AVANT-PROPOS
« Criton, nous devons un coq à
Asclépios », disait Socrate. Le présent
mémoire, marquant la fin de mon deuxième cycle de philosophie,
est un édifice bâti avec des pierres et des mains de
différentes personnes, à qui « je dois un
coq ». Le paiement de cette dette réside dans les mots de
gratitude, reconnaissance et remerciement que je leur exprime dans cette page.
Mon coeur sait qu'ils méritent plus.
Je rends un hommage mérité et
déférent au professeur Macaire Abe Pangulu qui, de par sa
disponibilité, son substantiel apport documentaire et sa probité
intellectuelle, n'a ménagé aucun effort dans la direction de ce
mémoire. Je reconnais en lui un maître soucieux de l'excellence
scientifique.
La même expression de gratitude s'adresse au Doyen de la
Faculté des Lettres et Sciences Humaines, le professeur Phambu-Elie
Ngoma Binda, aux membres du Bureau du Département de Philosophie, le
professeur Jean-Christ Kinanga Masala, le professeur Alexis Mpoyi Mukala, le
chef de travaux Jacques Ngangala Balade, respectivement Chef de
Département, Secrétaire à l'enseignement et
Secrétaire à la recherche. A travers eux, je tends une palme d'or
à tous les professeurs, Chefs de Travaux et Assistants de la
Faculté des Lettres et Sciences Humaines qui, de près ou de loin,
ont contribué à ma formation intégrale.
Je remercie ici toutes celles et tous ceux qui ont
aiguisé ma soif des études universitaires. Je ne peux les nommer
toutes et tous, mais je veux tout de même citer quatre noms : celui
de l'honorable Juliette Mbambu Mughole, dont la générosité
inextricable m'a été providentielle au moment du tournant
décisif de ma vie ; celui de Maître Thierry Kasereka Sokulu
et son épouse, dont l'hospitalité au sein de son foyer m'a offert
un cadre propice de détermination et d'engagement existentiel ;
celui du Chef de Travaux Henri-Jacob Ndobo Koti Kpata, qui m'a initié
à la pratique administrative ; celui du Professeur Rombaut Mimbu
Ngayel, dont la sagesse, le savoir faire et l'expérience professionnelle
m'ont initié à l'amour du travail fini et bien fait.
Par ailleurs, l'épiphanie de mon être a
trouvé son plein épanouissement en famille. Ainsi, j'ai un
réel plaisir de gratifier mes grands parents ; mes tantes et
oncles ; mes frères et soeurs Innocent Bakwanye, Nicolas Kabunga,
Pierrot Kavunga, Hermélinde Aloza, Chantal Kavunga et Mbambu
Kabunga ; mes cousins et cousines Modeste Mughongolo, Alain Mughongolo,
Georges Kakule Mukosasenge, Bertier Mathe, Paluku Matsande, Germain Matsande,
Gentil Kisune, Grâce Mathe, Anifa Mathe, Jeanine Mughongolo, Denise
Matsande, Anitha Matsande ; mes neveux et nièces Mowa, Diego,
Bienvenu, Salomé Kunahimbire, Mamie, Nia, Léa, Diane, Nancy.
Je tiens à remercier sincèrement ma belle
famille, pour sa confiance. Je pense particulièrement à mes beaux
parents Dieudonné Kasereka Katuko Mathe et Pauline Kakule Mbeva ;
à mes belles soeurs Consolée Vira Mukiranya, Martine Mbambu
Mwasimuke et Victorine Katungu ; à mes beaux frères
Deogratias Muhindo Mukandirwa et son épouse Gisèle Kambesa,
Pacifique Kambale Mathe et Benoît Kasereka Mukandirwa.
Enfin, je me dois de remercier ceux qui m'ont
témoigné leur amitié : Serge Kasisivahwa, Adelard
Kambale et Ange Nswete Midimi, les soeurs Francine Wasukundi Kasivirwa et
Aimérance Mandefu Kavira, l'Abbé Robert Kisimba Muyambi, Michel
Makangila, Jonathan Kankonde, Muamba Ngueshe, André Saïo Muanda
Lusala.
Je m'en voudrais de ne pas redire à mon épouse
Stella Kavugho Sivwira à quel point sa patience, sa sagesse, sa
compréhension, sa motivation et son appui m'ont soutenu au cours de la
réalisation de ce mémoire. Je la remercie infiniment pour
l'affection, la ténacité, l'encouragement et l'empathie dont elle
n'a cessé de faire montre avec grande constance et abnégation.
A vous tous, je dis que « mon avenir serait fou
et flou sans votre secours ». Votre appui tant financier,
matériel que morale justifie à présent ce cri de mon coeur
: « Si longue et tortueuse que soit la route, le voyageur
béni, chanceux, vigilant et opiniâtre arrive toujours à
destination, par la grâce de Dieu qui nous bénit en
Jésus-Christ sous l'action du Saint Esprit ».
Michel Kakule Kabunga
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