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L'impact du maraichage dans la dégradation des ressources naturelles dans les niayes de la bordure du lac Tanma

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par Ndiaye Moussa Dieng
Université Cheikh Anta Diop - Maitrise 2008
  

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IX. LE CLIMAT

1. Les différents flux

La zone des Niayes bénéficie d'un climat particulier. Cette partie du pays est balayée par trois masses d'air: l'alizé boréal maritime issu de l'Anticyclone des Acores, l'Harmattan de parcours continental issu de l'anticyclone Sibéro-Libyen, et la Mousson de l'Anticyclone de Sainte-Hélène dans l'Atlantique sud. (COLY, 2000)

a) L'alizé boréal maritime

C'est un vent de direction Nord à Nord-est. Il est constamment humide. Il domine de novembre en mai. Il en résulte des températures relativement fraîches. Il est caractérisé par de faibles amplitudes thermiques et une humidité constante qui est à l'origine de fréquentes rosées dans la zone.

b) L'alizé continental ou harmattan

C'est un vent qui circule de la direction ENE vers l'O. Il se singularise par le caractère sec de l'air du fait de son parcours continental et par des amplitudes thermiques très accusées. Il peut être à l'origine d'un temps chaud et sec le jour mais frais ou froid la nuit. Ce vent se substitue à l'alizé boréal et circule à la fin de la saison fraîche juste avant la saison des pluies entre mai juin.

c) La mousson

Elle est de direction Sud-Est. C'est un alizé issu de l'Anticyclone de Sainte-Hélène qui traverse l'Equateur et devient un vent de mousson. Elle a bénéficié d'un long séjour maritime: ce qui lui confère son humidité. Les amplitudes thermiques sont faibles même si les températures sont plus élevées que celles de l'alizé maritime. Ce vent est dominant pendant la saison des pluies qui dure de juin à octobre.

2. Les facteurs et les paramètres du climat

Dans cette partie du pays le climat se divise en deux saisons. Une saison sèche et froide qui dure 9 à 8 mois, et une autre, chaude et pluvieuse sur une courte période de 3 à 4 mois. Cependant, cette première analyse fondée sur les différents flux, n'est qu'une configuration générale du cadre climatique de la Grande Côte. Pour connaître le climat de notre site ainsi que son évolution, il nous faut analyser les données climatiques disponibles à partir des stations synoptiques et pluviométriques les plus proches. Ainsi, seront analysés les facteurs du climat à savoir: les précipitations, la température, l'humidité relative, les vents, l'évaporation. Les stations de Pambal, Kayar, Mont Rolland, bien que plus proches du site, contiennent beaucoup de lacunes et du coup deviennent difficiles à traiter. Ainsi nous avons choisi la station pluviométrique de Mboro et la station synoptique de Thiès qui se trouvent dans la même région et qui fournissent les informations plus complètes. Ces deux stations seront les stations de base:

Tableau 4 : leurs Les stations de bases et caractéristiques

Stations Latitude Longitude Altitude Type Année

Nord Ouest (m) d'ouverture

Thiès 14° 48 16° 57 71 m climatologique 1930

Mboro 15° 08 16° 53 7 m pluviométrique 1956

a) Les précipitations

De par sa proximité avec l'océan, cette partie du pays est très soumise à l'influence marine. Cette influence fait qu'elle bénéficie d'une ambiance climatique particulière avec l'existence de deux types de précipitations. On a les précipitations hivernales et les précipitations estivales.


· Les précipitations hivernales sont très faibles mais peuvent être importantes dans des cas exceptionnels. Elles sont dues à l'arrivée massive d'air polaire issu des anticyclones du Nord ou des anticyclones mobiles polaires. Elles sont plus fréquentes durant les mois froids de janvier à mars. On les appelle les pluies de heug ou pluie de mangues. Bien qu'étant très faibles, ces précipitations ont une grande importance car elles réduisent l'évaporation et conservent l'humidité.


· Les précipitations estivales sont très importantes et déterminent la saison pluvieuse ou hivernage. Elles sont dues à l'arrivée des vents de mousson. Elles deviennent importantes durant les mois de juin à septembre. Durant cette période, l'équateur météorologique s'installe au nord de la zone. L'équateur météorologique est la discontinuité qui sépare les vents d'alizé et les vents de mousson. Cette double circulation donne lieu à des précipitations de types lignes grains et des précipitations de types anticycloniques. Le total annuel peut être très important. Cependant, ces précipitations rythment avec beaucoup de variabilité et d'irrégularité d'une année à l'autre mais aussi au cours de la même année.

Le tableau suivant présente les données moyennes mensuelles de station de Thiès de 1959 à 2008.

mois

J

F

M

A

M

J

J

A

S

O

N

D

valeurs

0,6

0,1

0,002

0,1

0,04

17,5

81,6

187,1

132,9

30,2

1,8

0,5

Tableau 5 : Valeurs mensuelles (en mm) de la précipitation à la station de Thiès de 1959 à 2008.

Precipitation en mm

200

150

100

50

0

J F M A M J J A S O N D

Figure 7 : Répartition inter mensuelle de la précipitation à la station de Thiès de 1959 à 2008

L'analyse de ce tableau montre que la zone est caractérisée par une grande variabilité inter mensuelle de la précipitation. L'essentiel des précipitations se concentre entre les mois de juillet, août et septembre. Le maximum est atteint au mois d'août avec 173,4 mm soit 40%, suivi du mois de septembre 137 mm et du mois de juillet 75,5mm. Ces trois mois font 88%

des précipitations. n deux saisons :

Ce graphique montre également la division de l'année e

rnage qui va de juin à octobre,

Une saison pluvieuse appelée hive et une saison non pluvieuse

dite sèche qui dure de novembre à mai. En effet, de faibles précipitations dites pluies de heug peuvent être enregistrées durant la saison sèche e ntre les mois de janvier et février.

l'évolution interannuelle montre

Comme l'évolution inter mensuelle, une grande variabilité.

Les totaux pluviométriques connaissent une grande variabilité d'une année à l'autre comme le montrent les données de la station de Thiès dans le graphique suivant.

Figure 8 : Répartition interannuelle de la précipitation à la station de Thiès de 1959 à 2008

Ce graphique fait état de la variabilité interannuelle. Ainsi à la station de Thiès de 1959 à2008 la précipitation s'est répandue avec des valeurs changeantes de manière remarquable d'une année à l'autre. Le total pluviométrique le plus impo rtant est observé à l'année 1969 avec 826.3 mm alors qu'en l'année 1967 il n'est enregistré que 144 mm. La moyenne de la normale 1959-2008 e st 425,5 mm. Ce qui fait que les années comme 1960, 1961, 1962, 1963,1964 1974, 1975,1979, 1988,1989, 1999, 2000, 2001 et 2002 sont excédentaires alors que les années 1977, 1983,1984, 1991,1992 et 1993 sont largement déficitai res.

Cette tendance évolutive est reconfirmée à la station pluviométrique de Mboro. En effet, du point de vue de la zonalité, cette localité est plus proche de la zone d'étude. Au niveau de cette station nous disposons des valeurs pluviométriques de 1977 à 2007 soit une normale de 30 ans.

Precipitation en mm

160 140 120 100 80 60 40 20

0

 
 
 

Figure 9 : Répartition inter mensuelle de la précipitation a la station de Mboro de1977 à 2007

Comme à la station de Thiès, la saison pluvieuse à Mboro est toujours dominée par le trio mensuel juillet, août septembre. Le maximum est toujours observé en août suivi de septembre et du mois d'octobre mais avec des valeurs moins importantes qu'à Thiès. Mais pour ce qui est des précipitations estivales (heug), elles sont plus importantes à Mboro qu'a Thiès du fait que cette localité est plus proche de l'océan.

Cependant, les précipitations sont non seulement très variables, mais aussi arrivent de manière très irrégulière. En effet le nombre de jour de pluie par année peut être utilisé comme un paramètre d'appréciation de l'hivernage. C'est un paramètre marqué par une grande variabilité comme le montre le tableau suivant. La saison pluviale dure 5 mois soit 153 jours alors que le nombre maximum de jour de pluie est inférieur à 60 sur une période de 30 ans.

Nombre de jours de pluie

40

60

50

30

20

10

0

1977 1978 1979 1980 1981 1982 1983 1984 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007

Figure 10 : Nombre de jours de pluie a la station de Mboro de 1974 à 2007

Cette variabilité du nombre de jours de pluie observée sur le graphique affecte beaucoup les totaux de pluie reçue par an.

 

600 500 400 300 200 100

0

 
 

Precipatation en mm

 
 

1977 1978 1979 1980 1981 1982 1983 1984 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007

 

Figure 11 : Répartition interannuelle de la précipitation à la station de Mboro (de 1977 à 2007)

Bien qu'il n'ait pas toujours une homogénéité sur les rapports entre nombre de jours de pluie et le total annuel, on remarque tout de même que les années qui ont un nombre de jour de pluie moins important sont les années les plus déficitaires, alors celles qui ont nombre de jour de pluie plus important sont souvent excédentaires. On peut citer: 1983 et 1984 pour les années déficitaires, 1978, 1988, 1995, 2000, et 2001 pour les années excédentaires.

b) La température

Pour les données de température, nous utilisons celles de la station de Thiès pour la période de 1977 à 2000. Nous analysons les maxima, les minima, les températures moyennes ainsi que l'amplitude thermique.

Notons que, d'une manière générale les températures dans cette partie du littoral sont moins élevées par rapport au reste du pays. Ce phénomène est du à l'influence de l'océan. La mer, étant un régulateur thermique, adoucit les températures par la fraîcheur des vents qu'elle envoie. Les valeurs moyennes mensuelles des températures sont recueillies dans les tableaux suivants.

Tableau 6 : Valeurs moyennes mensuelles en (degré °C) de la température de 1970 à 2000

 

Jan.

Fév.

Mars

av.

Mai

Juin

Juil.

Août

Sep.

Oct.

Nov.

Déc.

MOY

T° max

31,8

32,7

34,1

33,1

33,0

33,7

33,1

32,4

32,6

34,9

35,3

33,1

33 ,3

T° mimi

16,5

17,2

18,1

18,7

19,3

22,4

23,4

23,4

23,2

22,5

19,3

16,8

20,1

Ampl.

15,4

15,5

16,0

14,5

13,7

11,3

9,7

9,0

9,4

12,4

16,0

16,3

13,3

T° moy

24,2

24,9

26,1

25,9

26,1

28,0

28,3

27,9

27,9

28,7

27,3

24,9

26,7

La température moyenne max imale connait une évolution tri

modale avec trois maxima et trois

minima. Le maximum principal correspond au mois de Novembre avec une valeur de 35,3 et

31,8.

le minimum principal au mois de janvier avec

L

a température moyenne minimale a une évolution unimodale avec un maximum 23,4 qui s'étale sur deux mois à savoir juillet et août et un minimum de 16,5 qui s'observe au mois de janvier.

La température moyenne, quant à elle, connaît une évolution bim

odale. Nous avons deux

maxima et deux minima. Le maximum principal est de 28,7°c et s'observe au mois d'octobre,

s d'avril avec une valeur de 25,9

alors que le minimum principal est au moi °c.

Ternpératureen%

40

35

30

25

20

15

10

0

5

T° max
T°mimi
T° moy

Figure 12 : Évolution moyenne mensuelle de la température à la station de Thiès de 1977 à 2000 D'une manière générale, l'analyse comparée des températures fait apparaître deux périodes. Une période à température moins élevée entre les mois de décembre à avril et une période à température plus élevée entre les mois de mai à octobre.

L'amplitude thermique annuelle qui est la valeur de la différence entre la température moyenne du mois

le plus chaud (27,3) et la température moyenne du moi le plus froid (15,4) est de 8,3, or, l'amplitude moyenne annuelle est de 13,3. La valeur de l'amplitude thermique annuelle est révélatrice de l'écart plus ou moins faible entre les T° max et les T° mini.

c) L'humidité relative

L'humidité relative dans cette partie est très importante par au rapport au reste du pays. Elle
est favorisée par proximité avec l'océan qui envoie des vents chargés de vapeur d'eau. Elle est

aussi due aussi aux précipitations estivales et hivernales. Cette vapeur d'eau se manifeste sous forme de pluie, de rosée, de brouillard, et de brume. En effet l'humidité relative diminue au fur et à mesure que l'on s'éloigne du littoral. Pour analyser un tel paramètre nous utilisons les données de la station de Thiès.

Au niveau de cette station, nous ne disposons que des données de la période de 1977 à 1999 soit 22 ans. Les données sont présentées dans le tableau suivant.

Tableau 7: Valeurs moyennes mensuelles en % de l'humidité relative de 1977 à1999

 

Jan

fév.

Mars

avr

mai

juin

juil.

aout

sep

oct.

nov.

déc.

UX

79

77

81

87

89

91

91

94

96

95

90

81

UN

21

19

25

32

36

44

52

58

60

41

24

20

UM

50

48

53

59

63

67

71

76

78

68

57

51

L'analyse du tableau montre que l'humidité relative est élevée dans la zone. Les valeurs les plus importantes sont observées en fin de l'Eté entre août et octobre. Elle atteint son maximum en moi de septembre avec une valeur de 96. L'humidité relative minimale de ce mois est de 60 ce qui donne une moyenne de 78. Ces valeurs importantes durant cette période sont dues à la forte quantité de pluies qui tombe et qui, saturant l'air, empêche au même moment l'évaporation et la transpiration. Les valeurs les moins importantes sont observées entre décembre, janvier et février qui a une humidité relative minimale de 19. L'humidité relative maximale de ce moi est de 77 ce qui donne une moyenne de 48. Ceci est dû à la présence de l'harmattan qui est un vent chaud et sec à cause de sont long parcours continental. Toute fois, sa présence demeure faible et il est associé à l'alizé maritime qui diminue son effet. Ce dernier est à l'origine des rosées fréquentes notées dans la zone. Cette évolution traduit une variation de l'humidité relative en fonction de la pluie.

Humidite relative en %

100

10

1

jan

fey

mar

avr

mai

juin

juil

aout

sept

oct

ov

UX

UM

U MOY

' ec

Figure 13 : Humidité relative en mm à la station de Thiès 1977 à 1999

d) L'évaporation

Elle dépend de la disponibilité en eau et en vapeur d'eau, de la température et de la vitesse du vent. A la station de Thiès, les valeurs présentent une évolution unimodale. Les valeurs de l'évaporation les plus importantes sont observées en saison non pluvieuse avec un maximum atteint en février (73 mm) suivi de mars (66 mm.) et les valeurs les moins importantes sont enregistrées en pleine saison pluvieuse (de juin à octobre) avec 23 pour août et 20 pour septembre. Ainsi, comme l'humidité relative, l'évolution de l'évaporation varie en fonction des deux saisons qui caractérisent la zone: une saison pluvieuse marquée par une humidité relative importante et une évaporation minime contre une saison non pluvieuse marquée par une forte évaporation et une faible humidité relative.

Tableau 8: Moyennes mensuelles (en mm) de l'évaporation à la station de Thiès de 1977 à 1999

Mois

jan

fev

mars

avr

mai

juin

juil

août

sep

Oct

nov

Dec

Evaporation en mm

66

73

71

60

51

40

32

23

20

35

57

64

Les valeurs de l'évaporation à la station de Thiès contenues dans ce tableau nous permis de faire la graphique ci-dessous

Evaporationenmm

40

80

70

60

50

30

20

10

0

Figure 14 : Évolution mensuelle de l'évaporation a la station de 1977 à 1999

JANVIER

MARS

MAI

NW

W

NW

W

SW

NW

W

SW

SW

40

80

60

20

0

40

60

20

40

60

20

0

N

0

S

N

N

S

S

SE

NE

E

SE

SE

NE

E

NE

E

JUJN

AVRIL

FEVRIER

NW

W

NW

W

NW

W

SW

SW

SW

40

40

30

20

60

20

10

0

0

40

30

20

10

0

N

N

S

N

S

S

SE

SE

NE

E

SE

NE

E

NE

E

e) Les vents

Tableau 9 : Directions dominantes des vents à la station de Thiès de 1981 à 199

AOUT

N

N

40

40

30

NE

E

30

NE

E

20

20

10

10

0

0

SW

SW

SE

SE

S

S

30

60

NE

E

NE

E

20

40

10

20

0

0

SW

SW

SE

SE

S

S

SEPTEMBRE

JUILLET

NW

W

NW

W

OCTOBRE

NW

W

NW

W

N

30

NW

NE

20

10

W

E

0

SW

SE

S

DECEMBRE

N

40

30

NW

NE

20

10

W

E

0

SW

SE

S

NOVEMBRE

Le vent reste un paramètre très essentiel et son influence est importante sur les autres paramètres.

Les figures ci-dessus récapitulent en pourcentage les moyennes mensuelles de la direction des vents dominants sur la base de trois mesures par jour de 1981 1999.

L'analyse des figures d'une manière générale, fait état d'une circulation en deux périodes et chaque période est caractérisée par une direction dominante. Ainsi on obtient le quadrant Nord et NE et le quadrant Ouest et Sud Ouest. Le quadrant Nord et NE domine la circulation durant la période la plus longue (de octobre à juin) avec 84 jusqu'a 98 % des directions. Ceci est surtout du au fait de la présence en permanence des alizés. L'alizé maritime domine durant les mois de décembre à avril avec les secteurs NE et E avant d'être substitué par l'alizé continental ou harmattan avec le secteur N. Mais à partir du mois de juillet la tendance évolue à la faveur des vents d'Ouest et Sud Ouest. Ces vents dominent durant les périodes d'aout à juillet avec des valeurs allant jusqu'à 68 % des directions. Ce vent est la mousson. Il est responsable des précipitations durant cette période. N'empêche, durant cette même période, l'alizé maritime continue ses oscillations et représente 24 % des directions en juillet et 32% en aout avant de dominer à nouveau la circulation en septembre avec 44 %. On note la présence de beaucoup de calme dans cette courte période de trois mois. Ceci est du au tiraillement entre les deux circulations; ce qui entraine des ruptures de circulation ou des calmes.

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"Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots"   Martin Luther King