INTRODUCTION GENERALE
L'éclairage public de la route poids lourds est devenue
une discussion dans des milieux de plupart des citoyens qui utilisent cette
voie ceinture de la capitale.
I). PROBLEMATIQUE
Le problème de l'éclairage public de la route
poids lourds avait déjà trouvée solution avec
l'arrivée de la société MALT- FOREST, cette
société avait créée un réseau
d'éclairage public à partir de la gare centrale jusqu'au pont
MATETE.
Malheureusement aujourd'hui, tout a été rendu
à néant par la population même
bénéficière de la lumière de ce réseau.
Le problème qui se pose maintenant est celui
de :
1. l'assainisement de ce réseau d'éclairage
2. comment assurer la sécurité des installations au
regard du niveau de pauvreté de la population.
II). BUT ET INTERT DU SUJET
Le but poursuivi dans ce travail est celui de pouvoir assainir
l'éclairage public de la route poids lourds, et de montré
comment on peut implanté un réseau de l'éclairage avec
toute les condition de sécurité contre les antivaleur.
III). OBJECTF DU TRAVAIL
Nous allons dans le cadre de ce travail chercher à
redimensionner les équipements de l'installation pour l'éclairage
public de la route poids lourds.
Nous parlons du redimensionnement ici parce que l'ancienne
installation n'existe plus, il est question de ramener le réseau
d'éclairage public de la route poids lourds dans des conditions de bon
fonctionnement en toute sécurité.
IV). METHODOLOGIE DU TRAVAIL
Un travail scientifique doit se reposer sur un plan
méthodologique qui doit justifier sa fiabilité et sa
crédibilité.
Ainsi, pour l'élaboration de ce travail, les
méthodologies et techniques suivantes ont été
utilisées :
· documentaires
· interviews
· analytiques
V). SUBDIVISION DU TRAVAIL
Ce travail est subdivisé en 3 chapitres y compris une
conclusion dont à savoir :
· chapitre I : généralités sur
l'éclairage public
· chapitre II : description de la route poids lourds
· chapitre III : étude de l'assainisement de
l'éclairage public
CHAPITRE I. GENERALITES SUR L'ECLAIRAGE PUBLIC
I.1.0. NOTIONS DES PHOTOMETRIES
Il est difficile de
parler objectivement de l'éclairage sans parler de quelques notions
simples de photométrie qui est la science de la mesure de
l'intensité lumineuse.
Ses données de base sont
l'intensité, le flux lumineux, l'éclairement et la luminance, ces
quatre facteurs sont liés comme ceci : une source
d'éclairage artificielle, une lampe électrique rayonne dans
toutes les directions.
I.1. DEFINITION DE L'ECLAIRAGE
L'éclairage est une radiation émise par une
source lumineuse qui n'est pas perçue par l'oeil humain.
La sensibilité de l'oeil humain est uniquement au
rayonnement d'une certaine longueur d'onde qui varie entre 380 et 760 nm avec
une sensibilité maximum S=1.
Cette source peut être le soleil, les étoiles,
bois, bouse, le brasero.
Pour le rayonnement de longueur d'onde ë = 555nm.
L'éclairage nécessite la connaissance des
grandeurs photométriques qui servent à caractériser les
propriétés des sources lumineuses et leurs applications.
La puissance émise transformée ou reçue
sous forme de rayonnement est appelée flux énergétique qui
s'exprime en Watt ou en joule par seconde son symbole est Fe ou c.
Le flux lumineux est la grandeur caractéristique d'un
flux de rayonnement exprimant son aptitude à produire une sensation.
Son unité est le lumen (lm).
Son symbole :, le flux lumineux c'est aussi la grandeur
qui précise la quantité de lumière émise par une
source dans un certain cône qui tombe sur une surface. =E.S ou
=1.Ù ou S=1 [I. 1]
L'éclairage est mesuré avec le photomètre
ou lumen mètre.
Bien s'éclairer, c'est mettre en oeuvre un ensemble
d'éléments ou d'équipement nécessaire qui donne
à l'oeil des conditions de travail optima parmi ces
éléments, on peut relever :
- l'absence d'éblouissement
- un niveau des luminances
- le dosage des luminances
- le choix des couleurs
I.1.2.Caractéristique d'une radiation.
Une radiation est
caractérisée par la fréquence (f) et la période
T.
i
T= -- [I,
2]
F
Ou i = radiation.
De la vitesse de propagation V qui comme
(300.000km/s). On en déduit la longueur d'onde ë
v
ë = --
[I, 3]
f
la période s'évalue en seconde (s), la
fréquence en Hertz (Hz) ou en période par seconde.
La longueur d'onde toujours très petite s'évalue en
sous multiple du mètre (1A0 =10-10m)
I.1.3. Eclairement
L'éclairage, en un point
à éclairer, est le quotient du flux lumineux émis par la
surface éclairée : E=ø /S. [I,
4]
E en lux
Lx ; ø en lumen.
Lm ; s en mètre
carré :(m2).
- L'angle formé par la surface éclairée
et la direction de la surface.
- Le carré de la distance entre la source et la surface
éclairée.
Tableau I. 1
Valeurs d'éclairement
|
Pleine soleil jusqu'à 100.000lux
|
Prés d'une fenêtre par temps couvert 1000 à
3000 lux
|
Pleine lune dans un ciel claire : 0,25lux
|
I.1.4.Projet d'éclairement simplifié
Indice du local et
rapport de suspension.
Si la pièce étudiée
est de forme rectangulaire et que le rapport de deux cotés reste
inférieur à 3, l'indice du local se détermine
par :
k= (ab) / h (a+b)
[I, 5]
a : longueur du local
b : largeur du local
h : hauteur des luminaires par rapport au plan utile.
La destination de ce local, en fonction
de l'activité prévue sur le plan utile, détermine le
niveau d'éclairement souhaité conforme aux recommandations
ci-dessous.
Le rapport de suspension tient compte de
la position du plan de fixation des sources lumineuses. J=h' / (h+h').
[I, 6]
h : distance des appareils par rapport au plafond
h : distance des appareils au plan utile.
La valeur recommandée de
l'éclairement est exprimée en lux.
Pour l'éclairage public la valeur
de l'éclairement est de 100 lux.
I.1.5. Courbe d'efficacité lumineuse
La sensibilité de
l'oeil est nulle de part et d'autre des limites de ce qui est appelé la
lumière visible.
· En dessous de 380nm le rayonnement ultraviolet est fourni
par les sources : soleil, lampes fluorescente
Ce rayonnement ultraviolet doit être
filtré pour éviter les brûlures de la peau, et l'agression
de l'oeil
On utilise la lumière ultraviolette
pour :
- le bronzage de la peau
- l'impression de surface sensible
- les effets spéciaux (lumière noire)
· au dessus de 780nm le rayonnement infrarouge est
utilisé pour transmettre des messages invisibles par la lumière
ambiante.
Ex : capteurs photoélectriques.
L'utilisation de lumière infrarouge pour les capteurs,
évite la perturbation due à la lumière ambiante
(éclairage artificiel, soleil).
I.1.6. Types d'éclairage
Nous distinguons deux types
d'éclairage à savoir :
- l'éclairage naturel
- l'éclairage artificiel
I.1.7. L'éclairage naturel
Nous avons deux sources de
l'éclairage naturel qui sont :
- le soleil, qui préside le jour,
- la lune et les étoiles président la nuit.
Pendant la journée,
l'éclairement du soleil peut atteindre des valeurs suivantes
- E = 500 flux, en site dégagé
- E = 27,5% en moyennée la lumière disponible en
site dégagé à la fenêtre des locaux
- E = 3% au centre des locaux.
I.1. 8. Éclairage artificiel
Autres foi, à défaut de
disposition d'appareil d'éclairement artificiel suffisant, et
l'activité s'arrêtait pratiquement lors que tombait la nuit pour
reprendre lors que le jour se levait.
L'homme moderne exerce une grande part de
ses activités durant les heures d'obscurité naturelle.
I.1.9. Source de l'éclairage artificiel
Les sources de
l'éclairage artificiel sont :
- la bougie
- la lampe tempête
- luminances (les lampes électriques)
I.1.10. Caractéristiques des sources
Une source lumineuse est convertisseur
d'énergie dont la puissance d'entrée est électrique et
s'exprime en watts. P= u.i.cosá. [I, 7]
La grandeur de sortie est le flux
lumineux Ö Qui s'exprime en limen sont symbole lm.
Ce flux lumineux Ö
représente l'énergie de chaque bande de longueur d'onde des
spectres émis par une source interprétée par l'oeil ou un
récepteur physique ayant la même sensibilité.
Si wë = f(ë)
représente la repartions spectrale d'une source, son flux est
défini par : Ö = km É 780 wë .vë .dë
[I, 8]
Vë étant la courbe
d'efficacité lumineuse relative moyenne définie
internationalement.
La puissance absorbée et le
flux lumineux émis par deux sources sont différents :
· En incandescence P = 40w Ö = 430 lm
· En fluorescence P = 40w Ö = 3500 lm
C'est le flux émit par unité de surface.
L'unité de l'éclairement est le lux (Lx) son symbole : E.
En considérant le fluxe émit dans un faisceau
lumineux corrigé de sommet A d'axe AX, reçu normalement par
l'éclairement moyen Em, dura pour expression Em = /S
avec : Em : éclairement moyen
Ô : le
flux
S : surface
éclairé
I.1.11. L'INTENSITE LUMINEUSE
C'est la quantité de lumière émise par
seconde, par une source, dans une direction déterminée, par
unité d'angle solide. En considérant toujours le cône
correspondant un certain angle solide r si la surface MN. D'où S est
disposée normalement à l'axe du cône, à une distance
de son sommet, l'angle solide Ù a pour mesure S/d2 ou, si la
normale à la surface fait un angle y avec la direction du rayon
lumineux, Ù = S cos Y/d² [I, 9]
Avec : Y : angle
d2 :
direction du rayon
Pour une surface normale en rayon :
IL =/Ù = (S) /d²/ = (.d²), et soit que =
Em.S [I, 10]
Alors l'intensité lumineuse deviendra : Im=
Em.S.d² = Em.d² [I, 11]
S
Pour une surface qui fait un angle Y avec la direction du
rayon lumineux moyen.
IL =/r pour r = s.cosY/d²; on aura
[I, 12]
IL = = .d² =
Em.S.d² =
S.cos Y/d² S. Cos Y S.cos y
IL = Em. D²
Cos Y
[I, 13]
Si la surface distribue le flux lumineux identiquement dans
toute l'espace, l'intensité lumineuse sera IL = .d²/2
[I.14]
L'unité de l'intensité lumineuse est Candela
(Cd) son symbole est I.
I.1.12. Efficacité lumineuse
Lampes à incandescence
Tableau N°
I.2
Puissance absorbée(w)
|
40
|
60
|
75
|
100
|
150
|
200
|
300
|
500
|
1000
|
Flux lumineux (lm)
|
430
|
730
|
960
|
1380
|
2220
|
2950
|
4950
|
8400
|
18800
|
Efficacité lumineuse (lm/w)
|
10,50
|
12,2
|
12,8
|
13,8
|
14,8
|
14,75
|
16,8
|
16,8
|
18,8
|
Lampes fluorescentes de substitution
Tableau N° I.3
Puissance absorbée (w)
|
10
|
13
|
18
|
26
|
36
|
40
|
55
|
Flux lumineuse (lm)
|
600
|
900
|
1800
|
1800
|
2900
|
3500
|
4800
|
Efficacité lumineuses (lm/w)
|
60
|
69,2
|
66,2
|
69,2
|
80,5
|
87,5
|
87,3
|
Tube fluorescent diamètre 26 mm
Tableau N° I.4
Puissance absorbée(w)
|
15
|
18
|
30
|
36
|
58
|
Flux lumineuse (lm)
|
1000
|
1300
|
2300
|
3250
|
5200
|
Efficacité lumineuse (lm /w)
|
66,7
|
72,2
|
76,7
|
90,3
|
89,6
|
La gamme de puissance des tubes
fluorescents est plus restreinte que celle des lampes à
incandescentes.
I.1.13. Perception lumineuse
L'oeil perçoit la couleur des
corps qui émettent des rayons lumineux. Ce sont des sources lumineuses,
qui peuvent être naturelles (soleil, étoile,) ou artificiel
(flamme de bougie, lampe étrique etc....).
Les autres corps, qui sont invisibles
quand ils sont placés dans l'obscurité deviennent visible quand
ils reçoivent de la lumière d'une source lumineuse ce sont des
corps éclairés, ces corps revoient une partie de la
lumière reçue et c'est cette lumière que l'oeil
perçoit.
Au total, l'oeil ne reçoit que
les sources lumineuses et les corps éclairé, un corps non
lumineux est dit " transparent " lors qu'il se laisse traverser par la
lumière, un corps non lumineux est dit " optique " lors qu'il ne se
laisse pas traversé par la lumière.
Un corps non lumineux est dit "
translucide" lors qu'il ne se laisse traversé que très
particulièrement par la lumière en différassent celui-ci
(les verres dépolis sont translucides).
I.1.14. La luminance
Si une surface émulsive, d'air s, rayon dans la
direction normale une intensité de bougies, on appelle luminance le
quotient de l'intensité lumineuse sur la surface L=I/S.
Si la normale à la surface fait un angle Ü avec la
direction d'émission correspondant à l'intensité I, la
luminance devient : L= I/S cos Ü
Avec : L : luminance ; I :
intensité lumineuse ; S : la surface
Il est à noter que pour une nature et une
caractéristique quelconque du revêtement de la chaussée
correspond une luminance Lo représentant la luminance d'un point d'une
chaussée en direction de l'observateur.
Lo = IL/S. Cos Y [I, 15]
Avec :
IL : intensité lumineuse en direction
d'observation
Y : respectivement angle en direction d'observation.
- Pour une petite remarque : nous savons que
l'intensité lumineuse dont dépend la notion de la lumière
n'est définie que pour une source ponctuelle, donc la notion de la
luminance est une fiction commande de l'esprit comme celle du point et de la
droite en géométrie. Alors, si l'on a à faire à une
voie à éclairer on devra diviser cette surface en
éléments assez petits pour que chacun d'eux puisse être
considéré comme ponctuel et calculer la luminance moyenne.
L'unité de la lumière est candela par carré ou
(Cd/m²)
- Symbole : L
- Le coefficient d'efficacité lumineux
C'est le quotient du flux lumineux total émis par une
source par la puissance totale consommée.
Symbole : fe
Unité : C'est le Lm/W
Fe = /P [I, 16]
I.1.15. Quantité de lumière
Parallèlement à l'intensité lumineuse on
définie également la qualité de lumière d'une
source, ceci donne l'idée de la quantité du flux lumineux produit
par une source pendant un temps donné.
L'unité : c'est le lumen - heure ou (Lm-h)
Q = .h [ I ,
17]
I.2. ORIGINE DE LA LUMIERE
La lumière est une forme d'énergie que la
matière peut conserver et émettre. La matière est donc
constituer d'atomes qui peuvent stocker cette énergie. Le soleil bien
avant l'apparition du premier homme sur la terre, voilà à peu
près quatre milliards années, notre étoile, que nous
appelons le soleil, inondait déjà de lumière son
cortège de planètes depuis, notre globe tourne autour du soleil
en 365 jours 6 heures 8 minutes, tout en tournant sur lui-même,
d'ailleurs, de nos jours, l'instauration de l'heure d'été et de
l'heure d'hiver reste une contrainte économique dans laquelle la part
énergétique due à l'éclairage n'est pas
négligeable.
Le foyer la combustion des matériaux disponible
directement ou indirectement dans la nature (bois, bouse, tourbe) constituent
encore aujourd'hui une source d'éclairage pour la population qui n'ont
pas accès d'autres technologies. Des tripodes, braseros et autres
améliorent la luminosité par rapport à un foyer
disposé à même le sol.
A. Lampes à huile
B. Lampes à pétrole
L'huile très tôt après la
découverte du feu, on trouve la trace du plus vieux système
d'éclairage : la lampe à huile. Les plus anciennes lampes
à huile étaient constituées d'une simple pierre
évidée dans laquelle une mèche trempait. On estime
à 20.000 ans avant JC. La datation de ces lampes, il est alors probable
qu'elles furent utilisées ou par les hommes des cavernes
préhistoriques.
I.2.1. La lampe a huile
Se complexifie jusqu'au XVIIIème siècle, lorsque
apparut l'huile de paraffine tirée de la houille et plus tard du
pétrole.
Le perfectionnement des lampes à huile vise à
obtenir un plus grand pouvoir éclairant et aussi à
améliorer la stabilité de la flamme. Afin d'exciter les
battements, on réalise un écoulement constat, suivant le principe
des vases Communicants en plaçant le réservoir à la
hauteur de la flamme et non plus en dessous c'est le vase de Mariotte. On
employait surtout des huiles de plantes très cultivées comme le
colza, le navet ou l'oeillet. Gérard Carcel invente en système
d'horlogerie qui actionne une pompe horizontale assurant une bonne
stabilité de la flamme. En 1784, la lampe d'Argand possède sa
forme définitive pour l'éclairage domestique. Ce sont Argand et
le pharmacien quinquet qui assurent la commercialisation de leurs lampes.
I.2.2. La bougie stéarique
Inventée au milieu du XIXème rien ensuite
envahir l'habitation en raison de son faible prix. Son inventeur se nomme
Eugène Chevreul. Bien sûr avant lui la bougie de cire était
connu, et malgré son éclairage relativement brillant, son prix
restait trop élevé, pour pénétrer dans tous les
foyers.
Le gaz : c'est aussi au XVIIIème siècle que
l'éclairage au gaz connu en Chine depuis longue date, parvient en
occident. Ceci grâce au principe de la distillation de la houille dans
une enceinte close, dû à l'Ecossais William Murdoch et au
Français JP Minckelers en 1792 qui rend la lampe au gaz
véritablement utilisable. En 1920, on assiste réellement à
la production industrielle de gaz par distillation de la houille,
proposée par William Murdock. C'est à cette date que le gaz
apparaît à Londres. En 1829 la rue de la paix est
théoriques promenés entre 1800 et 1850 en photométrie et
en combustion avec l'apparition du gaz, influant favorablement sur
l'évolution technique des lampes.
I.3. COMPOSITION DE LA LUMIERE
La lumière est une onde magnétique de forme et
de champ électrique.
La lumière est une composition d'abord relative, la
lumière fournit par le soleil est nécessaire aux plantes et aux
êtres vivant pour se développer. Elle voyage sous forme d'ondes
lumineux transports de minuscules particules d'énergie appels protons.
Lorsque les protons entrent en contact avec nos yeux, ils stimulent des
cellules sensibles qui nous permettent de voir. La lumière comme les
ondes radiophoniques et les rayons x. Toutes ces ondes sont des ondes
électromagnétiques.
Il existe un spectre électromagnétique, tout
comme il existe un spectre de couleurs dans la lumière. Les ondes
lumineuses et toutes les autres ondes électromagnétiques voyagent
à environ 3.108m/s au 300.000 km par seconde à cette
vitesse elles pourraient faire huit fois le tour du monde en l'espace d'une
seconde.
La lumière est l'élément qui voyage le
plus vite dans l'univers. La lumière voyage en ligne droite lorsque les
rayons lumineux butent contre un objet non transparent, certains sont
réfléchis et d'autres sont absorbés par l'objet.
La zone située derrière l'objet reste dans
l'ombre car les rayons lumineux ne l'atteignent pas. Plus on se trouve loin
d'une source lumineuse, plus son intensité est faible. La lumière
se diffuse en effet dans toutes les directions à partir de sa source. De
nombreuses étoiles, par exemple, sont plus une vaste zone en raison de
leur éloignement. Ainsi, vues de la terre et les scintillent
faiblement.
Dans la composition de la lumière nous avons encore un
non comme une collection de lumière, c'est le nom de l'ensemble des
composés :
- D'une alimentation en énergie (câble,
réservation, etc...) parfois complété par un
système annexe (ballast au transformateur) ;
- D'une fixation de la source (culot, porte mèche,
etc....) ;
- D'un système de guide de lumière ou de
réflexion (réflecteur, lentille, etc...) ;
Les lumières actuelles comportent en autre des
systèmes de protection qui doivent être conformes à la
réglementation (mise à la terre, etc...). Au-delà de
l'esthétisme, un luminaire est aussi défini par les
critères de la source.
I.3.1. Puissance des lampes
Certains luminaires n'acceptent qu'un modèle de la
lampe, d'une seul puissance) forme de la lampe et position de fonctionnent par
exemple certaines lampes à décharge ne fonctionnement pas
à l'horizontale.
I.3.2 Nature de la lumière
Nous avons trois
sorte de nature de la lumière assavoir :
- nature vibratoire
- nature énergétique
- nature corpusculaire
I.3.3.Nature vibratoire
La lumière est
associée à des vibrations périodiques, cette vibration
étant caractérisées par leurs fréquences, leurs
vitesses de propagation et leurs longueurs d'ondes.
I.3.4. Nature énergétique
Les rayons lumineux transportent de
l'énergie qui se manifeste sur toute forme calorifique de piles
thermoélectrique, effet photochimique.
I.3.5. Nature corpusculaire
Certains phénomène ne
peuvent s'expliquer qu'en admettant que la lumière est formée des
particules ou photons véritables grains de lumière porteurs
d'énergie.
I.4. DEFINITION DU MILIEU PUBLIC
Un milieu c'est quoi ?
Selon Larousse page 269 définit un milieu comme
étant un centre d'un lieu, les milieux d'une place, point
également éloigné des deux termes et un espace ou d'un
temps (ex : milieu de la routes du jour) endroit à peu près
également éloigné d'un commencement et d'une fin. Espace
matériel dans lequel le corps est placé.
I.4.1. Milieu populaire :
Le milieu populaire est défini
comme étant les gens qui appartiennent à un groupe
déterminé par une classe sociale
I.4.2. Milieu géographique :
Ensemble des caractéristiques physiques qui influent
sur l'existence des êtres vivants à la surface de la terre.
a) Sur le plan Physique (géomètre) : le
milieu, c'est le point équidistant d'un segment de droit, d'une surface
plane ou d'un secteur quelconque.
Ex : cas d'un cercle = milieu c'est le centre.
b) Sur le plan Sociale ; un secteur de vie quelconque ou
d'activité déterminées par un élément ou un
ensemble d'éléments.
Exemple
- Là où on apprend (école) milieu
scolaire ;
- Là où on pratique (le sport) milieu
sportif ;
- Là où on trouve la forêt milieu
forestier ;
- Là où il y a un espace entre les tropiques
milieu tropical.
Public selon Larousse dans sa 343 ème page.
Public qui concerne tout un peuple, Relatif au gouvernement
d'un pays manifeste, commun de tout le monde.
- Charges publiques impasif. Droit Public ensemble des
règles juridiques relatives à l'organisation de l'état et
à ses rapports avec les personnes de droit privé.
Le mot public est un objective en rapport avec le substantif
peuple, c'est un adjectif qui qualifie ou indique ce qui appartient au revient
à tout le peuple, tout ce qui est en l'intérêt de tous est
public parce que quand on parle du public comme on a définit si ....
La classe sociale en interviens pas que tu sois riche au
pauvre tous on le même droit à partagée ou à
contribuer.
Donc le milieu public est un secteur de vie ou
d'activité sociale appartement au propre à tout le monde (peuple
à la population ou habitant d'une cité, d'une zone ou d'un
secteur...).
I.5. CLASSIFICATION ET SORTES DES MILIEU PUBLIC
Classification des Milieu Public :
Nous avons défini trois catégories du milieu
public, et ces milieux se définissent de la manière
suivante :
I.5.1. Milieu Public par exemple qui n'appartient
pas à personne et dont l'usage est réservé à toute
personne faisant membre de la communauté et la gestion est quasi-nulle
ou confiée au pouvoir public.
Exa : Territoire nationale, est un milieu public qui
appartient à tous les nationaux mais la gestion est
réservée à une personne qui peut être un
président, un gouverneur ou un bourgmestre.
Exb : Fleuve, est un milieu public à qui l'usage
est réservé au navigant et aux pêcheurs mais la gestion ne
peut ou pas être assumée par le pouvoir public.
Exc : Route ou avenue, est un milieu que tous le monde on
le même droit de l'exploitation ou de la fréquentation mais la
gestion est réservée à l'Etat.
I.5.2. Milieu Publique réservé est
un milieu qui n'appartient à personne et dont l'usage est
réservé à une catégorie des personnes mieux
identifiée et la gestion n'est quasi-nulle au confiée à
une institution de l'Etat.
Exa : Camp Militaire, est un milieu public que l'usage
est réservée au militaire et la gestion est confiée
à une institution de l'Etat.
Exb : Résidence officielle, est un milieu public
mais qui ne donne pas tant le monde l'accès au pouvoir de la gestion de
l'usage celui-ci confiée à une personne bien
déterminer.
Exc : Ecole public, est un milieu qui n'appartient
à personne et dont l'usage est réservé aux
élèves et une institution de l'Etat pour la gestion
(Ministère de l'enseignement)
I.5.3 Milieu public dont
l'usage est réservé à une catégorie des personnes
et la gestion est confiée à un organisme ou
institution privée
Ex. A Eglise, est confiée aux pasteurs ou
prêtre.
Ex.b Ecole privée est un milieu public que
l'usage aux élèves qui sont inscrit pour qu'il
bénéficie de l'enseignement et la gestion est
réservée à un organisme ou une institution
privée.
Ex.c Bar est un milieu public que l'usage est
réservé aux ivrognes, la gestion est confiée à un
organisme ou institution privée.
Ex.b Taxi bus un milieu public que l'usage est
réservé aux clients mais la gestion est réservée au
propriétaire qui peut être une personne ou un organisme ou encore
une institution privée.
I.5.4 SORTES DES MILIEUX PUBLICS
Les milieux publics c'est classe en plusieurs sortes mais ici
nous allons définir trois sortes des milieux publics que nous
avons :
I.5.4.1 Milieu public réservés
Ex1 : Jardin, lieu ordinaire enclos, où l'on
cultive des fleurs, des légumes, des arbres (fruitiers ou berger).
Ex2 : Parc nationaux, enclos baisé, d'une certaine
étendue, pour la promenade, la chasse etc...
Ex3 : Zoo lieu public où sont rassemblés
des animaux rares en captivité.
I.5.4.2 Milieu public ouvert à usage commun
Ex 1 : Route, voie corrodable aménagée lors
agglomération, moyen de communication utilisant ce genre de voie :
transport par route ou encore direction qu'on suit, itinéraire, ligne de
conduite
Ex 2 : Terrain de jeux, surface du sol du point de vue de
son utilisation ici l'utilisation sont des jeux pratiqués
Ex3 : Parc récréatif une certaine
étendu pour la promenade, qui recrée et divertit
I.5.4.3 Milieu public réservé pour être
utilisé en communauté
Ex1 : Ecoles, établissements où se donne un
enseignement collectif, ensemble des élèves qui le
fréquentent
Ex2 : Eglise, société religieuse,
communauté chrétienne.
Ex3 : Faire, grand marché public, exposition
commercial périodique.
Chapitre II. DESCRIPTION DE LA ROUTE POIDS LOURDS
II. 1. HISTORIQUE DE LA ROUTE POIDS LOURDS
Selon le dictionnaire le mot
historique signifie qui appartient à l'histoire vérité
historique. Dont l'histoire fait mention, fait histoire sur les quels on
possède des relations écrites. Aux temps fabuleux narration des
faits dans leur ordre chronologique, faite historique d'une science.
La route selon le dictionnaire signifie, la voix de
communication artificielle terrestre, possédant un revêtement dont
la résistance est suffisante pour le passage des véhicules, route
pavée voie suivie pour aller à un autre espace que parcourent les
astres, les cours d'eau: la route du soleil, faire fleuve grossi sur sa
route.
Ce qu'on suit pour arriver à un résultat. Faire
fausse route, s'écarter de sa route, s'égarer, et au code de la
route, ensemble des règlements prévus pour assurer la
sécurité et la liberté de la circulation des
véhicules sur la voie de communication, ainsi que la conservation de la
celles-ci.
Poids signifie ce qui pèse, qualité
d'un corps pesant, force exercée sur un corps par la pesanteur : le
poids de l'air, poids atomique d'un élément, poids
moléculaire d'un corps poids molécule-gramme de ce corps,
quotient du poids spécifique ou volumique d'un corps.
Morceau de métal d'un poids déterminé
servant à peser d'autres corps. Corps pesant suspendu aux chaînes
d'une horloge, pour lui donner le mouvement.
Lourds signifie ce qui pesant difficile à
porter, à remuer : lourds fardeau se dit de marchandises
pèsent plus d'une tonne au mètre cube.
Poids lourds, gros camion automobile.
Kinshasa et du Stanley pool au XIXe siècle. Sont
notamment déjà identifiés kitambo, lemba,
kalima, et le village de kinshasa.on remarque également le village de
kindolo (voir aéroport de ndolo).
L'Afrique centrale possède des traces
d'occupation humaine remontant au premier millénaire avant notre
ère. Les siècles précédant la colonisation voient
des peuples bantus s'installer dans la région du moyen et bas Congo,
précédemment exclusivement occupée par les
pygmées.
Différentes tribus et peuple
composent la nouvelle population. Au niveau du Pool Malabo, le trio
téké peuples à la rive droite (nord) du fleuve et des
peuples assimilés aux téké (humbu et mfinu) peuplent la
rive gauche (sud).
La région voit la traite d'esclave et le commerce
d'ivoire enrichir les peuples téké, alors érigé en
royaume.
Dès le XVIe au XVII e siècle,
la région du pool dévient une vraie plaque tournante entre le
bassin du fleuve et la région côtiers.
Des légumes des Amériques sont
aussi introduits à l'intérieur du continent grâce au
commerce et les esclaves, le plus souvent des vaincus dans différents
conflit partent vers Loango, l'embouchure du fleuve et au sud
du royaume kongo, au cours des XVII et XIXe siècles des
pécheurs et surtout des commerçants téké venus du
nord installent des marchés et des villages au sud du pool Malebo et sur
le plateau qu'on nommeras tard le plateau de Batéké.
Ces villages sont des colonies car les
téké se limitent à la pèche et au commerce.
Les tribus de la région, humbu et mfinu,
étaient considérées comme les propriétaires de ce
coté du fleuve.
Au fil du temps, les intérieur des collines.
Les principaux villages tékés de la rive sud
étaient nsasa avec prés de 5.000 habitants,
ntambo avec moins de 3.000 habitants.
Lemba, parmi une multitude des humbu était
la capitale marchande et politique des humbu, avec environ 3.000 habitants.
Les marchés du fleuve voyaient des caravanes
d'esclaves porteurs d'huiles, d'amandes, de palme, d'arachides, de
sésame et d'ivoire aller et venir.
Henry Morton Staley atteint pour la
première fois le site de la ville au niveau de ntambo
le 12/03/1881 lors de sa traversée d'est à l'ouest du
continent africain.
En 1881, il signale « traité de
l'amitié » avec un chef téké, ngaliema, obtenant
ainsi le droit d'établissement à l'emplacement de l'actuelle
commune de kitambo, sur les bords de la baie de ngaliema, et
il chargea le capitaine Charles-marie de braconnier d'y fonder un poste qu'il
baptisa plus tard Léopoldville en l'honneur de son commandant
Léopold II de Belgique.
Staley avait choisi l'endroit ou le fleuve Congo
devrait être navigable en direction de l'amont.
Le site spécieux et facile à défendre
était déjà peuplé de 66 villages antérieurs
à Stanley, celle-ci prés du hameau de Kinshasa (nshasa signifiant
« marché »), avec l'accord du chef nsuvila.
Ce village donna son nom aujourd'hui se trouve
le quartier des (kingabwa)
II. 1.1 .CAPITALE GRANDISSANTE
En 1929, hérita de la
fonction de centre administratif assumée jusque là par Boma, par
la mise en application de l'arrêté royal du 1er juillet 1923. A
cette époque, Léopold ville est confirmée aux communes des
Kitambo et de la Gombe actuelle communes de Kinshasa, de Barumbu et de
Lingwala.
Dans les années 1930, la majorité des logements
était pour les employés de la Chanic, la Filstisaf et L'utex
africa.
Léopold ville ne dévient juridiquement une ville
que le 25 juin 1941 (avec 5.000 hectares et 53.000 habitants) ; depuis
1923, elle était seulement un « district urbain ».
Par la même occasion, elle devient capitale de la colonie,
chef-lieu de la province du Congo Kasaï et du district du moyen-Congo.
Elle était divisée en deux zone : la zone
urbaine avec Léo II, ouest, kalina, Léo-I ou Léo-est, et
de ndolo ; et la zone indigène au sud.
La croissance de la ville commence en 1945 avec la fin du travail
forcé qui permet aux populations noires d'augmenter.
Arrivant alors de nombreux paysan de la campagne à la
recherche d'un emploie, s'entassant dans les cases de la zone
indigène.
La ville commence à se peupler majoritairement de Bakongo,
dans les années 1950, les cités planifiées de Lemba,
Matete, et une partie de N'djili furent aménagées pour loger les
employés de la zone industrielle de Limete.
Et comme Kinshasa était un village des Téké,
kingabwa aussi fut d'abord un village des autochtones Tékés, et
comme il était des commerçants et de pécheurs pour
transporter les ivoire qu'il vendait il est faut une route, vu
l'évolution de l'urbanisation vers les années 1954, l'Etat
colonial reconnaissait Kingabwa comme une zone annexe de
Léopoldville.
Comme la route était déjà
exploitée par les autochtones, les colonisateurs aussi à leurs
tours venaient exploiter la route pour leurs besoins et comme Liméte est
une commune industrielle il falle qu'il yait une route pour de poids lours.
Tout ça grâce à un blanc qu'on appelait
MUNDELENGULU qui habitait Kingabwa là où se trouve la poste de la
police waya-waya, c'est lui qui avait proposé aux blancs la
modernisation de cette route.
Cette route avait aussi été appelait BOBOZO qui
fut un générale, mais le nom qui ne durant pas pour redevenir
encore la route poids-lourds.
II. 2. DIMENSIONS DE LA ROUTE POIDS-LOURDS
Selon la rousse dimension signifie
étendue mesurable d'un corps dans tel ou tel sens, objet de dimension,
mesure, prendre les dimensions de la pièce, importance, donner une
nouvelle dimension à un sujet.
Dans notre cas ici nous avons commencé
les mesures au niveau de la Gare centrale parce que la route poids lourds,
commence au niveau de la gare centrale jusqu'au pont matete, par sa longueur,
on a trouvé 10. 400m et sa largeur est de 9m.
II.3. OBJECTIF DE LA ROUTE POIDS-LOURDS
Comme nous avons dit dans l'historique, le
quartier Kingabwa est un quartier industriel dans lequel nous avons beaucoup d'
usines, d' entrepôts, de sociétés, etc.
Il faut qu'il yait une route pour leur
transporter des marchandises et qui va permettre aux exploitant d'oeuvrer dans
des bonnes conditions.
Malgré le nom de cette route, aujourd'hui
la route est exploitée par toute la population de l'est pour aller
facilement au centre ville.
Nous avons plusieurs compagnies des transports qui
exploitent aussi cette route pour des lignes comme :
- Gare Centrale-kingasani
- Boulevard-Kingasani
- Gare Centrale-pont matete
- Gare Centre-ndanu (17emRUE)
- Kigabwa-Marche centrale
- Kingasani-Ndolo
- Kigabwa-Boulevard
- Kingasani-Kigabwa
- Pont Matete-sonas
- Kingabwa-Ndolo
- Kingabwa-Bon marchée (barumbu).
Ces linges sont parcourus par des moyens de transport de
sociétés privées et de l'Etat dont la
Société de Transport Urbain (STUC) et la société
publique City Train qui exploite la ville.
D'outres sociétés assurent aussi le transport en
commun :
-Urbaco
-Tshatu trans
-Socogetra
-Gesac
-MB sprl
Les bus de la ville transportent un maximum de 67.000 voyageurs
par jour, Plusieurs sociétés gèrent des taxis et taxi
bus.
La majorité (95,8%) du transport est assurée par
des particuliers, la route poids lourds accueille un maximum de 1675 voyageurs
par jours et 24,7% des taxis et taxis bus, des gros camions, et des voitures
des particuliers.
II. 4.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE DE LA ROUTE
POIDS-LOURDS
La géographie est
une science qui a pour objet la description de la terre, ensemble des
caractères physiques et humains d'une région.
La ville province s'étend sur une
surface de 9965 km2 composée d'un grand plateau (Plateau du
Kwango), d'une chaine de collines dont :
- Mont Ngaliéma
- Mont Amba
- Mont Ngafula.
D'une plaine et de marécages au bord du
Pool Malabo.
La plaine est la partie la plus peuplée et s'étend
en forme de croissant de la baie de ngaliema à l'est jusqu' au plateau
du Kwango à l'ouest du pool malebo.
II. 5. SUBDIVISIONS
La ville de Kinshasa est
divisée en 4Districts et 24 Communes qui sont
· District de la Funa constitué des communes
suivantes :
- Bandalungwa
- Bumbu
- Kasa-vu bu
- Makala
- Ngiri-ngiri
- Selembao
· District de la Lukunga composé des communes
de :
- Barumbu
- Gombe
- Kinshasa
- kintambo
- Lingwala
- Mont-ngafula
- Ngaliema
· District de la Tchangu comprenant les communes
de :
- Kimbanseke
- Maluku
- Masina
- N'djili
- Nsele
· District du mont amba nous avons des communes
suivantes :
- kinsenso
- Lemba
- matete
- Ngaba
- Limete
En face, sur la rive droite du fleuve, on
trouve Brazzaville, capitale de la République du Congo.
Pour bien différencier les deux Pays ayant
« Congo » pour nom, on appelle parfois la RDC
Congo-Kinshasa par opposition à la République du Congo dite
Congo-Brazzaville au Kinshasa est également le point de départ
et d'arrivée des marchandises à l'exportation et à
l'importation depuis le port de Matadi qui accueille les navires de haute
mer.
A ce titre, il a souvent été
considéré comme l'arrière- port de Matadi.
La route Poids-lourds est limitée
à l'est par le quartier Kingabwa et une partie de la commune de Gombe,
à l'ouest par le quartier industriel de la Commune de Limete et une
partie de la commune de Gombe, au Nord par la commune de Gombe entière
et en fin au Sud par la commune de Matete toute entière.
II. 5. CARACTERISTIQUE GEO TOPOLOGIQUE DE LA ROUTE
POIDS-LOURDS
Pour la caractéristique géo
topologique de la route poids-lourds, elle commence de la Gare Centrale au Pont
Matete. Des côtés droits nous avons le chemin de fer de L'ONATRA
qui a deux lignes qui sont :
- La ligne principale relie la gare centrale au pont matete
jusqu'à l'aéroport de N'djili, et compte 9 stations, dont 4 tout
au long de la route Poids- lourds à savoir : Gare Centra, Ndolo,
Amicongo, Uzam.
- La deuxième ligne relie la gare centrale à
Kasangulu dans le Bas-Congo en passant par Matete, Riflard et Kimwenza,
à depart de la Gare Centrale elle passe toujours à coté de
la route poids-lourds.
- A gauche de la route poids-lourds nous
avons plusiéres dizaines d'usines, d'entrepôts, d'industries de
production et transformation telsque :
- Safricas
- Bat
- Bracongo
- Toyota
- Iveco
- Soforma
- Office de route
- Bec
- Station Elf service
La route poids-lourds n'est
pas seulement parsenée des usines, des entrepôts, des industries.
Comme nous venons de le voir ci- haut, main aussi elle est entourée de
ports, des marchés et des maisons des particulier.
Les différents
marchés qu'on peut trouver sur la route poids-lourds sont :
- Marché des statuts au niveau de la gare-centrale
- Marché Socimex
- Marché Uzam
Les ports qui sont
à coté de la route poids-lourds sont :
- Port Baramoto
- Port Nzimbi
- Port Ndolo
- Port Ngobila
- Port à triaque
- Port Bwamanda, etc...
Certaines avenues sortent sur
poids-lourds à différents niveaux de de cet axe aux
notamment :
- Bat
- TP
- Iveco
- Uzam, etc ...
Ces croissements constituent des
arrêts des Bus de transport en commun pour la population habitant les
quartiers environnent et les travailleurs et autres visiteurs des entreprises
installées dans le secteur de KINGABWA.
CHAPITRE. III. ETUDE DE L'ASSAINISEMENT DE L'ECLAIRAGE
BUPLIC SUR LA ROUTE DES POIDS-LOURDS
III. 1. DETERMINATION DE NOMBRE DES POTEAUX ET NOMBRE
DES LAMPES
Nous avons déterminé le nombre des
poteaux et le nombre des lampes sur poids lourds, de la Gare Centrale jusqu'au
quartier Debonome au croisement de la route Poids Lourds et le boulevard
Lumumba et on a trouvé 220 poteaux plus trois (3) poteaux qui partent
vers le Pont Matete, et dans l'ensemble nous avons 223 poteaux.
Mais parmi les 223 poteaux il ya deux (2) poteaux qui ne sont
plus à leurs places Tel est le cas des poteaux n° 117 à
l'entrée de rond point TP et le n° 179 au niveau de la
16eme rue.
Parmi ces 223 poteaux implantés sur la
route des poids lords, il faut que l'on puisse avoir 223 lampes.
Nous avons remarqué qu'il ya des poteaux
qui n'ont plus de lampes, c'est le cas des poteaux suivants :
- N° 95 au niveau de la BAT
- N° 117 au niveau de TP
- N° 147 au niveau de l'com (Uzam).
Dans l'ensemble, nous avons 221 poteaux sur les
223 qui sont en bon état et 220 lampes qui fonctionnent.
III.2. ETAT ACTUEL DE L'ECLAIRAGE PUBLIC SUR LA ROUTE
DES POIDS-LOURDS
La route poids lourds comme nous l'avions dit porte
cette dénomination parce qu'elle constitue la voie d'accès aux
entrepôts des sociétés et les populations qui vivent dans
les environs.
Depuis sa création, elle accueille des
milieux d'usagers 24h/24h.
Depuis qu'on à crée cette route, elle ne
jamais été éclairé, elle entraînent chaque
jour des accidents de circulation pendant la nuit, des crimes, des vols et des
violences.
Pour remédier à cette situation, il est devenu
impérieux d'éclairer cette voie publique.
Fort heureusement, au programme des cinq
châtiées, cette route est en voie d'électrification
complète.
L'éclairage de la route des poids lourds a
été confié à la société Malta Forest
qui a réalisé une grande partie du tronçon.
Malheureusement, les fils ont été volés
par des bandits.
Le danger est permanent suite au manque de la
lumière
III.3. DIMENSIONNEMENT DE L'ELEMENT CONDUCTEUR ET
ELEMENT DE PROTECTION
III. 3. 1. Elément conducteur
Résistance maximale de
conducteur à 20°de cuivre de section circulaire
Tableau III.1
Section (mm2)
|
Ù/km
|
0,5
|
36,0
|
0,75
|
24,0
|
1
|
18,0
|
1,5
|
12,1
|
2,5
|
7,41
|
4
|
4,61
|
6
|
3,08
|
10
|
1,83
|
16
|
1,15
|
25
|
0,727
|
35
|
0,524
|
50
|
0,387
|
70
|
0,268
|
95
|
0,193
|
120
|
0,153
|
150
|
0,124
|
185
|
-
|
240
|
-
|
300
|
-
|
Le cas de la route poids lourds ils ont
utilisé le cuivre et la section était de 2,5mm2.
III. 3. 2. Elément de protection
On sait que la puissance d'une
lampe est de 250w, la tension est de 220v, le circuit est triphasé.
Comme la puissance d'une lampe est de 250w, ils
ont multiplié par le nombre des poteaux qui sont 223 et nous avons la
puissance totale de 44600w pour l'ensemble de lampes.
Le cosö est de 0,95
D'où nous avons utilisée la
formule suivante pour trouver la valeur de l'élément de
protection
P
I= ______________
[III.1]
v3.u.cosö
44600 44600
= __________________ = ____________ =
123 125 A
1, 73.220.0, 95 361, 57
III. 4. ANALYSE DE L'ELEMENT DE TRANSFORMATION
Comme la canalisation est
aérienne nous avons pris 10 transformateurs (dix) et chaque
transformateur dessert 22 lampes.
Pour avoir la puissance de chaque
transformateur.
P =?3.U.I. cosö [III.2]
v3 = 1, 73
I = 125 A
Cosö = 0, 95
P = 220.v3.125.0, 95 = 45196, 25 W
P
S= _____
[III. 3]
Cosñ
45196,25
= _____________ = 47.575 50 AV
0,95
= 5 KVA par
transformateur
III. 5. PROBLEME DE LA CONDITION DE SECURITE ET
D'AMELIORATION DE L'INSTALLATION
III. 5. 1. Condition de sécurité
La société Malta Forest à
implanté le réseau de l'éclairage sur la route de poids
lourds sans pour autant faire l'analyse de mentalité de la population
locale.
La canalisation choisie est aérienne
avec des conducteurs en cuivres, et quelque mois après tout a
été volé car le réseau n'a pas été
sécurisé.
III. 5. 1. 2 Améliorations de
sécurité
Pour que le réseau de
l'éclairage de la route poids lourds soit sécurisé nous
avons pensée à deux méthodes :
- la première méthode consiste à utiliser
les câbles électriques isolés (lignes souterraines)
- la deuxième est de mettre une signalisation de
sécurité
III. 5.1. 3 Choix de la canalisation souterraine
Les linges souterraines
doivent être armées afin d'éviter le contant et l'effet
chimique qui peuvent endommager les câbles.
Dans le cas de la distribution, les avantages
techniques par rapport aux lignes aériennes sont évidents, pour
les personnes, la continuité de service et la distribution de grandes
quantités d'énergie en des lieux d'espace restreint.
Le problème majeur de l'utilisation des câbles
isolés, nécessite des coûts des travaux de loin
supérieurs à celui d'une ligne aérienne.
III. 5. 1.4. Conducteur
Les matériels conducteurs employés dans la
fabrication des câbles électriques sont choisis selon la norme CEI
228.
Dans cette norme, on explique que le
matériel conducteur peut être :
· Du cuivre recuit, nu ou couvert d'un revêtement
métallique.
· De l'aluminium et ses alliages (almélec,
aldrey), nu ou recouvert d'un revêtement métallique.
Les conducteurs utilisés sont choisis en fonction des
qualités suivantes :
· Conductibilité élevée
(résistance électrique faible)
· Résistance mécanique élevée
(résistance aux efforts mécanique dus à leur mode de
pose)
· Etre souple pour faciliter les manutentions.
· Donner toute garantie de sécurité et de
durée.
Ici nous allons utiliser l'aluminium parce qu'il est
préféré pour les raisons suivantes :
· Son prix de revient bon marché que le cuivre
· Sa bonne conductibilité (61% de celle du
cuivre)
· Son excellente tenue en présence des agents
atmosphérique.
· Non envié par des voleurs.
III .5.1.5. Signalisation de sécurité
Elle permet de faire respecter une
réglementation définie à l'avance, ici on utilise l'alarme
ou une sirène.
III. 5. 1.6. Alarme contre le vol
Ce système d'alarme doit être
efficace contre les tentatives de violation et d'infraction.
Il doit comprendre :
· Une source d'alimentation qui peut être soit la
tension secourue par des batteries en cas de panne.
· Des détecteurs d'infractions placés sur
câble, il peut être un contact de choc.
· Des détecteurs de présence qui
sont :
- le radar infrarouge
- le radar hyperfréquence
- la cellule photoélectrique.
Ces appareils détectent l'intrusion d'une personne
dans la zone surveillée.
· Une centrale d'alarme qui gère le système
anti vol qui a aussi pour rôle :
- de contrôler les indications données par les
différents détecteurs
- de donner l'alarme sonore ou téléphonique
- d'afficher la zone concernée par l'infraction
· une alarme sonore c'est un klaxon ou une sirène
qui doit s'autoalimenter en cas de fonctionnement
· une alarme téléphonique
(éventuellement) qui déclenche automatiquement la venue de
vigiles.
· Les câbles de liaison qui relient tous les
éléments du circuit à la centrale d'alarme.
Remarque : pour une meilleure
efficacité, tous ces appareils doivent être protégés
contres les stockages ; ils sont munis de contacts d'autoprotection qui
changent d'état et donnent l'alarme lors d'une ouverture de boiter.
Il en est de même en cas de coupure des
câbles de liaison.
Les centrales d'alarme d'aujourd'hui ne sont
plus fabriquées en logique à relais mais en composants
électroniques, ce qui permet :
· De diminuer l'encombrement du coffret
· De prévoir des batteries de secours de plus
faible capacité.
Schéma développé d'un système
d'alarme simple
![](Etude-de-l-assainissement-de-leclairage-public-et-de-lamelioration-des-conditions-de-securi1.png)
Figue III. 1
F1 : fusible d protection du circuit principal
F2 : fusible de protection du circuit sirène
Q1 : interrupteur mise en fonctionnement actionné
par une clé
S1 : contact d'auto protection du coffret
sirène
S2 : contact d'autoprotection du coffret relaya
gé
K1A : relais d'alarme autoprotection
K3T : relais d'alarme sonore
H1 : voyant de signalisation alarme autoprotection
H2 : sirène
Description du fonctionnement de
l'ensemble.
- mise en état de veille de l'alarme par la fermeture
de l'interrupteur Q1
- bobine K1A excitée, les contacts S1 et S2 sont
actionnés
- bobine K2T et K3T non alimentées
- bobine K2A excitée, les contacts d'autoprotection
S1, S2 sont actionnés
- bobine K3T non alimentée
- bobine K3 excitée
- voyant H1 et H2 éteints
- sirène non alimentée.
a) ouverture du sol
Lorsqu'un des contacts des sols s'ouvre,
la bobine K1A se désexcite et K2T s'excite.
Après une temporisation de deux
secondes (pour éviter un fonctionnement intempestif lors de la mise en
route), la bobine K3T s'excite, ce qui provoque :
- son auto alimentation
- l'allumage du voyant H1
- la désexcitation de la bobine K3A ; la
sirène se met en route au bout de quelques munîtes, la bobine K3T
se désexcite (ouverture de son contact temporisé), ce qui
entraîne :
- l'excitation du voyant H1
- l'excitation de la bobine K3A; la sirène
s'arrête.
Deux cas se présentent ; d'une part, si le sol
est refermé
- contact de sol fermé
- bobine K1A excitée
- bobine K2T désexcitée
- bobine K3T non désexcitée
Les système est remis en état de veuille.
D'autres part, si le sol est toujours ouvert
contact de sol ouvert, K1A désexcité, K2T excité, la
bobine K3T se ré excite ce qui provoque le cycle d'alarme décrit
précédemment, et ceci indéfiniment tant que le sol n'a pas
été refermée ou tant que l'interrupteur Q1 n' pas
été ouvert.
b) ouverture `d'un coffret de contact de
sol
Lorsqu'un des contacts d'autoprotection (S1etS2)
s'ouvre, la bobine K2A se désexcite, ce qui provoque son auto
alimentation.
III. 5. 2. Amélioration de l'installation
A l'origine, l'éclairage public
était surtout considéré comme une signalisation.
Les anciennes lanternes d'éclairage
public étaient du faite de leur construction utilisée comme
jalonnement.
Dans les centres de communes où le
passage des piétons est plus important, on place l'éclairage
public pour éclairer les voies et les objets qui peuvent y être
placés.
Abstraction faite de la chaussée, les
éléments suivants sont déterminés pour
l'éclairage.
- hauteur de foyer
- distance de foyer
- types de source
- types d'appareil
III. 5.2.1. Eclairage de différents types de
voie
Types de voie
|
Hauteur du foyer = à la hauteur de la chaussée
|
Rapport hauteur/ distance entre poteaux
|
Disposition de foyer
|
Voie à trafic rapide
|
8 - 12 m
|
3 à 5 fois de la hauteur du foyer
|
latéral
|
Voie à faible trafic
|
6 - 8 m
|
5 à 8
|
A choix
|
Rue principale
|
8 - 12 m
|
3 à 4
|
A choix
|
Rue commerciale
|
6 - 10 m
|
3 à 4
|
Alternée au dessus du milieu de la voie
|
Voie résidentielle avec trafic du camion
|
6 - 8 m
|
4 à 5
|
A choix
|
Voie résidentielle avec faible trafic
|
4 - 6 m
|
5 à 8
|
Latérale
|
Place, noeud de trafic
|
10 - 15 m
|
3 à 5
|
Sur le bord extérieur et des endroits particuliers
|
Place distraction
|
10 - 15 m
|
3 à 4
|
Idem
|
Tableau III. 2.
III.5.2.2. Le principe de base
Les critères de qualité en
éclairage doivent essentiellement permettre une perception visuelle,
précise et confortable ; à ce titre, on retiendra :
III. 5. 2. 3. Le niveau moyen de la luminance
Le niveau moyen de la limiére de la
chaussée par un automobiliste regardant la route par un certain
mètre devant lui ; par sec.
Le niveau requis dépend essentiellement
de la nature de la voie (trafic, vitesse, zone urbaine à la rurale,...)
et s'entent dans la condition normale de service.
La surface de la route à prendre en
considération est celle observée sous des angles de 0,5°
à 1,5° et s'étendant de 60 à 170 m devant
l'observation.
III. 5. 2 4. La limitation de l'éblouissement
d'inconfort
La limitation de l'éblouissement
d'inconfort, source de gène et de fatigue due au nombre et à
l'aspect des lumières apparaissant dans le champ de vision, en
corrélation avec la luminance moyenne de la route.
On définie alors un «
indice d'éblouissement » G (glaire index), noté sur
échelle de 1 (intolérable) a 9 (imperceptible) qu'il faut
maintenir au moins au niveau de 5 (juste admissible).
III. 5. 2. 5. Efficacité du guidage visuel
L'efficacité du guidage visuel,
fonction de la position de foyer de la nature de source un itinéraire,
du pré signalisation des endroits difficiles (ronds-points,
péonages, carrefours est...) aussi que les abords de la
chaussée.
III. 5. 2. 6. Hauteur du foyer
Les paramètres caractéristiques
d'une implantation sont définis de la manière suivante :
H : hauteur du foyer
L : largeur de la chaussée
S : saillie du foyer par rapport au pied de condé
labre
C : intervalle entre deux luminaires consécutifs
A : avancé du foyer
III. 5. 2. 7. Disposition des appareils
La disposition des appareils peut
être :
- unilatérale
- en quinconce
- en apposition
- axial
III. 5. 2. 8. Disposition unilatérale
C'est les cas des chaussées relativement
étroites, au bordées d'arbres sur un coté, au
présentant une courbure, auquel cas l'implantation se fera à
l'extérieur de la courbure afin d'assurer un guidage visuel permettant
d'apprécier l'importance du virage.
L'uniformité transversale de luminance
sera assurée pour de valeurs de h tells que : H = L
où H : hauteur
Figure III.2
L : largeur
III. 5. 2. 9. Disposition en quiconque
Pour les chaussées à double sens de circulation
l'uniformité générale d'éclairement sera meilleure,
mais il faut veiller à éviter l'aspect de serpentement nuisible
à la conduite.
L'uniformité transversale de luminance
nécessite des hauteurs de foyer telles que :
2
H
= -- L [III. 3]
3
III. 5 .2. 9. disposition en opposition
![](Etude-de-l-assainissement-de-leclairage-public-et-de-lamelioration-des-conditions-de-securi3.png)
Figure III. 4
Pour les chaussée très large au lorsqu'on est
tenu de respecter une certaine hauteur de foyer.
L'uniformité transversale de luminance
nécessite cependant que :
H
= 0,5 L
III. 5. 2. 11. Disposition axiale
Utilisée dans le cas des chaussées à
sable terre-plein centrale, cette implantation permet d'utiliser qu'un fut
poteaux crosse, ce qui signifie également l'alimentation
électrique.
En principe la disposition des sources alumineuse le long
d'un seul coté de la voie est en général
déconseillée.
III. 5. 3. Espacement
Comme nous a montré le tableau de
l'éclairage de différents types de voie que la distance entre
deux poteaux doivent être 3 à 5 fois la hauteur des
poteaux.
III. 5. 3. 1. Puissance du foyer
III. 5. 3. 2. Eclairement moyen de la chaussée
Selon la nature du revêtement de la route et le types
de luminaire employé, on a pu définir expérimentalement un
rapport R tels que :
Eclairement moyen (lux)
R
= ____________________________________
[III. 4]
Luminance moyenne (cd / m2)
La luminance moyenne désirée ayant
été fixée, l'éclairement à réaliser
sera d'autant plus élevé que la chaussée est
sombre.
III. 5. 3. 3. Facteur d'utilisation de la lumière
C'est le résultat du flux émis par lampe
tombant sur la partie utile de la chaussée, de largeur L.
Pour un luminaire donner ce facteur fu dépend
de l'ouverture des angles dièdres, du foyer intercepte la
chaussée.
La ligne de foyer et le côté de la route
opposée au foyer, définie par (L - a)/ h.
On distinguera donc deux facteurs
d'utilisation :
-
fu av et fu AR donc on fait la somme pour a > 0
-
fu av et fu aR dont on fait la différence pour a < 0
III. 5. 3. 4. Facteur de vieillissement
Due au vieillissement des lampes et à l'accroissement
de luminaire il est calculé pour une durée d'un an de
services.
La chute de flux des lampes peut ainsi être Selon la
durée d'allumage.
Durée
|
Sodium
HP
|
Tube
fluorescent
|
Bouillons
fluorescents
|
Sodium
BP
|
300
h
|
VL
= 0,95
|
0,90
|
0,85
|
0,85
|
600
h
|
0,95
|
0,85
|
0,80
|
0,80
|
9000
h
|
0,85
|
0,80
|
0,75
|
|
Tableau
n° III. 3.
L'encrassement de l'appareil est causé par une
réduction de flux annuelle V2 telles que :
Tableau
n° III. 4.
Il est à remarquer qu'un luminaire a vasque
retrouve, après nettoyage ses qualités initiales, ce qui peut
être le cas d'une optique non protégée.
Quand on considère que les lanternes ont une
durée de vie moyenne de 20 ans, l'intérêt de la vasque de
protection est indiscutable.
Flux émis par l'appareil après 1
an
V
= V1. V2 = ______________________________________________
[III. 5]
Flux émis initialement
III. 5.3 5. Choix des lampes
On peut alors déterminer le flux lumineux qui
peut émettre la lampe pour garder la luminance requise au bout d'un
an :
L. e. Lmoy. R
Ø
lampe = ______________________ [III. 6]
V. fu
III. 5. 3. 6. Rendement d'éclairage moyen de
lampes
Tableau
N° III. 5.
III. 5. 3. 7. Éclairage public point clés influe
sur la consommation d'énergie
a)
candélabre
Les candélabres peuvent être assainis pour adapter
aux nouveaux besoins, optimiser l'inclinaison et le bras (raccourcir, allonger,
optimiser l'inclinaison du luminaire).
b)
luminaire
User des réflecteurs à haut rendement et une
source lumineuse horizontale.
La lumière doit être diffusée sur la
surface à éclairer et ne permettra qu'une faible diffusion au
dessus de l'horizon (pollution lumineuse).
c)
source lumineuse
Utiliser des lampes au sodium haute pression ou d'autres
lampes à fond rendement d'éclairage.
d)
appareil d'exploitation
Les ballasts électroniques engendrent moins de
pertes que le système conventionnel.
Leur utilisation n'est cependant à envisager
qu'en cas de remplacement de luminaires.
e)
heures de fonctionnement
La déconnexion ou la réduction de
l'intensité d'éclairage permet des économies
d'énergie considérable.
Il s'agit généralement de diminuer la
puissance aux faibles fréquentations.
Prévoir une connexion et une
déconnexion via un détecteur crépusculaire.
La commande par interrupteur crépusculaire est
procédée dans les ordres d'allumages et d'extinction.
Son principe de fonctionnement tient compte du temps
et certaines conditions atmosphériques telles que :
-
l'obscurité
-
le brouillard
-
la lumière du jour
-
la pluie
-
l'éclipse du soleil
Ces information sont recueillies par une photo
thyristor à dispositif exploitant une propriété du
thyristor selon la quelle un flux éclairant sa fonction de commande
donne naissance à un courant.
Ce dernier provoque l'amorçage du
thyristor, et le rend conducteur.
Les opérations d'ouverture et de fermeture
s'effectuent à l'aide de ce thyristor associé à un
conducteur qui reste normalement fermé donc c'est pendant le
fonctionnement normal que le courant peut circuler dans le conducteur.
La cellule photo électrique quant à
elle, est caractérisée par le seuil de fermeture qui varie entre
80 à 100 eux, mais elle ne nécessite pas d'entretien.
Elle est installée dans le centre qui le
plus de 10.000 foyers lumineux vu les avantages et les inconvénients de
ce système de commande par interrupteur crépusculaire pour la
commande de notre installation publique.
Cet interrupteur sera placé sur la cabine
à l'extérieur
N
T
PHC
R
S
Rr s
B
F1 F1 F1
KM
F2 F2 F2
Figure III. 5
Légende :
F1 : fusible d'arrivée
PHC :
photo cellule
PH
: phase F1 : fusible du
départ
N
: neutre
RL
: retour
Km
: contacteur
B
: base de 2
f)
énergie renouvelable
Couvrir le besoin en électricité pour
l'éclairage public issu de sources renouvelables.
Les chemins non électrifiés peuvent
être équipés de lampadaires solaires.
III. 5. 3. 8. Calcul de nombres des poteaux et de la puissance
des lampes
III.
5. 3.8 a. Calcule de la puissance des lampes
III.
5. 3. 8. b. Implantation
Nous désirons éclairer la route poids lourds
avec les éléments aux caractéristiques suivantes :
-
longueur utile 10, 400 m
-
largeur utile 9 m
-
disposition, en opposition
-
type de luminaire, semi défilé
III. 5. 3. 9. Disposition des appareils
a)
hauteur du foyer
Ce comme on nous a montré dans le tableau III.5 de
différents types de voie que la hauteur du foyer sera = à la
largeur de la chaussée.
Pour notre cas nous allons prendre la hauteur de 12 m.
b)
espacement
Toujours comme on a vu dans notre tableau que l'espacement entre
deux poteaux sera égaux à 3 à 5 fois la hauteur des foyers
d'où nous prenons l'écartement entre deux poteaux de 36 m.
III. 5. 3. 10. Calcul de flux
Pour trouver le flux nous avons cette
équation :
l. é. Lmoy. R
Ø
= __________________ [III. 7]
f u
Avec:
l = largeur
e = espace entre poteaux
L = la luminan ce
E moy
R = le rapport _________ [III.
8]
L moy
f u = le facteur d'utilisation global.
9. 36. 0,5. 20
D'où Ø = __________________ = 8286 lum
0,391
III. 5. 3. 11. Puissance de lampe
Les lampes au sodium haute pression ayant efficacité
lumineuse de 100 lm / w, la puissance d'une lampe sera de : 250W
Comme nous somme dans l'éclairage public nous
allons prendre la lampe au sodium haute pression de250w.
Parc qu'elle doit être allumée, de
18h°° à 6h°° soit 12h
III. 5. 3. 12. Détermination de la puissance
apparente
Pt = N p x P u
[III. 9]
= 250 x 290 = 72500W
Pt
S = ____________
[III.10]
Cos p
72500
= __________ = 76315 VA
0.95
= 76 KVA
Np :
nombre de poteaux
Pt :
puissance totale
En tenant compte, des considérations ; le
résultat de l'éclairage de point de vue sécurité
peut se ramener à la condition suivante :
-
d'assurer une perception sure et rapide en les sécurisant, en
protégeant leurs biens.
-
L'amélioration considérable de la visibilité pendant la
nuit pour les automobilistes à une distance de plus d'uniformité
en tenant compte de la distance autorisée qui est de 50 à 100
m ; l'obtention de ce résultat suppose de l'éclairement des
chaussées assez élevées.
La relation suivante nous permettra d'avoir les nombres de
poteaux à placer :
L
Np
= _____ + 1 [III.
12]
e
Ou
Np : nombre de poteaux
L : longueur total de la route
e : espace entre deux poteaux.
Nous
aurons alors :
10,400
Np
= ____________ + 1 = 289.8 290poteaux
36
Comme
les poteaux et en opposition alors :
Np
= 580 poteaux et lampadaires.
III. 5. 3. 12. Calcul des paramètres
électriques
III. 5. 3. 13. Chutes de tension
Pour calculer la chute de tension entre deux points d'un
fil conducteur, la loi d'ohm nous donne la tension relation existante, lorsque
la d.d.p constante de 1 volt est appliquée entre les deux points
produits dans le conducteur d'un courant de 1A.
ÄU=
R. I
Avec :
ÄU : chute de tension de la ligne (v)
R : résistance du linge (Ù)
I : intensité de la ligne (A)
La
résistance :
L
R= ñ ____
[III.13]
S
Donc
ñ : la résistivité du conducteur à
20°
S : résistance du linge (Ù)
I : intensité d le linge (A)
On va pouvoir exprimer cette chute en pourcentage, alors on admettra
une chute de tension = à 5% pour la distribution.
III. 5. 3. 14. La puissance installée
La puissance totale de toute cette installations sera
donnée par :
PT :
puissance totale
PL :
puissance des lampes
Les lampes luminaires des parcours auront une puissance de
250W pour éviter une grande chute tension sur la route, cette puissance
sera équilibrée limitation partielle des cabines à
implanter.
III. 5. 3. 15. Intensité du courant
L'intensité à considérer tiendra compte
de la puissance totale et de la tension
P = U.I. COSñ
[III. 14]
P
I = _____
U. COSñ
III. 5. 3.16. Intersistance du point lumineux
En tenant compte du point de vue de la
sécurité, l'éclairage rationnel de routes à grande
circulation couvre une importance de la première
nécessité, la disposition dépend de la longueur de
voie.
Le tableau ci-dessous donne quelques paramètres
à considérer
Figure III. 6
H
En
sachant que : a = ___ + 0,60
h
On
a : a = 1,80m
H = 12m
H = H - a
h = 12 - 1,80 = 10,20m h = 10 m
La partie des foyers est donnée par l'expression
suivante :
P
= n. h [III.15]
Alors :
p = 4.10
P = 40m
III. 5.3.17. Calcul de l'angle d'incidence
Nous pourrons alors connaître l'angle d'incidence
à partie de la théorème de Pythagore.
AB2
= OA2 + OB2
AB
= v OA2 + OB2
AB
= v (20)2 + (10)2
AB
= v 400 + 100
AB
= v 500
AB
= 22m
Nous
savons que:
OA
Sin á = ____
BA
20
Sin á = _____
22
Sin á = 0,9
á = arc sin 0,9
á = 64°
B
p
R = _____
2
h á
40
R = _____ = 20 m
H
2
A
O R
a
Figure III. 6
III. 5. 3. 18. Calcul de l'intensité lumineuse
L'éclairement horizontal varie de 1 à 4 lux
mais cependant nous prendrons 3 lux.
E. h2
I
L = ________
[III.17]
Cos3 á
3. (10)2
I
L = ___________
Cos3. 64°
3. 100
= __________ = 4687,5 cd
0,064
Nous avons 4 caractéristiques des lampes à sodium
à haute pression :
P = 250w
Ô = 2000 lum
C = 45 uf
Cos ñ = 0, 9
III. 5. 3. 19. Éclairement moyen de la
chaussée
L'éclairement moyen est donné par l'expression
suivante :
ÔL
E
moy = ______
[III. 18]
S
S : ð. R2
[III. 19]
Avec,
E moy : éclairement moyen en lux
Ô L : flux lumineux en Lim
S : surface d'éclairement en m2
R : rayon d'éclairement en m
R = 20 m
S = (3,14). 202
= 3,14. 400
= 1256 m2
Pour
les lampes choisies Ô L = 2.000 lum
2.000
E
moy = _________ = 1, 59 2 lux
1256
III.
5 4. Puissance installée
En sachant que la Pi = Ó Pn
Avec :
Pn : puissance nominale de lampe
Pn : 250 w
Alors,
Pi = 580 õ 250 w
Pi = 145000 w
= 145 kW
Pour
le cas de l'éclairage public, la puissance demandée
vaut :
Pd
= Ku. Ks. Pi
Avec
Ku = 1
Ks = 1
Pd = 145 kW
III.
5. 4.1. Détermination de nombre de cabine et de puissance d'une
cabine
Pour les réseaux d'éclairage public
alimenté dans une même cabine que données la chute tension
va jusqu'à 6% pour un rayon d'action de 1 km.
Pour un rayon d'action de 1 km, la chute de tension de 6% le
nombre de poteaux qu'elle comportera sera :
L1
Np1
= ______ + 1 [III. 20]
p
Avec,
L1 : longueur d'action d'une cabine
L1 = 1km = 1000 m
Np1 = nombre de poteaux d'une cabine
1000
Alors,
Np1 = _________ + 1
36
= 28,7 29
Np1 = 29 poteaux
Le
nombre des poteaux par cabine ayant été trouvé, nous
pourrons calculer la puissance d'une cabine qui sera égale
à.
Pc = Np1. PL [III.
21]
Avec,
Pc : puissance nominale à sautieré par cabine
PL : puissance d'un point lumineux
Np1 : nombre des poteaux par cabine
Alars :
Pc = 29 õ 250 = 7250 w
= 7 kW
Pc 7250
Sc = _____ = _________
Cosñ 0,9
= 8055 Va
Sc = 8 KVa
Connaissant la puissance à soutirer par cabine, nous
pouvons déterminer le nombre de cabines.
Pt
Nc
= _____
[III. 22]
Pc
Avec,
Pt : puissance totale de nombre des points lumineux
Pc : puissance à soutirer
145000
Alors :
Nc = ___________ = 20
7250
Donc il faut soutirer l'énergie électrique dans
vingt (20) cabines.
III. 5. 4. 2. Résultat du calcul de l'éclairage
public
Cela est résumé dans le tableau
ci-dessous
III. 5. 4. 3. Lampe à vapeur de sodium (Na)
Les lampes à vapeur de sodium (Na) ne sont que des
lampes à décharge utilisant la vapeur de sodium comme gaz
principal et d'autres éléments tels que :
-
le néon pour des lampes à vapeur de sodium basse pression
BP
-
xénon et mercure pour des lampes à vapeur de sodium HP.
III. 5. 4. 4. Lampe à vapeur de sodium (BP)
1.
présentation
-
Culot en porcelaine
-
Embase métallique
-
Tube en décharge, verre spécial contenant du néon et du
sodium
-
Cloche à vide formant le manchon iso thermique protégeant la
lampe contre la variation de la température extérieur, couverte
à l'intérieur d'une couche d'indium.
Nb :
la couche d'indium laisse passer les rayon visibles mais reflète les
rayon invisibles ; ce qui augmente la température intérieur
de la lampe, le flux lumineuse et le rendement de la lampe.
![](Etude-de-l-assainissement-de-leclairage-public-et-de-lamelioration-des-conditions-de-securi4.png)
Figure III. 7
2.
Fonctionnement
Des la mise sous tension, la décharge s'amorce dans le
néon.
Cette décharge de la température qui
amène le sodium à se vaporiser et à s'ioniser.
Durant l'amorçage, la lampe donne une lumière
rouge due au néon, cette couleur devient progressivement jaune orage et
de plus en plus intense à cause du sodium lorsque la décharge
atteint son plus maximum.
3.
Caractéristiques
Les caractéristiques de lampes à vapeur de
sodium BP sont :
-
donne sa pleine lumière après 5 à 10 minutes.
-
Durée de vie plus au moins 6000 heurs
-
Efficacité lumineuse 150 Lum par watt.
-
Pas d'éblouissement
-
Accroissement de l'acquitté visuel dans un milieu brimé.
4.
Utilisation
Les lampes à vapeur de sodium BP sont
utilisées :
-
dans l'éclairage public (route, carrefour, pont et passage
dangereux)
-
dans l'éclairage industriel, châtier, engard.
III. 5. 4. 5. Lampe à vapeur de sodium HP
1.
Présentation
Figure III .8
![](Etude-de-l-assainissement-de-leclairage-public-et-de-lamelioration-des-conditions-de-securi5.png)
-
culons à vis
-
remplissage sous HP de sodium (donne une haute efficacité
lumineuse)
-
remplissage dans le brûleur du :
·
xénon : facilité la décharge initiale
·
mercure : réduit le temps de mise en régime.
NB :
la haute pression dans le tube à décharge permes de
réduire la dimension du brûleur de telle sorte que ces lampes
peuvent entre considérées comme ponctuelles.
2. Fonctionnement
La décharge initiale est provoquée dans le
brûleur par une pointe de tenson fournie par démarreur dans le
brûleur par ce générateur de pointe de tension ne
fonctionne que pendant l'amorçage de la lampe.
La décharge dans le néon suit le même
processus que les lampes à vapeur de sodium basse pression, tan disque
la mise en régime est obtenue en 4 minutes.
3.
Caractéristiques.
Lampe à vapeur de sodium HP donne :
-
une lumière blanche dorée à cause de la pression
élevée
-
un bon rendu de couler
-
une haute efficacité lumineuse : 75 à 100 Lum /
watt.
L'installation d'un système d'éclairage public
engendre souvent d'importants travaux de raccordement au réseau
électrique.
De tels projets s'avèrent onéreux, voir
mêmes impossibles lorsqu'il s'agit de sites isolés.
L'énergie protodorique dont les
caractéristiques de fonctionnement répond exactement aux
contraintes de ces types d'applications sans problème de
raccordements.
Ces lampadaires présentaient les
caractéristiques suivantes :
-
autonomie énergétique
-
performances élevées
-
fiabilité
-
faible maintenance
CONCLUSION GENERALE
Il est parfois malheureux de parler de l'éclairage public sans en avoir
au préalable localisé le site, c'est ainsi que dans le cas de
notre travail, nous avons parlé d'un site connu de tous, qui n'est autre
que la route de poids lourds :
1.
De cette étude nous avons d'abord donnée les faits
généraux sur l'éclairage public.
2.
ces analyses et renseignement qui sont ici considérés comme de la
définition et des origines de la lumière, nous avons pensé
porter nos attentions sur les définitions des milieux publics et leur
classification.
La route de poids lourds sur laquelle notre étude est portée,
nous conduit à nous orientés vers son historique qui remonte
à l'époque coloniale vers les années 1954 lorsque le
quartier kingabwa alors habité par les autochtones était devenu
commune annexe à la zone de Léopoldville.
L'importance de la route devenant alors très élevée, car
non seulement elle servait de sentier pour les TEKES et HUMBUS, mais aussi
elle devait à cette époque servir de la voie d'évacuation
des produits car la commune de limete était devenue un secteur
industriel très important ; d'où la nécessité
de son électrification.
Portant de ce qui précède, nous avons d'abord commencé
à faire l'inventaire de ce qui existe c.a.d, connaître le nombre
des poteaux, lampes et conducteurs électriques qui peuvent encore
être récupérés et en plus faire le redimensionnement
de ce réseau d'éclairage public de la route poids lourds.
De cette étude il se dégage le résultat suivant, il nous
faut :
BIBLIOGRAPHIE
OUVRAGE
1.
LA ROUSSE
2.
Hubert LARGEAD, SCHEMA ELECTRIQUE: PROF de techniques générales
au centre de formation de paris troisième édition revue et
corrigée G1, paris 1991
3.
pierre Yves Beaurepaire, l'Europe des lumières. Paris, puf, 2004
4.
Christine le bozec, la Normandie au XVIII em siècles : croissance,
lumières et révolution, rennes, éditions Ouest-France,
2002
5.
Pierre Colan : siècle de lumière, Bibliographie chronologie,
Genève, Dalloz, 1983.
NOTE
DES COURS
1.
Prof : André BANDEKELA KAZADI
ASS : KASINDI LUBATI
SCHEMA ELECTRIQUES, II emeEdition, 2009
2.
Prof : Bernard NDAYE NKAKA
PRODUCTION, TRANSPORT ET DISTRIBITION DE
L'ENERGIE ELECTRIQUE. Editions express press, 2007
3.
C.T : Jacques NYEMBO BIYULE Doctorant en science applique à
UPN
APPLICATION DE L'ENERGIE ELECTRIQUE
TFC :
BUELA ALEMBAMI héritier : avant projet d'implantation
d'un réseau d'éclairage public dans les
av périphérique de la commune de
Matete
SITE
WEB:
Http/ fr. wikipedia. Org/ wiki/ Kinshasa.
Catégories: Kinshasa/ démographie de la
république du Congo
www. Romande-énergie. Ch., romande
énergie
www. Efficace. Agence suisse pour l'efficacité
énergétique
www. Slg. Ch., association suisse pour
l'éclairage.
INTRVIEW :
Papa MBOYO chef du quartier chargée des
populations de
Kingabwa Limete
(0895557787)
TABLE DE MATIERES
INTRODUCTION
GENERALE :....................................................1
PROBLEMENTIQUE :.................................................................1
BUT
ET INTERT DU
SUJET :.......................................................1
OBJECTIF
DU
TRAVAIL :...........................................................1
METHODOLOGIE :....................................................................2
SUBDIVISION
DU
TRAVAIL :......................................................2
CHAPITRE I. GENERALITES SUR L'ECLAIRAGE
PUBLIC :............3
I. 1. NOTOINS DES
PHOTOMETRIES :..........................................3
I.
1. 1. Définition de
l'éclairage :............................................................3
I.
1. 2. Caractéristique d'une
radiation :................................................4
I.
1. 3.
Eclairement :.......................................................................4
I.
1. 4. Projet d'éclairement
simple :....................................................5
I.1.
5. Courbe d'efficacité
lumineuse :..................................................5
I.
1. 6. Types
d'éclairage :................................................................6
I.
1. 7. L'éclairage
naturel :..................................................................6
I.
1. 8. L'éclairage
artificiel :.............................................................6
I.
1. 9. Source de l'éclairage
artificiel :.................................................7
I.
1. 10. Caractéristiques des
sources :..................................................7
I.
1. 11. L'intensité
lumineuse :.............................................................8
I.1.
12. Efficacité
lumineuse :...........................................................9
I.
1.13. Perception
lumineuse :.........................................................9
I.
1. 14. La luminance :
..................................................................10
I.
2. ORIGINE DE LA
LUMIERE :................................................19
I.
2. 1. La lampe à
huile :................................................................12
I.
2. 3. La bougie
stéarique :................................................................12
I.
3. COMPOSITION DE
LALUMIERE :.........................................14
I.
3. 2. Nature
vibratoire :...................................................................14
I.
3. 3. Nature
énergétique :.............................................................14
I.
3. 4. Nature
corpusculaire :...........................................................14
I.
4. DEFINITION DE MILIEU
PUBLIC :.......................................14
I.
4. 1. Milieu
populaire :...............................................................14
I.
4. 2. Milieu
géographique :..........................................................15
I. 5 : CLASSIFICATION ET SORTES DU MILIEU
PUBLIC..............16
I.
5. 1. Milieu public qui n'appartient pas
personne :..............................16
I.
5. 2. Milieu public
réservées :.......................................................16
I.
5. 3. Milieu public don usage est réservé une catégoriel
des personnes :......16
I.
5. 4. Sortes des milieux
publics :...................................................17
I.
5. 4. 1. Milieu public
réservées :....................................................17
I.
5. 4. 2. Milieu public ouvert en usage
commun :.................................17
I.
5. 4. 3. Milieu public réservées pour utilisation en
communauté :.............17
CHAPITRE II. DESCRIPTION DE LA ROUTE POIDS
LOURDS :.......18
II.
1. Historique de la route poids
lourds :............................................18
II.
2. Capitale
grandissante :.............................................................20
II.
3. Dimensionnement :
...............................................................21
II.
4. Objectif de la route poids
lourds :................................................21
II.
5. Situation géographique :
.........................................................22
II.
6. Subdivisions :
......................................................................23
II.
7. Caractéristiques géo topologique de la route poids
lourds :..................24
CHAPITRE
III. ETUDE DE L'ASSAINEMENT DE L'ECLAIRAGE PUBLIC SUR LA ROUTE POIDS
LOURDS :...................................26
III.
1. Détermination de nombre des poteaux et nombre des
lampes :.............26
III.
2. État actuel de l'éclairage public sur la route des poids
lourds :............26
III.
3. Dimensionnement de l'élément conducteur et
élément de protection :...27
III.3.1.
élément
conducteur :............................................................27
III.
3. 2. élément de
protection :.......................................................27
III.
4. ANALYSE DE L'ELEMENT DE TRANSFORMATION :..........28
III. 5. PROBLEME DE LA CONDITION DE SECURITE ET DE
L'ELIRATION DE
L'ISTALLATION :..........................................29
III. 5. 1. CONDITION DE
SECURITE :..........................................29
III.
5. 1. 1. Améliorations de sécurité :
...............................................29
III.
5. 1. 2. Choix de canalisation souterraine :
......................................29
III.
5. 1. 3. Conducteur :
................................................................29
III.
5. 1. 4. Signalisation de
sécurité :..................................................30
III.
5. 1. 5. Alarme contre
vol :.........................................................30
III.
5. 2. AMELIORATION DE
L'INSTALLATION :................................34
III.
5. 2.1. Éclairage de différents types de
voie :....................................34
III.
5. 2. 2. Le principe de
base :........................................................35
III.
5. 2. 3. Le niveau de la
luminance :................................................35
III.
5. 2. 4. La limitation de l'éblouissement
d'inconfort :..........................35
III.
5. 2. 5. Efficacité du guidage
visuel :.............................................36
III.
5. 2. 6. Hauteur du
foyer :..........................................................36
III.
5. 2. 7. Disposition des
appareils :................................................36
III.
5. 2. 8. Disposition
unilatérale :...................................................36
III.
5. 2. 9. Disposition en
quiconque :................................................37
III.
5. 2. 10. Disposition en
opposition :...............................................37
III.
5. 2. 11. : Disposition
axiale :.......................................................37
III.
5. 3.
ESPACEMENT :............................................................38
III.
5. 3. 1. Puissance du
foyer :........................................................38
III.
5. 3. 2. Éclairement moyen de la
chaussée :.....................................38
III.
5. 3. 3. Facteur d'utilisation de la
lumière :.......................................38
III.
5. 3. 4. Facteur de
vieillissement :.................................................38
III.
5. 3. 5. Choix des
lampes :.........................................................39
III.
5. 3. 6. Rendement d'éclairage moyen de
lampes :............... ..............40
III.
5. 3. 7. Éclairage public point clés influe sur la consommation
d'énergie :..40
III.
5. 3. 8. Calcul de nombres des poteaux et de la puissance des
lampes :......43
III.
5. 3. 8. a. calcul de la puissance de
lampes :.....................................43
III.
5. 3. 8. b.
Implantation :............................................................43
III.
5. 3. 9. Disposition des
appareils :................................................43
III.
5. 3. 10. Calcul de
flux:............................................................44
III.
5. 3. 11. Puissance de
lampes :.....................................................44
III.
5. 3. 12. Détermination de la puissance
apparente :.............................44
III.
5. 3. 13. Calcule des paramètres
électriques :....................................46
III.
5. 3. 14. Chutes de
tension :.........................................................46
III.
5. 3. 15. La puissance
installée :...................................................46
III.
5. 3. 16. L'intensité du
courant :...................................................46
III.
5. 3. 17. Intersistance du point lumineux :.............................
...........47
III.
5. 3. 18. Calcul de l'angle
d'incidence :..........................................47
III.
5. 3. 19. Calcul de l'intensité
lumineuse :........................................49
III.
5. 3. 20. Éclairement moyen de la
chaussée :....................................49
III.
5. 4. PUISSANCE
INSTALLEE :...............................................50
III. 5. 4. 1. Détermination de nombre de cabine et de
puissance d'une cabine :.50
III.
5. 5. 2. Lampes à vapeurs de sodium
:...........................................52
III.
5. 5. 3. Lampes à vapeurs de sodium
(BP) :.....................................52
III.
5. 5. 4. Lampes vapeurs de sodium
(HP) :......................................54
CONCLUSION
GENERALE :......................................................56
BIBLIOGRAPHIE :....................................................................57
TABLE
DES
MATIERES :...........................................................59
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