3. La révision de la couverture du risque de
crédit
On remarque que la couverture du risque à partir de
2010 été basée sur l'approche standard très
utilisées par la généralité des banques puisque la
pondération du risque dépend des décisions des
autorités de contrôle. En effet la nouvelle réforme de 2017
indique une amélioration de la sensibilité du risque en
appliquant la méthode la plus simple, ainsi que la pondération ne
sera plus appliquer par les autorités du contrôle maintenant le
comité a proposé une nouvelle répartition
détaillée.
Par ailleurs le comité de bale veut limiter le recours
à des agences de notations externes à travers lequel les banques
obtiennent une notation du client, d'où l'introduction de la
méthode appelée la notation interne basée sur une
classification servant à évaluer le risque du crédit
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4. La redéfinition des fonds propres
Cette redéfinition regroupe les quatre composantes
à savoir premièrement la qualité et le niveau des fonds
propres qui impose la disposition d'actions ordinaires avec un niveau bien
précis de 4,5% d'actif avec la pondération du risque encouru.
Ce volet englobe ainsi l'absorption des pertes par les fonds
propres qui est définit tout simplement par l'intégration de la
privatisation afin d'encourager la résolution des perturbations ou lors
des situations critiques.
On trouve comme troisième composante la conservation
des fonds propres instauré par des actions ordinaires à raison de
2,5% mais préservation doit suivre les normes mondiales estimées
de 7%.
Finalement le volant contra-cyclique établie aussi des
actions ordinaires avec un intervalle allant de 0 à 2,5%, ce dernier est
marqué par l'exception par son imposition de la part des
autorités qui apprécie qu'un accroissement du crédit
provoque une hausse du risque inacceptable.
5. Impacts et limites de Bâle 3
L'apport de cet accord a bien amélioré le
système bancaire mondial et spécifiquement la
réglementation tunisienne puisqu'elle tire les règles des
établissements financiers à partir des recommandations
baloise.
Personne ne peut nier que la nouvelle réforme de 2017
générait un impact positif pour les banques puisque les fonds
propres ont subi une redéfinition d'être pondéré par
les risques c'est-à-dire une naissance d'une relation de
dépendance entre eux. Ainsi que le manque de la liquidité
crée par la crise de 2008 avait été corrigé par
l'exigence des ratios de liquidité à court et à long terme
ce qui permet aux banques une rapidité au niveau du cycle de rotation de
liquidité.
En effet, les banques vont être face à un aspect
négatif plus que prévu cela est par l'imposition des
autorités de conserver un volume très important de fonds propres
ce qui les met en position de couvrir un cout de fonds propres.
Cependant, l'introduction du ratio de liquidité
à court terme qui se définit par la disposition de chaque banque
une trésorerie qui peut couvrir une durée de 30 jours, pour cela
que les banques s'engage à acquérir des dettes marquées
par un risque élevé.
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Finalement, le recours à un ratio de liquidité
de long terme nait de son importance dans la stabilité de l'actif
liquide. Ce dernier, il sert à son tour à couvrir les banques
pour une période de court terme. Ceci devient problématique, car
cette instabilité engendre un déséquilibre entre
ressources et financement. Tout en sachant, que les établissements de
crédits collectent les ressources de financement, et c'est leur
activité principale (dépôts de clientèle). Mais
aussi, elles les distribuent en tant que crédit à moyen et long
terme.
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