Mise en place d'une application informatique de gestion des archivespar Prince kibambe Institut supérieur de statistique - G3 informatique de gestion 2018 |
11. Modèle conceptuel des traitementsC'est un schéma qui va préciser le contenu et la dynamique des opérations dans un domaine de l'organisation d'une manière indépendante du choix de l'organisation et les moyens physiques13(*). 1.5. Niveau Logique de DonnéesI .5.1. Règle de transformation du MCD au MLDPlusieurs types des solutions existent pour résoudre ce problème des plus utilisées à l'heure actuelle sont : - Les solutions des types fichier - Les solutions du types base de données rationnelles qui nous allons utiliser pour ce travail. - Les règles courantes des transformations du modèle conceptuel de données en modèle logique de données sont : - A toute entité du modèle conceptuel des données correspond à une table au niveau logique de données, l'identifiant de l'entité devient la clé primaire de la table et les autres propriétés de l'entité constituant les champs de la table. - Toutes association binaire de type (1, n) ou (1,1) est caractérisée par le segment portant les cardinalités (1, n) ou (1,1), une telle association (relation) entraine l'intégration de l'identifiant de l'entité dut de la dépendance fonctionnelle. La propriété ainsi dupliquée devient clé étrangère dans la relation source et est marquée par un #. - Transformation de la relation plusieurs à plusieurs (1, n) ou (1, n), ou une relation porteuse des propriétés, pour ce cas l'association devient ainsi une entité qui participent la relation. I.5.2. Optimisation1. Valorisation de sous- schéma : La mise en place d'un modèle logique de donnée présente une double contrainte à savoir : a) Fournir pour un traitement un ensemble des données les moins volumineux possible ; b) Offrir la possibilité d'accès aux informations le plus rapidement possible. Signalons que ces deux contraintes sont opposées par ce que la redondance d'information améliore le temps d'accès en consultation. Ainsi l'optimisation à pour objectif de trouver un meilleur équilibre d'estimation. C'est pour cela, il est nécessaire de mesurer à la fois l'aspect statique et l'aspect dynamique. 2. La quantification du sous-schéma logiqueLes éléments qui entre en ligne de compte pour quantifie un sous-schéma logique : - La taille des attributs ou des propriétés ; - Le nombre des tuples (enregistrement) ; - Les nombres des tables(ou nombre des relations) ; - Les cardinalités des associations. I.5.3. Démarche de la quantification- Pour chaque table logique déterminer la taille occupée par un tuple (nombre maximum des caractères contenus dans un tuple ou longueur « L ») - Déterminer le nombre moyen de tuple dans une table logique « N » - Valoriser les cardinalités des associations ou des liaisons (valoriser c'est défiant la valeur minimal, maximal, moyenne) * 13 BAVUEZA, D. cour de MAI I, G2 info ISS, |
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