La maison d'initiation à la faune et aux espaces naturels un acteur du développement local et du développement durable au Pays Basque( Télécharger le fichier original )par Emmanuel DE JOANTHO Université de Valenciennes et du Hainaut Cambresis - Master2 Développement local et économie solidaire 2008 |
UNIVERSITE DE VALENCIENNES ET DU HAINAUT CAMBRESIS MASTER II PROFESSIONNEL DEVELOPPEMENT LOCAL ET ECONOMIE SOLIDAIRE La Maison d'Initiation à la Faune et aux Espaces Naturels Un acteur du développement local et du développement durable au pays basque Emmanuel de Joantho Jury : Directeur de mémoire : M. Laurent Gardin Personnalité qualifiée : M. Michel Roussel Maître de stage : M. René Jocou Année universitaire 2007/2008 « La seule chance offerte à l'humanité serait de reconnaître que devenue sa propre victime, cette condition la met sur un pied d'égalité avec toutes les autres formes de vie qu'elle s'est employée et continue de s'employer à détruire. Mais si l'homme possède d'abord des droits au titre d'être vivant, il en résulte que ces droits, reconnus à l'humanité en tant qu'espèce, rencontrent leurs limites naturelles dans les droits des autres espèces. Les droits de l'humanité cessent au moment où leur exercice met en péril l'existence d'autres espèces ».1(*) Claude Lévi-Strauss RemerciementsOn dit parfois des longs remerciements qu'ils sont excessifs, manquent de sincérité et relèvent de la naïveté. Mais ceux qui suivent s'adressent à toutes les personnes qui animent et conduisent la MIFEN depuis de nombreuses années. Tout ce qui découle de cette étude n'existe que grâce à leurs contributions. Comment ne pas avoir une tendre pensée pour Isabelle, qui m'accompagne tous les jours depuis la création de la MIFEN. Je voudrais exprimer des remerciements chaleureux à tous les administrateurs de la MIFEN, en particulier à Jacques Prin pour son engagement en tant que président durant tant d'années ; à Paul Sansenacq pour les conseils qu'il me prodigue depuis 20 ans ; à René Jocou, actuel président de la MIFEN; à Michel Pagoaga, mon ami et ancien professeur d'écologie; à Didier Costil, mon confident. Merci également à Pierre Ninous qui a basculé du salariat au bénévolat ; à Patrick Bonifas, supporter de la MIFEN et enfin Jean-Baptiste Etcheverry pour ses précieux conseils juridiques. Une pensée particulière à quelques amis et collègues ; Pascal Garcia et Sophie Gansoinat pour leur soutien sans faille depuis de nombreuses années ; Didier Lapedagne, Hervé Pochelu et Marie-Jo Chourrout qui m'enrichissent de leurs savoirs. À Pierre Hery pour sa participation active au lancement des activités éducatives. À mes parents et à mon frère, très présents au départ de l'aventure, alors que cette association n'était qu'un fantasme de jeune guidé par la passion. Ce mémoire est dédié à tous les salariés en parcours d'insertion pour le temps qu'ils consacrent à la MIFEN. Les conseils et les encouragements de Laurent Gardin ont été très utiles pour l'élaboration de ce mémoire. Ce dernier n'aurait jamais vu le jour si Patrick Loquet n'avait pas su trouver les bons mots pour convaincre son auteur de passer à l'action. Pour terminer, je voudrais dédier une citation aux bénévoles de la MIFEN. Dans son ouvrage Avant que nature meure (1964), Jean Dorst donnait son sentiment sur la lutte pour la protection de la nature : « On ne rendra cependant jamais assez hommage aux hommes qui ont oeuvré avec désintéressement et courage pour conserver au monde ses paysages, sa flore et sa faune sauvages ». * 1 Extrait du discours de Claude Lévi-Strauss à l'occasion de la remise du XVIIe Premi Internacional Catalunya, 2005, Académie française, Paris, le 13 mai 2005. |
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