CONCLUSION GENERALE
Nous voici arriver au terme de notre étude qui a
portée sur « la problématique de la croissance
économique en R.D.C. »
Hormis l'introduction et la conclusion
générales, nous avons subdivisé notre travail de la
manière suivante :
? Le chapitre premier qui a porté sur
le cadre conceptuel et théorique ou encore les définitions des
concepts des base afin de pouvoir donner à nos lecteurs la partie
économique des différents concepts que nous avons
développés dans notre travail ;
? Le chapitre deuxième a
consisté à l'analyse empirique de la croissance en R.D.C
géographiquement, politiquement et économiquement. Nous avons
parlé de la situation économique depuis 2009 jusqu'en 2012, et
enfin nous avons essayé de montrer les déterminants de la
croissance économique en R.D.C ;
? Et enfin, le troisième
chapitre a été consacré à la
présentation, à l'analyse et à l'interprétation des
résultats, dans lequel nous avons fait une analyse de ce qui a
empêché la croissance économique à deux chiffres.
Nous pourrions tout écrire, mais nous nous sommes
limités sur ce que vous avez dans vos mains pour que vous aussi,
puissiez continuer avec des recherches en cette matière. Comme tout
pays, la R.D.C a un objectif qu'elle poursuit pour atteindre une croissance
économique à deux chiffres, mais elle présente des
difficultés pour atteindre cet objectif, c'est pourquoi nous avons voulu
faire une étude là-dessus.
Partant de la problématique de recherche
soulevée au début de notre recherche portant sur ce qui freine la
croissance économique en R.D.C, nous essayé de répondre
dans l'hypothèse en disant que ce qui freine cette croissance c'est le
taux d'investissement qui est faible.
La croissance économique d'un pays est mesurée
par un indicateur qu'on appelle le P.I.B, que nous avions
examiné tout au long de notre travail pour arriver à cette
conclusion. A partir du P.I.B, nous avons constaté que
le taux d'investissement est faible, or l'investissement est la clé de
la croissance économique. Nous avons constaté que, pour la R.D.C
ce sont les étrangers qui investissent, donc les investissements de la
R.D.C viennent de l'extérieur.
Pour une croissance à long terme, ce sont les agents
économiques congolais qui doivent épargner à partir de
leurs revenus, or beaucoup sont au chômage, d'autres les revenus sont
insuffisants, les grandes sociétés publiques sont tombées
en faillite,...
L'investissement augmente la capacité de production des
entreprises, ce qui montre déjà la croissance économique,
il y aura augmentation des embauches, donc le taux de chômage va baisser
et le revenu va augmenter.
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à sont tour peut accroitre l'investissement. Il s'agit
des investissements des nationaux donc, des congolais que la croissance
économique en a besoin. Et cet investissement en tant que clé de
la croissance essayera d'ouvrir cette porte fermée depuis 1960, et ceux
qui la possèdent ce sont les congolais eux-mêmes.
Les mécanismes qui relient l'investissement et la
croissance sont que ce premier est une dépense sous formes
matériel ou immatériel qui poursuit différents objectifs,
soit de remplacer, moderniser ou accroitre les capacités productives
réalisés par différents acteurs, tandis que la croissance
économique c'est une augmentation des richesses produite soit par la
productivité, soit par la hausse des capacités productives sous
expansion sur cout terme, moyen terme et long terme. L'investissement est une
dépense, correspond à une demande, ce qui stimule la production
des entreprises, notamment dans la branche machine-outil ; effet d'entrainement
appelé multiplicateur d'investissement par J.M. Keynes : cette
dépense génère une production donc une distribution de
revenus qui seront à leur tour une croissance économique ;
l'investissement peut permettre de produire plus (investissement de
capacité) car elle permet d'accroitre la quantité de facteur
capital. Il s'agit sur les capacités de production : croissance
extensive ; l'investissement permet de produire plus car il améliore,
modernise le capital ou rend le facteur travail plus efficace (une plus grande
quantité de capital par salarié): croissance intensive.
Pour terminer, notons que notre travail laisse une porte
ouverte aux futures chercheurs qui, sans aucun doute, développement
d'autres aspects des questions soulevées tout au long de la
présente étude.
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