ABSTRACT
The present study has a mean objective the evaluation of the
impact of domestic waste recovery and valorisation on the urban and semi-urban
agriculture development in Yaoundé. For this purpose, we have firstly
analysed the efficacity of de domestic waste collection in Yaoundé.
Secondly, with the help of Logit model, we have identified the determinants of
their usages or adoption in the swamping areas of Nkolondom, Etoug-Ebé
and Ekozoa. Thirdly, we came out with dependable result on a collection
strategy of domestic waste, which matches with the urban and semi-urban
agricultural development preoccupation.
Keys Words: Recovery, Valorisation, Domestic
waste, Urban and semi-urban agriculture, Efficacity, Swamping area.
Joë& Sotamenou Mémoire de DEA- PTCI /UY II/
Octo6re 2005
INTRODUCTION GENERALE
1. CONTEXTE ET PROBLEMATIQUE
Selon l'ONU (2001), la population mondiale a atteint 6
milliards à la fin du siècle dernier et chaque année, elle
augmente de 90 millions. Dans les PVD, 10 000 personnes de plus naissent toutes
les secondes (Günter, 1996). Quant à la production alimentaire
mondiale, elle a progressé plus vite que la croissance
démographique, passant de 2410 à 2800 Kcal dans les pays
développés, contre 2010 à 2680 kcal dans les PVD. Elle a
permis de réduire significativement la proportion de
sous-alimentés de 37% entre 1969 et 1971 à 17% entre 1997 et
1999, malheureusement le nombre de sous-alimentés dans les PVD reste
toujours important : estimé à 956 millions entre 1969 et 1971 ce
nombre est demeuré à 777 millions entre 1997 et 1999 (FAO, 2001).
Afin de réduire de moitié le nombre de sous-alimentés dans
le monde en 2015, objectif fixé par le Sommet Mondial de l'Alimentation
à Rome en Italie, il faut que la production alimentaire mondiale
continue à accroître (FAO, 1996).
Si l'Afrique subsaharienne voit sa population doubler tous les
20 ans avec un taux de croissance de 3%, la production agricole n'a cependant
progressé que de 2% ces 30 dernières années. Pour
maintenir l'équilibre, la production vivrière devra alors
augmenter de 4% (Günter, 1996). D'ici 2020, 2 africains sur 3 vivront en
ville (Drechsel et al, 1999). Ils devront par conséquent produire plus
de vivres, de qualité et en quantité suffisante pour faire face
à la demande toujours croissante en nourriture.
Face à l'accroissement continu de la population, pour
maintenir ou accroître les rendements agricoles appropriés, le
système de gestion de la fertilité dans les différents
agro-écosystèmes urbains et périurbains devrait favoriser
un fort taux d'utilisation d'engrais chimiques et de la matière
organique (Kouemo, 2002). Malheureusement, non seulement les prix des engrais
sont non seulement élevés, mais aussi leur coût sur
l'environnement est connu (Tchanou, 1999 ; Temple, 2002). L'agriculture urbaine
et périurbaine à travers sa fonction de recyclage des
déchets ménagers à l'état simple (épluchures
de manioc, de banane, fientes de poules, lisiers de porc...) et
décomposé (le compost) joue le rôle de filtre par rapport
à l'environnement et de préservation des ressources naturelles de
production (Lekane et al, 2003).
Ainsi est-il admis aujourd'hui que les agriculteurs africains,
pour accroître leur production, devraient améliorer la
productivité en intensifiant leur mode d'exploitation des terres. Pour
le faire de façon durable, ils devront renforcer la richesse des sols en
éléments nutritifs. Ceci exigera entre autres, l'utilisation des
doses d'engrais de plus en plus élevées. A ce jour, de nombreux
processus de fermentation naturelle permettent la récupération et
le recyclage de matières organiques, même à partir des
cycles non végétaux, tels les déchets ménagers qui
nous intéressent.
La croissance de la population urbaine et l'extension
continuelle de l'espace occupé entraînent d'énormes
difficultés dans la gestion de l'environnement (Diop, 1996). Ainsi, de
nombreuses villes produisent-elles des déchets dont elles ne peuvent pas
se débarrasser.
Selon le rapport de la Banque Mondiale sur le
développement dans le monde (1992), les municipalités des pays
à faible revenu et à revenu intermédiaire consacrent
souvent entre 1/5 et 1/2 de leurs budgets aux services de la voirie, alors que
beaucoup de déchets ne sont pas enlevés. C'est le cas à
Karachi (Pakistan), Dar-es-salam (Tanzanie) et Djakarta (Indonésie) oi'i
respectivement 2/3, 4/5 et plus de 30% des déchets solides
générés ne sont pas collectés.
La ville de Yaoundé a connu une véritable
explosion démographique de l'époque coloniale à nos jours.
A cette époque, sa population comptait 100 000 habitants répartis
sur 1250 ha environ (Ngnikam, 2000). Selon Kengne Fodouop et Bobda (2000) son
taux de croissance annuel est estimé à 7,3% (6% au plus bas). Le
CIPRE (2002) quant à lui et bien d'autres auteurs estiment à 6,8%
le taux de croissance annuel de la population de Yaoundé qui
s'élève aujourd'hui à 1 700 000 habitants. Dans ce
contexte, l'approvisionnement de la ville semble être un enjeu majeur des
politiques de développement.
Selon Tchuente (2002), la sécurité alimentaire
s'est beaucoup dégradée au Cameroun car l'évolution des
productions alimentaires n'a pas suivi l'accroissement démographique.
C'est pourquoi le Cameroun s'est engagé à résoudre ce
problème par un programme d'accès privilégié
à une agriculture performante et à une sécurisation
alimentaire durable. Ce programme vise un appui au développement de la
filière horticole en milieu urbain et périurbain et un
aménagement des bas-fonds marécageux dont la réserve en
eau en période sèche rend possible l'exploitation de ses terres
(Temple-Boyer, 2002). Avec la croissance de l'agglomération,
l'agriculture vivrière est repoussée toujours plus loin du centre
de la ville. Les populations sont de plus en plus mobiles et les habitudes
alimentaires se modifient. Les cultures maraîchères sont devenues
la principale préoccupation des agriculteurs pour alimenter les
marchés de la ville car elles permettent à l'exploitant de tirer
un revenu important sur une surface qui diminue (Smith et al, 2004).
En outre, dans un contexte de pauvreté de plus en plus
croissante au Cameroun1 oi'i 52% des ménages sont sous -
alimentés (Kamgnia et Timnou, 2000), dans les bas-fonds des quartiers
Etoug-Ebé, Ekozoa (Centre ville), Nkolodom, Akokdoé, Nkolbisson,
etc., hommes, femmes et enfants se lancent dans des activités agricoles
aussi variées que le maraîchage, la floriculture, la pisciculture,
l'élevage du petit bétail, la culture des eucalyptus et des
champignons. De plus, entre 44% et 68% de ménages ne supportent pas les
coûts de besoins primaires et plus de 50% vivent en dessous du seuil de
pauvreté depuis les années 80 (Fambon et al, 2000). De ce fait,
l'activité agricole urbaine et périurbaine, vu son importance,
est devenue une importante source d'emploi et donc de revenus pour bon nombre
de jeunes citadins.
Malheureusement, bien qu'humide, les bas-fonds2 de
Yaoundé sont peu fertiles. Aussi les agriculteurs, pour la plupart
d'entre eux, ont-ils recours aux fertilisants de tout genre pour
améliorer leur production. D'une part le souci d'augmenter la production
par l'utilisation intensive des intrants agricoles s'impose et d'autre part
d'énormes quantités de déchets ménagers sont
produites au
1 Selon l'INS, en 2002 plus du quart de la population active de
Yaoundé gagnaient moins du SIMG soit 23 500 FCFA/mois. Les salaires ont
été réduits sans toutefois être indexés
après la dévaluation du franc CFA de janvier 1994.
2 Zone basse du paysage, à fond plat ou concave,
située à la tête des réseaux hydrographiques. Ce
sont des vallons et des petites vallées inondables qui recueillent des
eaux de ruissellement en provenance de bassin versant (Lavigne Devile et
Boucher, 1996).
2
quotidien et ne subissent aucun processus de traitement.
L'agriculture, s'inscrivant donc dans le paysage urbain, il devient
impératif d'établir son lien avec les déchets
ménagers. Selon Smith et al (2004), ce lien repose sur des techniques de
traitement des déchets et effluents, qui doivent aboutir à des
coproduits facilement utilisables pour l'agriculteur, sans dangers pour la
santé et avec risque minimum sur le milieu naturel.
Comme l'activité agricole, la gestion durable et
efficace des déchets ménagers à travers les
opérations de récupération et de recyclage participent
à l'amélioration des conditions de vie des populations.
Malheureusement, selon Ta Thu Thuy (1998), à Abidjan (Côte
d'ivoire), Accra (Ghana), Dakar (Sénégal) et à
Yaoundé (Cameroun), le taux de collecte des déchets solides
municipaux ne dépasse pas 60%, avec une moyenne située entre 30
et 40% de la production.
La gestion des déchets dans la plupart des Etats est
reléguée au second plan alors que, au même titre que les
préoccupations de bonne gouvernance, les transports, l'éclairage
public, la fourniture d'eau potable, la construction des infrastructures, la
lutte contre les MST, IST et SIDA, les déchets devraient faire l'objet
d'une attention particulière. Ainsi, comme le dit Waas (1990), peu de
décideurs voient le déchet en terme d'environnement, leur gestion
devenant l'affaire des municipalités.
Selon Hebette (1996), un taux de collecte faible (moins de
75%) a des conséquences graves sur la santé des populations et
sur l'économie urbaine. En effet, l'insuffisance de la collecte des
déchets ménagers crée des dépôts sauvages qui
ternissent l'esthétique urbaine et le déversement des ordures aux
abords des routes rend la circulation routière difficile et freine
l'activité touristique. Le rejet des déchets dans les caniveaux
obstrue le milieu récepteur qui conduit à de fréquentes
inondations et génère certaines maladies dues à la
propagation des germes. De ce fait, l'élaboration des politiques de
gestion durable et efficace des déchets devient l'une des
priorités de tous les gouvernements de la communauté
internationale. En outre, plusieurs actions ont été entreprises
dans ce sens par le gouvernement camerounais.
Au Cameroun, la collecte des déchets ménagers
est assurée depuis 1968 par la seule société HYSACAM
(Hygiène et Salubrité du Cameroun) qui est une ancienne filiale
de la Lyonnaise des Eaux (France). C'est ainsi que tous les jours en moyenne
520 tonnes de déchets ménagers sont collectées à
Yaoundé (essentiellement dans les quartiers et les secteurs de la ville
accessibles aux engins de ramassage) pour une production totale
journalière estimée en moyenne à 1200 tonnes soit un taux
de collecte moyen de 43%.
Selon Ngnikam (2000), plus de 30% des déchets
ménagers sont déversés dans des décharges sauvages,
10% sont récupérés et valorisés par des
filières de valorisation artisanale ou industrielle et près de
10% sont rejetés dans des cours d'eau. L'enquête CAVY de l'INS
mené en 2002 révèle qu'à Yaoundé, moins de
17% de ménages habitent des maisons situées au bord d'une route
bitumée, 32% des ménages se trouvent au bord d'une route non
bitumée et plus de la moitié (51%) de ménages de la ville
accèdent à
leur logement par une piste du quartier3. De ce fait,
le service rendu par HYSACAM ne peut pénétrer
3 Enquête sur le Cadre de Vie des habitants de
Yaoundé et de Douala menée par l'INS (2002)
3
tous les quartiers, réduisant ainsi le taux de collecte
des déchets ménagers et favorisant la multiplication des
décharges sauvages.
Suite à la crise économique qu'a connu le
Cameroun à partir de 1987, le service de collecte des déchets
ménagers par HYSACAM a été interrompu en 1991. C'est alors
que Yaoundé est entrée dans un état d'insalubrité
généralisée. Fort de ce constat, diverses solutions sans
succès ont été expérimentées par l'Etat -
avec notamment le Programme Social d'Urgence (PSU) - et certains acteurs de la
société civile - des Associations, des ONG, et des groupes
organisés et informels - avec l'appui financier des bailleurs de fonds
bilatéraux et multilatéraux, notamment la Coopération
Française à travers le Fonds Social de Développement et la
Banque mondiale. Ces actions portaient essentiellement sur la mobilisation des
populations pour assurer le service de la propreté urbaine à
travers les opérations de précollecte et de collecte des
déchets ménagers dans les quartiers à habitat
spontanés et les grands axes de la ville. La récupération
et la valorisation agricole des déchets par la fabrication du compost
étaient aussi beaucoup encouragées.
L'amélioration, dans les années 1990, de la
conjoncture économique au Cameroun a permis qu'en Août 1998 la
société HYSACAM reprenne le nettoyage de la ville et le ramassage
des ordures suite à un contrat passé avec l'Etat ; contrat dont
les attributions de maîtrise d'ouvrage et d'ingénieur de
contrôle sont confiées à la Communauté Urbaine de
Yaoundé (CUY).
La mise sur pied d'un système efficace de collecte des
déchets ménagers de l'amont (des quartiers), vers l'aval (centre
de décharge) devrait permettre d'améliorer le système de
gestion des déchets qui, de façon significative contribuerait au
développement de l'activité agricole urbaine et
périurbaine à travers les opérations de
récupération et de recyclage.
Aujourd'hui, beaucoup d'études et de travaux sur les
déchets ménagers de Yaoundé ont été
réalisés, mais malgré tous ces efforts, leur gestion reste
toujours problématique, les aspects économiques et surtout
environnementaux qui sont tout aussi importants étant très
souvent négligés. Aussi nous semble t-il nécessaire de se
pencher sur des solutions susceptibles d'améliorer le service de
collecte des déchets afin non seulement de rendre la ville plaisante
d'un point de vue environnemental mais aussi de faciliter les opérations
de récupération et de recyclage, favorables au
développement de l'agriculture urbaine et périurbaine.
Peut-on dire que le service de collecte des déchets
ménagers dans la ville de Yaoundé est efficace ?
Quels sont les facteurs susceptibles de favoriser
l'utilisation des déchets recyclés dans les exploitations
agricoles périurbaines ?
Quelle stratégie de collecte des déchets
ménagers est compatible avec les préoccupations de
développement de l'agriculture urbaine et périurbaine ?
Telles sont les préoccupations qui ont fondé notre
volonté de réaliser ce travail.
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2. OBJECTIFS DE L'ETUDE
L'objectif principal de cette étude est d'évaluer
l'impact de la récupération et du recyclage des déchets
ménagers sur le développement de l'agriculture urbaine et
périurbaine à Yaoundé.
Plus spécifiquement, il s'agira de :
a- apprécier l'efficacité du service de collecte
des déchets ménagers dans la ville de Yaoundé ;
b- identifier les déterminants de l'utilisation des
déchets ménagers récupérés et
recyclés dans les exploitations agricoles urbaines et
périurbaines;
c- proposer une stratégie de collecte des déchets
ménagers compatible avec les préoccupations de
développement de l'agriculture urbaine et périurbaine.
3. HYPOTHESES DE RECHERCHE
L'évaluation de l'impact de la récupération
et du recyclage des déchets ménagers sur le développement
de l'agriculture urbaine et périurbaine à Yaoundé passe
par trois hypothèses :
a- le service de collecte des déchets ménagers
dans la ville de Yaoundé est inefficace;
b- l'utilisation des déchets ménagers
récupérés et recyclés dans les exploitations
agricoles est déterminée par des variables
socio-économiques et techniques ;
c- la construction des centres de regroupement dans les bas-fonds
facilite la récupération et le recyclage des déchets
ménagers tout en réduisant les charges liées à leur
gestion.
4. APPROCHE METHODOLOGIQUE
L'évaluation de l'impact de la
récupération et du recyclage des déchets ménagers
sur le développement de l'agriculture urbaine et périurbaine
à Yaoundé passe par la prise en compte non seulement des
fondements théoriques mais aussi des analyses empiriques.
d- Appréciation de l'efficacité du service
de collecte des déchets ménagers dans la ville de
Yaoundé
Il s'agira pour nous de préciser les fondements
théoriques relatifs à la gestion des déchets, puis
procéder à une évaluation statistique et
économétrique du concept d'efficacité. Le critère
d'efficacité retenu dans notre étude étant le taux de
collecte qui exprime le rapport entre les quantités produites et
collectées de déchets ménagers.
Nous allons dans un premier temps apprécier
l'évolution des quantités produites et collectées sur 43
mois (janvier 2002 - juillet 2005). Ensuite, le taux de collecte à moyen
sera déterminé et comparé au ratio 75%. Un taux de
collecte inférieure à 75% est un signe d'inefficacité
parce que préjudiciable à l'environnement et à la
santé des populations (Hebette, 1996). Enfin, nous allons
également comparer les taux de croissance moyen des quantités
collectées et produites de déchets durant la période
d'étude. Un taux de croissance moyen des quantités
collectées inférieure au taux de croissance moyen des
quantités produites est également un signe d'inefficacité
car cela signifie que les quantités produites évoluent plus vite
que les quantités collectées.
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e- Identification des variables influençant
l'utilisation des déchets ménagers récupérés
et recyclés dans l'agriculture.
Afin d'identifier les variables explicatives de l'adoption des
déchets ménagers récupérés et
recyclés, nous allons estimer un modèle Logit portant sur leur
demande dans les exploitations agricoles urbaines et périurbaines de
Yaoundé.
f- Proposition d'une stratégie de collecte de
déchets ménagers compatibles avec les préoccupations de
développement de l'agriculture urbaine et périurbaine
Il s'agira pour nous de faire des recommandations susceptibles
d'améliorer le système de gestion des déchets
ménagers dans la ville de Yaoundé. Ce système devrait
prendre en compte les préoccupations de développement de
l'agriculture urbaine et périurbaine. Un accent particulier sera mis sur
l'importance e la construction des centres de regroupement dans les quartiers
périurbains, principaux fiefs d'intenses activités agricoles.
L'expérience en la matière de l'ONG Sarkan Zoumountsi du quartier
Briqueterie (arrondissement de Yaoundé II) nous éclairera sur la
question.
5. COLLECTE DES DONNEES
Les données secondaires ont été obtenues
à travers une analyse documentaire. Quant aux données primaires,
elles ont été collectées au moyen des interviews et des
enquêtes menées sur le terrain par une équipe de recherche
avec l'appui du CIRAD. Les 5 phases qui ont permis la réalisation des
enquêtes sur le terrain ont été les suivantes :
- La première phase au cours de laquelle nous avons
procédé à la recherche et à l'exploitation
documentaire (Avril - Juin) ;
- Une deuxième phase où nous avons effectuer selon
certains critères le choix des sites à enquêter et dresser
par la suite leur monographie (Juin - Juillet);
- Une troisième phase au cours de laquelle nous avons
collecté les données à l'aide questionnaire qui a fait
l'objet d'une enquête auprès de 150 exploitants des bas-fonds de
Nkolondom, d'Etoug-Ebé et de Ekozoa (Juillet - Août) ;
- Une quatrième phase pendant laquelle les données
collectées ont été dépouillé et
compilé dans un système de gestion de bases de données
(Août - Septembre) ;
- Une cinquième phase où les résultats
obtenus ont été présenté, analysé et
interprété (Septembre - Octobre).
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