I.2.2.Quelques
considération théorique au notion sur les boissons
1.4. Alcool et boissons
alcooliques
a) définition
Les boissons alcooliques sont de boissons qui contiennent une
quantité plus ou moins importante d'alcool. Pour les chimistes, il
existe un grand nombre d'alcool. Les alcools sont une famille de substances
chimiques ayant des caractéristiques communes. Notamment l'alcool
méthylique ou l'alcool à bruler, employé en
médecine pour stériliser les instruments et pour faire
fonctionner les petites lampes à l'alcool du laboratoire (Courtejoie,
2009).
L'alcool qui nous intéresse dans ce travail, c'est
l'alcool éthylique ou éthanol, dont la formule chimique est la
suivante : CH3 CH2 OH (Dictionnaire Emile
Litré, 1976).
Tout au long de ce travail, quand nous parlerons d'alcool, il
s'agira de l'alcool éthylique. D'ailleurs, pour la majorité des
gens, le terme « alcool éthylique » TIECHE,
2005).
L'alcool est résultat de la transformation du sucre,
des certains liquides d'origine végétales par des êtres
microscopiques appelés levures. Cette transformation s'appelle
fermentation.
Tout liquide d'origine végétale contenant du
sucre (jus de palme, d'orange, de canne à sucre, de pamplemousse, de
raisin, de mandarine, d'ananas...) peut fermenter et devenir ainsi une boisson
alcoolique. Le vin est le résultat de la fermentation du jus de raisin.
La bière est le résultat de la fermentation du malt ou du
maïs (grains d'orge germés, séché et réduits
en farine) par la levure de bière.
Toutes ces boissons contiennent de l'alcool en plus ou moins
grande quantité. Cette quantité s'exprime en degrés
alcooliques. Le degré indique le pourcentage en volume d'alcool pur
contenu dans la boisson alcoolique. Une indication d'un degré (1°)
sur une boisson signifie que dans 100 millilitres (100ml) de cette boisson il y
a un millilitre (1ml) d'alcool, c'est-à-dire qu'il y a 10 ml d'alcool
par litre (Mavinga 2001.)
b) types
Il existe plusieurs types des boissons alcooliques en
l'occurrence :
- Bière de miel (hydromel),
- Bière de banane ;
- Bière de riz (Primus) ;
- Bière de sorgho,
- Bière d'orge 2,5 à 4° (certaines vont
jusqu'à 8°) ;
- Bière de maïs 5 à 9°
(Simba) ;...
- Le vin (6 à 18°)
- Les apéritifs (16 à 20°)
c) Effets de l'alcool sur l'organisme humain
Il convient à cette étape, de donner quelques
réactions de l'alcool éthylique sur l'organisme humain.
On ne peut pas nier que, boire une petite quantité
d'alcool, produit une sensation de bien-être. La personne qui a bu un peu
d'alcool est plus détendue. Elle sourit et parle plus facilement.
Lorsqu'on est en groupe, il se crée une bonne ambiance, favorable aux
échanges d'amitiés. Voilà la raison pour laquelle l'alcool
est présent dans nos banquets, manifestations, rencontres..., donc les
diverses cérémonies. Il réjouit le coeur des
invités. Il est aussi beaucoup utilisé pour le règlement
des palabres entre les familles.
d) Effets de l'alcool sur la force physique
L'alcool donne l'impression qu'on est plus fort, mais en
réalité, il diminue rapidement les forces physiques. Les
véritables sportifs savent qu'ils ne doivent pas boire le moindre verre
avant le match ou la course. Il est vrai que l'alcool ne diminue pas la
fatigue, par le sentiment agréable de bien-être qu'il apporte
(Tièche, 1979).
e) Effets de l'alcool sur la croissance
L'alcool est un très mauvais aliment. Il n'a qu'une
très faible valeur nutritive. Il ne fournit aucun des sels
minéraux, même pas des vitamines ou protéines dont le
corps a besoin. L'alcool n'est pas nécessaire à la vie du corps,
puisque les animaux, instinctivement, refusent de boire de l'alcool, et que les
millions des personnes dans le monde, n'ont jamais bu l'alcool (Courtejoie et
all, 2009).
f) Effets de l'alcool sur le foie
Le travail du foie est considérablement perturbé
par l'alcool. En effet, cet organe se consacre dans la destruction de
l'alcool, il augmente le volume, ce qui entraîne d'autres maux.
Effectivement, ceux qui ont l'habitude de boire supportent plus facilement les
boissons alcooliques et deviennent moins rapidement ivres (Courtjoie et all,
2009).
g) Effets de l'alcool sur l'estomac
L'alcoolique chronique, surtout s'il a l'habitude de boire en
jeun (sans avoir rien mangé), souffre de gastrite chronique
(inflammation de l'estomac). Celle-ci entraine des douleurs abdominales, une
perte d'appétit (anorexie), une digestion difficile avec nausées
(envies de vomir) et vomissement, et un amaigrissement progressif (Courtejoie
et all 2009).
h) Effets sur l'appareil respiratoire
L'alcool est un facteur de risque dans l'apparition du cancer
du pharynx. Il provoque le refroidissement du corps. En outre, il diminue la
résistance des broches aux infections. C'est pourquoi l'alcoolique
souffre souvent de bronchite. Ses bronches ne sont plus capables
d'empêcher les microbes de descendre vers le poumon et l'alcoolique peut
facilement contracter une bronchopneumonie, maladie qui entraine de la
fièvre, de la toux et des crachats, un étouffement et parfois la
mort (Courtejoie et all 2009).
i) Effets sur les nerfs
L'alcool exerce son action toxique sur tous les nerfs du
corps en produisant une maladie qu'on appelle la polynévrite. Celle-ci
se caractérise par des fourmillements (agitation), des crampes, des
douleurs parfois très violentes dans les membres supérieurs, on
observe des tremblements, bien visibles lorsque l'alcoolique étend les
mains (Courtejoie et all 2009).
j) Effets sur le comportement
Il est exact qu'au début, celui qui boit chaque jour de
l'alcool en quantité exagérée, se fait passer pour un bon
camarade car, il est habituellement bavard et un peu excité. Mais
après quelques années, on constate un énorme changement
dans son caractère (Ameisen, 2010).
Il devient moins affectueux pour son entourage ; parfois
même il semble être indifférent, il ne se préoccupe
plus ni de sa femme ni de ses enfants. Il finit par ne plus les supporter. Il
devient colérique, il se fâche facilement, sa volonté
s'affaiblit (Ameisen, 2010).
k) Effets sur la descendance
Si une femme enceinte boit de l'alcool, même sans
devenir ivre, l'alcool de son sang passe dans celui de l'enfant qu'elle porte
en elle. Or, le foetus est beaucoup plus sensible à l'alcool que
l'adulte. La femme enceinte qui boit de l'alcool régulièrement,
s'expose à donner naissance à un enfant mort-né ou
prématuré ou d'un faible poids et donc fragile, ou encore
malformé. S'il survit, il risque gravement d'être d'une faible
intelligence (Courtejoie, 2009).
l) Effets de l'alcool sur la vie sociale et
économique
v Effets sur la circulation
routière
Aujourd'hui, la plupart des accidents de circulation sont
imputés à la consommation d'alcool. Après avoir bu une
quantité importante d'alcool, on perd l'équilibre au volant et
rien n'empêchera, en ce moment- là que quelques
dégâts surviennent (Tièche, 1979).
v Effets sur le travail d'usine
Aujourd'hui, la plupart des employés pensent que boire
avant d'entrer dans l'usine leur permettra d'être plus fort et travailler
sans fatigue. Ces derniers n'ont jamais pensé aux accidents
professionnels dus à l'alcool. Il y a probabilité que ces
employés aient des mains occupées, des brûlures ou encore
la mort (philippe, 2001).
1.4.2. 1Les problèmes familiaux liés à
l'alcoolisme
La consommation d'alcool est à l'origine de nombreux
troubles au sein des familles. Elle affecte négativement tous les
membres de la famille (père, mère, enfants..).
1.4.2.1. L'alcool et la vie familiale
Les conflits familiaux causés par l'alcoolisme sont
connus de tous. Cependant, est souvent l'alcoolisme du chef de ménage
qui semble le plus dangereux. En effet, lorsque ce dernier entre en phase de
dépendance, il devient incapable de gérer son foyer. Ses revenus
sont destinés à satisfaire sa « soif »
avant qu'il ne perde son emploi. De plus, « les
déchéances physiques de l'alcoolique sont malheureusement
héréditaires ». Par ailleurs, le sujet alcoolique
développe une jalousie pathologique et a souvent beaucoup d'enfants.
D'après L'ONG Oasis (op. cit), 60 à 70% des enfants d'alcooliques
connaissent une déperdition scolaire et 85% des couples
séparés plongent dans l'alcoolisme au Cameroun.
1.5. Facteurs favorisants
l'alcoolisme chronique
Ø Des facteurs familiaux : une
proportion significative d'alcoolique ont vécu durant leur jeunesse en
milieu alcoolique ; la consommation d'alcool est perçue comme
normale, car elle était habituelle.
Ø Des facteurs socio-économiques :
l'alcoolisme peut être perçu comme un moyen de
compensation face à des difficultés sociales, économiques
ou professionnelles. Les relations spécifiques au milieu professionnel
peuvent expliquer l'alcoolisme de certaines personnes : les usages de
certaines professions favorisent la consommation d'alcool car elle est
liée à des représentations de l'individu (virilité,
puissance...) ou à des notions de savoir-vivre ou de
convivialité.
Ø Des facteurs culturels :
éléments relatifs aux aspects relationnels
signalés à propos de l'alcoolisme aigu se retrouvent ici. Dans
certains groupes, la consommation d'alcool est banalisée Constitue un
facteur d'intégration ; de même le refus de consommer conduit
à une marginalisation.
Ø Des facteurs psychologiques :
l'alcool peut être un recours contre l'émergence d'une
angoisse ; il semble apparaître comme une possibilité de fuir
du réel, une fuite de la réalité sociale. L'alcool semble
compenser l'insatisfaction des besoins sociaux. Dans le cas de l'alcoolisme
chronique, la pathologie peut être qu'un révélateur de
troubles de la personnalité.
Ø Des facteurs de dépendance
physiologique : l'ingestion régulière d'alcool
augmente la tolérance du buveur, les effets escomptés ne sont
obtenus qu'avec des doses de plus en plus importantes.
1.6. Causes de l'alcoolisme
Chez les sujets touchés par l'alcool, on retrouve
toujours l'une ou/et l'autre des deux causes déterminants que
sont : la méconnaissance des effets nocifs des boissons fortement
alcoolisées sur l'organisme et certaines
« dispositions »
ou « perturbation » psychiques.
1°. La méconnaissance des effets nocifs
des boissons fortement alcoolisées sur l'organisme.
Cette méconnaissance diminue avec le niveau
d'instruction mais elle est néanmoins aussi fort courante dans les
populations possédant un très bon niveau d'instruction
générale. Bien des éléments que examinerons-nous
secondairement ont contribués et contribuent à cet état
de fait, grave au plan des personnes, fléau à l'échelle du
pays depuis deux siècles.
2°. Certaines dispositions ou perturbation
psychiques.
Selon les individus, peuvent aller du simple plaisir mal
contrôlé de façons occasionnelle grande jusqu'aux grandes
perturbations psychiques permanentes où est recherché l'effet
psychotrope de l'alcool. Il peut s'agir :
a) Des troubles simples de la personnalité,
Tels que : l'immaturité affective, le manque de
confiance en soi, l'incapacité d'assumer des responsabilités
d'adulte, la peur de la solitude, l'absence d'autonomie, incapacité de
résister à un plaisir immédiat.
b) Des troubles de nature
névrotique : ce sont essentiellement la dépression
et l'angoisse, sur lesquelles, bien entendu, peuvent jouer les situations
conflictuelles :
Conflits familiaux, conjugaux et personnels.
c) D'un déficit intellectuel, le
déficit intellectuel congénital ou acquis peut être une
cause d'alcoolisation par manque de discernement ; entraînement,
réduction des facultés de contrôle.
Ce déficit se manifeste le plus souvent à
l'âge adulte mais il se voit fréquemment dès l'enfance, du
fait des boissons alcooliques consommées par les femmes enceintes ou par
les enfants eux-mêmes dans certaines couches de la population.
3° Les causes favorisantes liées à
l'environnement :
Les facteurs d'environnement qui conditionnent
particulièrement les gens à consommer des boissons alcooliques
sont extrêmement divers et d'une importance considérable tel que
la pression sociale du lobby du vin et des autres boissons alcooliques.
Plusieurs millions de gens vivent de la production et du commerce des diverses
boissons alcooliques. Un énorme secteur de l'agriculture, de
l'industrie, et du commerce est ainsi organisé pour faire consommer les
produits.
1.7. Tentative de lutte
contre l'alcoolisme
Tant de pays se sont regroupés pour trouver la solution
de faire l'analyse de la consommation des boissons alcoolisées. Ainsi la
lutte a été faite dans différents pays par la formation,
l'information, éducation, en promulguant même de lois de
prohibition de la production et la consommation abusive de l'alcool.
a) La prévention
En Belgique en 1930, la courbe de consommation d'alcool
était ascendante, s'est réduit dans une dizaine d'années,
et réduite de moitié après 25ans suite à
l'enseignement anti alcoolique. Toutes les religions ont fait la
sensibilisation, et l'enseignement antialcoolique, à travers leurs
évangélisations mais l'homme n'a jamais accepté les
conseils.
b) Mesures prohibitives
Le coran interdisait l'usage du vin des boissons alcooliques,
dans les pays musulmans, la prohibition de vendre les liqueurs et les boissons
fermentées est général en ces pays. Aux USA, on a 15 ans,
de 1920 à 1935, prohibé la fabrication et la vente de toute
boisson alcoolique. La fraude s'étant fortement
développée, le gouvernement fédéral a
retiré cette loi, mais beaucoup d'Etat particuliers l'ont maintenue en
mitigeant plus ou moins.
c) Mesures fiscales
En frappant de droit d'accise élevée la
fabrication et la vente des boissons alcooliques, on a espéré en
diminuant la consommation. En Angleterre, ce but a été atteint
par des taxes si élevées qu'il faut être riche pour se
permettre un verre de bière ou de whisky. Etant donné que la
guerre contre la drogue vient en haut, imposée par les autorités
gouvernementales, elle ne fait rien pour encourager la recherche de solutions
locales au niveau même de la communauté.
1.8. Les enjeux de la
consommation d'alcool chez les jeunes
Ils ont des ramifications qui vont au-delà des jeunes.
Mais ces derniers doivent en particulier, prendre conscience que la
consommation aveugle est susceptible d'entrainer chez eux un manque de
résistance et d'influencer leurs capacité de maitriser un effort
soutenu pour atteinte d'un objectif à long terme. Sans efforts et sans
discipline, le jeune ne pourra espérer améliorer sa
qualité d'être.
Dans une perspective sociétale, le renforcement des
prédispositions à la consommation des jeunes peut
s'avérer profitable aux entreprises dans l'immédiat, mais
néfaste pour l'avenir si nous n'arrivons pas à créer chez
les jeunes un intérêt pour l'amélioration de leurs
compétences techniques et humaines.
Le gouvernement envisage d'interdire toute prise d'alcool aux
jeunes conducteurs, qui sont les premières victimes de la route. Plus
généralement, l'alcoolisme coûte cher à la
société même si l'alcool rapporte à l'Etat.
La proposition fait débat, notamment sur la
nécessité d'appliquer cette mesure aux seuls jeunes conducteurs,
qui seraient alors soumis aux mêmes obligations que les chauffeurs
d'autocars. Certains estiment que cette mesure devrait être
appliquée à tous les conducteurs, car cela participerait à
la lutte contre l'alcoolisme, dont les répercussions, directes ou
indirectes, pèsent sur les finances publiques et celles des
entreprises.
L'impact le plus évident est celui sur la santé,
et donc pour les comptes de l'assurance maladies. La consommation excessive
d'alcool est responsable. C'est la deuxième cause inévitable de
mortalité par cancer, elle a provoquée tant des
décès. Si l'on agrège toutes les pathologies liées
à la consommation excessive d'alcool, entre les soins et les
hospitalisations, les dépenses de santé liées à
l'alcool seraient plus élevées.
1.9. L'impact de
l'alcool
a) Les conséquences de la consommation d'alcool
au niveau des jeunes congolais
L'alcool n'est pas un produit ordinaire. Il fait partie de la
civilisation humaine depuis des milliers d'années et, bien que ce
produit ait souvent des connotations de plaisir et de sociabilité. Son
usage peut avoir des conséquences néfastes. Quelles sont les
répercussions de la consommation d'alcool sur la santé et la
société ?.L'alcoolisme est un facteur dégradant le
développement de la jeunesse congolaise, l'élite de demain, par
elle, le pays se développe.
b) Les conséquences d'alcool sur
l'organisme
L'alcool descend dans l'estomac mais n'a pas besoin
d'être digéré. Il passe directement de l'estomac dans
l'intestin, puis dans la circulation sanguine générale. De
là, il est distribué dans toutes les régions du corps.
C'est dans cet organisme que les conséquences de
l'absorption massive d'alcool se répercutent, que ce soit
immédiatement ou à long terme.
c) Les conséquences immédiates
Après quelques verres, le buveur peut ressentir de
nombreux effets : il se sent plus calme, il devient très loquace,
la gêne disparaît, il se sent un peu étourdi (distrait).
Plus il boit, plus les effets augmentent et peuvent devenir
indésirables : l'étourdissement se transforme en mal de
tête, le calme en nausée et la parole en balbutiement...
d) Les conséquences en long terme
L'abus d'alcool donne des maux de tête et presque des
vomissements. Mais l'alcool peut aussi endommager le coeur, le foie, les reins,
le cerveau, et l'estomac. Il peut provoquer des pertes de mémoire et
même certains types de cancer.
On remarque aussi les conséquences sur les
comportements des congolais. Il a été constaté deux effets
majeurs de l'alcool sur le comportement : les problèmes d'ordre
intellectuel et ceux d'ordre intégrationniste. Elle s'intéressait
aux hommes et aux femmes d'un certain âge qui avaient bu un ou deux
verres de bière par jour, fait surprenant, c'était justement ceux
qui présentaient une densité osseuse plus élevée.
Cependant, boire plus de deux verres par jour est associé à un
risque élevé de fractures. Il faut donc faire attention et
modérer sa consommation.
v Un coeur plus sain
Plus de cent (100) études ont montré que la
consommation modérée de la bière diminue le risque des
crises cardiaques ainsi que les décès liés aux maladies
CARDIO VASCULAIRE on parle d'une réduction de 25 à 40% ! Une
ou deux bières par jour peut aussi aider à augmenter les niveaux
de HDL, le « bon » CHOLESTEROL.
C'est ce dernier qui nous aide à prévenir
l'obstruction des artères (lorsqu'elles se bouchent).
v Des reins sains
Une étude finlandaise a constaté que les hommes
qui ont bu canette ou bouteille de bière par jour ont réduit leur
risque de développer des calculs réneaux de 40%. Une
théorie existe d'ailleurs à ce sujet. La forte teneur en EAU de
la bière contribuerait à maintenir le travail des REINS, tandis
que le houblon trouvé dans la bière nous aide à
prévenir la formation de calcul.
v Un cerveau plus sain
Les chercheurs disent qu'une bière par jour peut nous
aider à contrôler la maladie d'Alzeimer ainsi que
diverses démences qui sont dans la même ligne.
v Moins de risque de cancer
Lorsqu'on fait cuire de la viande, on produit sans le vouloir
des amines hétérocycliques (AHC), qui sont des agents
cancérigènes. Une étude a relevé que lorsqu'on
fait mariner la viande avec de la bière, on peut retirer jusqu'à
70% de ces agents.
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