CONCLUSION
Ce livre que nous avons rédigé dont le titre est
« le changement des mentalités facteur du développement
intégral de la République Démocratique du
Congo » est une réflexion issue des fait réel que nous
avons observé dans la ville de Lubumbashi. Nous avons commencé
parlé de l'éducation car ce elle qui est gage du
développement c'est-à-dire le point de départ de tout
développement d'une nation dans tout le secteur national du pays, car
elle concourt dans la formation de citoyen responsable qui mettent leur savoir
en action dans l'objectif du développement du pays. Lorsque la famille
est constituée des illettrées elle va mettre au monde des enfants
illettré c'est-à-dire les enfants qui héritent des
gènes géniteurs médiocres et ce dernier ne peuvent
réfléchir que sous esclavagisme. Des même avec nos
dirigent
Nous considérons l'éducation comme l'action et
l'influence basées sur les données politiques, sociales,
économiques, culturelles d'une contrée, exercées et
dirigées par un être ou une génération adulte vers
un être humain jeune ou une jeune génération en vue de
développer en lui ses connaissances, ses aptitudes pour le rendre
capable de participer à la résolution des problèmes de
l'existence individuelle et collective. L'action éducative vise donc
à développer les potentialités d'un individu qui est
valorisées par le groupe social.
Toute éducation vise à transformer l'enfant en
adulte compétent, efficace, grâce à une préparation
complète sur le plan intellectuel, psychomoteur, affectif, social.
L'éducation est une vaste entreprise qui engage le destin et le devenir
des hommes, d'une nation, pays...
Le système éducatif a été
longtemps considéré comme facteur clé dans le
développement. L'école produit des agents qualifiés,
adaptés aux besoins de la société c'est-à-dire qui
contribuent à la résolution des problèmes prioritaires.
L'école est donc facteur de socialisation et de développement.
Pour ce, l'école doit être efficace sur le plan individuel,
social, moral, politique et économique. Toute éducation
répond à une philosophie et celle-ci diffère d'une
société à une autre.
Nous retenons ensemble avec le professeur docteur
Mwenzewakyungu que l'éducation à la citoyenneté est une
approche pédagogique révolutionnaire doit partir du sommet
inspirateur a la base utilisatrice vice -versa. Elle doit former les enfants,
les jeunes et adultes à la vie responsables, les orienter et les
instruire sur la manière de vivre le patriotisme pour l'émergence
du pas par eux même et l'avenir meilleur des générations
futures. Elle est une valeur à conserver et pérenniser une
richesse a capitalisée un message d'espoir à vulgariser, une
semence à germer dans les têtes des jeunes
générations qui doivent émerger avec leur pays. Elle
contient l'essentiel idéologique pour le préparer au patriotisme
interne et au challenge international. De ce qui précède,
l'initiation à la nouvelle citoyenneté aidera : -Le peuple
congolais à sauvegarder les acquis pour l'unité, la paix, la
solidarité, la concorde nationale et prendre en main en destin ;
-l'Etat congolais pour modifier d'avantage le sentiment qu'éprouvent des
citoyens, d'être foncièrement étrangers sur la terre de
leurs propres ancêtres ; -le système éducatif dans son
ensemble, a travaillé sur les comportements des congolais pour leur
responsabilisation et leur appropriation d'un patriotisme national responsable.
Notons également que, ce domaine d'éducation à la
citoyenneté est une forme de pédagogie est encore non
théoriquement cerné et expérimentalement fouillé.
Le changement des mentalités proviendra d'une bonne
éducation civique et l'éducation civique est une matière
de l'éducation en général c'est-à-dire notre
système éducatif doit être revisité pour arriver
à intégrer les valeurs civique et patriotique dans chaque cours
en maternel, primaire, secondaire et universitaire. Il est évident que
les antivaleurs s'enracinent et s'étendent dangereusement dans tous les
secteurs de la vie nationale grâce à la culture de
l'impunité qu'aucun régime politique n'a véritablement
combattue. Pour sanctionner les infractions et d'autres comportements
irréguliers, la loi désigne les autorités
compétentes. Or la Coordination pour le changement de mentalité
n'a aucune compétence pour appliquer la sanction et encore moins pour
contrôler les instances chargées de l'appliquer.
La lutte contre les antivaleurs n'est pas une
particularité congolaise. C'est une pratique courante à travers
le monde. Elle produit des résultats concrets et durables là
où le contrôle et la sanction sont d'application effective. A cet
égard, notre pays a encore un long chemin à parcourir. S'agissant
du contrôle, il doit être réciproque entre les dirigeants et
les citoyens. Les dirigeants veillent, chacun dans leurs rayons d'action, que
chaque Congolais accomplisse ses obligations légales. A leur tour, les
Congolais veillent, individuellement ou collectivement, que chaque dirigeant
exécute correctement sa tâche. C'est pareil pour l'application de
la sanction. Mais en pratique, l'effectivité de la sanction
dépend de celle du contrôle citoyen.
Le changement des mentalité patriotisme
économique, qui se manifeste souvent par des mesures protectionnistes,
mais qui ne doit pas être assimilé à ces dernières,
a pour objectif, dans l'esprit de ses défenseurs, de contribuer,
grâce à sa mise en oeuvre, au développement
économique dont il constitue un des leviers, d'assurer la
sécurité des citoyens, et même de devenir un instrument
destiné à promouvoir la puissance industrielle, commerciale et
financière d'un pays. Qu'il soit d'inspiration mercantiliste ou
listienne, il vise à donner, avant tout, aux nations une autonomie
suffisante pour leur permettre d'élaborer librement leur
stratégie de développement. D'inspiration keynésienne, il
consiste, pour les États, à mettre en oeuvre une politique
économique reposant sur une souveraineté sociale mais aussi, dans
une moindre mesure, environnementale.
Placée dans le cadre du développement durable,
la forme de patriotisme économique, que Durkheim considérait
comme orientée vers des actions intérieures destinées
à favoriser l'émergence d'une « société
plus juste et mieux organisée » s'inscrit dans la logique de
l'économie du don. Tout individu bénéficie ou a
bénéficié de dons, sous forme d'une protection constante
apportée par la société, qu'il s'agisse d'une protection
sociale ou d'une protection de l'environnement dans lequel il opère. En
retour, dans la logique maussienne du contre-don, il doit se montrer solidaire
à l'égard de la société et, au plan
économique, il est tout naturellement invité à faire
preuve de patriotisme économique en privilégiant et en
protégeant les intérêts économiques de ses
concitoyens, et, dans une perspective plus large, des ressortissants de l'union
régionale à laquelle il appartient, au détriment parfois
de ses propres intérêts. L'État peut être
amené à prendre des mesures protectionnistes, le cas
échéant, lorsqu'il apparaît un consensus suffisant et qu'il
faut éviter des comportements de passager clandestin.
Ce patriotisme économique, qui vise à
protéger les intérêts nationaux, parfois au
détriment des acteurs des autres pays, est-il pour autant
éthiquement acceptable. Dans la mesure, où la protection concerne
l'environnement, la sauvegarde des écosystèmes, patrimoine de
l'Humanité, on peut considérer que ce patriotisme est tout
à fait légitime. S'il s'agit de protéger, à travers
le patriotisme économique, un système social, il faudrait, alors,
que les bénéficiaires prévoient, pour les ressortissants
des pays qui en sont victimes, notamment les pays les plus pauvres, des
compensations sous forme d'aides. C'est à cette condition seulement que
le patriotisme économique peut apparaître comme humaniste, en
permettant aux citoyens d'un même pays de progresser dans la voie du
développement durable, sans compromettre les aspirations des autres
individus de la communauté internationale.
Il ne semble pas que le patriotisme économique, ainsi
que toutes ses manifestations, soient amenés à disparaître
dans un futur proche. En effet, les systèmes sociaux restent nationaux
et les citoyens de chaque pays sont attachés généralement
à leur spécificité. Les entreprises, dans le cadre de leur
gouvernance, peuvent pratiquer un patriotisme économique en menant des
politiques sociales à l'égard de leur personnel et de leurs
autres parties prenantes, ainsi que des politiques de protection de
l'environnement. Tant que des mesures de protection de l'environnement et des
normes sociales ne seront pas adoptées par l'ensemble des États
de la planète, le patriotisme économique sera indispensable pour
que les acteurs, notamment les entreprises, qui prennent des risques en menant
ou en participant à des expériences dans le domaine social ou
environnemental, soient soutenus dans leurs efforts.
Voilà l'essentiel du livre que nous avons mis à
la disposition de nos lecteurs en définitive l'Education engendre la
bonne moralité celle-ci permet aux acteurs économiques, aux
dirigeants de miser leurs efforts sur la caisse du trésor publique et
l'Etat devient très riche car la bonne économie arrange le social
de la population.
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