2. OBJECTIFS :
- Analyser les conditions d'efficacité de la politique
budgétaire de la RDC en la faisant correspondre aux objectifs de la
croissance économique.
3. HYPOTHESE :
- La politique budgétaire congolaise aborderait mal,
les matières relatives à la condition fiscale des contribuables,
et des problèmes qui se posent au sein de l'économie nationale.
Cette situation consacre son inefficacité.
4. METHODOLOGIE
1. Méthodes d'analyse
empirique
Pour déterminer le taux de pression optimal nous
cherchons à estimer la relation entre le niveau de pression fiscale et
le taux de croissance économique ou le PIB réel. Les
spécifications empiriques autorisent la présence d`une tendance
parabolique concave en cohérence avec la courbe décrite par le
graphique de LAFFER. Nous allons procéder à plusieurs autres
ratios d'efficacité fiscale de type macro et micro économique.
Nous utilisons la Modèle MCO, Moindre Carré
Ordinaire à l'aide du logiciel SPSS pour le test de l'impact causal des
dépenses publiques sur la croissance car nous avons juste besoin de
mesurer l'impact des dépenses publiques sur le PIB.
2. Modèle
Pour estimer notre modèle de croissance, nous avons
choisi l'approche de la régression par panel à effets fixes.
Notre variable dépendante est le Produit Intérieur Brut (PIB) et
notre variable indépendante, les dépenses publiques (G)
observées chacune sur 16 ans avec U comme variable d'erreur pour prendre
en compte dans le modèle tout ce que nous aurions pu oublier. Le choix
de la variable dépenses publiques pour expliquer le lien entre
fiscalité et croissance économique est soutenu par les
idées de BARRO qui dit que l'Etat est un bénévole
altruiste, il prend au privé sous forme d'impôts pour le lui
redonner sous forme de dépenses publiques. Et l'efficacité de son
action se mesure par sa capacité à créer plus d'impact
positif par les dépenses qu'il en crée de négatif par les
prélèvements.
Ensuite, nous allons dans notre troisième chapitre
mesurer l'impact des dépenses publiques sur la croissance
économique.
|