2. Favoriser les comportements de
mobilisation pour mettre l'accent sur la participation au travail
Nous pensons que l'entreprise PERENCO gagnerait à
favoriser les comportements de mobilisation individuelle et collective. Car ils
contribuent à l'amélioration du climat social et
2.1. Pour une contribution à l'amélioration du
climat social
Les comportements de mobilisation individuelle et collective
participent à l'amélioration du climat social. Ces derniers
procurent un avantage compétitf à ceux qui savent la susciter.
Pour évoluer vers une plus grande mobilisation, les salariés
doivent aider les autres, à performer, à contribuer à
l'amélioration du climat social, au bien être des autres, et
à la préservation d'un climat social. D'après notre
analyse factorielle, les variables antes suivantes peuvent contribuer à
l'amélioration du climat social :
ü Encourager le mérite et non la roublardise,
ü Renforcer le sentiment de compétence personnelle
des salariés en leur offrant une rétroaction constructive et de
la reconnaissance,
ü Faire de la formation un outil de développement
des compétences pour tous,
ü Créer une forte relation de confiance mutuelle
fondée sur l'honnêteté, la constance et la cohérance
des gestes et paroles.
Pour les salariés de notre échantillon,
l'amélioration du climat social de l'entreprise passe par des actions de
communication, d'écoute et de cordination. En ce qui concerne les
comportements de mobilisation collective, nous pouvons citer entre
autres :
ü Les remerciements et les félicitations
publics,
ü Les récompenses monétaires collectifs car
elles favorisent davantage la coopération entre salariés,
ü Encourager la participation aux activités du
comité des oeuvres sociales.
2.2. Pour une organisation du travail plus participatif
Les comportements de mobilisation aident les gestionnaires
à organiser le travail. Car il y a une interaction entre les
collaborateurs et la hiérarchie. La manière dont le travail est
structuré a une influence déterminante sur les
possibilités de se mobiliser. Cette influenece se fait sentir à
travers le pouvoir d'agir.Organiser le travail de façon participatif
consiste d'après Anne Bourhis et Dénis Chênevert
à :
ü Renforcer l'interdépendance entre les emplois
afin d'accroitre la coopération et la coordination entre les
employés,
ü Instaurer le travail en équipe,
ü Avoir recours à des groupes d'employés
(cercles de qualité) pour résoudre des problèmes
ponctuels,
ü Déléguer certaines responsabilités
à certains salariés pour les responsabiliser
Ces mesures pourront faire surgir chez certains
salariés un certains nombres de comportements de nature collectif par
exemple une meilleure coordination, la formulation de propositions de
changement d'idées.
Les salariés de notre échantillon (90% d'accord)
pensent qu'il est nécessaire de consulter l'employé sur la
façon d'améliorer les méthodes de travail. Il faut
d'encourager lla polyvalence.
CONCLUSION DEUXIEME PARTIE
Cette deuxième partie qui s'achève nous a permis
de décrire la démarche méthodologique choisie pour
réaliser notre travail. Cette démarche est quantitative. Nous
avons présenté nos résultats sous forme des tris à
plat. Nous avons posé quatre hypothèses qui ont été
vérifié à partir des tests de Khi deux. Ensuite nous
avons fait une analyse factorielle des thèmes de notre questionnaire.
Cette analyse nous a permis d'identifier les dimensions à prendre en
considération pour mobiliser le personnel à PERENCO.
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