Chapitre II. DESCRIPTION DE LA ROUTE POIDS LOURDS
II. 1. HISTORIQUE DE LA ROUTE POIDS LOURDS
Selon le dictionnaire le mot
historique signifie qui appartient à l'histoire vérité
historique. Dont l'histoire fait mention, fait histoire sur les quels on
possède des relations écrites. Aux temps fabuleux narration des
faits dans leur ordre chronologique, faite historique d'une science.
La route selon le dictionnaire signifie, la voix de
communication artificielle terrestre, possédant un revêtement dont
la résistance est suffisante pour le passage des véhicules, route
pavée voie suivie pour aller à un autre espace que parcourent les
astres, les cours d'eau: la route du soleil, faire fleuve grossi sur sa
route.
Ce qu'on suit pour arriver à un résultat. Faire
fausse route, s'écarter de sa route, s'égarer, et au code de la
route, ensemble des règlements prévus pour assurer la
sécurité et la liberté de la circulation des
véhicules sur la voie de communication, ainsi que la conservation de la
celles-ci.
Poids signifie ce qui pèse, qualité
d'un corps pesant, force exercée sur un corps par la pesanteur : le
poids de l'air, poids atomique d'un élément, poids
moléculaire d'un corps poids molécule-gramme de ce corps,
quotient du poids spécifique ou volumique d'un corps.
Morceau de métal d'un poids déterminé
servant à peser d'autres corps. Corps pesant suspendu aux chaînes
d'une horloge, pour lui donner le mouvement.
Lourds signifie ce qui pesant difficile à
porter, à remuer : lourds fardeau se dit de marchandises
pèsent plus d'une tonne au mètre cube.
Poids lourds, gros camion automobile.
Kinshasa et du Stanley pool au XIXe siècle. Sont
notamment déjà identifiés kitambo, lemba,
kalima, et le village de kinshasa.on remarque également le village de
kindolo (voir aéroport de ndolo).
L'Afrique centrale possède des traces
d'occupation humaine remontant au premier millénaire avant notre
ère. Les siècles précédent la colonisation voient
des peuples bantus s'installer dans la région du moyen et bas Congo,
précédemment exclusivement occupée par les
pygmées.
Différentes tribus et peuple
composent la nouvelle population. Au niveau du Pool Malabo, le trio
téké peuples à la rive droite (nord) du fleuve et des
peuples assimilés aux téké (humbu et mfinu) peuplent la
rive gauche (sud).
La région voit la traite d'esclave et le commerce
d'ivoire enrichir les peuples téké, alors érigé en
royaume.
Dès le XVIe au XVII e siècle,
la région du pool dévient une vraie plaque tournante entre le
bassin du fleuve et la région côtiers.
Des légumes des Amériques sont
aussi introduits à l'intérieur du continent grâce au
commerce et les esclaves, le plus souvent des vaincus dans différents
conflit partent vers Loango, l'embouchure du fleuve et au sud
du royaume kongo, au cours des XVII et XIXe siècles des
pécheurs et surtout des commerçants téké venus du
nord installent des marchés et des villages au sud du pool Malebo et sur
le plateau qu'on nommeras tard le plateau de Batéké.
Ces villages sont des colonies car les
téké se limitent à la pèche et au commerce.
Les tribus de la région, humbu et mfinu,
étaient considérées comme les propriétaires de ce
coté du fleuve.
Au fil du temps, les intérieur des collines.
Les principaux villages tékés de la rive sud
étaient nsasa avec prés de 5.000 habitants,
ntambo avec moins de 3.000 habitants.
Lemba, parmi une multitude des humbu était
la capitale marchande et politique des humbu, avec environ 3.000 habitants.
Les marchés du fleuve voyaient des caravanes
d'esclaves porteurs d'huiles, d'amandes, de palme, d'arachides, de
sésame et d'ivoire aller et venir.
Henry Morton Staley atteint pour la
première fois le site de la ville au niveau de ntambo
le 12/03/1881 lors de sa traversée d'est à l'ouest du
continent africain.
En 1881, il signale « traité de
l'amitié » avec un chef téké, ngaliema, obtenant
ainsi le droit d'établissement à l'emplacement de l'actuelle
commune de kitambo, sur les bords de la baie de ngaliema, et
il chargea le capitaine Charles-marie de braconnier d'y fonder un poste qu'il
baptisa plus tard Léopoldville en l'honneur de son commandant
Léopold II de Belgique.
Staley avait choisi l'endroit ou le fleuve Congo
devrait être navigable en direction de l'amont.
Le site spécieux et facile à défendre
était déjà peuplé de 66 villages antérieurs
à Stanley, celle-ci prés du hameau de Kinshasa (nshasa signifiant
« marché »), avec l'accord du chef nsuvila.
Ce village donna son nom aujourd'hui se trouve
le quartier des (kingabwa)
II. 1.1 .CAPITALE GRANDISSANTE
En 1929, hérita de la
fonction de centre administratif assumée jusque là par Boma, par
la mise en application de l'arrêté royal du 1er juillet 1923. A
cette époque, Léopold ville est confirmée aux communes des
Kitambo et de la Gombe actuelle communes de Kinshasa, de Barumbu et de
Lingwala.
Dans les années 1930, la majorité des logements
était pour les employés de la Chanic, la Filstisaf et L'utex
africa.
Léopold ville ne dévient juridiquement une ville
que le 25 juin 1941 (avec 5.000 hectares et 53.000 habitants) ; depuis
1923, elle était seulement un « district urbain ».
Par la même occasion, elle devient capitale de la colonie,
chef-lieu de la province du Congo Kasaï et du district du moyen-Congo.
Elle était divisée en deux zone : la zone
urbaine avec Léo II, ouest, kalina, Léo-I ou Léo-est, et
de ndolo ; et la zone indigène au sud.
La croissance de la ville commence en 1945 avec la fin du travail
forcé qui permet aux populations noires d'augmenter.
Arrivant alors de nombreux paysan de la campagne à la
recherche d'un emploie, s'entassant dans les cases de la zone
indigène.
La ville commence à se peupler majoritairement de Bakongo,
dans les années 1950, les cités planifiées de Lemba,
Matete, et une partie de N'djili furent aménagées pour loger les
employés de la zone industrielle de Limete.
Et comme Kinshasa était un village des Téké,
kingabwa aussi fut d'abord un village des autochtones Tékés, et
comme il était des commerçants et de pécheurs pour
transporter les ivoire qu'il vendait il est faut une route, vu
l'évolution de l'urbanisation vers les années 1954, l'Etat
colonial reconnaissait Kingabwa comme une zone annexe de
Léopoldville.
Comme la route était déjà
exploitée par les autochtones, les colonisateurs aussi à leurs
tours venaient exploiter la route pour leurs besoins et comme Liméte est
une commune industrielle il falle qu'il yait une route pour de poids lours.
Tout ça grâce à un blanc qu'on appelait
MUNDELENGULU qui habitait Kingabwa là où se trouve la poste de la
police waya-waya, c'est lui qui avait proposé aux blancs la
modernisation de cette route.
Cette route avait aussi été appelait BOBOZO qui
fut un générale, mais le nom qui ne durant pas pour redevenir
encore la route poids-lourds.
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