Le développement personnel, un levier à l’évolution du leadership fémininpar Nawel Haddad my business school - MBA MANAMENT BUSINESS 2021 |
BIBLIOGRAPHIE
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52 ANNEXES INTERVIEWS
Parlez-moi de votre enfance Sonja ... J'ai appris, très jeune, la valeur d'un dollar et à quel point un travail acharné est absolument nécessaire pour contrôler son propre destin. J'ai aussi appris plus tard que le travail acharné n'était pas tout ce qui comptait - avoir quelqu'un qui croyait en vous était essentiel. Mes parents croyaient en moi, même si je n'en étais pas si sûr moi-même. Ils ont dit que je pouvais tout faire tant que j'y pensais. En raison de leur croyance en moi, j'ai pu voler. Comment êtes-vous arrivé à vous lancer ? J'ai rejoint une société de capital-risque dès la sortie de l'université. Je croyais pouvoir le faire et je l'ai fait. À cette époque, ma profession comptait moins de 10% de femmes et presque aucune personne de couleur. Des statistiques similaires existent encore aujourd'hui. J'ai excellé dans ma carrière - étant toujours la seule femme - à investir dans des idées qui sont devenues des entreprises d'un milliard de dollars. Pendant les 22 premières années de ma carrière, je n'ai pas cherché de discrimination peut-être par peur de la trouver. Comment le concept du " leadership féminin" a-t-il émergé dans ton esprit ? à quel moment exactement ? En 2008, j'ai reçu un diagnostic de cancer du sein triple négatif et je suis devenue mère pour la première fois. L'incertitude de la vie était difficile - chimio, radiothérapie et un nouveau bébé. En même temps, j'avais une famille solidaire, une excellente assurance maladie et un emploi qui m'attendait. J'étais reconnaissant mais toujours en difficulté. J'ai commencé à me demander : « Si la vie est si difficile pour moi, que doit-elle être pour tant d'autres femmes avec beaucoup moins ?» Avec cette pensée, je suis devenue féministe du jour au lendemain et j'ai consacré ma vie à amener des femmes et des filles, de toutes races et origines, avec moi. Je me suis demandé : « Si je ne fais pas ça, qui le fera ?» Fais-tu partie d'un club , une association caritative dédiée aux femmes ? J'ai rejoint Women Moving Millions parce que j'ai trouvé des esprits semblables chez ses membres. Si, en tant que femmes dotées de ressources et de pouvoir, nous n'allons pas à la hauteur de notre argent et de notre voix, qui le fera ? Women Moving Millions fait le travail acharné de sensibilisation aux problèmes auxquels sont confrontées les femmes et les filles. Aujourd'hui, seulement 1 dollar sur 10 dollars philanthropiques est consacré aux problèmes des femmes. Nous changeons tout le monde, un dollar, une femme et une fille à la fois. Comme Gandhi, je dis toujours : « Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde.» Women Moving Millions est ce changement. Enfin, en tant que fondatrice, parlez-moi de La mission du « Project Glimmer » , pensez-vous que les femmes entrepreneurs peuvent réussir à changer le monde de nos jours ? Notre mission est d'aider chaque fille à imaginer et à réaliser son avenir plein de pouvoir. il permet de renforcer la confiance en soi, tout en utilisant du développement personnel, de faire en sorte de mettre en avant les softs skills , pour lesquelles les femmes sont de plus en plus douées. oui bien sur je pense que les femmes d'aujourd'hui peuvent inspirer, influencer, surtout si leurs expériences passées ont étaient atypiques. je crois que les communautés ne fonctionnent que si tout le monde y participe et les clubs, les réseaux sont des atouts indispensables à la réussite de la femme au sein de la société 53 Interview : Sarah Yakan Femme d'influence Fondatrice du Magazine femme d'influence, Un contenu de qualité qui évoque les 5 sources fondamentales de la femme et du leadership féminin : Famille, argent, carrière, religion et succès Parlez-moi de votre parcours professionnel, comment avais vous eut l'idée de créer ce magazine de femme d'influence qui a tant changé la mentalité des femmes de nos jours ! J'ai commencé par un BTS communication sans avoir eu l'opportunité de travailler dans ce qui me plait réellement, le journalisme ! cependant j'ai pu effectuer des stages dans des rédactions de magazines féminins, grâce à cela j'ai pu me former directement et pu observer ce que les femmes cherchaient dans ces magazines, leurs besoins, leurs peurs, leurs motivations. J'ai toujours eu envie depuis le jeune âge de créer mon propre magazine, depuis l'enfance j'ai était inspiré par les magazines people, lire, apprendre, m'instruire, admirer la mise en page, le format .... C'était ma passion Quelles ont était votre motivation envers ces femmes ... Mon désir était de faire connaitre le développement personnel à toute type de femme en France, je voulais un média qui parlait à la femme Lambda, moins intellectuelle, qui toucherait plutôt leur coté émotionnels et psychiques. C'etait vraiment la femme que je voulais voir au centre de l'attention, elle ainsi que tout son environnement ? Je connais cette cible, j'ai etait comme elles et j'ai fréquenter comme elles, je connais leurs centres d'intérêt, leur quotidien, les motivations et leur spiritualité. Combiner l'argent, le pouvoir, la spiritualité et le développement personnel avec cette femme qui souhaite une vie familiale rangée. N'est-il pas problématique ? Les femmes insistent sur la pensée féministe et la pensée indépendante, mais insistent sur les valeurs et la construction familiale traditionnelle. Ils concilient cela par eux-mêmes. Cela semble contradictoire car ils semblent divisés entre les deux. En fait, je pense que nous voulons tous avoir les avantages des deux, sans avoir à faire face à ce que nous pensons être leurs inconvénients. Avez-vous prévu ce succès pour Femme d'influence ? Je savais que cela allait plaire mais pas à ce point, plus les audiences augmentaient plus j'ai souhaité proposer des offres complémentaires afin de suivre et accompagner cette communauté. J'ai donc créer des séminaires, des conférences, des abonnements, des concours, du coaching ... et j'en suis fière Qu'avez-vous à dire à ces femmes qui souhaitent se lancer et devenir des femme entrepreneur, qu'avez-vous à leur dire pour avoir ce leadership en eux !? Avant de vous lancer, former vous, travailler ou effectuer des stages dans des entreprises dans lesquelles vous souhaitait apprendre quelque chose de spécifique, vous devez comprendre vos points forts et même points faibles, vous devez vous connaitre, savoir vos passions et laisser votre imagination faire le reste Tout en ayant confiance en soi !! c'est la clé, il faut commencer par cela si vous voulez réussir, car le métier d'entrepreneur n'est jamais rose, mais s'entourer des meilleurs, avoir un mental d'acier et une confiance en soi, cela booste énormément 54 FICHE DE LECTURE 1 Titre : Le travail, facteur de bien-être physique de la femme ? Auteur : Liesbeth Severne Edition : Les cahiers du GRIF Année 1976 11 pp. 65-68 Date de début de lecture : 04/01/2021 Date de fin de lecture : 04/01/2021 Type de lecture : Pourquoi ai-je décidé de lire ce livre / que va-t-il m'apporter a priori : Un article qui permet de comprendre la psychologie et le bien-être de la femme avant et après son travail, ce sujet m'intéresse car c'est le fondement de ma problématique, d'où le bien-être de la femme dans son poste Mon résumé : Le travail pour une femme durant nos jours représente un pouvoir de plus en plus important pour la femme, d'où la nécessité de dépasser tous les stéréotypes et le sexisme de la femme au foyer et qui es inférieur à l'homme, l'article montre à quel point une femme devient épanouie et éprouve une vie plus inspirante si elle choisit elle moi son domaine d'activité. Cependant si la femme est obligée d'exercer un domaine à contre coeur afin de nourrir une femme ou subvenir aux besoins de sa femme, la satisfaction personnelle n'est pas la même. Également, il nous explique l'importance de rester indulgent avec les femmes qui travaillent durant ou après la ménopause, ces dernières car cette période n'est qu'un passage et leur carrière professionnelle pourra rebondir plus positivement que prévu. Enfin l'article explique qu'une femme à de plus en besoin d'avoir un cadre social actif, cela lui permet d'éviter l'isolement, lui donne une indépendance " face à l'homme et aux enfants " mais surtout une meilleure confiance en elle. Or le travail dans la femme d'une femme représente dans doute un facteur de santé Commentaire critique : Un échantillon assez conséquent car il rassemble les classes sociales mais également le rôle social de la femme, on constate que les femmes qui occupe un travail représente un taux de nervosité moins important que les femmes qui sont au foyer et qui ont des enfants. Aussi on constate que plus le travail de la femme est passionnant plus elle trouve du plaisir et de l'épanouissement. 55 FICHE DE LECTURE 2 |
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