2) Langage non
littéral
Selon Sperber et Wilson, le discours non littéral est
très fréquent. Un locuteur qui exprime sa pensée de
façon indirecte produit « un énoncé qui exprime
une proposition voisine de celle qui représente la pensée qu'il
veut communiquer, mais qui offre suffisamment de ressemblance avec cette
pensée pour avoir avec elle au moins une implication contextuelle
commune. » (Bracops, p.128). Le locuteur qui choisit de s'exprimer
par un acte indirect pense que c'est le moyen le plus adapté pour
transmettre à l'interlocuteur sa pensée.
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