III.1.3.3. Le plant du maïs sur un sol non
labouré
73%
3%
24%
Ceux qui plante sur un sol non labouré
ceux qui plante sur un sol labouré
pas de réponse
Source : Enquête de terrain
2019.
Figure 31 : Réponse de la population sur
le type de sol approprié pour semer à Bagam
Nous pouvons observer à travers la figure 31 que 73%
des paysans sèment sur des sols labourés ce qui prouve la
sècheresse des plants de maïs, du haricot mais aussi le
renversement de ces plants par la pression du vent, parfois par manque d'eau on
obtient des faibles rendements. Par contre la franche de 24% des paysans
sèment sur un sol non labouré car l'expérience montre
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qu'un sol non labouré garde beaucoup d'humidité.
Donc un sol compacte solidifie la tige de la plante et la protège contre
le vent mais lorsque la plante atteint le niveau de sarclage, on applique le
Lico-maïs pour désherbé le champ.
Source : Cliché Peteptiatsop Udice, 9 mars
2019.
Photos 1: Semis du maïs sur sol non
labouré
La photo 1 nous amène sur le semis de maïs sur un
sol non labouré. Cette stratégie est moins utilisé par les
paysans en ce sens que l'habitude était qu'on doit labourer avant de
semer donc le changement de stratégie devient un perd temps. Outre
certains paysans trouvent pleinement satisfaction en cette stratégie en
ce qui concerne cette nouvelle donnée climatique. Il ressort que le
paysan défriche, puis sème le maïs, à 3 semaines, on
désherbe la parcelle avec le Lico-Maïs.
III.1.3.4. L'irrigation
L'irrigation à Bagam s'effectuait dans le temps pour la
plupart des cas en saison sèche mais de nos jours elle devient
remarquable en saison pluvieuse notamment dans le domaine du maraicher.
29% 56%
15%
ceux qui irrigue
ceux qui n' irrigue pas
pas de réponse
Source : Enquête de terrain
2019.
Figure 32 : Réponse des paysans sur la
technique d'irrigation à Bagam
Les résultats présentés à travers
la figure 32 révèlent que près de 56% contre 15% des
agriculteurs irriguent leurs champs. En effet, avant cette méthode
n'était pas remarquée en saison pluvieuse mais actuellement, les
agriculteurs pratiquant dans le maraicher et optent pour l'irragation par
aspersion à travers les motopompes ; particulierement en saison
pluvieuse au
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mois de Mars et Avril où on note deficit d'eau pouvant
impacté sur la croissance de la plante. c'est l'exemple de la culture du
pastèque en ce sens que lorsqu'on sème après trois jours
sans pluie, l'on est contraint de resemer. L'autre methode d'irrigation est
celle par gravité qui consiste à élargir le sommet des
bions afin de retenir de l'eau et la stabiliser. Donc l'obtention de la
méthode d'irrigation par aspersion à travers le motopompe et par
gravité restent meilleures pour certains agriculteurs. La franche de 29%
des paysans pensent l'irrigation par aspersion et par gravité ne sont
pas fiable en raison de la distance de la parcelle par rapport à un
cours d'eaux.
Source : Cliché Peteptiatsop Udice, 9 mars
2019 à 8 h.
Planche 2 : Irrigation à
Barfack
Il ressort de la planche 2 que nombreux sont les paysans qui
optent pour l'irrigation par aspersion à travers les motopompes. Cette
photo fait reference au champ de tomates et d'aubergines. En effet dans le
temps cet irrigation favorise une bonne croissance de la plante en saison
sèche mais aussi au les mois de Mars et Avril de la saison
sèche
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