
|
+--
2 * 2 * - i t
F z
( )
, = ~
T F u u
. exp 3
( )
- ? ~ =
i t u u
2 1 exp 3
( )
i t e dt
?
? 2.37.b
( )
~ 2 1 ~ ~ - ?
-?
avec
? ? , ? = ? + 6 ? ? + 2 2 ? 2.37.c
2 2
( ) ( ( ) ) ( )
Pour ob tenir la condition de résonance on doit d
évelop p er37 F ( z, w)
:
?
~ 1 ~ +? - i b
2
( ) ( )
2 - ? - ? +
2 2
F z , ? = A exp ~
i A z i z i T
? ? sec [ ] [
sec 2 ] 2.38
( )
0 ~ h b h b A e A db
+ ? 0
~~
2 -?
~
S i l'on re mplace cette expression (2.38) dans
l'équation (2.37.a)' on ob tient :
iH
z
-
2
1 i [A2 z -
ailz +aT0)
( WO =--A 2 g (Z)e 2
Z sec h ( 2A
)I (2
AA0,Aw)
(2.39)
on 38
37 Voir annexe 1
I ( z , w) = kosh( z) + i
wsinh ( z) - exp(i az)]cos ech2 (
z) (2.40)
O n introduit le developpement de FOURIER d
e g ( z) dans l'equation (2.39) et
on l'integre par rapport a z. Il vient :
~ ~ ?i t4640 +4)
2 (w)z ) p
zw z
( z, CO) = A 2 e
sec h (
2A 1E-- g
ni ex
(
CO
( 2.41)
)
2+
Pour effectuer l'integration du second me mb re de la
relation (2.41) on fait le change ment de variab le suivant :
= 52z ' ' dz' = ' ce qui
donne :
H
oft
+?
~
z ~ ~g
~
co
n ×
( z, (0) = 2
ei`dT0 sec h (" 2 A
lexp (- i ( co2 +
MD+ 2 ( 2a)2)
2
icn
dce
OD
L
~ ~ ~ ~
? ?
I A
~ ? ~ ~ ~
2 , 2.42
( )
~ ~ ? ~ ~
0 A
son
|
A 2 - 2nka+O(co)
(?)= 2.43
( )
251
|
O n constate une grand e contribution d e
Hà ( z , ?) lorsqu'on se rapp
roche des wn ' qui
.
2n
sont les racines de pn
(w) = A 2 - 2 nk a + 0( 0
En effet on a :
?#177; = - ? #177; ? + nka -
A
2 2
n 3 2 2.44
( )
Pour que H à ( z ,
?) soit exp onentielle ment p etit' il faut choisir
la solution positive wn + et la
faire tendre vers zero [4] : con + 0
.
38 Voir référence [2, 3]
(0 5.
A 2 27cn
wz I (2 AA0, )dz'
2 -
z a A
La condition de résonance est donc :
2 za 2
1 2 n7/- A2 ~
SZ =
( 2.45)
2
2 (2.46)
R
uFWM
=
usoliton
oil les expressions
|
uFWM
|
2
|
et
|
u soliton
|
2
|
sont prises selon la relation
|
f
|
2
|
+?
= ~ -?
|
f (z , t )
|
2
|
dt
|
.
|
N otons encore que fréquence du soliton
estn ' l'amplitude est A ' la
distance entre deux amplificateurs
za et n est un entier p ositif .
Quand za = 0,1 et A =
1 ' les valeurs
prédites de n sont : 52
3,95 ; 5 '59 ; 6'86 et 7'92 pour
n = 1' 2' 3 et 4 resp ective ment.
Nous tracons sur la page suivante le ration Mélange a quatre
ondes / signal en module élevée au carré.
O n le d éfinit par :
2
Figure 2.2 Variation d u rapport R =
uFWM2 en fonction d e z cas des fibres sans
pertes
u soliton
d(z)=1 et g(z)=1
2
Figure 2.3 Variation d u rapport R =
uFWM2 en fonction d e z cas des fibres réelles
d(z)=1
u soliton
et g ( z ) # 1 ' z est
sans dimension.
Sur la figure 2.2' on a tracé la
variation du rapport R en fonction de z. La forme ob tenue est celle d
'un . pulse . (croissance de -2.5 a 0 et d écroissance symétrique
d e 0 a 2.5 suivant z). C ette courb e a été ob tenue en p renant
l'exp ression du Mélange a quatre
ond es (FWM) et celle du soliton des fibres sans p
ertes [4' 5]. O n voit b ien que le rapport croit
jusqu'à une valeur maximale a p artir de z --> -.
' ensuite pour décroitre vers zéro
quand z --> -F. ' en conclusion le
Mélange a quatre ondes aprés la collision en z=0
disparait d e lui - méme : on a d onc pas b esoin d e
le supp rimer.
Tandis que sur la figure 2.3' la forme ob
tenue est celle d 'un « kink » (forme d 'une
marche). L'exp ression du Mélange a quatre ondes (FWM ) est
celle d e la relation (2.33) et celle du soliton correspond a
la so mme des deux impulsions u1 et u2. O n voit b ien que
les p roduits du Mélange a quatre ondes (FWM )
croissent a p artir de z --> -. et se saturent
" une valeur non nulle. C e qui signifie qu'ils subsistent
méme aprés l'interaction : ceci est
néfaste a la transmission des imp ulsions3H. Dans
l'intervalle d e -1 a 1 sur la figure 2.3 on observe des
ondulations qui montrent que si la fibre est id éale on retrouve la
forme de la figure 2.2.
2
Figure 2.4 Evolution du rapp ort R =
uFWM 2 en fonction de n ' qui ici est
sans
usoliton
dimension.
La figure 2.4 montre la condition d e
résonance' décrite par la relation (2.45).
Nous avons tracé ici le rapport R en fonction
d en . O n observe (pour notre cas d e figure)
39 Pour remédier à ce problème,
on introduit un faible bruit dans le terme de la dispersion (voir chapitre
3).
l'app arition du premier maximum local entre4K
6 et 6.5. L'exp ression du FWM et celle du soliton sont les mémes que
celles de la figure 2.3.
Les figures 2.2' 2.3 et 2.4 n'ont pas
été faciles a ob tenir (surtout les figures 2.3 et 2.4). C eci
est dit a la p résence dans les algorithmes corresp ondants'
de plusieurs boucles d 'instructions concernant des sommations discrétes
et continues. Pour les figures 2.3 et 2.4' il fallait attendre un
temps d 'exécution b ien long (des heures p arfois une journée
!!!) d e l'ordinateur pour avoir au moins une courb e que nous retouchions en
modifiant les paramétres du programme41 avant de le
relancer.
Dans le chapitre 3' nous examinons comment
l'équation (2.24) est p erturb ée en présence d 'une
dispersion stochastique faib le. Il s'agit de réduire l'amplitude des co
mp osantes du Mélange a quatre ondes (FWM) c'est - a - dire celle qui
apparait sur la figure 2.3' de +1 a + 00 suivant z.
Pour cela' nous introduisons d 'ab ord cette dispersion
aléatoire dans le modéle et nous regardons comment elle affecte
l'évolution des co mp osantes du FWM .
40 La prévision est 3.95 pour le premier
maximum local, nous comptons améliorer l'approche utilisée.
41 Voir annexe 2.
C hap itre 3 L 'évolution du FWM et la
dispersion
stochastique faible comparée a la dispersion
gérée
3 .1 Equation SNL avec la dispersion stochastique faib le
[1'19]
Dans le chapitre p récédent'
nous avons résumé quelques résultats connus concernant
l'évolution des co mp osantes du FWM en p résence d e l'amortisse
ment / amplification avec dispersion constante. Nous avons dérivé
un modéle linéaire d 'une équation aux
dérivées p artielles qui d écrit l'influence d e
l'évolution d e la co mp osante Anti - Stokes identifiée co mme
étant une condition d e résonance qui relie la fréquence
du soliton' son amplitude et la distance entre deux
amplificateurs.
Dans un tel systé me' l'interaction
inter impulsions p eut étre étudiée directe ment co mme la
dynamique d 'une p aire de solitons. Les solitons sont connus pour survivre a
une telle interaction avec seule ment un change ment dans les paramétres
co mme la phase. C 'est une conséquence directe d e l'intégrab
ilité [15]. Tout systéme de communication réel'
cep end ant' va voir apparaitre en son sein des effets physiques qui
détruisent cette structure intégrab le. Le cas
échéant on a l'atténuation et l'amplification requise pour
annihiler celle - ci' cela méne a un systéme non -
intégrab le dans lequel les effets du mélange a quatre ond es
sont manifestes [1 - 4].
Nous examinons maintenant l'évolution du
mélange a quatre ond es en p résence d 'une faible dispersion
stochastique a travers des simulations numériques.
Nous consid érons une version modifiée de
l'équation (2.24) :
d z
( ) ( )
iu + u + g z
z tt
2
|
u
|
|
2
u = 0
|
( 3.1)
|
oft d ( z)
représente maintenant un terme de dispersion qui varie stochastique ment
:
d ( z ) = ( d) + ( z)
(3.2)
Ici ( d ) = 1 et (
z) est un terme du bruit b lanc gaussien donné co mme
suit :
((z)) = 0 ' (?(
z ),( z' )) = D8(
z-z ') (3.3)
oft D d énote le
paramétre intensité du bruit. G énérale
ment les valeurs de D sont rangées
entre 0'005 et 0'05. Dans notre
analyse' nous nous intéressons a la faib le
dispersion stochastique qui est définie ici co mme le
cas oft D << 1 dans les équations (3.2)
et (3.3).
Il a été montré aup aravant
[10]' que la distance a laquelle le signal d 'entrée
commence a se d égrad er sous les effets de la faible
dispersion aléatoire est inverse ment p rop ortionnelle "
l'intensité du b ruitD .
C ette distance d e dégradation est d
éfinie par :
oft z deg r = 20 -
200 correspond a notre intervalle de valeurs d e
D .
3.2 Résultats numériques pour
l'évolution du FWM en p résence d 'une faib le dispersion
stochastique ou aléatoire
Dans les simulations suivantes' les valeurs
des différents paramétres sont d onnées
co mme dans le p aragrap he 11.2 du chap itre précéd ent
: za = 0,1 ; = 1 0
; c/2 = -? 1 = 3,9 .
Nos impulsions optiques entrent en collision
a z = 1 pour des valeurs 0 z
zfinal oft z final = 2,5 <<
zdegr. C es valeurs des paramétres de
transmissions correspondent a pas
d 'amplification en dimension de longueur
La = 40 km avec une distance d e dispersion d
e 400 km [1].
Nous intégrons l'équation (2.24) sur 25
fois cette distance soit une distance de 1000 km.
Dans notre analyse de l'évolution du FWM ' nous
résolvons les équations (3.1) a (3.3) 'en
e mployant une méthode app ropriée a la
résolution d 'une équation différentielle
stochastique (S D E) [19] en utilisant les conditions aux
limites suivantes du signal :
n2
j
u j( z = 0, t ) =u 0 ( z
= 0, 0exp(i njt-
z) ; j=1 ,2 ( 3 . 5) 2
oft u 0 ( z , t
)= A sec h(At) exp(i 2 z)
et n 2 = -n 1 ?n
.
L'intégration des équations (3.1) a (3. 3)
est améliorée sur l'intervalle b alayé par z (ci
-
d essus). A chaque valeur de z' la
valeur de dispersion est la so mme d 'un paramétre d e
dispersion moyenne ( d ) =
1 et d 'une p artie aléatoire ( z) .
En p renant deux impulsions' qui entrent en
collision en z = 1 . Nous réalisons des
simulations numériques dans l'esp rit de
résolution numérique d 'une équation
différentielle stochastique (S D E) [19] pour intégrer
l'équation (3.1) incorp orant la dispersion aléatoire
décrite par les relations (3.2) et (3.3).
R
2
Figure 3.1 Evolution d u rapport R =
uFWM 2 en fonction de z' qui est sans di
mension.
u soliton
Nous utilisons ici la dispersion aléatoire pour
des intensités du bruit D = 0,0 1 ;
0'03 ; 0'05. Nous incluons le cas oft
la dispersion aléatoire est ab sente (cas g ( z
) # 1 et d ( z ) = ( d) = 1
) pour des raisons de co mp araison.
C ette figure 3.1 montre que la dispersion
aléatoire réduit les co mp osantes du FWM co mme une fonction de
l'intensité du bruit D ; on observe une
diminution d e R' au fur et " mesure que
l'on augmente D : d 'ab ord
D =0.00 (cas de la figure 2.3)' ensuite
D =0.01 (le rapport commence a
diminuer)' il diminue d avantage pour D
=0.03 et D =0.05.
S i l'on observe cette figure' on note que
:
(i) l'amplitude du FWM est réduite
lorsque D varie.
(ii) l y a un étale ment d e l'évolution
du FWM du a la dispersion aléatoire.
42 Ce qui est fait en créant un bruit blanc
gaussien suivant la transformation de BOX - MULLER [19]
(iii) Il y a un change ment de l-amplitude d e
la co mp osante Anti - Stokes du FWM co mme une fonction de
D .
O n p eut alors tirer co mme conclusion que la
dispersion stochastique faib le réduit les co mp osantes du
Mélange a quatre ondes (FWM ) donc améliore la transmission des
solitons dans les fibres optiques.
Plus loin' nous voyons que cette
réduction est comparable a celle p rovenant d e l-utilisation
d e méthode d e la dispersion gérée.
Dispersion aléatoire faible
|
|
Distance z Figure 3.2 Variations de la dispersion
aléatoire faible en fonction d e la distance z (bruit
créé
selon la transformation de BOX - MULLER).
D =0.005' z est sans dimension' la
dispersion aléatoire égale ment.
La figure 3.2' donne le tracé de la
variation par rapport a la distance z' de la dispersion
aléatoire faib le avec un bruit b anc gaussien introduit selon la
transformation d e BOX - MULLER [19]. Nous voyons b ien que la variation est
désord onnée (chaotique) caractéristique du
bruit.
Figure 3.3 Rep résentation du bruit blanc gaussien
pour différentes valeurs de D en fonction d e
z
La figure 3.3' montre la variation du bruit
blanc gaussien pour D =0.005 ; 0.01 ; 0.03 ; 0.05 en
fonction de la distance z. O n observe que plus D est
grand ' plus l'amp litude du bruit est grand e (on le voit a travers les p ics
ob tenus sur la figure). C e qui signifie que D rep
résente b el et b ien l'intensité du bruit.
Nous examinons maintenant comment la faib le dispersion
stochastique est co mp arée a la technique de la gestion d e
dispersion.
3.3 Comparaison entre la dispersion stochastique faib
le et la dispersion gérée
3.3.1 Introduction
En 1995' la technique de la dispersion
gérée était d 'ab ord e mployée par SUZUKI et al.
dans les lab oratoires KD D [1'3] ; la méthode impose
essentielle ment a la dispersion une d ép endance a un terme p
ériodique variant rapid e ment qu'on ob tient en grand es valeurs
négatives ou positives. La gestion de la dispersion (D M C3)
a été avec succés re marquable dans l'amélioration
de la performance des systémes de transmission par fibre optique mono
mod e. C ette technique a montré qu'elle était efficiente dans la
réduction du p rocessus non linéaire d e la modulation d e phase
croisée et d e la génération des co mp osantes du
Mélange a quatre ond es (FWM).
43 DM : Dispersion management
Toutefois' la dép end ance de la
dispersion de la fréquence fait d e l'utilisation d e la
technique d e la dispersion gérée'
une utilisation p rovisoire vicieuse d evant étre dép
assée pour les systémes du multiplexage en
longueur d 'ondes (WD M ) [1].
3.3.2 Comparaison entre la dispersion stochastique faib
le et la dispersion gérée
Nous revisitons l'équation de Schrodinger non
linéaire (S N L) adimensionnée (3.1) :
iu z +d
|
( z) g ( z ) u2
u =0 3.6
( )
tt
2
|
oft la dispersion d (
z) est prise co mme variant en fonction de z dans
deux directions différentes. Le cas d e la faib le
dispersion stochastique prescrit que le coefficient d e dispersion
s'écrive co mme selon les relations (3.2) et (3.3) ; le cas de
la gestion de dispersion (D M ) est d onné par la forme
[3] :
d ( z) = 1 + 1 4
z (3.7)
za za ~
oft za est le pas d
'amplification sans dimension ( za = 0,1 )
et :
~
A( c)H A2
~
A1 0
~
1.
A1 -0<
C
C
C
?
?
?
1
1 4
3
4
(3.8)
Ici
|
z
?= ; A 1 = 4s
et A2 = -4s oft «s »
est app elée paramétre « force de la carte d e
|
za
dispersion » ou « map strength
».
Figure 3.4 Représentation des 3 cas de dispersion
utilisés dans ce mé moire. s= 0.125' z est sans
dimension.
A la figure 3.4 nous visualisons trois cas d e dispersion
:
(i) dispersion constante ( d
) = 1
(ii) dispersion p ériodique a force de la carte d
e dispersion s = 0,1 25
(iii) dispersion aléatoire faib le avec
intensité du bruit D = 0,005
Pour le cas d e dispersion p
ériodique' on a une variation brusque d e la dispersion
suivie d 'une dispersion constante' ensuite le cycle recommence mais
de maniere ord onnée et contrô lée. C 'est contraire a la
dispersion aléatoire qui elle est une succession d e variations b
rusques désordonnées. O n re marque égale ment que la
dispersion p ériodique est d éfinie co mme ayant deux valeurs d e
signe contraires. Elle est donc a la fois négative et positive par
intervalle. Pour ce qui est d e la dispersion stochastique' elle est
plus en clin a etre positive que négative.
Nous prouvons cela en utilisant une théorie d e
prob ab ilité élé mentaire [8].
O n se sert des relations (3.2) et (3.3)' nous
définissons la variable aléatoire X
:
X d( z ) --(
d) (3.9)
Ici X est une variable
aléatoire normale ment distrib uée qui représente le p
rocessus du bruit b lanc gaussien donné par (
z) . En p renant ( d) = 1
' nous calculons la prob ab ilité pour qu'on ait
X < -- 1 (équivalent a la prob ab
ilité d e trouver d ( z ) < 0 d
énoté P ( X < -- 1)
):
x 2
-
( ) ~-
1
P X 1
< - =
1 e 2
-?
27rDz
(3.10)
Dz dx
2
En p osant u 2 =
x= dx = 2Dzdu 2Dz
' x = - 1 u =
; x --> -0 u --> -0
2Dz
1
1 1
1
( ) ~ - ~ -
e du
- u 2 -
< - =
1 Dz = 2 ~ Dz u 2
2 Dz
P X 2 2
~ e du
2/rDz -- 2R- --
1
~ - ~
u 2
1 -
P X 2
( )
< - = ~
1 2 Dz e du ~ 3.11
( )
2 ? ~ -?
~ ~
D est l'intensité du bruit
et z = zfinal est la distance entre les
différentes localisations des
interactions inter - solitons considérées
ici. En p renant les parametres concrets : D = 0,05
et z = zfinal = 2,5 . Nous avons"
:
1
~ 1 -
~
2
P X
( )
< - = ~-
1 2 2
~ Dz e u du ~
= 0, 0023
~
2R- -- ~
P ( X < - 1 ) = 0,0023 ( 3.12)
C ela décrit que la prob ab ilité pour
que d ( z ) > 0 est extremement grand
e.
Plus haut (p aragraphe 2.2 du chapitre 2) nous avons
montré l'existence d 'une condition d e
résonance qui p eut etre utilisée pour p rédire a quelles
fréquences les co mp osantes d eviennent imp ortantes.
C ette condition de résonance a été montrée co mme
tenant du cas d e la gestion d e dispersion (D M )
[3].
44 Nous avons intégré cette expression
numériquement sur MATLAB en utilisant la fonction « trapz »
S.V.P Ne pas distribuer / Please Do not
distribute
R
2
Figure 3.5 C o mparaison d e la variation d u rapport
R = uFWM2 en fonction de z p our
le cas
u soliton
d e la faible dispersion aléatoire
pour D = 0,0 1 ; 0'03 ; 0'05 et
pour le cas de la gestion d e la dispersion (D M ) s=1. z est sans
dimension.
La figure 3.5' montre la co mp araison
entre l'efficacité d e la dispersion gérée et celle d e la
dispersion aléatoire faib le sur le FVVM . O n observe que pour la
valeur D = 0,0 1 ' la technique d e la dispersion
contro lée est plus efficace que celle d e la dispersion stochastique. C
ep endant pour D = 0.03 et 0.05' la
dispersion aléatoire faib le est plus efficace que la gestion d e la
disp ersion' ceci' pour z 1 . O
n re marque que pour D = 0,03 ' la technique d e
gestion d e la dispersion (D M ) est comparable a celle de la dispersion
aléatoire.
C e résultat est surp renant puisque les types de
dispersion utilisés sont grand e ment différents.
Dans le cas de la dispersion gérée (D M )'
le coefficient d e dispersion d ( z) est une
fonction p ériodique du p aramètre d 'évolution
z' qui varie rapid e ment.
Pour le cas de la dispersion stochastique faib
le' toutefois' d ( z)
est une fonction non p ériodique qui a une très grand e prob ab
ilité a être positive ap rès la collision.
En résumé' nous p ouvons dire
que la dispersion stochastique faib le est grand e ment utile dans la
réduction des co mp osantes du mélange a quatre ondes
(cas D = 0.03 et 0.05) et nous affirmons que cette
méthode est b ien plus efficace que celle générale ment
utilisée et plus
connue' a savoir la dispersion contrô
lée (cas D = 0.05). La propagation dans les
fibres op tiques mono modes utilisant le multip lexage en longueur d 'onde (WD
M )' se trouve améliorée si l'on introduit des processus
stochastiques de faib le intensité dans les parametres d e
transmission.
Conclusion G énérale
En définitive' dans ce mé
moire il était question d 'analyser' en utilisant les
techniques numériques' comment des faib les perturbations
stochastiques de la dispersion affecte la transmission des solitons d e
type «pulse ».
Tout d 'ab ord ' nous avons introduit une variante de
l'équation de S N L oft nous avons inclus les effets provenant de
l'atténuation / l'amplification et d 'une dispersion variable. Nous
avons d érivé ensuite une version adimensionnée de
l'équation avec les p aramètres appropriés et les
échelles définies. Après' nous avons
décrit comment l'évolution des co mp osantes du FWM apparait dans
les interactions inter solitons et avons éb auché une d
érivation d 'un modèle qui d écrit cette évolution.
L'analyse de ce modèle nous a mené a une condition d e
résonance concernant l'évolution des co mp osantes du FWM
relative a la fréquence d e transmission du soliton (cette condition d e
résonance d éterministe est utilisée co mme moyen d e
prédiction quand l'évolution des résidus du FWM sera plus
imp ortante que la largeur de la b and e p assante d e l'imp ulsion). En
observant l'évolution des résidus du FWM et la condition d e
résonance associée' nous avons montré que
l'introduction d 'une dispersion aléatoire faib le réduisait
l'évolution du FWM .
Finale ment' nous avons co mp aré
l'efficacité de la dispersion stochastique faib le dans la
réduction des co mp osantes du Mélange a quatre ond es (FWM )
avec celle d e la méthod e plus connue d e la gestion d e dispersion.
Dans la méthode d e la dispersion gérée' on a e
mp loyé une dispersion p ériodique variant rap ide ment (plus
connue sous le nom d e force d e la carte d e dispersion) oft la dispersion p
eut être imp ortante en magnitude avec soit un signe p ositif soit un
signe négatif. La réduction du Mélange a quatre ondes
(FWM) due a la faib le dispersion aléatoire diffère d e celle de
la dispersion gérée dans la mesure oft il y a une grande p rob ab
ilité pour que la dispersion soit positive' au - dela du p
rocessus d e collision inter - solitons. Traditionnelle ment' la
présence d 'un bruit aussi faible soit - il au sein d 'une fibre a
toujours été pris co mme étant négatif dans la
propagation des solitons optiques. Dans ce cas au contraire' le
bruit (via le terme disp ersif) joue un rô le plutô t b
énéfique a la
45 Bien sûr, nous parlons de la dispersion
stochastique faible.
propagation des solitons en réduisant l'amp
litude d e génération des co mp osantes du Mélange a
quatre ond es (FWM ) dans les fibres monomodes utilisant la technique du
multiplexage en longueur d 'onde (WD M ).
C ep end ant' étant d onné
que le bruit e mp loyé ici est le bruit b lanc gaussien' il
serait intéressant pour un dévelop p e ment futur d
'étudier l'évolution du mélange a quatre ondes en fonction
d e la fréquence dans le cadre d e la dispersion aléatoire
faible' d 'étudier le cas de l'utilisation d 'un autre type
de bruit par exe mple un bruit coloré... ' et aussi analyser une autre
équation modéle d e Schrodinger non linéaire (S N L) co
mme celle d 'une non linéarité d 'ordre sup érieure a
3.
Annexe 1
1.1 O b tention du systseme d 'équations
(2.10)
2
? z
2
?
F a F
aY)
2
x
2
F
+ ~
W
~
W
+ ( k0 2 E
-1302 )F
a
a
0
=
F
~
W
2
+
i/i0
~
aW
az
~2 2 ) e
az az
+W
az + k 2 E
FWeiAz
0
a2 F a2
FA47~ Az + F
a aW eifl0 z~ae 4z
x
a
y
a2 F a2
F
a 2/7/7
+ e i Az + F +24F -
FT/VA2 e
iAz + k 02 E
FIVeiAz
ax 2 ay2 az
2 az
O n simplifie p ar e
iAz et on divise p ar W on
obtient :
~ ~
~
a
0
=
0
=
~ ~ =
~
2
~
3
2 n 2F
W
~F a2W
~ F
avf7
2 2k 0 + iflo
az2 W az
0 ( 2.10.b)
O n identifie les deux me mbres de cette derniere
relation a 0 pour trouver une solution compatible a
l'équation (2.1.8) ' ce qui nous mene au systeme :
~ ? ? ~
2 2
F F
~ + ~ +
~ ? ? ~
2 2
x y
(k 0 2 ( 1 + e) ( 0)-
1302)F = 0 (2.10.a)
~
2
1 + -1( 1)( 0+
2
?2 0
+
F
2n2
W
k 2
0
~~ ~
~~ ~
~ ~~ F
a
~ ~~
a
~ ~
~F ? 2 W F ? W
~
~ ~ + 2 ~
i ? ~
2 0
~ W ? z W ? z
~
F a F
aY)
x
2
2
x
2
2
F a2F
? y 2 ~
+( k( 1 +,f( 1 )( 0)- x)F
~ ~
~ F ? 2 WF ?
W ~
~ ~ + 2 ~
i ? ~
2 0
~ W ? z W ? z
~
a
~
2
3
W
F
2n2
k 2
0
=
a
za
1.2 O b tention de l'équation (2.23)
gmax
g z g
0 a - ?
2 z ink z 0
a
= ~ ×
e = ~
e dz
0 z 0
a a
~
za
z
~
~~
0
( ) g
2 1
- ?+ ink z 0 ( 2 ink )
a a
e dz = · e - ?+
~~
z - ? +
2 ink
a a
2rz
1 1
[ ( - ?+ ) ] ? z
a 2 ink z a
a a [ ]
z a × × × e 1 = e -
?
2
-
- × × - 1
z a
e z a
- ?
1
-
2 n = 0 a
2 ? ni z
e - ?
2 ?
+
za
2
1 - - ? +
z i ? n
a
?
z a
×
2 ? z a
1
e
-
rz a-iAn
[ a ]
2 z
e - ?
1
× -
g max
rza
rz a-ing
( 2.23)
1. 3 Obtention de l'équation (2.26)
[ ( ) ( ) ] [
A
im im im
im
f e if m e
+ + f e ifm e
+ ]
z z t t t
2
iA
im
0
=
+ A3 f e
3
~ifz -
fmz+
|
1
2
|
2( f tt +
2Y.t mt -fm ) +
A2 f 3 = t
|
~ ~~
~~
~
2
1
0
=
m t
f z + ft
-
fm + 1 ftt
z
fmt2 + A2
f 3 = 0
O n p eut considérer cette forme d e
m ( z , t) : m ( z ,
t ) = c1z + c
2t
~
~ ~~
~~
fz +c2
ft
c1
f + 2ftt
=
0
-
2
c2
2
f
+
A2 f
3 =
0
?
az as
a a
=; ;la apre miire erelation ns'écriraa
t t as
Posons s = t - 52z +
T
a =
a
donc : - 52fs +
c2 fs = 0 c2 - 52 =
0 ;croil c2 =
1 g-12
+ 2 fss- 2 f +
A2 f3 =0 f ss- (2 c
1 + n2 ) f + 2A2
f 3 =0.
N ous voulons co mme solution des solitons de typ es
sech' alors on prend f = sec
h(c 3s)
sinh ( c3s)
cosh 2 ( )
c s
3
cosh 3 ( c3 s )- 2
sinh 2 ( c3 s ) cosh(
c3s)
cosh 4 ( )
c s
3 )
1---sinhk
cosh
2( c3s)i
3( c3s))
=
fs
c3
=
~
c2
3
fss
=
-
c2Z3
2 ( c3s
) c [ h ( c s ) h ( c s
) ] c [ f f]
2 3 2 3
= - 2 sec - sec = - 2 -
3 3 3 3
2 - cosh
cosh 3 ( c3s)
=
c2
3
fss
Doncfinale mentt la relation fss,
---(2 c1 1++ 2)
ff++2A2 2f f33== 0 deviendra
:2 + - + ? +
2 ( 2 ) 2
2
- f A f
2 3
c f c f c
2 3 = 0
3 3 1 0
i
[- --224f f3 3+
+2A2 2ff33==00C e equi ip ermet tde efaire
eles séquivalences ssuivantes s:: 4f f- --(2
c11++52) ff==00 ~
c 3 = A '
2 2 , on prendra
c3 = A ; la seconde relation conduit
a A2 ---2 c11---
522==0o
Doncc 1 1=
=221 1( A2 2--- 522)
). .C e equi ip ermet tdonc cd 'écrire eque e::
=
sec
f
h( c 3s) = sec h(
As ) = sec h[ A (t - 52z +
T)]
m = c1 z +
c2
|
1 ( )
2
= - ? 2
t A z
2
|
+ Elt
|
Nous p ouvons donc ecrire que la forme des solutions
solitons a l'equation modèle de Schrodinger non
lineaire (S NL) (2.25) est :
u ( z , t ) = Af ( z
, t)exp [ im ( z , t)] u (
z , t ) = Af ( z , t)exp [ im
( z , t)]
A sec h [A ( t
-Cz + T) ]exp [i
( A 2 -512) z exp ( i
nt)
= A sec h [A ( t
-Cz + T) ]exp [i
( A 2 -512) z exp ( i
nt) (2.26)
(2.26)
=
1.4 Obtention du système
(2.29) 1.4 Obtention du système
(2.29)
(u 1 +u 2 + u
112 + u221 ) z 2 +
(u1 +u 2 + u 112
+ u221 ) tt +g( z
)u 1 +u 2 + u
112 + u 221 2( u1 +u
2 + u 112 + u221 )
1
0
i
=
1
( u u u
+ + + u ) (
+ u u u
+ + + u ) ( ) (
+ g z u u u u
[ + + + )
1 , z 2 , z 1 1 2 , z 22 1 , z
1 , tt 2 , tt 1 1 2 , tt 22 1, tt 1 2
112 221
2
×
( u1 +u 2 + u
112 + u 221 ) *]u+u
2 + u 112 + u221 )
0
=
( u u u
+ + + u ) (
1
+ u u u
+ + + u ) ( )
+ g z [
1 , z 2 , z 1 1 2 , z 22 1 , z
1 , tt 2 , tt 1 1 2 , tt 22 1, tt
2
2
u *
1
*
+ u112u1 + u
u *
1
+u
+
u 1
2
221
2
2
u*
2
*
+ u112u 2 +u
u*
2
*
*
+u
+u
u 112 + u2u112
+ u
+u
221u 112 u1u221
u 2
1
221
112
2
(u1 + u 2 + u
112 + u221) = 0
*
*
]
+ u112 u 221 +
u
u2
u 221
221
O n d oit co mpte tenu du fait que u
FWM << u soliton ' négliger dans le d ernier
facteur ci - dessus
uFWM . Ce qui revient à avoir :
( u u
+ + + u ) (
1 2
u + u u
+ + u + u ) ( )
+ g z u
[
1, z 2 , z 1 1 2, z 22 1, z 1
, tt 2 , tt 1 1 2 , tt 22 1 , tt
2
u *
1
*
+u112u 1 +u
u *
1
+u
+
1
2
221
2
2
u*
2
*
+ u112u 2 + u
u*
2
*
*
*
+u
+u
+ u2u 112 + u
112 +u
+ u
u+
1221
u 2
u 112
1u112
1
221
221
2
( u 1 + u2) =0
*
*
]
+ u112u 221 + u
u 221
u2
221
~ (+ + + u ) (
1
i u u u + u u
+ + u + u ) ( )
+ g z u
[
1 , z 2 , z 1 1 2 , z 22 1 , z
1 , tt 2 , tt 1 1 2 , tt 22 1 , tt
1
2
2
2
2
+u
+
+u
u1
u2
u 1
112
1
2
2
u u 2 +u
u u
*
2 1
*
*
2
1
2 1
u 2 u1
+ u
+u
+u
+ u u u +
1 2 112
u1
u 1
u 112
u221
2
112
221
2
2
2
* + u2u * u
1 221 +
*
1u 2 u 221 +
u1u 112 u221 + u
+u
+ u
+
u1
u 221u112
u 221
u112
u2
1
1
1
2
2
2
2
u 2 2
u *
1
*
1
*
+u
+ u1u2u 221 + u
+u
u 2 +u112 u2+u
+ u
u 2
u 112
u 2
u 2
u 112
u2
2
1
221
1
2
2
+ u 2u1*12 + u 2
* 2
221u 112u 2 + u1u
2 u 221 + u2
*
*
] =0
+u
+ u221u 112u 2 + u
u 221
u 2
u2
112
221
En simplifiant encore par rapport aux termes FWM
négligeables (les termes non linéaires en
u1 1 2 et u 22 1
) :
2
i u u u
( + + + u ) (
1
+ u u
+ + u + u ) ( ) (
+ g z u u
[ + 2 u
1 , z 2 , z 1 1 2 , z 22 1, z
1 , tt 2 , tt 1 1 2 , tt 22 1, tt 1 1
2
2
2)
2
+ u u u
* +
1 2
u*
2
2 1
2 2
u
( 2
+ u
2 2 )1
2
2
]=0
+u
+u
+u
+u
+u
u1
u1
112
2
221
2
C e qui conduit au système :
~
~
~
~
~
~
~
~
~
~
~
+ + ~ =
2
u u u u
2 *
1 2 1 2 ~
~ = 0
~
) 0 2.2
= ( )
9.b
1 2
iu 1z + u 1 tt +
u + 2 u 2 2) = 0
2
2 2
1
u1
iu 2, z + u 2, tt + g
( z ) u 2 ( u2 + 2
2
1
iu + u + ~
g z u
( )
112, z 112, tt ~ 112
2
1 2 * 2
iu + + ~ + +
u g z u u u u u
( )
221, z 221, tt ~ 221 1 2 1
2
2
( 2.29.a)
0 2.29.c
( )
( 2.29.d)
1.4 Obtention du p roduit u1 *u 22
~ ? 2 ~
1
u z t u z t
( ) (
, = , - ? -
z T ) exp ~ i t i z
? - ~
1 10 1 1 1
~ 2 ~
=
sec
A1
1
h A t
[ ( - ? - ) ] exp ( ) ~
- ?
~~~ ~ ? + ~~~
1 z T i t A 2 2
1 z
1 1 1 ~~
1
~~ 2
1
( )
, [ ( ) ] exp ~~~ ( )
2 ~
2
~ = sec + ? - ~ - ? +
u z t A h A t z T i t A - ? z ~~
~~~
1 0 ~~
2
u2
|
( z ,t ) = u20
(z,t-n2 z -T 2)
|
exp
|
~ ? 2 ~
~ i t i z
2
? - ~
2
~ 2 ~
|
|
=
sec
A2
1
h A t
[ ( - ? - ) ] exp ( ) ~
- ?
~~~ ~ ? + ~~~
2 z T i t A 2 2
2 z
2 2 2 ~~
2
~~ 2
( ) [ ( ) ] ~ ? + 1
, exp ~~~ ( )
2 ~
2
~ u z t A h A t z T
= sec - ? + i t A - ? z ~~
~~~
2 0 ~~ 2
*
1
u
1
= [ ( ) ] exp ~~~ ( ) ~
2
sec + ? - A
~ ? -
A h A t z T i t - ? 2 z ~~
~~~
0 ~~ 2
u A h [ A ( t z T ) ] { i [
t ( A ) z ] }
2 2 2 2 2
= sec - ? + exp 2 ? + - ?
2 0
~ u
|
* 1
|
u 22
= A
|
3
|
sec
|
1 2
[ ( ) ] [ ( ) ] exp 3
~~~ ( ) ~
2
h A t z T
2 ~ ? +
sec
- ? + h A t z T
+ ? - i t A - ? z ~~~
0 0 ~~ ~~
2
|
*
=
exp
u10
2
u 20
~ ? 2 ~
~ 3 i t i z
? - ~
~2 ~
1.5 Obtention de l'équation (2.34)
- g z u u
( ) *
2
2 1
t
~ ~~ 1J
~ ? 2 ~ ~ ? 2
~ ~ ? 2
~ ~ ~ ? 2 ~
i t
~~ 3 ? - ~~ ~~ ~ ~
z ~~ 3 3
? 2 i t
~~ 3 ? - z i t
? - z
1 ~~ i t
~~ ? - z ~~
2 ~ 2 ~ 2 2
~~
i H e
~ ~ - i He ~ ~ ~ ~
+ H e ~ + ?
3 i He ~
z t
~ 2 ~ 2
~ ~ ~~
~ ~~ ~
1
I
~
~
~
[Htt
+
2
~ ? 2 ~ ~ ? 2
i t
~~ 3 ? - z ~~ ~~ 3 ?
-
? 2 i t z
~ 2 ~ - ~
2
H e i He
z
~ ? 2 ~
i t
~~ 3 ? - z ~~
~ 2 ~
e
+ 6i51H t
2
i
~ ~
~
~
2
-
?
]
e
He
9
~ ? 2 ~
i t
~~ 3 ? - z ~~
~ 2 ~
~ ? 2 ~
i t
~~ 3 ? - z ~~
~ 2 ~
~ ? 2 ~
~~ 3 ? - z ~~
i t
( ) 20 10
2 ~ 2 ~
g
*
z u u e
2
i[3 S2t-
g2 z 2
O n simp lifie p ar e on a :
?
2
iH + 2 2 H +1 [H tt
+ 6i52H t - 9 51 H ]=-g
2
~ iH + z
|
1
2
|
[ H tt +
6i52Ht - 9512 H +
512H] =-g
|
( z
|
)u 2 20
|
*
u 10
|
iH +1 2 [Htt
+ 6i52H t - 8 51 H ]=-g
( 1,2 ,4*
Vz P4'20'10
2
D 'oh. l'équation p our H (
z , t) s'écrit :
1 [ H tt + 6 0-H t - 2(2
51) 2 H ] = - g
2
z u 22 0 u 10 ( 2.34)
iH z +
1.6 Obtention de la relation (2.41)
. 1
( z , co) = f
+.0A3 sec h2 [ A ( t
- + T0 )] sec h[ A (t + -
T 0 )]
expit[352t + (
A2 - n2
)z. Li} ×
2
-
ict
~ ~~ e
dt
+? 1
3
~ ( ) = ~ [ ( - ? + ) ] [ (
sec + ? - ) ] ( )
~ - ?
F z ? A h A t z T
2 h A t z T ~~ i A
2 2
, exp
sec z
0 0
-? 2
1 ~
3
( ) ( ) ~ [ (
+?
2 2 2 -
~ F z = A exp ~
- ?
i A
~~ z ~~ sec h A t
z T
- ? + ) ] [ (
sec h A t z T e dt
i ? t
, ? + ? - ) ]
0 0
2 -?
Posons b = A(t -
52z + T0 ) ' t = +
52z - T 0 dt =
db
A A
2
cT0
db
co
- i Ab-i
aglz+i
A
F( z , co) = A3
exp(i 1 ( A2
-n2)zl+*sech2[
b ] sec h[b+252Az
-2AT0]e -?
?
1 ~
( ) ( ) ~ [ ] [ ( ) ]
i
+? - b
2
~ ? = exp ~ - ? - ?
+
F z A ~~ i A 2 2
?
z i z i T
? ~~ sec h b h b A z T e db
2
, sec + ? -
2 A
0 0
2 -?
Soit A0 = (52z - T0) on
a
?
~ 1 ~ +? - i b
2
( ) ( )
2 - ? - ? +
2 2
F z , ? = A exp ~
i A z i z i T
? ? sec [ ] [
sec 2 ] 2.38
( )
0 ~ h b h b A e A db
+ ? 0
~~
2 -?
~
2
~ ~~×
aT0
Donc
1 z 2
( ) ( ) i
- ? ? = -
? ~ - ? - ? +
1
à , 2
à exp ~~ ( )
2 2
iH H g z e A i A z i z i
z ?
2 2
sec h2[ b ] sec h[b
+ 2 AA0
- i
cob
A
db
] e
~ - ? +
A 2 ~
i
-
COb
A
db
] e
i ~ z ? ?
z T ~
0
( ) ( ) ~ [ ] [
+?
~ ~
? ? = -
? , à sec
2 2 2
H A g z e h b h b A
sec + ?
2 0
-?
~ ? + ? ~ ~
( ? )
- ~
i ? z +?
0 ~ ~ ? 2
~ ~
?? z ( ? ) A 2 ?
n ~ ~ ?
à ~ ~
2 2
H z
( )
, ? ?
= ~ ~
i A e sec h ~ ~ exp ~
~ ' 2 , dz' 2.41
( )
n 0
~ ~
g i + - ~ ~ ?
z I A
~ ~
~ ~
2 A -? 2 2 z A ~
n =-? ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~
a
Annexe 2
2.1 L'effet KERR [18]
La rép onse d 'un matériau
diélectrique est non-lineaire pour un champ électro
magnétique tres intense. L'indice de réfraction
devient : n = n1 +
n2I oh.
n1 représente l'indice classique et
n2 est l'indice non-lineaire (a ne pas
confondre avec l'indice de la gaine). I est l'intensité dans la
fib re' exprimée en W
/ m2 .
Pour ce qui est des fibres optiques mono
modes' la valeur de n2 est
relative ment faib le dans la silice'
l'intensité est tres élevée' car la puissance
est confinée dans le coeur de fiab le dimension. O n a
une grand e distance d 'interaction' grace au
phénomene de guidage et une atténuation tres faib le
(0'2 dB/km a 1'55 pm)
2.2 Description breve de la méthod e
utilisée pour la réalisation d e certaines simulations (courbes)
présentes dans ce mémoire
2.2.1 " AlgorithmeCE " de la simulation
numérique d e la courb e (figure 2.3)
On veut q ( z , t ) = u221
= uF solution de l'équation :
* ( z ) u 1 u 22
( 2.30)
iqz +
1
2q
2
u
Pour tracer ( )
R = FWM = f z
2
' ilfaut " q " et u soliton
u soliton
usoliton ?u1
+u2
. 1 11
u 1 ( z , t )= A
sec h[ A ( t + - T 0 )]
expit[- nt +
vt2 - n2
mil
2
111
u 2 ( z , t ) = A
sec h[ A ( t - + T0 )]
expii[nt + (
A2 - n2
mil 2 C o mme A=1 '
T0 =0 '
z
[ ] ( )2
i 1 -? 2
i t
u sec ( )
- ? - ? + sec ( )
+ ? ?
i t
? + =
u u h t z e h t z e e
soliton 1 2
2
O r co mme
( z, t)
( , ) z t
dt
f
f
f+oo
J-00
= -
g
46 Pas au sens où l'entendent les
informaticiens, il s'agit juste ici des diverses étapes dans la
réalisation des simulations.
~usoliton 2 = [
sec h( t - 51z)
e-iat + sec h( t +
51z)e iat ]× [ sec
h( t - 51z)e -iat
+ sec h( t + 51z)e iat ]*
~ usoliton 2 = [ sec h(
t - nz)e -iat + sec
h( t + 51z)e
iat]× [ sec h( t -
51z) e iat + sec h(
t + 51z)e -iat]
~ usoliton
( t - 51z) + 2 sec h
t z h t z
- ? sec ( ) cos( ) sec ( )
+ ? ? +
t h t z
2 + ?
( )
2
2
sec
h
=
~ usoliton
|
2 + ? 2 +?
= u dt
soliton
~ = ~
-? -?
|
[sec h22( t t---5z))+ +2
2sec ch( t t--- 5z ))sec ch( t t++
5z))cos((5t ))++secch22( t
t++5z)]dtt
|
Pour q ( z , t ) = u221 =
u FWM on a
? ~( z , t ) = =H
H( z , t)exx3i it t- i
22zz
2.33))
q
2
2
+?
~ z ~
~g~
--co
nn×X
i ir 2
à
H
~ ~ ~
?? i 2
0
( ) ( ( ) )
2
z , ? e i ? T
= sec h ~ ~ ~ -
exp ? ?
+ ? + ?
8 2 2
? ~ ~ ~
2 A 2
5n.
zz
((05.
ddee
OD
L
~ ~ ~ ~
? ?
I A
~ ? ~ ~ ~
2 , 2.42
( )
~ ~ ? ~ ~
0 A )
Avec I ( z , co) =
kosh( z) + i wsinh ( z) -
exp(icoz)]cosech2 ( z)
·
A 2 - 2 nk + cD( w)
a? ( ? ) ?
252
n
( (c, ,5)= ( (2 + 66(01+ 2 ( 2 25)2)
) 2.37.a))
On doit trouver d'a bor H à (
z , w) ensuite', on cherche
H(z't) ' puis on déterminee
? 3i
2 ~
H(z, t ) ) 2
q ( z, t) 2 = H (
z, t) exp
2
i
t
t
i i
2 2
2
=
Ensuite
|
+.0q ( z , t)
)2 2= = j q(z , t )
)22dtt== fH( z
,t) -?
)
|
2
|
dt
|
2
u
Pour prendre enfin le rappor ( )
R = FWM = f z
2 )
usoliton
2.2.2 « Algorithme » de la simulation
numérique de la cour be (figure 2.4)
Ils'agitt ici du cas des fibres réelles casoùt
d(z)=1 et g ( z ? 1 , ontrace e
~T . F H
( ) = f dt = Hà Seule la T.F de H(z,t) est connue : -?
2
R= uFWM 2 = f( SI) pour un zfixe;
;
usoliton
Ici on fait varier maintenant 52 , suivant l'expression :
=
1 2 n 7t- A2
~ - ~
2 za 2 ~
( 2.45)
Nous avons juste modifier le programme précédent
celui de la figure 2.3) : maintenant n va de 1 à 4.
2.2.3 Algorithme » de la simulation
numérique de la courb e (figure 3.1)
N ous avons discrétisé p artielle ment sur
la variable t » l'équation :
d
iu z +
|
( z) u tt + g (
z)
2
|
u
|
|
2
u = 0
|
( 3.1)
|
+?
d ( z ) =
(d) + ( z) ,
(d) = 1 ,
((z)) = 0 ,
((z)(z')) =
Dö(z - z ') , g( z ) =
E g exp( - inkaz)
n=-.
O n a p osé que u ( z
, t ) = X (z , t ) + iY
(z , t )
) = 0
+
L
?
iX z - Yz +1 2 (Xtt +
iYtt ) + g(z )( X 2
+ Y2 )(X +iY On obtient le système
suivant :
+co
-
Yz +
0
=
)]
Xtt + 1 Xtt +E 2
(X 2 + Y 2 )[( X -
na-Y)cos(20 7inz ) + (n7rX + Y) sin(
207inz
1
2
n
=-?
(1)
1
Ytt + 2Ytt
1 +E2 2 +
Xz +
?
2
+.0
n
=-?
Y2) [-(
0
=
)]
X n Y
- ? ) sin( 20 ? nz
) + (nzX +
Y)cos(207inz
2 1+ n2 71-
On discrétise Xtt et
Ytt selon les différences finies centrées
:
X z X z X z
- +
+ 1 ( ) 2 ( ) 1 ( )
j j j -
X z t
( , ) =
tt
( ) 2
? t Y z Y z Y z
-
j + 1 ( ) 2 ( ) ( )
+
j j 1
, 2
Y z t
( , ) = -
tt (
) ? t
}
~~
+o
On pose pour la deuxième équation de ce
système
1 1f 1 ( z , t) = -
Ytt+ L 2 2 (X
2 + Y 2 )[(niff+Y) cos(20
n7z) - (X - na-Y)sin( 20
n71z)]
2 =-00 1 n 71-
Donc
+ex,
2( At ) n= -pp 1 + n
x-1 1
2 + 2a 2 2 [ X.2 /
(z ) +Yj2
?
Y z Y z Y z
( ) 2 ( ) ( )
- +
j
f1,
j + 1 j j - 1
( )
) +
z = - { (z )] [ -( X ( z )
- itnYj (z)) sin(2070nz
( nizX (z ) + Y(z))
cos(207inz
j
j
1 Y z Y z Y z
( ) 2 ( ) ( )
- +
j + 1 j j 1
Et on pose ( , )
g 1 ( z , t ) = - Y
tt z t donc g z
( ) = - -
1 , j
2( At)2
D e mê me on a p our la pre miere équation
:
f2( z ) -{ X
1 (z ) - 2 Xj (z
)+ X -1j(z) +0. 1
=
( )][( ( )
- ? ( )) cos( 20 ? nz
z X z nY z
j j
) +
2 2 2 [ X.2 /(z
)+Y
2(
A
t ) n=-
co
1+n
)] }
( (z ) + Yj (z))
sin(202nz
n2tX
(2)
(3)
(4)
g 2 , j ( z) = (z ) - 2
X (z ) + (z)
2( At) 2
C e qui signifie que le systè me ED P precedent
se ramène a un système S D E ordinaire :
dX z
j ( ) =
dz
dY z
j ( ) =
dz
( )
z + ? ( )
z g z
j ( )
1 , j
( )
z + ? ( )
z g z
j ( )
2 , j
f 1 ,
f 2 ,
~
O n est dans un cas typique S D E d éjà
résolu d ans la reference [19] :
X k =X k,
z z
+ ? z z
k +?
'
z dz
' )
(
'
z dz
' )
k
+ ~ f z dz
( ' ) ' + ~ ? ( )
z g '
j z 1 , j 1 , j
z
k k
(
z z
+? z z
k +?
Yk +1, j = Yk
k
+ ~ f z dz
( ' ) ' + ~ ? ( )
z g '
j z 2 , j 2 , j
z
k k
Lorsqu'on s'intéresse d 'ab ord a première
equation de ce dernier systè me :
'
? z
~ ~~
)
~ ~~
)
? f z
(
1 , j
( )
z z
' - k
z k
( )
z z
' - k
z k
~ ~~
'
+
+
( ' )
z g z
= ( )
j 1 , j k
+
g1,
~
L
( ' ) ( )
z f z
=
j 1 , j k
f1,
+
'
z
(
1 ,
? g
j
'
? z
~ ~~
O n re mplace ces expressions d ans la première
equation du systè me (3) on aura
X k + 1, j = X k,j f1, j
(z k)Az
~ ~~
+
? f z
j (
'
) ~ z z
+? z z
+?
k
1 , k
~ ( ' ) ' ( )
z z dz g z
- + ~ ? ( )
z dz
' ' +
k 1 , j k
z k zk
a
z '
z k
z
+Az
)
j
ag
1,
zk
az
zk
'
? ( z')( z ' -z k
Par analogie on écrit pour la d euxiè me
equation du système (3) :
§ f2, j (zk)Az ,
Yk
Yk
j
1,
~ ~~
+
? f z
j (
'
)
~ ~~
z z z z
2 , k +? k +?
~ ( ' ) ' ( )
? z
z z dz g z
- + ~ ? ( )
z dz
' ' +
k 2 , j k
z k zk
'
z k
z
+Az
)
j
ag
2,
az
fzk zk
zk
?( z')(z '
-zk ) dz '
O n sait que :
z k +Az
a) Le terme Az ')(z'-z
k )dz' est d e moyenne nulle et de fonction d
e correlation :
f
z k
<
z k
~ z k
+Azz z
' '
>
)dz
l +?
? ( )( )
z z z dz
' ' - ' · ? ( )(
z z z
' ' ' ' -
k k
~ z l
+Az
=
fzl z l
D8kl
3
( )
? z
( )
z z dz D
2
' - ' = ?
k kl
3
3
ez k+Az
D c jAz ')(z ' -z k
)dz' est d 'ordre ( Az ) 2
zk
b ) Le terme
fzk +Az
J 4.( z
)d.Z est de moyenne nulle et de fonction de corrélation
:
Z,
<
z k
~ z k
' '
>
)dz
+Azz z
l +?
? ( )
z dz
' ' · ~ ? ( z ' '
+Az
=
1zlz
l
Db.kl
)
z l
1
2 .
dz'= D 8kl Az
rzk+Az
Alors jg ( z ' )dz
' est d 'ordre ( Az )
k
z
D e ces d eux termes on va négliger celui qui d
'ordre sup érieur a Az a savoir f
z k+Az ( z ')( z '-
z k )dz' .
z k
D 'o11notre systè me de S D E (3) se résume
a :
~ ~~
~~
(5)
X =k 1 , j X k, j ,j
(z k ) Az+ g
1(zk)71k
Yk +1, j = Yk , j +
f2,j (z k) Az+ g2,
j z k )'7k
z k+Az
O11 k = f (
z')dz' < 77k ·
171 >= DgkiAz ce qui signifie
que 17k = DAz
· rk rk est nombre
k
z
aléatoire gaussien de moyenne 0 et de variance
1.
O n numérise le systè me (5) en prenant
pour différentes valeurs d e l'intensité du bruit
D = 0,005 - 0.0 1 - 0.03 - 0.05 sur l'intervalle
de 0 a 2.5 d e z.
2.2.3 Code MATLAB pour l'obtention de la figure 3.2
z=0; dz=0.01; k=1; D =0.005;
while z<=0.5 x1=rand (1);
x2=rand (1); b =sqrt(-2*log(x1))*cos(2*pi* x2);
%génération du bruit b lanc gaussien
d 3(k)=1+(sqrt(D *dz)*b ); %dispersion stochastique faib
le
x(k)=z;
z=z+dz;
k=k+1;
end
plot(x'd3)
Bib lio grap hie
[1] Rudy L.H orne' Christopher K .R.T
Jones' Tobias Schafer « The effects ofweakrandomness on
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[5] M .J. Ab lowitz' G . Biondini'
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Four - wave mixing in wave - length - multiplexing soliton systems : ideal
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[6] T.C . KO FAN E' « Théorie des
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[7] Julien Maury' «Etude et
caractérisation dXune fibre optique amplificatrice et compensatrice de
dispersion chromatique »' These de doctorat' U
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Schrodinger non - lineaire et impuretes dans les systemes non integrables
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[18] G . H IN C ELIN ' . Effets non lineaires dans
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niversite de YAOUNDE I' 2005.
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www.w3.org/TR/xhtml1/D
TD/xhtml1-transitional.dtd
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edia.org/wiki/Bruit
blanc
· http ://fr.wikip
edia.org/wiki/
Melange a quatre ond es
· http ://
www.telcite.fr/fibre.htm
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http://www.httr.ups-tlse.fr/pedagogie/cours/fibre/cortail.htm
· http ://www.httr.up s-tlse.fr/p
edagogie/cours/fibre/connect.htm
·
http://www.httr.ups-tlse.fr/pedagogie/cours/fibre/folac.htm
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christian.caleca.free.fr/fib
roptique/
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christian.caleca.free.fr/fib
roptique/fib re_optique.htm
· http ://
christian.caleca.free.fr/fib
roptique/methodes.htm
· http ://
www.telcite.fr/fibre.htm
· http ://www.httr.up s-tlse.fr/p
edagogie/cours/fibre/welco me.htm
· http ://www.httr.up s-tlse.fr/p
edagogie/cours/fibre/fotheori.htm
· http ://www.httr.up s-tlse.fr/p
edagogie/cours/fibre/mesures.htm
·
http://www.httr.ups-tlse.fr/pedagogie/cours/fibre/exemples.htm
· http ://michaud .chez-alice.fr/intro_fib
re.html
· http ://michaud .chez-alice.fr/so
mmaire.html
· http ://p
erso.orange.fr/michel.hubin/p
hysique/fib re/chap _fo1.htm
· http ://michaud .chez-alice.fr/princip
e.html
· http ://www. mines.inp l-nancy.fr/-
tisseran/cours/teleco m/printable.html
· http ://michaud
.chez-alice.fr/appl.html
Lors de la réalisation d e ce mé moire
l'Auteur était affilié au Lab oratoire de Mécanique du
département de Physique a la Faculté des sciences d e l'U
niversité de YAOUNDE I
Version reconstituée'
adaptée pour la mise en ligne le 24Janvier 2008
Edité par Lucien M.MANDENG
Contact de l'Auteur :
Tel. Fire: (+237) 22 31 45 89 Cell. : (+237) 94 47 25
24
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'
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