13. Conclusions générales.
Partie quantitative:
En terme de réalisation:
- Nous avons atteint l'objectif que nous nous étions
fixé.
- Les utilisateurs sont satisfaits et le prototype correspond
aux besoins exprimés. - Le prototype a été implanté
sur cinq sites de test en Angola.
Toutefois, certains travaux restent à faire:
- Valider les données du prototype sur plusieurs mois.
- Finaliser la version du programme afin de la faire
correspondre aux normes de développement et d'installation du groupe.
Compléter la documentation du programme. A l'issue de cette
étape, créer la version de production initiale 1.0.
- Créer les documentations pour inclure ce rapport dans
les manuels de Maximo.
- Même si les utilisateurs sont satisfaits, rien n'indique
pourtant que les données fournies
puissent être utilisées avec
bénéfice pour le suivi de la maintenance. Il nous faudra
suivre
les comptes rendus des utilisateurs dans les mois à
suivre pour avoir une idée plus précise
de la situation.
- Le fichier source du programme et sa documentation ont
été envoyées au siège de Houston, mais le produit
n'a pas encore eu d'approbation définitive à l'écriture de
ce document.
Ce produit reste une création locale et ne pourra
être utilisé officiellement qu'après réception de
l'accord officiel du siège social.
Partie qualitative:
Nous avons examiné plusieurs méthodes d'analyse
qualitative des rapports de maintenance. Aucune de ces méthodes n'a
donné de résultats utilisables d'une façon sure pour les
raisons suivantes:
- La saisie des données de maintenance n'est pas assez
contraignante pour donner des informations fiables.
- Il n'existe pas de catégorisation des
équipements.
- Il n'existe pas de catégorisation des
défaillances. Les données de défaillance sont
stockées sous forme de texte libre inutilisable pour une analyse
automatique.
Tant que ces problèmes ne seront pas résolus, il
serait illusoire de vouloir obtenir d'autres informations que quantitatives
à partir des données de Maximo sans retraitement manuel. Les
méthodes statistiques examinées ne sauraient dans tous les cas
être mises en place sans une formation adéquate aux
problèmes de la fiabilité des équipements. Leur
interprétation reste complexe et ne pourra être faite que par un
nombre restreint de personnes au siège social ou sur les bases
importantes. Les conséquences des décisions prises avec ce type
d'outils devront être examinées sur des sélections
d'équipements bien maîtrisés avant d'être
généralisées.
Dans notre environnement, il serait préférable
d'utiliser des outils de type Powerplay permettant aux utilisateurs d'extraire
des données sous différents formats sans recours au service
informatique du siège. Nous recommandons les analyses de type Pareto qui
paraissent les plus accessibles et les plus faciles à
interpréter.
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