Université de Sousse Institut
Supérieur de Gestion de Sousse
MEMOIRE POUR L'OBTENTION DU DIPLÔME DE
MASTER DE RECHERCHE EN ENTREPRENEURIAT
L'intention de créer une start-up en
TIC : cas des ingénieurs tunisiens.
RECHERCHE ELABOREE PAR: DIRIGEE PAR :
Aymen BEN CHEIKH Dr. Thierry -Lévy
TADJINE
Année universitaire : 2007-2008
REMERCIEMENTS
Mes vifs remerciements s'adressent à tous ceux qui de
prés ou de loin ont participé à l'élaboration de ce
travail.
Je tiens en particulier à exprimer ma profonde gratitude
à
Dr. Thierry Lévy TADJINE
qui m'a permis de se procurer ses précieux conseils et de
se profiter de ses compétences intellectuelles et académiques.
Ses remarques et directives m'ont été d'une
grande utilité ainsi que pour son accueil chaleureux au Liban, qu'il
trouve ici le témoignage de ma reconnaissance.
Je tiens à remercier aussi les membres de jury qui ont
accepté de juger ce travail.
Ma gratitude va aussi à Dr Nehme Azoury le doyen de la
Faculté de Gestion et des Sciences Commerciales de l'Université
Saint- Esprit de Kaslik (USEK)pour son invitation à effectuer un stage
de perfectionnement à la recherche au sein du Centre de Recherches en
Economie et Gestion (CIRAME).
Je tiens à remercier Dr. Hajer Jarrar, Dr. Amale
Kharrouby et Dr. Charbel Karam, Dr Nayla Menhem, Elie Azzi et Nicolas
Choueifaty Professeurs assistants a l'USEK pour leurs précieux conseils
et pour les discussions que nous avons pu avoir sur mon sujet de recherche.
Merci aussi aux deux doctorantes Léna Saleh et Maria Hilal qui ont eu la
gentillesse de s'intéresser a mon travail.
Mon travail n'a pas pu être réalisé
qu'avec le concours d'un grand nombre d'ingénieurs qui ont
accepté de me recevoir et de compléter un long questionnaire.
Je tiens à exprimer surtout mes remerciements à
Mme. Sana Ghenima P.D.G Sanabilmed, Mr. Med Tijani Ben Jemaa, Vice
Président international du comité de l'information et de la
communication au sein de la fédération internationale des
organisations d'ingénieurs, les membres de bureau national de l'ordre
des ingénieurs de Tunisie, Mr. Mohamed Hmaid Ingénieur chercheur
au CERT et Mme. Hajer Bellalouna chef département Gestion au sein de la
Sup'com, qui ont la gentillesse de m'aider lors de mon enquête
préliminaire.
Je témoigne aussi ma plus grande sympathie aux
bibliothécaires du comité de coordination du RCD de Sousse : Mme.
Fekria,
Mme. Radhia et l'attaché du presse de la maison «
L'action » :Mr. Elarbi Kortas de toutes aides apportées tout au
long de ma recherche bibliographique.
Mes vifs remerciements s'adressent à Pr. Yvon Gasse
directeur des relations internationales, Faculté des sciences de
l'administration, Université Laval -Québec- et Pr. Truls Erikson
de l'université norvégienne des sciences et des technologies pour
leur aide précieuse qu'ils m'ont donnée.
Je ne saurais oublier de remercier Mr .Mongi Soyed assistant a
l'école des ingénieurs de Sousse et Karama Dali doctorante a
l'université de Reins qui ont contribué par leurs
réflexions à l'enrichissement de mon travail de recherche.
Je tiens à remercier Mr. Wassim Aloulou doctorant
à l'université de Grenoble pour son accueil à la
faculté de gestion de Sfax et ses conseils précieux qu'il m'a
donné.
Au niveau méthodologique, ma gratitude va bien entendu
au Professeurs assistants Jean François Verne et Elie Choueiry de l'USEK
qui ont m'ont aidé dans la partie de l'analyse des données .Les
questionnements que j'ai pu partagés avec chacun d'eux ont
été essentiels a la construction de ce travail.
Je tiens à exprimer mes gratitudes à Mr. Mahmoud
Ghenima et Mr. Mahmoud Romdhane secrétaire général du
comité de coordination du RCD de Sousse qui m'ont aidé à
effectuer mon stage de perfectionnement à la recherche en Liban.
J'exprime aussi mes sincères reconnaissances à
tous les enseignants de l'Institut Supérieur de Gestion de Sousse qui
ont contribué à l'enrichissement de mes connaissances et à
ma formation académique tout au long de mon parcours universitaire.
Enfin, je tiens à remercier ma soeur Zouhour et mon ami
Saber pour leur relecture attentive et mon ami Nadhmi pour le design de la
couverture.
Sommaire
Introduction Générale
Première Partie : Le cadre conceptuel de
l'intention de créer une start-up en TIC
Introduction
Chapitre introductif : L'entrepreneuriat en technologies
d'information et des télécommunications en Tunisie :
caractéristiques et spécificités.
Section I - Définition
Section II - L'importance de secteur des nouvelles technologies
en Tunisie Section III - Les atouts de secteur des nouvelles technologies en
Tunisie
Section IV - L'essaimage technologique: une politique
d'encouragement a l'initiative
privée en Tunisie
Chapitre 1 : La création d'une start-up : un
phénomène d'émergence organisationnelle
Section I - La création des entreprises : un
phénomène entrepreneurial
Section II - La création d'une start-up : une forme
d'émergence organisationnelle
Chapitre 2 : Les Théories explicatives de
l'intention entrepreneuriale
Section I - Les approches explicatives de l'intention
entrepreneuriale Section II - Les modélisations théoriques des
intentions entrepreneuriales
Conclusion
Deuxième Partie : Modélisation et mesure
empirique de l'intention des ingénieurs tunisiens de créer une
start-up en TIC.
Introduction
Chapitre 1: Le modèle conceptuel de l'intention
d'entreprendre
Section I - La modélisation restreinte de l'intention
d'entreprendre Section II - Le choix de méthodologie de recherche
Chapitre 2 : La méthodologie de la mesure des
construits du modèle de l'intention entrepreneuriale
Section I - La méthodologie de la mesure : le paradigme de
Churchill (1979) Section II - Les résultats de la validation des mesures
de la recherche
Section III - La validation du modèle structurel
Chapitre 3 : La formation des variables explicatives
environnementales de l'intention de créer une Start-up : dans une
approche empirique.
Section I - Les antécédents environnementaux de la
faisabilité perçue.
Section II - Les facteurs environnementaux sous- jacents à
la désirabilité perçue. Section III- Les
déterminants environnementaux des variables explicatives de l'intention
d'entreprendre.
Conclusion
Conclusion Générale
Introduction Générale
La mondialisation de l'économie par le biais du
développement fulgurant des nouvelles technologies a
précipité l'avènement de la société de
l'information. Il a de même favorisé l'émergence d'une
économie planétaire, globale et fondée sur le savoir. Elle
a attiré l'attention sur un certain nombre de facteurs importants pour
la vitalité économique des différentes régions du
globe, en particulier l'importance des technologie de l'information et des
télécommunications (TIC) et celle de la création et du
développement de nouvelles entreprises par des promoteurs
créateurs du secteur privé en particulier. Dans cette
dernière décennie, la Tunisie a fait du secteur des nouvelles
technologies parmi ses principaux axes de sa stratégie de
développement et a choisi la libéralisation, en tant que
politique de développement qui passe par une politique d'incitation
à l'initiative privée à travers différents
avantages accordés aux jeunes créateurs (infrastructure
adéquate, financement, avantages fiscaux et administratives,
accompagnement ect...). La création d'entreprise apparaît en
effet, comme source de richesses nouvelles, d'emplois, d'apprentissage
technique et technologique, de développement de relations industrielles,
etc. C'est un impératif non seulement économique mais aussi
social. Dans le contexte tunisien, le nombre de jeunes qui
arrivent en âge de travailler chaque année est en
progression continue et une bonne partie de
ces jeunes vient augmenter le nombre de chômeurs. Un
investissement privé dans des projets
Commentare [Mr1] :
Commentaire [Mr2R1] :
de haut potentiel technologique, en particulier dans les
régions défavorisées, peut alléger ce
déficit dans les emplois à créer.
En effet, les secteurs des TIC en Tunisie représentent
un volume d'investissement de 5302 MD et de 30.000 emplois crées dont la
participation du secteur privé est de 70%1 .Ainsi la
capacité d'innover et de diffuser les technologies nouvelles
représente un enjeu décisif pour la croissance et la
compétitivité de l'économie tunisienne et par la
même pour l'emploi. Ces secteurs dans lesquels les entreprises
tunisiennes nouvellement crées sont appelées a se
1 D'après le Dixième plan de
développement 2002 - 2006
dévelloper se révèlent
déterminants qu'il s'agissent des nouvelles technologies de
l'information et du télécommunication ou du High-Tech en
général.
Avec les incitations à l'initiative privée et
les opportunités d'affaire présentes en Tunisie, il est devenu
essentiel d'exceller dans les activités technologiques et
académiques. Dans le cadre de cet effort collectif, les
ingénieurs qui, en raison de leur formation scientifique et technique,
sont considérés par la littérature entrepreneuriale, comme
porteurs « par nature » d'innovations à fort
contenu technologique (Fayolle ,2001)2 , doivent jouer un
rôle plus important dans le rétablissement de la situation
socio-économique de la Tunisie et participer plus activement au
processus d'innovation industrielle et de transfert technologique dans toutes
les régions du pays. Ce défi requiert une forte dose
d'entrepreneuriat technologique tant dans les domaines du design, du
développement de logiciels, de la production et de la commercialisation
de produits et de procédés innovateurs, que dans la prestation de
services de génie-conseil. Bref, il faut augmenter la fréquence
et le rythme de l'innovation dans tous les secteurs.
L'entrepreneuriat technologique est particulièrement
important pour les ingénieurs, non seulement à cause de leur
formation mais aussi de leur expérience. Les ingénieurs sont
très bien placés pour jouer un rôle crucial dans le
processus d'innovation qui peut devenir le facteur clé de notre
compétitivité dans l'économie mondiale.
La recherche sur les ingénieurs et l'entrepreneuriat
n'est pas un fait nouveau. Alain Fayolle est le premier auteur à
s'être intéressé, vers la fin des années 1990, aux
comportements entrepreneuriaux des ingénieurs français. Mais
l'étude des facteurs explicatifs et de la formation de l'intention
à entreprendre dans le contexte des ingénieurs est rarement
abordée dans les recherches.
L'intention permet de prédire les comportements.
Comprendre et expliquer ce processus cognitif nous informera pourquoi un
individu est engagé dans le processus entrepreneurial bien avant de
rechercher une opportunité ou de décider quel type
d'activité lancer. L'intention entrepreneuriale nous éclairera
sur les facteurs personnels et situationnels qui interviennent dans le
processus de décision d'entreprendre où l'on accorde un
intérêt croissant aux attitudes et aux perceptions.
2Fayolle A .(2001) :D'une approche typologique de
l'entrepreneuriat chez les ingénieurs à la reconstitution
d'itinéraires d'ingénieurs entrepreneurs, Revue de
l'entrepreneuriat - Vol 1, n°1, 2001, p .77.
L'étude de l'intention entrepreneuriale, selon Bird
(1988)3, fournit une voie avancée de recherche qui permet de
dépasser les études descriptives sur le phénomène
entrepreneurial. Krueger et Carsrud (1993)4 signalent que la
création d'entreprise est un événement assez rare. Etudier
les intentions offre une idée et une compréhension
adéquate du processus entrepreneurial.
Shapero (1984) et Ajzen (1991) ont fourni des modèles
conceptuels susceptibles de décrire et expliquer la formation de
l'intention d'entreprendre à partir de certains déterminants.
En plus, en combinant le modèle de la formation de
l'événement entrepreneurial de Shapero (1984) et le modèle
du comportement planifié de Ajzen (1991), Krueger (2000) a
présenté , un modèle basé sur l'intention pour
expliquer l'activité entrepreneuriale. Ce modèle met en relief
l'impact des variables contextuelles sur l'intention d'entreprendre.
Commentaire [t3] : Réf?0renc e...
Commentaire [t4] : Référence s
Dans le contexte tunisien , nous remarquons l'inexistence de
recherches sur l'intention d'entreprendre a fortiori pour les ingénieurs
sauf une étude récente qui a été faite en Tunisie
sur le profil de 135 jeunes entrepreneurs tunisiens adhérents au CJD
Tunisie et qui relève que 14,8 % des créateurs sont des
ingénieurs5. En plus un autre projet ambitieux qui a
été mené par l'école des ingénieurs de Sfax
montre que 39 % des étudiants en Sciences des ingénieurs à
Sfax ont l'intention de créer leur propre projet6.
En adoptant une démarche
hypothético-déductive7 et en partant du postulat de
l'importance de la création des start-up dans le secteur des nouvelles
technologies d'information et des télécommunications en Tunisie
ainsi que de la rareté des recherches sur l'intention d'entreprendre
dans le cas des ingénieurs, nous allons essayé dans ce travail,
de répondre a répondre a la problématique suivante :
3 ·
Bird B.J. (1988): « Implementing Entrepreneurial Ideas: The
Case for Intention », Academy of Management
Review, vol. 13, n° 3, pp. 443.
4 Krueger N.F. et Carsrud A.L. (1993): Entrepreneurial
intentions: Applying the theory of planned behaviour », Entrepreneurship
and Regional Development, vol. 5, p. 316.
5 BEN KAHLA K. et CJD Tunisie (2006) : Les profils des
jeunes entrepreneurs tunisiens, Résultats de l'Enquête nationale,
septembre 2006, p.16.
6 Résultat des statistiques de la journée
entrepreneuriale 26/04/2007 réalisées par le club des
ingénieurs entrepreneurs de l'école nationale des
ingénieurs de Sfax.
7 La recherche consiste à s'enquérir des
observations qui se soumettent à la théorie.
« Vu les atouts du secteur des TIC en Tunisie,
quels sont les facteurs environnementaux qui ont une influence sur l'intention
de créer une start-up dans le contexte des ingénieurs tunisiens ?
».
- Par le secteur des TIC, nous entendons tous les secteurs «
de pointe » qui
sont concernés : le secteur de l'informatique et des
télécommunications, les industries pharmaceutiques, chimiques et
biotechnologiques, les semiconducteurs et l'électronique ainsi que les
industries mécaniques et électriques.
- Par les facteurs environnementaux, nous faisons allusion
à tous les facteurs
liés à l'environnement socio-économique
qui sont généralement les facteurs sociaux tels que la famille,
les amis, l'employeur etc ... et les facteurs rationnels de l'environnement
tels que : la disponibilité des ressources, l'infrastructure, le
marché, les sources d'approvisionnement etc ...
- Par l'intention, nous désignons la première
étape de l'engagement entrepreneurial dans laquelle la carrière
d'entrepreneur correspond à ses aspirations (désirable) et qu'il
pense pouvoir réaliser son projet (faisable) (Bruyat ,1993) 8
- Par Start-up, nous désignons toutes les entreprises
innovantes qui permettent
l'introduction d'une technologie nouvelles ou nouvelles formes
d'innovations des produits, des technologies ou des modes d'organisation
existantes (Jacquin, 2003)8.
Positionnement de la recherche
8 Bruyat, C. (1993), Création d'entreprises :
contributions épistémologiques et modélisations,
thèse de doctorat, Université Pierre Mendès France
(Grenoble II école supérieur des affaires), 1993, p.301
8 Jacquin, J. (dir.) (2003), Les jeunes entreprises innovantes :
une priorité pour la croissance, Paris, La Documentation
Française.
Notre objectif principal étant d'expliquer la formation
de l'intention de créer une startup en TIC à partir facteurs
issus de l'environnement socio-économique en Tunisie, cette recherche
visera l'objectivité, en considérant que le sujet (chercheur) et
l'objet de recherche sont indépendants.
Nous tenterons donc de faire de sorte que l'observation et la
description de la réalité soient épargnées de toute
croyance ou vision personnelle des choses.
D'autre part, ce travail consistera, entre autre, à
présenter et à spécifier la variable la plus
déterminante dans la formation de l'intention entrepreneuriale et, dans
une autre partie, à voir si certains facteurs contextuels (politiques,
économiques, sociaux, ect ...) peuvent avoir un impact sur l'intention
de l'ingénieur tunisien.
De ce fait, cette recherche se basera sur un paradigme
positiviste et fera appel à une vérification des
déductions obtenues théoriquement, par le moyen d'une
étude empirique, se servant d'un questionnaire auprès des
ingénieurs spécialisés dans les secteurs de TIC.
Afin de s'assurer que les questions posées n'induisent
pas les réponses, nous avons effectué une enquête
préliminaire auprès de six ingénieurs tunisiens en TIC
membres de l'ordre des ingénieurs tunisiens (OIT).
Les objectifs de la recherche
La problématique de notre recherche nous incite à
fixer pour ce travail, les objectifs suivants :
- Essayer de tester un modèle conceptuel issu de la
littérature entrepreneuriale qui met en évidence l'interaction
entre l'intention entrepreneuriale et les facteurs de l'environnement
socio-économique.
- Déterminer la variable la plus déterminante dans
la formation de l'intention de créer.
- Cerner les déterminants contextuels pertinents dans la
formation de l'intention de créer une start-up en technologies.
- Rendre compte de l'impact de ces déterminants
environnementaux sur l'intention.
Afin d'atteindre ces objectifs, notre travail sera abordé
selon deux grandes parties:
La partie théorique consiste dans un chapitre
introductif à mettre en évidence l'importance et les atouts du
secteur des nouvelles technologies qui peuvent expliquer les orientations
entrepreneuriales vers la création de la start-up en TIC.
Nous essayons dans le second chapitre de cette partie de
délimiter la création d'une start-up en TIC comme un
phénomène entrepreneurial selon la littérature
entrepreneuriale et après avoir évoqué les limites et les
apports des différents paradigmes entrepreneuriaux, nous expliquons
ensuite le processus de création d'entreprise comme un processus
d'émergence organisationnelle où l'intention occupe une place
déterminante.
Dans le cadre du troisième chapitre de cette partie,
nous présentons les fondements théoriques de la recherche en
mettant en relief les différentes approches qui essayent d'expliquer le
phénomène de la création d'entreprises avec les limites et
les apports de chacune. Nous évoquons les modélisations
théoriques fournissant un ensemble de variables pouvant être
mobilisées dans l'explication de l'intention entrepreneuriale.
De nature exploratoire, la partie empirique va construire et
valider le modèle conceptuel de formation des intentions de créer
une start-up en nouvelles technologies par des ingénieurs tunisiens en
offrant une modélisation de l'intention d'entreprendre en TIC mettant en
oeuvre l'interaction entre les facteurs de l'environnement
socio-économique et l'intention d'entreprendre.
Dans le cadre du premier chapitre, nous présentons un
modèle conceptuel de l'intention d'entreprendre en nouvelles
technologies dans le cas des ingénieurs tunisiens, un corps
d'hypothèses de recherche, l'instrument de recherche utilisé et
les différents critères d'évaluation de la qualité
d'évaluation des instruments de mesure.
Au niveau du deuxième chapitre, nous vérifions
la fiabilité et la validité de nos échelles de mesure et
nous validons nos hypothèses concernant l'importance des variables de la
faisabilité perçue et de la désirabilité
perçue dans la formation de l'intention d'entreprendre selon le
modèle de l'événement entrepreneuriale de Shapero.
Et finalement, dans le cadre du troisième chapitre,
nous spécifions les déterminants environnementaux sous-jacents
à la faisabilité perçue et à la perception de la
désirabilité et nous déterminons le poids de chacun des
déterminants sur les variables explicatives et sur l'intention.
Supprimé : le
Mis en forme : Police :40 pt, Police de script
complexe :40
Mis en forme : Police :40 pt, Police de script
complexe :40
Mis en forme : Police :40 pt, Police de
script complexe :40 pt Mis en forme : Police :40 pt,
Police de script complexe :40
Mis en forme : Police :40 pt, Police de script
complexe :40
|