4.4 DISCUSSION
L'originalité de cette étude est au niveau
théorique du fait que nous avons mobilisé la théorie de
contextualité inspirée de Pettigrew (1985) repris par Brouwers et
Al (1997) et Sem (2014), complétée par la théorie de
contingence pour comprendre la structure de renouvellement des immobilisations.
Selon la théorie de l'efficience X de Leibenstein
cité par Sem (2013), comment est-ce que l'entreprise Ruashi Mining
arrive -t-elle a renouveler son immobilisation. C'est pourquoi, les
théoriciens de l'efficience X soutiennent que ces ressources permettent
de rémunérer des actionnaires avec le versement
de dividendes, de financer le maintien ou le renouvellement des outils
de production et de financer la croissance, soit par
le financement des investissements, soit par la contribution au remboursement
des emprunts contractés.
La théorie contextuelle abordée par Sem (2013)
est un cadre d'analyse adapté à l'étude des sujets en
mutation dans un environnement changeant (Pettigrew, 1985). Elle consiste
à rendre compte des interactions qui se produisent entre un contenu de
gestion le « quoi ».
Les contextes interne et externe dans lesquels il est mis en
oeuvre
le « pourquoi », et le
processus de son déploiement le « comment ».
Elle retient trois variables : le contexte, le contenu et
le processus. Le contenu, processus et contexte du changement organisationnel
forment le triptyque. La perspective contextuelle propose un cadre
générateur de trois pôles : le contenu, le contexte et
le processus (BROUWERS ET AL, 1996).
Le contexte utilisé dans notre introduction à
deux dimensions : interne analysé par l'outil SWOT et externe par
l'outil PHESTEL, le contenu qui concerne les domaines de recherche
présente l'objet de la recherche et les approches théoriques
utilisées telles que la théorie d'efficience X. Le processus qui
comprend les actions, réaction et interaction qui traduisent le
renouvellement des actifs acyclique par l'ensemble des ressources
dégager en terme de l'autofinancement, qui influencent sur le
renouvellement des immobilisations (Cornet, 2010).
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