4. Les effets de l'eau
magnétisée
Une eau magnétisée ou dynamisée est
facteur de vitalité et de santé pour les êtres vivants qui
la boivent, qu'il s'agisse d'humains, d'animaux ou de plantes. Elle est un
facteur d'harmonie pour les processus biologiques. Par exemple, si l'on soumet
une eau à rotations majoritairement à gauche (spin
inversé) à un procédé ou technique de dynamisation,
elle se rééquilibre sur le plan subatomique. Les substances
pathogènes régressent ou disparaissent chez le consommateur, et
son système immunitaire s'en trouve fortifié.
4.1.
Action sur l'organisme humain
L'eau magnétisée ou biodynamisée,
structurée, vitalisée, magnétisée hydrate 4 fois
plus qu'une eau normale et 6 fois plus rapidement.
1. Hydratation rapide au niveau cellulaire (revitalisation
complète du corps) ;
2. Oxygénation accrue au niveau cellulaire (Figure
6);
Figure 6. Effet de la consommation de l'eau
vitalisée sur le sang
Photos de
gauche :
Les globules sont agglutinés en forme de "rouleau",
ce qui ne permet pas une bonne oxygénation du corps, perte de leur
charge électrique, mauvaise absorption des nutriments...
Photos de droite :
10 minutes après avoir bu une eau
structurée, les globules rouges sont séparés, retrouvent
leur charge électrique, ce qui permet une meilleure oxygénation
du corps, et une meilleure absorption des nutriments. Diminution des maladies
cardio-vasculaire.
3. Diminution des radicaux libres
4. pH légèrement alcalin
5. Activation des enzymes. Support du système immunitaire.
6. Meilleur équilibre métabolique
7. Meilleure absorption des nutriments et de la communication
extra-cellulaire
8. Amélioration de l'élimination des déchets
intra-cellulaires
5.1. Action sur les animaux
L'eau magnétisée est bénéfique
aussi à la santé et au bien-être des animaux. Comme eau de
boisson, nous retrouvons les mêmes avantages qu'elle apporte à
l'organisme humain. Le traitement magnétique des eaux réduit la
consommation quotidienne d'eau par les oiseaux d'environ 5,46% (Al-Mufarrej et
al., 2005).
5.2. Action sur les plantes
L'eau est la source de vie pour les plantes : plus de 70%
de la plante est faite d'eau L'eau est fondamentale pour les
fonctions d'hydratation, de circulation de la sève.
L'eau magnétisée favorise :
Ø L'augmentation du pouvoir mouillant de l'eau dans les
tissus végétales.
Ø Une augmentation du taux de germination des graines
(Martines et al., 2002 ; Majd and Shabrangi, 2009). Ceci peut être
attribué à une augmentation de l'absorption de l'eau suite au
traitement magnétique (Majd and Shabrangi, 2009).
Ø Un élargissement et un développement
plus important des vaisseaux du xylème et de la stèle des
plantules irriguées par l'eau dynamisée par rapport aux plantules
irriguées par l'eau non dynamisée (Majd and Shabrangi, 2009).
Selon cet auteur, ceci peut être attribué à une
augmentation de l'activité de l'enzyme peroxydase qui entraine une
lignification des cellules et donc un passage rapide vers la structure
secondaire
Ø L'augmentation du développement foliaire et
racinaire (Aladjadjiyan, 2002).
Ø L'augmentation de la biomasse totale (Aladjadjiyan,
2002 ; El Sayed, 2014)
Ø La diminution d'utilisation des produits chimiques
(pesticides) ainsi que les produits de fertilisation
Généralement l'eau utilisée pour
l'irrigation est une eau de puits extrêmement riche en
calcaire, face a cette contrainte, l'eau dynamisée surtout par les
procédé à champ magnétique permet :
Ø D'éviter une bonne partie de ce
problème de médiocre fonctionnement des installations
d'irrigation dues aux formations calcaires (empêche ainsi toute
probabilité d'incrustation) ;
Ø En changeant la structure des cristaux de
CaCO3, minimise la formation de dépôts
blanchâtres sur la végétation imputable au calcaire et
facilite de cette manière la photosynthèse chlorophyllienne.
6. La salinisation des
sols
La Salinisation est définie par la FAO (2001), comme un
enrichissement en sels solubles de la surface et de la tranche
supérieure du sol lorsque la salinité dans les 20 cm sommitaux
dépasse 1 à 2% (20g de sel par Kg de sol). Les sels les
plus fréquents sont des chlorures, des sulfates, et des carbonates de
sodium.
6.1. Effets de la salinisation sur les
plantes
La salinité du sol ou de l'eau est causée par la
présence d'une quantité excessive de sels.
Généralement un taux élevé de Na+ et
Cl- cause le stress salin. Le stress salin a un triple effet: il
réduit le potentiel hydrique, cause un déséquilibre
ionique ou des perturbations en homéostasie ionique et provoque une
toxicité ionique (Ben Ahmed et al., 2009). Cet état hydrique
altéré conduit à une croissance réduite et
limitation de la productivité végétale. Depuis que le
stress salin implique aussi bien le stress osmotique qu'ionique (Hayashi et
Murata,1998 ; Parida et Das, 2005), l'arrêt de la croissance est
directement relié à la concentration des sels solubles ou au
potentiel osmotique de l'eau du sol (Parida et Das, 2005). La salinité
est un facteur environnemental très important qui limite la croissance
et la productivité (Allakhverdiev et al., 2000b ; Parida et Das,
2005). Durant le début et le développement du stress salin
à l'intérieur de la plante, tous les processus majeurs tels que :
la photosynthèse, la synthèse des protéines, le
métabolisme énergétiques... sont affectés. La
première réponse est la réduction de la vitesse
d'extension de la surface foliaire, suivi par l'arrêt de l'extension avec
l'intensification du stress (Parida et Das, 2005).
6.1.1.L'effet sur la croissance
La réponse immédiate du stress salin est la
réduction de la vitesse de l'expansion de la surface foliaire ce qui
conduit à l'arrêt de l'expansion si la concentration du sel
augmente (Wang et Nil, 2000). Le stress salin résulte aussi dans la
diminution de la biomasse sèche et fraîche des feuilles, tiges et
racines (Chartzoulakis et Klapaki, 2000). La salinité accrue est
accompagnée par une réduction significative dans la biomasse
racinaire, la hauteur de la plante, le nombre de feuilles par plante, la
longueur des racines et la surface racinaire chez la tomate (Mohammad et al.,
1998). Le taux élevé de NaCl se manifeste par une croissance dans
la biomasse des racines, tiges et feuilles et une augmentation dans le ratio
partie racinaire/partie aérienne chez le coton (Meloni et al., 2001).
6.2.2. L'effet sur l'eau dans la plante
Le potentiel hydrique et le potentiel osmotique des plantes
deviennent de plus en plus négatifs avec l'augmentation de la
salinité ainsi que la pression de la turgescence (Parida et Das, 2005).
6.2.3. L'effet sur les pigments
photosynthétiques
Le taux de la chlorophylle et des caroténoïdes des
feuilles diminue en général sous les conditions de stress salin.
Les feuilles les plus âgées commencent à développer
une chlorose et finissent par tomber pendant une période
prolongée de stress salin (Agastian et al., 2000). Par contre, Wang et
Nil (2000) ont rapporté que le contenu de la chlorophylle augmente sous
les conditions de salinité chez Amaranthus. Chez Grevilea, la
protochlorophylle, la chlorophylle et les caroténoïdes diminuent
significativement sous le stress salin, mais la vitesse du déclin de la
protochlorophylle et la chlorophylle est plus importante que celle de la
chlorophylle a et les caroténoïdes. Les pigments
anthocyanines augmentent significativement dans le cas de stress salin (Parida
et Das, 2005).
6.2.4. L'effet sur la photosynthèse
Le développement des plantes est le résultat de
l'intégration et la régulation des processus physiologiques dont
le plus dominant est la photosynthèse. La croissance du
végétal autant que la production de biomasse est une mesure de la
photosynthèse nette et comme les stress environnementaux affectent la
croissance donc affectent la photosynthèse. Le stress salin cause des
effets à long et à court terme sur la photosynthèse. Les
effets à court terme se manifestent après quelques heures
jusqu'à un à deux jours de l'exposition au stress et la
réponse est importante ce qui se manifeste par un arrêt complet de
l'assimilation du carbone. L'effet à long terme s'exprime après
plusieurs jours de l'exposition au sel et la diminution de l'assimilation du
carbone est due à l'accumulation du sel dans les feuilles en
développement (Parida et Das, 2005). La diminution de la vitesse
photosynthétique est due à plusieurs facteurs : (1) la
déshydratation des membranes cellulaires ce qui réduit leur
perméabilité au CO2, (2) la toxicité du sel,
(3) la réduction de l'approvisionnement en CO2 à cause
de la fermeture hydroactive des stomates, (4) la sénescence accrue
induite par la salinité et (5) le changement dans l'activité des
enzymes causé par le changement dans la structure cytoplasmique (Parida
et Das, 2005).
Matériel et Méthodes
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