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La transformation des organisations du travail par les SIRH

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par Mathieu Domichard
Celsa- Paris IV Sorbonne - Ressources humaines et communication. 2009
  

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Annexe 5 : les modules d'un ERP

Source : développez.com

SAP BEST PRACTICES

Étape du processus

Processus externe

Condition de gestion

Rôle utilisateur

Code de transaction

Résultats attendus

Saisie des heures effectives

-

Le matricule et l'objet de coût concerné existent.

Salarié (spécialiste)

CAT2

Les temps de travail sont enregistrés sur les objets de coût.

Approbation des temps de travail

-

Le scénario doit être approuvé.

Les temps de travail sont enregistrés.

Chef de projet

CATS_APPR_LITE

Les temps de travail sont enregistrés sur les objets de coût.

Feuille de Saisie des temps : transfert vers les composantes cible

-

Les temps de travail sont enregistrés.

Chef de projet

CATA

Les temps de travail sont transférés vers les composantes cible.

Déplacements professionnels

Gestion des déplacements professionnels (191)

Voir les résultats du processus externe

Voir le scénario n° 191

Voir le scénario n° 191

Voir le scénario n° 191

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Annexe 6 : Les plannings dans Planning Team et Aragon-eRH

Les plannings dans Planning Team

Les plannings dans Aragon-eRH

Annexe 7 : Article le Monde , « Le Cloud computing bouscule l'informatique »

Cécile DUCOURTIEUX, Article paru le 25 Aout 2009

C'est le dernier concept à la mode dans le secteur informatique. Le "cloud computing", littéralement "l'informatique dans les nuages", consiste pour les entreprises à externaliser les ressources numériques qu'elles stockent. Ces ressources - serveurs offrant des capacités de calcul, du stockage, logiciels de messagerie électronique, de paie - sont mises à disposition par des sociétés tierces et accessibles, grâce à un système d'identification, via un PC et une connexion à Internet.

Depuis le début de cette année, pas une semaine ne passe sans qu'un acteur des technologies ne présente son offre de "cloud" : les géants de l'informatique Hewlett-Packard et IB M, le fabricant de routeurs Internet Cisco, même des opérateurs de télécommunications comme France Télécom ou l'américain AT & T. Dernière annonce en date, mi-juillet, Microsoft, premier éditeur mondial de logiciels, a promis la commercialisation pour novembre de son offre de "cloud" baptisée Azure.

C'est le cybermarchand Amazon qui, en 2006, a inauguré ce type d'offres. Le géant américain avait beaucoup investi dans ses infrastructures à la fin des années 1990 pour lancer sa boutique en ligne. Son informatique était certes capable d'absorber le pic d'activité des achats de Noël, mais était surdimensionnée le reste de l'année. "Le cloud est une façon de rentabiliser nos équipements", explique Xavier Garambois, directeur général France d'Amazon.

L'intérêt du "cloud" est évident. Au lieu d'acheter cher des serveurs et des logiciels, qui ne sont pas utilisés à 100 %, les entreprises les louent et ne paient que pour l'usage qu'elles en font. Elles peuvent aussi, en quelques minutes, accéder à des capacités de stockage et de calcul supplémentaires, auxquelles elles n'auraient, dans le cas de PME, jamais pu prétendre si elles avaient dû se les payer seules.

Le "cloud computing" pourrait provoquer une vraie révolution dans le secteur informatique. Pour beaucoup d'acteurs, il implique un changement complet de modèle économique. Jusqu'à présent, c'est la vente - de logiciels et de matériel - qui prévalait. Là, c'est la location qui s'impose. Des positions concurrentielles pourraient dès lors être remises en cause.

UNE NOUVEAUTÉ CONTESTÉE

Dans l'édition de logiciels, Microsoft est désormais sérieusement concurrencé par Google (avec ses services Google Apps, de messagerie électronique, traitement de texte) ou par des start-up comme Salesforce.com (proposant la location des logiciels de gestion de la relation client).

Par ailleurs, pour un prestataire informatique, lancer un service de "cloud" nécessite de se constituer de vastes centres de données, des "fermes de serveurs", coûtant plusieurs dizaines de millions d'euros au bas mot chacune

Les fabricants d'ordinateurs risquent aussi de voir leurs ventes de "netbooks" - ces ordinateurs portables relativement bon marché, parfois à moins de 300 euros, servant surtout à se connecter à Internet - continuer à progresser aux dépens de machines plus chères. "Les terminaux d'accès aux offres "cloud" n'ont plus besoin d'une mémoire importante, ni d'un processeur très puissant. A la limite, même un téléphone du genre iPhone ou BlackBerry suffit", selon Matt Glotzbach, responsable des offres entreprises chez Google.

Dans les faits, quelle est la réalité du "cloud" ? Salesforces.com a passé la barre du milliard de dollars de chiffre d'affaires pour son année fiscale 2009. Environ 3 000 PME adoptent chaque jour les services Google Apps, selon Google. Amazon revendique 94 millions de clients à son offre "cloud".

Mais les autres poids lourds du secteur ne proposent encore qu'un petit nombre de prestations. Azure, l'offre de Microsoft, sera réservée aux développeurs informatiques. IBM propose un accès à un service de messagerie baptisé Lotus Live Engage. "Le cloud va mettre dix à quinze ans pour se mettre en place", reconnaît Philippe Bournhonesque, directeur de la stratégie logiciels chez IBM France.

Quant à la radicale nouveauté du concept, certains la contestent aussi. Dans un rapport publié ce printemps, des analystes du cabinet Accenture notent que la "virtualisation", qui consiste à mutualiser sur un même serveur des applications tournant sur des machines différentes, et qui est à la base du "cloud computing", remonte aux années 1960.

Enfin, le "cloud" soulève des questions de sécurité. Quid des données stratégiques d'une entreprise, dès lors qu'elles sont stockées par une société tierce ? La déconvenue des dirigeants du site de minimessages Twitter a pu inquiéter. Mi-juillet, des données confidentielles de la société ont été piratées et les services Google Apps - utilisés pour les stocker - soupçonnés d'être trop vulnérables. "Les données des entreprises seront mieux protégées chez des spécialistes que par elles-mêmes", note néanmoins Sylvain Moussé, un des dirigeants de la société de services Cegid.

Annexe 8 : Différences entre les ERP grand groupe, ERP, ERP PME PMI

ERP Grand groupe

ERP

ERP PME PMI

·    Présence de modules périphériques autour du noyau commun : CRM, SRM, PDM, PLM, APS, e-business, Transport, Projets

·    Noyau commun : PDP, MRP, Gestion d'atelier, Vente, Approvisionnement, Stocks, Comptabilités générale-tiers-analytique, EDI

·    Noyau commun : PDP, MRP, Gestion d'atelier, Vente, Approvisionnement, Stocks, Comptabilités générale-tiers-analytique, EDI

·    Intégration financière automatique de tous les flux logistiques : mouvements de stocks, d'en-cours, heures absorbées, marge ...

·    Intégration financière automatique de tous les flux logistiques : mouvements de stocks, d'en-cours, heures absorbées, marge ...

·    Intégration financière souvent limitée aux journaux d'achat et de vente

·    Fonctionnalités multi-site étendues : niveaux groupe - société juridique - établissement - Business unit, partage des données de base

·    Fonctionnalités multi-site limitées : niveaux groupe - société juridique, partage des données limité

·    Pas de fonctionnalités multi-site. Duplication de bases de données.

·    Fonctionnalités multi langues : interface utilisateurs disponible en plusieurs langues

·    Fonctionnalités multi langues : interface utilisateurs disponible en plusieurs langues

·    Interface utilisateurs Mono langage

·    Paramétrage étendu des processus et procédures (Workflow)

·    Paramétrage limité des processus et procédures

·    Processus et procédures figés

·    Découpage fin en activités capablesde répondre à la répartition extrême du travail dans un grand groupe

·    Activités  globalisées pour répondre à une structure PME/PMI - ou Regroupement possible  d'activités détaillées par un enchainement   transactionnel paramétrable

·    Activités globalisées pour répondre à une structure PME/PMI

·    Paramétrage des règles de gestion rendu nécessaire par la grande flexibilité du produit

·    Règles de gestion figées d'après les meilleures pratiques

·    Règles de gestion figées

·    Nécessité d'assistance MOA, en plus de l'intégrateur, pour apporter une compétence métier et retrouver les meilleures pratiques

·    Mise en oeuvre par l'éditeur ou un intégrateur agissant seul en tant que Maître d'oeuvre et pilotant plusieurs corps de métier.

·    Mise en oeuvre par l'éditeur ou un distributeur assurant l'ensemble des prestations

·    Nécessité d'une équipe pour  l'administration des plateformes

·    Nécessité d'une ressource ou d'une prestation de type ASP pour l'administration

·    Pas besoin de ressource pour l'administration

·    Multi SGBD

·    Multi SGBD

·    Mono SGBD ou SGBD propriétaire

·    Multi plateformes (UNIX, autres)

·    Multi plateformes UNIX

·    Mono plateforme

Annexe 9 : Images de la solution Aragon-eRH

Plan de formation

Annexe 10 : Images de l'ERP SAP

La planification dans SAP

Les Notes de frais dans SAP

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"Entre deux mots il faut choisir le moindre"   Paul Valery