Annexe 5 : les modules d'un ERP
Source : développez.com
SAP BEST PRACTICES
Étape du processus
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Processus externe
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Condition de gestion
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Rôle utilisateur
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Code de transaction
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Résultats attendus
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Saisie des heures effectives
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-
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Le matricule et l'objet de coût concerné
existent.
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Salarié (spécialiste)
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CAT2
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Les temps de travail sont enregistrés sur les objets de
coût.
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Approbation des temps de travail
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-
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Le scénario doit être approuvé.
Les temps de travail sont enregistrés.
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Chef de projet
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CATS_APPR_LITE
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Les temps de travail sont enregistrés sur les objets de
coût.
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Feuille de Saisie des temps : transfert vers les
composantes cible
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-
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Les temps de travail sont enregistrés.
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Chef de projet
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CATA
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Les temps de travail sont transférés vers les
composantes cible.
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Déplacements professionnels
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Gestion des déplacements professionnels
(191)
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Voir les résultats du processus externe
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Voir le scénario n° 191
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Voir le scénario n° 191
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Voir le scénario n° 191
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Annexe 6 : Les plannings dans Planning Team et
Aragon-eRH
Les plannings dans Planning Team
Les plannings dans Aragon-eRH
Annexe 7 : Article le Monde ,
« Le Cloud computing bouscule
l'informatique »
Cécile DUCOURTIEUX, Article paru le 25 Aout 2009
C'est le dernier concept à la mode dans le secteur
informatique. Le "cloud computing", littéralement "l'informatique dans
les nuages", consiste pour les entreprises à externaliser les ressources
numériques qu'elles stockent. Ces ressources - serveurs offrant des
capacités de calcul, du stockage, logiciels de messagerie
électronique, de paie - sont mises à disposition par des
sociétés tierces et accessibles, grâce à un
système d'identification, via un PC et une connexion à
Internet.
Depuis le début de cette année, pas une semaine
ne passe sans qu'un acteur des technologies ne présente son offre de
"cloud" : les géants de l'informatique Hewlett-Packard et IB M, le
fabricant de routeurs Internet Cisco, même des opérateurs de
télécommunications comme France Télécom ou
l'américain AT & T. Dernière annonce en date, mi-juillet,
Microsoft, premier éditeur mondial de logiciels, a promis la
commercialisation pour novembre de son offre de "cloud" baptisée
Azure.
C'est le cybermarchand Amazon qui, en 2006, a inauguré
ce type d'offres. Le géant américain avait beaucoup investi dans
ses infrastructures à la fin des années 1990 pour lancer sa
boutique en ligne. Son informatique était certes capable d'absorber le
pic d'activité des achats de Noël, mais était
surdimensionnée le reste de l'année. "Le cloud est une
façon de rentabiliser nos équipements", explique Xavier
Garambois, directeur général France d'Amazon.
L'intérêt du "cloud" est évident. Au lieu
d'acheter cher des serveurs et des logiciels, qui ne sont pas utilisés
à 100 %, les entreprises les louent et ne paient que pour l'usage
qu'elles en font. Elles peuvent aussi, en quelques minutes, accéder
à des capacités de stockage et de calcul supplémentaires,
auxquelles elles n'auraient, dans le cas de PME, jamais pu prétendre si
elles avaient dû se les payer seules.
Le "cloud computing" pourrait provoquer une vraie
révolution dans le secteur informatique. Pour beaucoup d'acteurs, il
implique un changement complet de modèle économique.
Jusqu'à présent, c'est la vente - de logiciels et de
matériel - qui prévalait. Là, c'est la location qui
s'impose. Des positions concurrentielles pourraient dès lors être
remises en cause.
UNE NOUVEAUTÉ CONTESTÉE
Dans l'édition de logiciels, Microsoft est
désormais sérieusement concurrencé par Google (avec ses
services Google Apps, de messagerie électronique, traitement de texte)
ou par des start-up comme Salesforce.com (proposant la location des logiciels
de gestion de la relation client).
Par ailleurs, pour un prestataire informatique, lancer un
service de "cloud" nécessite de se constituer de vastes centres de
données, des "fermes de serveurs", coûtant plusieurs dizaines de
millions d'euros au bas mot chacune
Les fabricants d'ordinateurs risquent aussi de voir leurs
ventes de "netbooks" - ces ordinateurs portables relativement bon
marché, parfois à moins de 300 euros, servant surtout à se
connecter à Internet - continuer à progresser aux dépens
de machines plus chères. "Les terminaux d'accès aux offres
"cloud" n'ont plus besoin d'une mémoire importante, ni d'un processeur
très puissant. A la limite, même un téléphone du
genre iPhone ou BlackBerry suffit", selon Matt Glotzbach, responsable des
offres entreprises chez Google.
Dans les faits, quelle est la réalité du "cloud"
? Salesforces.com a passé la barre du milliard de dollars de chiffre
d'affaires pour son année fiscale 2009. Environ 3 000 PME adoptent
chaque jour les services Google Apps, selon Google. Amazon revendique 94
millions de clients à son offre "cloud".
Mais les autres poids lourds du secteur ne proposent encore
qu'un petit nombre de prestations. Azure, l'offre de Microsoft, sera
réservée aux développeurs informatiques. IBM propose un
accès à un service de messagerie baptisé Lotus Live
Engage. "Le cloud va mettre dix à quinze ans pour se mettre en place",
reconnaît Philippe Bournhonesque, directeur de la stratégie
logiciels chez IBM France.
Quant à la radicale nouveauté du concept,
certains la contestent aussi. Dans un rapport publié ce printemps, des
analystes du cabinet Accenture notent que la "virtualisation", qui consiste
à mutualiser sur un même serveur des applications tournant sur des
machines différentes, et qui est à la base du "cloud computing",
remonte aux années 1960.
Enfin, le "cloud" soulève des questions de
sécurité. Quid des données stratégiques d'une
entreprise, dès lors qu'elles sont stockées par une
société tierce ? La déconvenue des dirigeants du site de
minimessages Twitter a pu inquiéter. Mi-juillet, des données
confidentielles de la société ont été
piratées et les services Google Apps - utilisés pour les stocker
- soupçonnés d'être trop vulnérables. "Les
données des entreprises seront mieux protégées chez des
spécialistes que par elles-mêmes", note néanmoins Sylvain
Moussé, un des dirigeants de la société de services
Cegid.
Annexe 8 : Différences entre les ERP grand groupe, ERP,
ERP PME PMI
ERP Grand groupe
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ERP
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ERP PME PMI
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· Présence de modules
périphériques autour du noyau commun : CRM, SRM, PDM, PLM,
APS, e-business, Transport, Projets
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· Noyau commun : PDP, MRP, Gestion
d'atelier, Vente, Approvisionnement, Stocks, Comptabilités
générale-tiers-analytique, EDI
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· Noyau commun : PDP, MRP, Gestion
d'atelier, Vente, Approvisionnement, Stocks, Comptabilités
générale-tiers-analytique, EDI
|
· Intégration financière
automatique de tous les flux logistiques : mouvements de stocks,
d'en-cours, heures absorbées, marge ...
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· Intégration financière
automatique de tous les flux logistiques : mouvements de stocks,
d'en-cours, heures absorbées, marge ...
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· Intégration financière
souvent limitée aux journaux d'achat et de vente
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· Fonctionnalités multi-site
étendues : niveaux groupe - société juridique -
établissement - Business unit, partage des données de base
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· Fonctionnalités multi-site
limitées : niveaux groupe - société juridique,
partage des données limité
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· Pas de fonctionnalités
multi-site. Duplication de bases de données.
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· Fonctionnalités multi
langues : interface utilisateurs disponible en plusieurs langues
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· Fonctionnalités multi
langues : interface utilisateurs disponible en plusieurs langues
|
· Interface utilisateurs Mono
langage
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· Paramétrage étendu des
processus et procédures (Workflow)
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· Paramétrage limité des
processus et procédures
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· Processus et procédures
figés
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· Découpage fin en
activités capablesde répondre à la répartition
extrême du travail dans un grand groupe
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· Activités
globalisées pour répondre à une structure PME/PMI -
ou Regroupement possible d'activités détaillées par
un enchainement transactionnel paramétrable
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· Activités globalisées
pour répondre à une structure PME/PMI
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· Paramétrage des règles
de gestion rendu nécessaire par la grande flexibilité du
produit
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· Règles de gestion
figées d'après les meilleures pratiques
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· Règles de gestion
figées
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· Nécessité d'assistance
MOA, en plus de l'intégrateur, pour apporter une compétence
métier et retrouver les meilleures pratiques
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· Mise en oeuvre par l'éditeur
ou un intégrateur agissant seul en tant que Maître d'oeuvre et
pilotant plusieurs corps de métier.
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· Mise en oeuvre par l'éditeur
ou un distributeur assurant l'ensemble des prestations
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· Nécessité d'une
équipe pour l'administration des plateformes
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· Nécessité d'une
ressource ou d'une prestation de type ASP pour l'administration
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· Pas besoin de ressource pour
l'administration
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· Multi SGBD
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· Multi SGBD
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· Mono SGBD ou SGBD
propriétaire
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· Multi plateformes (UNIX, autres)
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· Multi plateformes UNIX
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· Mono plateforme
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Annexe 9 : Images de la solution Aragon-eRH
Plan de formation
Annexe 10 : Images de l'ERP SAP
La planification dans SAP
Les Notes de frais dans SAP
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