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Changement des mentalités.


par Ilunga Ntambo Biamungu
Université de Lubumbashi - Licence 2015
  

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CONCLUSION

Ce livre que nous avons rédigé dont le titre est « le changement des mentalités facteur du développement intégral de la République Démocratique du Congo » est une réflexion issue des fait réel que nous avons observé dans la ville de Lubumbashi. Nous avons commencé parlé de l'éducation car ce elle qui est gage du développement c'est-à-dire le point de départ de tout développement d'une nation dans tout le secteur national du pays, car elle concourt dans la formation de citoyen responsable qui mettent leur savoir en action dans l'objectif du développement du pays. Lorsque la famille est constituée des illettrées elle va mettre au monde des enfants illettré c'est-à-dire les enfants qui héritent des gènes géniteurs médiocres et ce dernier ne peuvent réfléchir que sous esclavagisme. Des même avec nos dirigent

Nous considérons l'éducation comme l'action et l'influence basées sur les données politiques, sociales, économiques, culturelles d'une contrée, exercées et dirigées par un être ou une génération adulte vers un être humain jeune ou une jeune génération en vue de développer en lui ses connaissances, ses aptitudes pour le rendre capable de participer à la résolution des problèmes de l'existence individuelle et collective. L'action éducative vise donc à développer les potentialités d'un individu qui est valorisées par le groupe social.

Toute éducation vise à transformer l'enfant en adulte compétent, efficace, grâce à une préparation complète sur le plan intellectuel, psychomoteur, affectif, social. L'éducation est une vaste entreprise qui engage le destin et le devenir des hommes, d'une nation, pays...

Le système éducatif a été longtemps considéré comme facteur clé dans le développement. L'école produit des agents qualifiés, adaptés aux besoins de la société c'est-à-dire qui contribuent à la résolution des problèmes prioritaires. L'école est donc facteur de socialisation et de développement. Pour ce, l'école doit être efficace sur le plan individuel, social, moral, politique et économique. Toute éducation répond à une philosophie et celle-ci diffère d'une société à une autre.

Nous retenons ensemble avec le professeur docteur Mwenzewakyungu que l'éducation à la citoyenneté est une approche pédagogique révolutionnaire doit partir du sommet inspirateur a la base utilisatrice vice -versa. Elle doit former les enfants, les jeunes et adultes à la vie responsables, les orienter et les instruire sur la manière de vivre le patriotisme pour l'émergence du pas par eux même et l'avenir meilleur des générations futures. Elle est une valeur à conserver et pérenniser une richesse a capitalisée un message d'espoir à vulgariser, une semence à germer dans les têtes des jeunes générations qui doivent émerger avec leur pays. Elle contient l'essentiel idéologique pour le préparer au patriotisme interne et au challenge international. De ce qui précède, l'initiation à la nouvelle citoyenneté aidera : -Le peuple congolais à sauvegarder les acquis pour l'unité, la paix, la solidarité, la concorde nationale et prendre en main en destin ; -l'Etat congolais pour modifier d'avantage le sentiment qu'éprouvent des citoyens, d'être foncièrement étrangers sur la terre de leurs propres ancêtres ; -le système éducatif dans son ensemble, a travaillé sur les comportements des congolais pour leur responsabilisation et leur appropriation d'un patriotisme national responsable. Notons également que, ce domaine d'éducation à la citoyenneté est une forme de pédagogie est encore non théoriquement cerné et expérimentalement fouillé.

Le changement des mentalités proviendra d'une bonne éducation civique et l'éducation civique est une matière de l'éducation en général c'est-à-dire notre système éducatif doit être revisité pour arriver à intégrer les valeurs civique et patriotique dans chaque cours en maternel, primaire, secondaire et universitaire. Il est évident que les antivaleurs s'enracinent et s'étendent dangereusement dans tous les secteurs de la vie nationale grâce à la culture de l'impunité qu'aucun régime politique n'a véritablement combattue. Pour sanctionner les infractions et d'autres comportements irréguliers, la loi désigne les autorités compétentes. Or la Coordination pour le changement de mentalité n'a aucune compétence pour appliquer la sanction et encore moins pour contrôler les instances chargées de l'appliquer.

La lutte contre les antivaleurs n'est pas une particularité congolaise. C'est une pratique courante à travers le monde. Elle produit des résultats concrets et durables là où le contrôle et la sanction sont d'application effective. A cet égard, notre pays a encore un long chemin à parcourir. S'agissant du contrôle, il doit être réciproque entre les dirigeants et les citoyens. Les dirigeants veillent, chacun dans leurs rayons d'action, que chaque Congolais accomplisse ses obligations légales. A leur tour, les Congolais veillent, individuellement ou collectivement, que chaque dirigeant exécute correctement sa tâche. C'est pareil pour l'application de la sanction. Mais en pratique, l'effectivité de la sanction dépend de celle du contrôle citoyen.

Le changement des mentalité patriotisme économique, qui se manifeste souvent par des mesures protectionnistes, mais qui ne doit pas être assimilé à ces dernières, a pour objectif, dans l'esprit de ses défenseurs, de contribuer, grâce à sa mise en oeuvre, au développement économique dont il constitue un des leviers, d'assurer la sécurité des citoyens, et même de devenir un instrument destiné à promouvoir la puissance industrielle, commerciale et financière d'un pays. Qu'il soit d'inspiration mercantiliste ou listienne, il vise à donner, avant tout, aux nations une autonomie suffisante pour leur permettre d'élaborer librement leur stratégie de développement. D'inspiration keynésienne, il consiste, pour les États, à mettre en oeuvre une politique économique reposant sur une souveraineté sociale mais aussi, dans une moindre mesure, environnementale.

Placée dans le cadre du développement durable, la forme de patriotisme économique, que Durkheim considérait comme orientée vers des actions intérieures destinées à favoriser l'émergence d'une « société plus juste et mieux organisée » s'inscrit dans la logique de l'économie du don. Tout individu bénéficie ou a bénéficié de dons, sous forme d'une protection constante apportée par la société, qu'il s'agisse d'une protection sociale ou d'une protection de l'environnement dans lequel il opère. En retour, dans la logique maussienne du contre-don, il doit se montrer solidaire à l'égard de la société et, au plan économique, il est tout naturellement invité à faire preuve de patriotisme économique en privilégiant et en protégeant les intérêts économiques de ses concitoyens, et, dans une perspective plus large, des ressortissants de l'union régionale à laquelle il appartient, au détriment parfois de ses propres intérêts. L'État peut être amené à prendre des mesures protectionnistes, le cas échéant, lorsqu'il apparaît un consensus suffisant et qu'il faut éviter des comportements de passager clandestin.

Ce patriotisme économique, qui vise à protéger les intérêts nationaux, parfois au détriment des acteurs des autres pays, est-il pour autant éthiquement acceptable. Dans la mesure, où la protection concerne l'environnement, la sauvegarde des écosystèmes, patrimoine de l'Humanité, on peut considérer que ce patriotisme est tout à fait légitime. S'il s'agit de protéger, à travers le patriotisme économique, un système social, il faudrait, alors, que les bénéficiaires prévoient, pour les ressortissants des pays qui en sont victimes, notamment les pays les plus pauvres, des compensations sous forme d'aides. C'est à cette condition seulement que le patriotisme économique peut apparaître comme humaniste, en permettant aux citoyens d'un même pays de progresser dans la voie du développement durable, sans compromettre les aspirations des autres individus de la communauté internationale.

Il ne semble pas que le patriotisme économique, ainsi que toutes ses manifestations, soient amenés à disparaître dans un futur proche. En effet, les systèmes sociaux restent nationaux et les citoyens de chaque pays sont attachés généralement à leur spécificité. Les entreprises, dans le cadre de leur gouvernance, peuvent pratiquer un patriotisme économique en menant des politiques sociales à l'égard de leur personnel et de leurs autres parties prenantes, ainsi que des politiques de protection de l'environnement. Tant que des mesures de protection de l'environnement et des normes sociales ne seront pas adoptées par l'ensemble des États de la planète, le patriotisme économique sera indispensable pour que les acteurs, notamment les entreprises, qui prennent des risques en menant ou en participant à des expériences dans le domaine social ou environnemental, soient soutenus dans leurs efforts.

Voilà l'essentiel du livre que nous avons mis à la disposition de nos lecteurs en définitive l'Education engendre la bonne moralité celle-ci permet aux acteurs économiques, aux dirigeants de miser leurs efforts sur la caisse du trésor publique et l'Etat devient très riche car la bonne économie arrange le social de la population.

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"Piètre disciple, qui ne surpasse pas son maitre !"   Léonard de Vinci