b- La formation permanente
§ AFRIGROUP ne dispose pas d'une politique écrite
concernant la formation permanente ;
§ En plus il y'a absence d'une documentation technique
variée pour les collaborateurs qui n'ont pas le même niveau de
formation ;
§ Relevons aussi le manque de procédure de mise
à jour des connaissances techniques et professionnelles des
collaborateurs.
c- Affectation
§ Absence d'une politique de rotation du personnel pour
les misions récurrentes ;
§ Délégation des missions aux
collaborateurs qui n'ont pas la maitrise parfaite des connaissances techniques
suffisantes par rapport à la mission. Ainsi, le cabinet a confié
le retrait de la patente d'un de ses clients à un stagiaire qui a eu du
mal à la retirer. Cette lenteur a entrainé le
mécontentement du client.Bien plus nous avons eu la chance d'assister le
21 Octobre 2015 à un contrôle sur pièces de la DSF d'un
client du cabinet en compagnie d'un collaborateur, et les réponses de ce
dernier aux interrogations de l'inspecteur vérificateur
présentaient des limites, limites qui pourraient conduire à un
redressement fiscal à tort du client. Cette situation est
déjà arrivée à un client du cabinet Afrigroup.
d- Evaluation du rendement
Lors de notre passage à Afrigroup, nous avons
constaté que le directeur général était souvent
après ses collaborateurs pour qu'ils achèvent rapidement les
tâches qui leur ont été confiées. Ceux-ci n'ont
jamais été évalué sur leur rendement et le
directeur se plaint souvent de l'ensemble de ses collaborateurs, pourtant il
y'a un manque d'outils pour l'évaluation des candidats à
l'embauche.
|