II- Perceptions et informations sur le sida
A- Perceptions
- Ce à quoi renvoie le sida
· Peur
· Mort
· Rejet social
- Métaphores utilisées pour désigner le
sida
- Différence entre le sida et les «autres maladies
»
- Utilité et efficacité de la prise en charge
médicale
B- Informations
- Avantage du dépistage
- Connaissances de la prise en charge médicale et
psychosociale
· Gestion de l'annonce de la
séropositivité
· Gestion des infections opportunistes
· Gestion de la mise sous traitement ARV
- Connaissances sur les coûts du traitement
- Connaissances sur les structures publiques de prises en charge
médicale
- Connaissances des structures associatives de prise en charge
médicale et psychosociale - Fréquentations des structures
d'informations et de lutte contre le sida
III- Vulnérabilité ou expériences
précises vécues
A- Biographie sexuelle - Partenariat sexuel
· Identité du ou des partenaires
· Circonstances de rencontre
· Précautions prises lors des rapports sexuels
B- Autres expériences -
Antécédents de MST - Transfusion sanguine
IV- les interactions
A- interaction familiale
- Croisement de biographie avec une personne infectée
(malade) - expérience du dépistage par un membre de la famille
- conversations sur le sida/dépistage
- imposition du dépistage par une autorité de la
famille B- interaction relationnelle
- conversations avec les pairs sur le sida/dépistage -
adhésion ou refus des pairs
- influence des pairs sur la décision individuelle
Guide d'entretien individuel/ personnes ressources -
Guide d'entretien individuel/personnel du LTO
- Qu'est-ce qui explique le refus du dépistage volontaire
par des élèves ?
- Qu'est-ce qui explique la différence de comportement
entre élèves adhérents et élèves
réticents?
- Guide d'entretien individuel/chargés de prise en
charge médicale et psychosociale
- Qu'est-ce la prise en charge médicale ?
- Qu'est-ce que l'accompagnement psychosociale ?
- Quels en sont les avantages ?
- Quel est le mécanisme public de la prise en charge
médicale ?
- Quel est le mécanisme associatif de la prise en charge
médicale et psychosociale ?
- Guide d'entretien individuel/parents
d'élèves
- Discussion sur sexualité / VIH-SIDA avec les enfants -
Discussion du dépistage volontaire en famille
Extrait d'entretien
Sobriquet :Amadé Classe: 1ere G2
Age: 19
Religion : musulman
- Vous avez fait votre test ?
- Non, non. Pour le moment non. J'ai pas encore fait le test mais
je pense le faire un jour en tout cas.
- Au moment de la campagne de dépistage l'année
dernière vous étiez là ?
- Oui, c'était une journée exceptionnelle, une
journée très animée. Il y avait beaucoup
d'élèves. Moi-même je voulais faire le test mais la queue
était longue. J'ai essayé de m'aligner plusieurs fois, mon tour
n'était pas arrivé donc j'étais impatient. C'était
une belle journée ! on aimerait revoir ces journées-là
encore.
- Cela veut dire que vous êtes prêt à faire le
test alors ?
- Oui, moi particulièrement je suis prêt à
faire le test maintenant. Avant, j'avais peur pour certaines raisons ;
maintenant on est arrivé à me conscientiser, je suis
prêt.
- Quelles sont les raisons qui vous amenaient à avoir peur
?
- Bon ! les raisons qui m'amenaient à avoir peur de
faire le test... par exemple si je faisais , je sais que si je faisais et puis
j'obtenais un résultat positif ç'allait jouer sur ma vie. Le fait
même que suis élève, je continu le combat. J'allais perdre
beaucoup courage et en ce moment je pensais que tout mon combat c'était
pour rien maintenant. Parce que je savais qu'en ce moment d'un jour à
l'autre je pouvais mourir. Je n'allais pas avoir beaucoup de courage pour mon
combat encore. C'est ce qui me faisait peur. Bon ! Maintenant avec certaines
sensibilisations, je me dis que non ! Même si je fais le test et que je
trouve que je suis positif, c'est pas tellement une fatalité. Je peux
toujours continuer mon combat, c'est vrai il n'existe pas de remède pour
ça pour le moment mais il y a des soins et avec beaucoup de courage on
pense que y aura quelque chose contre ça un jour.
- Vous savez comment accéder à ces soins ?
- Bon ! Comment accéder à ces soins ? Je n'ai
pas beaucoup d'idées là-dessus mais c'est ce que je pense, je
crois que dans certains centres hospitaliers je vois ces soins. Mais je sais
pas s'ils sont à des coûts acceptables ou pas, mais je sais qu'il
y a ces soins dans certains centres en tout cas.
- Au niveau des associations, est-ce que vous avez des
informations concernant la prise en charge des malades ?
- Bon ! tout ce que je sais, je connais un certains nombre
d'associations, même dans un village eh ! à 25 Km ,
Tanghin-Dassouri ; ici, il y a une association , ALAVI qui fait
régulièrement le dépistage mais vraiment je ne sais pas
quels
soins ils prennent en charge ? Je n'ai jamais eu l'occasion
d'échanger avec eux comme ça et savoir maintenant ce qu'il faut
faire quand les gens sont atteints.
- Vous n'êtes pas au courant des possibilités de
prise en charge médicale et psychosociale ?
- Non. Tout ce que je sais, c'est que j'entends parfois dans
les radios, à la télé, qu'il y a des prises en charge pour
ça, c'est un combat, plusieurs pays luttent contre ça, donc ce
qui fait que des prises en charge ont été
élaborées. Mais je n'ai pas d'idées comme ça
là-dessus : comment ça se passe, je n'ai aucune idée. Tout
ce que je sais, je sais qu'il y a une prise en charge mais comment ils prennent
ça, je n'ai aucune idée.
- Est-ce que vous fréquentez une association ?
- Non, non. Je n'ai jamais fréquenté une
association comme ça. C'est dans les sensibilisations seulement, je
consacre mon temps juste quinze minutes, je m'arrête, j'écoute
comme ça et je continue. Mais je n'ai jamais fréquenté une
association avec beaucoup d'échanges davantage.
- Ça ne vous intéresse pas ?
- Bon : ça m'intéresse mais pour le moment... A
partir de maintenant si j'ai l'opportunité je pourrai me renseigner
beaucoup. Sinon avant ça ne ... je n'aimais même pas entendre
parler du sida. Vraiment ça me mettait en boule déjà.
- Pourquoi avant ça ne vous intéressait pas de
parler du sida ?
- Bon ! Avant ça ne m'intéressait pas comme
ça parce que peut-être tout ça c'était quoi ?
C'était la peur ! Je me disais que je n'allais même pas faire le
test jusqu'en ce moment mais je vais le faire maintenant. Avant, c'était
la peur, tout ça, le fait d'avoir eu des rapports [sexuels] parfois
protégés, parfois non protégés, il y avait la
crainte, la peur même tout en sachant que c'est une maladie fatale qui
ravage. C'était à cause de ça.
- Combien de fois vous avez déjà eu des rapports
sexuels non protégés ?
- Bon ! Une ou deux fois, mais actuellement, à partir
d'aujourd'hui je ne m'engage plus dans des rapports non protégés.
Je sais vraiment que le sida c'est vraiment une fatalité, ça
ravage de gauche à droite, je prends toutes mes précautions
maintenant. Je sais que si je ne suis pas atteint, s'il plaît à
Dieu je ne serai plus atteint quoi ! Je prendrai toutes mes
précautions.
- Avec combien de filles vous avez eu des aventures sexuelles
?
- Bon ! disons avec cinq filles comme ça.
- Vous vous êtes rencontrés comment ?
- Bon ! Parfois c'est dans les shows comme ça, moi je
suis un jeune, je m'intéresse aux shows. J'aime le show biz. Donc
parfois dans ça, c'est des amies du quartier, on se rencontre, on
échange, on finit par s'engager dans la chose.
- Et elles ont consenti à avoir des relations sexuelles
non protégés avec vous ?
- Bon ! Elles n'ont jamais dit qu'elles auraient dû avoir
des relations sans être protégées. Mais moi
particulièrement, parfois ça me venait instinctivement
comme ça, involontairement d'avoir des relations non
protégées ; ne pas avoir la maîtrise de sa personne
même. Mais maintenant, j'ai vraiment pris position pour ne pas risquer,
avoir des relations sans préserver.
- Vous habitez dans quel quartier ?
- J'habite au secteur 17, Pissy.
- Vous êtes avec vos parents ?
- Oui, je suis avec mes parents.
- Qu'est-ce que le père fait comme travail ?
- Il travaille dans une ONG, ma maman ne travaille pas, elle est
ménagère. - Vous avez des frères et soeurs ?
- Ouais, j'ai jusqu'à cinq petits frères et puis
deux grands frères, donc on est huit dans la famille.
- Qu'est-ce que vos grands frères font ?
- Bon ! Mes grands frères, tous les deux sont des
instituteurs ; mes petits frères, ils bossent toujours, moi aussi je
bosse toujours.
- Il vous arrive d'avoir des discussions sur le thème du
sida en famille ?
- Bon ! Parfois à travers la télé comme
ça, la radio, quand on entend parler on
essaye de discuter. Parfois, les grands frères
conseillent toujours : « vous
voyez que c'est une fatalité, ça tue, il n'y a
rien contre ça, donc chacun n'a
qu'à faire beaucoup attention pour que ça ne passe
pas par lui aussi quoi. » - Et avec les parents, vous discutez aussi ?
- Bon ! Avec les parents, tout ce qu'ils disent, on discute
pas pour longtemps hein ! Par exemple pour quelques cinq minutes, ils ouvrent
la page, mais chaque fois ils insistent, ils n'insistent pas à ce qu'on
ait pas des rapports [sexuels] mais ils insistent toujours à ce que nos
rapports soient toujours protégés quoi.
- Est-ce que quelqu'un dans votre famille a déjà
fait son test ?
- Oui, mes deux frères, ils ont déjà fait le
test.
- Et vos « potes » ?
- Certains amis ont fait leur test l'année
passée. Ils ont reçu tous un résultat négatif.
Ça m'a encouragé même un peu plus. S'ils peuvent le faire,
moi aussi je peux prendre mon courage et puis le faire.
- Est-ce que vous avez des mots pour désigner le sida ?
- Parfois on remplace ça par « la maladie de la
jeunesse », « la maladie qui ravage », « la fatalité
» On aime vraiment prononcer des mots comme son nom l'indique, le sida.
Certains disent «la chose » ; par exemple, on dirait qu'une telle
personne souffre de la «chose-là »
- Est-ce que vous avez déjà été en
contact avec un malade du sida ?
- Malheureusement, actuellement il n'est plus là, il est,
il y a une année de cela
il est parti. Mais on essayait de l'encourager ; il ne perdait
pas courage en
tout cas. Mais malheureusement, il est parti, il n'est plus.
- C'était un proche à vous ?
- Oui, c'était un parent proche à moi.
- Et ça se passait comment en famille ?
- Bon ! En fait dans la famille on arrive tous à le
comprendre ; vraiment il n'y avait pas de problème en famille comme
ça. La famille, en fait, moi je vis dans une famille
alphabétisée, pas une famille, vous savez parfois dans les
familles qui n'ont pas l'école en tant qu'il est malade chacun le fui,
aucun ne veut l'approcher, personne ne veut manger avec lui... C'était
pas le cas en famille ; tout le monde arrivait à le comprendre, on
savait que c'était pas en causant avec lui comme ça, en essayant
de le moraliser [relever le moral] qu'on allait être contaminé.
- Et quand vous causez avec lui, qu'est-ce qu'il disait sur sa
maladie ?
- Franchement quand on causait, lui-même il
répétait qu'il savait qu'un jour il allait mourir, bon ! et puis
dans sa causerie il faisait parfois pitié. Dans sa causerie il faisait
vraiment ressentir qu'il savait qu'il allait mourir d'un jour à
l'autre.
- Et c'est en quel moment il a accepté vous dire qu'il
était séropositif ?
- Bon ! Vraiment, moi principalement, il ne m'a jamais dit
ça. C'est à travers ses paroles parfois j'arrivais à
constater ça ; et puis on connaît les signes que ça
manifeste ; et puis quand ça devient grave tout le monde connaît
les signes que ça développe.
- Il n'a pas fait un test pour confirmer ?
- Peut-être qu'il a fait un test mais ça s'est
passé entre les autorités de la familles ; vous savez, nous, on
n'a pas été en contact tout ça.
- Il était marié ?
- Il n'était pas marié d'abord. Il était
célibataire. C'était quelqu'un, son travail lui permettait pas de
se marier. Il voyageait dans les pays, il allait au Ghana, même en Europe
parfois. C'était en quelque sorte un homme d'affaire quoi ! Donc,
ça fait qu'il n'était pas encore marié.
- Il a quel lien de parenté avec vous ?
- C'était mon oncle..
- Il était jeune ?
- Il avait environ 30 ans comme ça.
- Au moment de la campagne de dépistage l'année
dernière, il était toujours là ?
- Il était toujours là mais sa santé
était devenue très critique. Il se sentait gravement malade, on
attendait maintenant... parce que en ce moment-là, pour qu'il se
relevait ç'allait être dur. On sentait qu'il était vraiment
fatigué quoi. Il était fatigué.
- Est-ce que cette situation de contact avec un malade a
influencé votre refus d'aller faire le test ?
- Oui, vraiment, c'est tout ça qui m'a vraiment fait
peur ; et puis ça m'a donné comme une leçon aussi. J'ai vu
comment la maladie se manifeste, j'ai vu vraiment que c'est une maladie, non
seulement la personne est amenée à mourir un jour mais c'est une
maladie, on sent que tu souffres ; tu es vraiment dans une souffrance quoi ! et
tu traînes, tu ne meures même pas vite. Tout ça
m'a fait peur, ça m'a conscientisé de prendre
davantage de précautions et puis ça me faisait vraiment peur
d'aller faire le test et puis savoir peut-être... Si je suis
séronégatif, ça va ! Mais si je suis séropositif,
ç'allait me décourager. Mais maintenant, j'ai enlevé cette
peur-là, cette crainte-là de moi ; je me suis dis je vais faire
le test et dans tous les cas je pense que je suis séronégatif.
Dans les jours avenir, si je gagne un laps de temps seulement, je vais le
faire.
- Est-ce que votre oncle prenait des soins ?
- Oui, il prenait des soins. Il avait vraiment, je peux dire
qu'il avait le maximum de soins parce qu'il avait un docteur à sa ...
chaque fois il venait. Si c'est les soins, il a eu les soins. Si c'est les
soins qui devaient contribuer au fait qu'il ne mourrait pas, il ne devait pas
mourir ! Ça, je peux le dire !
- Il le faisait avec l'aide de la famille ou avec ses propres
moyens ?
- Bon ! C'était avec l'aide de la famille puisque bon !
Quand quelqu'un est malade comme ça, c'est ce que je vous disais,
c'était un homme d'affaires ; toutes ses affaires étaient
bouchées, il n'avait plus d'argent comme ça, donc c'est la
famille qui le supportait.
- Vous l'avez déjà une fois accompagné
à l'hôpital ou dans un centre ?
- Moi, je l'ai jamais accompagné à l'hôpital
? Tout ce que j'ai vu, il était à la
maison il était devenu faible et il ne pouvait plus
sortir ; le docteur venait à la
maison.
- Vous discutez souvent de ça avec vos amis ?
- Oui, parfois on discute. On se donne des conseils pour
vraiment échapper à ça. - Et vos amis qui refusent de
faire le test, qu'est-ce qu'ils avancent comme raisons ?
- Bon ! ils avancent comme raisons, la peur, la crainte
d'aller faire et de constater qu'ils sont séropositifs ; et dans ce cas,
ils ne pourront pas continuer la vie quoi ! Leur durée de vie sera
réduite parce que en ce moment ils pensent qu'ils sont amenés un
jour à mourir ; ils ne pourront plus continuer leur combat, ils seront
découragés. Ils se disent qu'en faisant le test, le
résultat du test ne peut pas les empêcher de ne pas mourir ; selon
eux, faire le test, ne pas faire le test, c'est la même chose. Et selon
eux, la meilleure solution c'est de ne pas faire parce qu'en ne faisant pas, on
n'a pas de doute, on a toujours confiance en soi.
- Vous savez comment on procède, quand on est
déclaré séropositif, pour accéder aux soins ?
- Quand on est déclaré séropositif, il
faut immédiatement contacter un centre médical ou une association
qui s'occupe... dont le projet a pour but d'aider les gens atteints du VIH
parce qu'ils auront les soins à te diffuser qui ne seront pas trop
chers, parfois des produits gratuits même que tu pourras prendre.
Profil des interviewés Population cible
(élèves)
Variables Identification
|
sexe
|
âge
|
religion
|
classe
|
Comportement
|
Josiane
|
Féminin
|
19
|
Catholique
|
1ère G1
|
Réticente
|
Sanatou
|
Féminin
|
21
|
Musulmane
|
2ème AC
|
Réticente
|
Amadou
|
Masculin
|
19
|
Musulmane
|
Terminale F1
|
Réticent
|
Djénabou
|
Féminin
|
20
|
Musulmane
|
2ème CAS
|
Adhérente
|
Natacha
|
Féminin
|
20
|
Catholique
|
Terminale G1
|
Réticente
|
Awa
|
Féminin
|
19
|
Musulmane
|
Terminale G1
|
Adhérente
|
Rose
|
Féminin
|
22
|
Catholique
|
2ème AC
|
Réticente
|
Béatrice
|
Féminin
|
18
|
Catholique
|
1ère G1
|
Réticente
|
Valérie
|
Féminin
|
18
|
Catholique
|
1ère G1
|
Adhérente
|
Sylvie
|
Féminin
|
18
|
Catholique
|
1ère G1
|
Réticente
|
Léonard
|
Masculin
|
21
|
Catholique
|
Terminale G2
|
Réticent
|
Balkissa
|
Féminin
|
20
|
Musulmane
|
Terminale G1
|
Adhérente
|
Amadé
|
Masculin
|
19
|
Musulman
|
1ère G2
|
Réticent
|
Elise
|
Masculin
|
18
|
Catholique
|
1ère G2
|
Adhérent
|
Narcisse
|
Masculin
|
19
|
Catholique
|
1ère G2
|
Réticent
|
Lauraine
|
Féminin
|
20
|
Catholique
|
Terminale G2
|
Réticente
|
Salam
|
Masculin
|
22
|
Musulman
|
2ème AT
|
Adhérent
|
Alexis
|
Masculin
|
22
|
Catholique
|
2ème AC
|
Adhérent
|
Georgette
|
Féminin
|
21
|
Catholique
|
Terminale G2
|
Adhérente
|
Robert
|
Masculin
|
22
|
Catholique
|
Terminale F3
|
Adhérent
|
Carine
|
Féminin
|
18
|
Protestante
|
1ère G2
|
Réticente
|
Marcel
|
Masculin
|
20
|
Catholique
|
1ère G2
|
Adhérent
|
Tatiana
|
Féminin
|
17
|
Musulmane
|
1ère G2
|
Adhérente
|
Issouf
|
Masculin
|
20
|
Musulman
|
Terminale E
|
Adhérent
|
Assita
|
Féminin
|
20
|
Musulmane
|
Terminale E
|
Adhérente
|
Osée
|
Masculin
|
19
|
Catholique
|
Terminale E
|
Réticent
|
Ernest
|
Masculin
|
19
|
Catholique
|
Terminale F1
|
Adhérent
|
Amadou
|
Masculin
|
18
|
Catholique
|
1ère F3
|
Adhérent
|
Yvon
|
Masculin
|
19
|
Musulman
|
1ère E
|
Adhérent
|
Bernard
|
Masculin
|
18
|
Protestant
|
1ère E
|
Réticent
|
Paul
|
Masculin
|
21
|
Catholique
|
2ème AC
|
Réticent
|
Cader
|
Masculin
|
19
|
Musulman
|
Terminale T
|
Adhérent
|
Syprien
|
Masculin
|
20
|
Catholique
|
Terminale T
|
Adhérent
|
Envoyer
Personnes ressources
Sandrine
|
Infirmière d'Etat / infirmière au LTO
|
Ahmed
|
Proviseur/Président du cercle de relais sida du LTO
|
Aline
|
Surveillante/marraine du club FAWE du LTO
|
Emile
|
Médecin chargé de prise en charge
médicale/association
|
Yolande
|
Enseignante d'économie sociale et familiale/marraine club
ABBF du LTO
|
Issa
|
Psychologue chargé de l'accompagnement
psychosociale/association
|
Germaine
|
Médecin chargé de prise en charge/CNLS-IST
|
Mohamed
|
Inspecteur du trésor/ parent d'élève
|
Madelaine
|
Educatrice sociale/parent d'élève
|
Justine
|
institutrice/parente d'élève
|
|