Annexes
MOTS-CLEFS
Relations Homme / faune sauvage ; ethnozoologie ;
Conservation ; Gabon ; Bakota.
RESUME
Cette étude donne un aperçu
général des utilisations socioculturelles de la faune sauvage
chez les Bakota de la région de Makokou. Le but est de compléter
les données déjà existantes sur l'importance de la faune
d'un point de vu alimentaire et économique, mais également, de
servir dans les programmes de conservation qui souhaitent développer la
gestion « participative ». L'enquête de terrain s'est
déroulée pendant 3 mois auprès des populations Ikota,
Mahongwé et Samaye, et financée par le CIFOR et l'IRET.
Les résultats montrent que les utilisations
socioculturelles, malgré leurs disparitions progressives, sont encore
présentes chez les Bakota, particulièrement dans toutes les
pratiques magico-religieuses ; l'unité du groupe passe
principalement par leur identification à la Panthère.
KEY WORDS
Relations Men / Wild life ; ethnozoology ; conservation
; Gabon ; Bakota
ABSTRACT
This study gives a general view of the sociocultural uses of
wildlife in the Bakota society scattered in the Makokou region. The goal is to
complete datas on the food and economic wild life's importance and, also, to be
used by conservation's programs which want to expand participative management.
This field investigation took place during 3 monthes among Ikota,
Mahongwé and Samaye population, and has been financing by the CIFOR and
the IRET.
The study's results show that sociocultural uses, despite
their progressive disparition, are still alive, particulary in the
magico-religious practices; the Bakota's unity is mainly the fact that the
Panthere remains for all of them a symbol of identification.
Remerciements
Je tiens à remercier ici tous ceux qui m'ont
aidé dans ce travail et en particulier :
Mr Pierre Grenand, chercheur à l'IRD et mon directeur
de recherche, pour m'avoir aidé dans la rédaction de ce
mémoire ;
Mme Françoise Grenand et Mme Florence Pinton, pour
avoir accepté de faire partie de mon jury ;
Mr Joseph Okouyi Okouyi, référant national de la
station d'Ipassa-Makokou et maître de stage, pour son aide pour
définir mon sujet de recherche, son soutien lors de mon séjour au
Gabon et de nous avoir, à mes collègues et moi-même,
trouvé des financements ;
Le CIFOR et l'IRET-CENAREST pour leur soutien financier et
logistique ; et tout particulièrement Mr Robert Nasi (CIFOR), Mr
Philippe Hecketsweiler (directeur du projet de réhabilitation de la
station d'Ipassa, CIFOR/IRET-CENAREST) et Mr Paul Posso (Directeur de
l'IRET);
Mr Guy Mpion alias papa Guy, gérant de la
station d'Ipassa, pour nous avoir soutenu et supporté pendant ces trois
mois de stage ;
Mr Jean-François Mékomba, technicien à la
station, qui fut mon compagnon lors de mes enquêtes à Makokou et
dans les villages, et sans qui ce mémoire n'aurait jamais pu voir le
jour ;
Tous les techniciens de la station d'Ipassa-Makokou pour leur
soutien, leur aide et leur bonne humeur ;
Mes partenaires de galère : Marion, Jean-Bruno,
Ariane, Nathalie, Federico, avec qui j'ai partagé des moments
formidables et des beuveries mémorables ;
A tous mes informateurs et tous les villageois qui ont eu la
gentillesse de me recevoir et de répondre à mes
questions ;
Mes amies du Sud et ceux de ma promo qui m'ont
évité une grosse déprime lors de la
rédaction ;
Et bien sur, Papa, Maman et mon chat Bambou... ça y
est, maintenant, c'est promis, j'arrête les études...enfin,
pendant un moment, en tout cas !
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