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Troubles envahissants du développement chez un enfant : quelles répercussions pour sa famille ?( Télécharger le fichier original )par Gaëlle LE MILLER IRFFE - Assistante de service social 2015 |
CHAPITRE1Handicap : Répercussions importantes Dans ce chapitre, il m'a paru nécessaire de définir le terme handicap et de préciser son origine ainsi que l'évolution législative. Puis, je mentionnerai les différents types de handicap et leurs conséquences sur la vie. Ensuite, je présenterai la notion de l'annonce du handicap. Enfin, je conclurai cette partie en évoquant le deuil de l'enfant idéal en traitant de la représentation du handicap. 1.1 Genèse du terme handicap permettant de donner une définition
certains conservateurs, de permettre au peuple, par le moyen de l'apprentissage de la lecture, de l'écriture, [...], d'accéder à la civilisation, aux vertus, [...], et au bonheur pour tous» 2. Avec l'apprentissage scolaire, les personnes étaient insérées dans la société. Nous différencions l'infirmitéphysique de la folie. En 1778, l'Abbéde l'Epée permet l'apprentissage des signes mimiques et ouvre un premier institut
Gaëlle Le Miller Formation ASS pour les sourds et muets. En 1785, grâce à Valentin Haûy, les enfants aveugles bénéficient d'une éducation gratuite.
8 nement passe d'un devoir d'assistanat à une reconnaissance d'un droit de réparation. Ainsi, en 1909, les enfants handicapés bénéficient d'une éducation grâce à des classes de perfectionnements. Elles leur permettent d'apprendre afin de gagner leurs vies et ne pas tomber dans la délinquance. Après la Première Guerre Mondiale (1914-1918), la question du handicap se pose et le terme infirme devient invalide afin d'être moins dévalorisant. Avec la loi du 17 avril 1916, des emplois sont réservés aux victimes de guerre dans les établissements publics. Elle est réformée en 1923 permettant de reclasser socialement un million d'invalides et 600 000 veuves.3 La Loi du 26 avril 1924 relative à l'em-ploi obligatoire des mutilés de la Guerre est promulguée. Les entreprises privées, avec plus de dix salariés, ont une obligation d'employer une catégorie particulière de travailleurs, dans la limite de 10 % de son personnel. 4 Pour celles qui ne respectent pas la loi, «une redevance est instituée pour d'efaut d'embauche de mutilés de guerre» 5. Suite à la Seconde Guerre Mondiale en 1945, la SécuritéSociale est créée. Ainsi, l'article 22 de la déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 énonce : «Toute personne, [...], a droit à la sécuritésociale; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa di- gnitéet au libre développement de sa personnalité, grâce à l'effort national et àla coopération internationale, compte tenu de l'organisation et des ressources de
Gaëlle Le Miller Formation ASS 9 chaque pays» 6. Mais la notion de handicap sera utilisée réellement avec l'associa-tion du terme «travailleur» qu'en 19577. Les milieux associatifs et professionnels spécialisés ont un rôle dans cette évolution, avec pour volontéd'éviter les mots aux caractères péjoratifs et dévalorisants. Face à ces deux guerres de nombreuses personnes se sont trouvées handicapées. Àpartir du milieu du XX`eme, de nombreuses lois sont instaurées permettant leurs in- tégration. Comme nous l'avons démontré«deux phéenomènes historiques ont influencée l'intéerêt portée par les gouvernements et la chose publique aux invalides: les guerres et le travail » 8. En 1975, deux lois ont vu le jour : la Loi 75-535 du 30 juin 1975 relative aux institutions sociales et médico-sociales et la Loi 75-534 du 30 juin 1975 d'orientation en faveur des personnes handicapées. La notion de handicap prend de l'importance dans la sociétéet d'autres lois sont promulguées comme la loi n? 87-517 du 10 juillet 1987 en faveur de l'emploi des travailleurs handicapés ou encore celle du 11 Février 2005 pour l'égalitédes droits et des chances, la participation et la citoyennetédes personnes handicapées. Le terme handicap a donc remplacéles termes d'«infirme, idiot, invalide, débile . . .». L'Assemblée générale des Nations Unies adopte en 1975 la Déclaration des droits des personnes handicapées. Elle donne une première définition : «toute personne dans l'incapacitée d'assurer par elle-même tout ou partie des néecessitées d'une vie individuelle ou sociale normale, du fait d'une déeficience, congéenitale ou non, de ses capacitées physiques ou mentales.» 9 En 1980, l'Organisation Mondiale de la Santéassocie le mot «handicap» à une incapacité. Elle donne la définition suivante: «un problème dans une fonction ou une structure de l'organisme; une limitation de l'activitée est une difficultée rencontréee par un sujet pour exéecuter une tâche ou une action; une restriction à la participation est un problème empêchant le sujet de s'engager pleinement dans les situations de la vie courante ». L'OMS a adoptéune classification internationale des Déficiences, Incapacités et Handicaps appelée en France : Classification Internationale des Handicaps. Elle se fonde sur les conséquences «dues à une incapacitée provoquéee par un accident de la
de travailleur handicapé8. Rabischong P., Le handicap, Ed. PUF, Coll. «Que sais-je?», Paris, 2012, p. 52. 9. Calin Daniel. Psychologie, éducation & enseignement spécialisé[en ligne]. Disponible sur : http :// dcalin.fr/internat/declaration droits personnes handicapees.html [Consultéle 15.07.14] Gaëlle Le Miller Formation ASS 10 vie ou une maladie» 10. Les termes suivants apparaissent :
Elle définit le handicap comme la conséquence des déficiences et/ou des incapacités. En 2002, la CIH est remplacée par la Classification Internationale du Fonctionnement, du handicap et de la santédonnant une dimension plus sociale au handicap. La définition du handicap prenait en considération la notion de déficiences mettant de côtéle contexte social. La notion de personne handicapée était négative. Aujour-d'hui, elle est définie, en France, par la loi du 11 février 2005 pour l'égalitédes droits et des chances, la participation et la citoyennetédes personnes handicapées : «Constitue un handicap, [...], toute limitation d'activitée ou restriction de participation à la vie en sociéetée subie dans son environnement par une personne en raison d'une altéeration substantielle, durable ou déenitive d'une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d'un polyhandicap ou d'un trouble de santée invalidant». Cette loi apporte donc des aides mais elle aborde également la notion de citoyenneté(citoyen) et donc de participation. Cela permet de définir les personnes qui ont un handicap quel qu'il soit. Par différents événements historiques et législatifs, nous observons une évolution du terme handicap. Nous parlons désormais de personne en «situation de handicap» et non plus de «personne handicapée» et encore moins «d'infirme». L'environnement a une importance dans la création du handicap. Même si certaines activités peuvent être restreintes, d'autres ne sont pas interdites. Une personne est «handicapée pour» réaliser une tâche. Cela est donc plus significatif du fonctionnement de la personne dans la sociétéque de dire qu'elle est «handicapée par» tels ou tels déficits. Nous devons chercher comment travailler avec la personne déficiente comme par exemple chercher àcommuniquer avec une personne ayant une déficience auditive, plutôt que de chercher
Gaëlle Le Miller Formation ASS 11 les causes de sa déficience. Le handicap est une notion complexe nécessitant d'être encadrée par des lois. Cette notion a évoluéavec l'histoire afin prenant en compte aujourd'hui la personne en situation de handicap à part entière. 1.2 Le handicap encadrépar une législation 1.2.1 Les lois n? 75-534 et 75-535 du 30 Juin 1975 La loi n? 75-534 du 30 Juin 1975 concernant l'orientation en faveur des personnes handicapées est la première loi importante concernant les droits des personnes handicapées. Elle a permis la prise en charge des personnes handicapées. Elle n'est plus basée sur le principe d'assistanat mais repose sur la solidarité. Elle affirme que : «la prévention et le dépistage des handicaps, les soins, l'éducation, la formation et l'orientation professionnelle, l'emploi, la garantie d'un minimum de ressources, l'in-tégration sociale et l'accès aux sports et aux loisirs du mineur et de l'adulte handicapés physiques, sensoriels ou mentaux constituent une obligation nationale» 14. De ce fait, différents acteurs s'associent (comme la famille, l'État, les entreprises publiques et privées...) pour réaliser cette obligation afin «d'assurer aux personnes handicapées toute l'autonomie dont elles sont capables.» 15 Elle privilégie «chaque fois que les aptitudes des personnes handicapées et de leur milieu familial le permettent, l'accès du mineur et de l'adulte handicapés aux institutions ouvertes à l'ensemble de la population et leur maintien dans un cadre ordinaire de travail et de vie» 16. Grâce à cette loi, la personne handicapée est aidée afin de couvrir la totalitéde ses besoins de la vie courante grâce à un minimum de ressources (l'Allocation Compensatrice Tierce Personne attribuée à toute personne ayant besoin d'aide pour les gestes essentiels de la vie quotidienne, ainsi que l'Allocation aux Adulte Handicapéou encore l'Allocation d'Éducation Spéciale 17). Ces prestations sont définies par les Commission Départementale de l'Éducation Spéciale pour les enfants et Commission Technique d'Orientation et de Reclassement Professionnelle pour les adultes. Chaque département possède ces commissions définissant le taux d'incapacité, proposant une orientation vers les établissements les plus appropriés à la situation et/ou déterminent si leur état justifie l'attribution d'alloca-tions.
Gaëlle Le Miller Formation ASS 12 La loi n? 75-535 du 30 Juin 1975 relative aux institutions sociales et médico-sociales définit les dispositions visant la coordination des institutions sociales et médico-sociales. Elles permettent, en partie, de18 :
1.2.2 La loi n? 2005-102 du 11 Février 2005
Gaëlle Le Miller Formation ASS 13 qu'ils soient la propriétéde personnes privées ou publiques, des établissements recevant du public, des installations ouvertes au public et des lieux de travail doivent être tels que ces locaux et installations soient accessibles à tous, et notamment aux personnes handicapées, quel que soit le type de handicap, notamment physique, sensoriel, cognitif, mental ou psychique.» 21. La loi permet donc de fixer des objectifs précis et le délai pour les respecter sous peine de sanction si les conditions ne sont pas respectées.
Un enfant, qu'il soit en situation de handicap ou non, a la droit à la scolarisation en milieu ordinaire en fonction de son degréde handicap. En effet, la loi énonce : «le droit pour chacun à une scolarisation en milieu ordinaire au plus près de son domicile, à un parcours scolaire continu et adapté» 23. La MDPH joue un rôle important dans l'orientation des enfants, elle désigne l'établissement le plus adaptépour ce dernier en fonction de son handicap. Ainsi, ces enfants peuvent soit être scolarisés en milieu ordinaire avec des aides adaptées ou être accueillis dans des établissements spécialisés. Le droit à la scolarisation est réaffirmépar la loi, mais pour les familles c'est com-pliquécar elles rencontrent des difficultés. Les établissements demandent de l'aide pour
Gaëlle Le Miller Formation ASS 14 accueillir ces enfants. L'Auxiliaire de Vie Scolaire est une valeur ajoutée. Il y a une relation entre elle et l'enfant mais également avec les parents. Pourtant, de nombreux enfants ne sont pas scolarisés faute et/ou d'organisation de poste de d'AVS. Mme N. énonce avoir fait appel à un professionnel (avocat) pour faire valoir ses droits. Mais certains enfants n'ont pas de notification de la MDPH pour obtenir l'aide d'une AVS. Ces enfants se voient refuser l'accès à l'établissement («Concernant la scolarisation de ma fille, j'ai dàu faire appel à une avocate afin d'avoir une AVS comme pouvait le stipuler la notification MDPH. Il y a très peu d'AVS. Dans le cas oùla notification accorde une scolarisation sans AVS, des écoles refusent donc de les accueillir.». Et pour Mme L. «les professeurs peu formés au handicap.») Un enfant souffrant de TED demande plus d'attention pour l'enseignant. De nombreux enfants sont scolarisés à temps par- tiel. Les parents rencontrent donc quelques difficultés. Le fils de Mme D. est scolarisétrois demi-journées par semaine, elle énonce : «je me dois de mon côtél'aider dans son apprentissage afin qu'il continue à avancer et lui permettre de progresser. Je n'ai pas forcément les outils, la patience et les clés, disons, pour l'aider à avancer et à progres- ser. C'est donc juste à ce niveau-làque cela reste compliquépuisque je n'arrive pas àle faire travailler» et ceci afin de permettre à son fils de continuer de progresser. De plus, selon Mme C. «l'école permet la socialisation.» Lorsque la scolarisation n'est possible et que la prise en charge pour leur enfant ne leur convient plus, les familles doivent trouver une autre alternative, les IME. Cependant, la réalitéde terrain en France est une difficultépour les parents. Il y a peu de structures, les établissements ont une longue liste d'attente. Les familles doivent donc faire le choix difficile : orienter leur enfant vers l'étranger. Ce n'est pas une décision facile, car il y a l'éloignement qui peut être vécu comme une sorte d'abandon. Mme C. est la seule mère à avoir pris cette décision car la prise en charge que son fils était arrivée à échéance. Elle énonce «la nécessitéde trouver une solution pour mon fils car la vie à la maison n'était plus possible. Il est nécessaire que nous sachions nos limites. Il vaut mieux avoir un sentiment d'abandon (prise en charge de notre enfant au sein d'un internat) plutôt que d'arriver à des extrêmes». La loi de 2005 a permis de renforcer les droits des personnes en situation de handicap mais les parents rencontrent des difficultés à les faire valoir. Avant que les démarches ne soient effectuées auprès de la MDPH, il est nécessaire d'effectuer l'annonce du handicap à la personne ou aux parents pour un enfant après que l'origine et le type de handicap soit diagnostiqué. Gaëlle Le Miller Formation ASS 15 1.3 Le handicap, sous différentes formes, a des conséquences sur la vie De manière synthétique, nous allons
définir les différents types de handicap24 : loppement mental ou un développement mental incomplet, caractérisépar une insuffisance des facultés et du niveau global d'intelligence, notamment au niveau des fonctions cognitives, du langage, de la motricitéet des performances sociales». Il comprend le handicap psychique et les personnes atteintes de Troubles Envahissants du Développement. Il touche 1 à 3% de la population en France. Les TED sont «des troubles caractérisés par des altérations qualitatives des interactions sociales réciproques et des modalités de communication, ainsi que par un répertoire d'intérêts et d'activités restreint, stéréotypéet répétitif. Ces anomalies constituent une caractéristique envahissante du fonctionnement du sujet, en toutes situations.» 25 Les TED ne sont plus une maladie mais sont maintenant reconnus comme un handicap. Ainsi, ils entrent dans la classification du handicap mental d'après la Classification statistique Internationale des Maladies et des problèmes de santéconnexes, 10`eme révision définie par la Haute Autoritéde Santé, ils font partie des troubles mentaux et du comportement. La CIM-10 permet ainsi de classer les TED par catégorie. L'autisme est l'une des catégories. Cependant, depuis 2013, dans le Manuel Diagnostique et Statistique des troubles Mentaux 526 nous ne parlons plus TED mais de Troubles du Spectre Autistique. En effet, le DSM-5 définit une seule catégorie de diagnostic pour caractériser l'autisme. Les TSA regroupent désormais : les troubles autistiques, le syndrome d'Asperger et les Troubles Envahissants du Développement non spécifié.(Cf. Annexe V27) Le handicap Psychique est la conséquence de diverses maladies : les psychoses, et en particulier la schizophrénie (dédoublement de la personnalité, hallucinations auditives, délires paranoïaques); le trouble bipolaire (trouble maniaco-dépressif);
Gaëlle Le Miller Formation ASS 16 certains troubles névrotiques graves comme les Troubles Obsessionnels Compulsifs. Selon P. Rabischong, ce handicap touche 3,4 millions de personnes28 en France. Cependant, le handicap psychique et les personnes souffrant de TED peuvent aussi être considérés comme une catégorie de handicap à part entière.
Le Polyhandicap est un handicap grave à expressions multiples, dans lequel une déficience mentale sévère et une déficience motrice sont associées à la même cause, entraînant une restriction extrême de l'autonomie. Le Plurihandicap est l'association d'atteintes motrices et/ou sensorielles de même degré, ce qui ne permet pas de déceler l'une plutôt que l'autre en déficience principale. Le Surhandicap est l'aggravation d'un handicap existant du fait des problèmes relationnels qu'il provoque. Ainsi, chez l'enfant, des handicaps sensoriels ou intellectuels peuvent altérer le développement psychique.
Gaëlle Le Miller Formation ASS 17 De ce fait, le handicap est différent de la déficience. C'est la conséquence de l'inca-pacitéqu'elle engendre et des répercussions sur le vécu de la personne, plus particulièrement sur sa relation aux autres. 1.3.2 Handicap conséquence sur la vie Le handicap est une particularitéde l'être humain qui est visible ou non. Cela fait de lui, un être différent de nous «normaux». Lorsqu'il est visible, cela renvoie à un «stigmate», c'est un indicateur qui nous permet de classer socialement une personne que nous rencontrons. Nous classons toutes les personnes que nous rencontrons, nous les mettons «dans une sorte de catégorie mentale.» 30 Nous pouvons anticiper notre interaction avec la personne. Nous utilisons des repères sociaux provenant de nos normes culturelles. Quand nous stigmatisons une personne, nous avons une tendance à lui attribuer un ensemble d'incapacités. Par exemple, nous pouvons crier aux oreilles d'une personne aveugle comme si elle était sourde (...). Nous pouvons avoir tendance à associer une diminution des capacités motrices, ou visuelles ou encore auditives, à une diminution des capacités intellectuelles. Par exemple, quand nous rencontrons une personne atteinte d'une InfirmitéMotrice Cérébrale, nous pouvons croire qu'en raison de ses difficultés d'élocution, qu'elle souffre d'une déficience intellectuelle. Toutefois, nous devons prendre le temps de l'écouter et d'interagir avec elle afin de faire tomber cette représentation qui peut être fausse et ainsi pouvoir échanger avec elle mais d'une manière adaptée. La différence que nous portons à une personne, nous amène à donner des stéréotypes comme la vulnérabilité, la faiblesse (...). Certains stéréotypes sont positifs comme par exemple une personne malvoyante disposerait d'un odorat hypersensible pour compenser le handicap. Finalement, nous mettons de la distance face à une personne différente de nous et nous ne cherchons pas nos ressemblances. En effet, nous restons sur nos propres concepts de la normalitéet de la santé. De ce fait, lorsque que nous pouvons associer le terme handicap à d'autres termes comme: «handicapédonc fragile», ou «handicapédonc dangereux», cela nous conduit à l'exclusion des personnes handicapées, sous prétexte de nous protéger. 30. Chanrion Aurore. Une Souris Verte... pour la Courte Echelle. Formation A.V.S. [en ligne]. Septembre 2006. Disponible au format PDF sur Internet : http :// www2.ac-lyon.fr/etab/ien/rhone/ash/IMG/pdf/La notion de haS- forma AVS.pdf [ Consultéle 25.07.14] Gaëlle Le Miller Formation ASS 18 La vie au quotidien avec un enfant handicapépeut donc être difficile et engendrer des modifications à l'organisation familiale.
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