Section II : Hypothèses de recherche
Pour atteindre les objectifs ci-dessus, nous allons poser les
hypothèses suivantes :
H1-la mise en place de la passerelle
SMS permet à AFI/L'UE de palier aux problèmes de coûts
auxquels elle fait face dans le processus de la gestion des push.
H2-la mise en place de la passerelle
SMS permet également à AFI/L'UE de toucher un grand nombre de
correspondant à savoir le corps professoral, les étudiants en
temps réel sur une modification apporté dans le
déroulement des activités.
Section III : Pertinence du sujet
Notre étude trouve un intérest majeur quant
à la recherche de la validation des hypothèses ci haut.
L'implémentation d'une passerelle SMS au sein de
AFI/L'UE est un problème non négligeable. L'intérêt
de notre étude est non seulement d'apporter des réponses à
la problématique, mais aussi de contribuer à la
littérature s'inscrivant dans ce domaine.
Cette étude s'inscrit dans une perspective
d'amélioration des applications utilisées au sein de
L'Université de L'Entreprise, aussi du fonctionnement et de l'efficience
de la mise en place de la passerelle SMS. Tout cela afin de permettre enfin
à cette Institution de participer
aisément au fonctionnement et au développement du
système informatique et de posséder des outils susceptibles
d'améliorer ce secteur.
Section IV : La revue critique de la
littérature
La littérature informatique consacrée à
l'évolution de la NTIC (Nouvelles Technologies de l'Information et de la
Communication) aborde la mise en place d'une passerelle SMS comme moyen
technique le plus garanti au sein d'une organisation permettant l'acheminement
fidèle et fiable d'information entre deux ou plusieurs points
quelconques pour un coût raisonnable.
Le projet Debian, commencé en 1993 avec le soutien de
la Free Software Foundation, a adopté les principes du logiciel libre
selon Debian. Proposé en 1997 par Bruce PERENS, ancien leader du projet
Debian et co-fondateur de l'Open Source Initiative, il est le détenteur
de la marque Open Source. Cette marque a mis en évidence quelques points
concernant le côté pratique de celle-ci à savoir : la
non-discrimination des utilisateurs et des usagers, les restrictions
acceptables en matière de la préservation du code source de
l'auteur original, ou encore l'acceptation explicite de la modification du nom
d'un logiciel.
Richard STALLMAN, chercheur au laboratoire d'Intelligence
Artificielle du Massachusetts Institute of Technology, ressent
profondément ce changement lorsque les collègues
échangeant des logiciels jusqu'ici, sont engagés à leur
tour pour produire des logiciels qu'ils ne pourront plus partager. En 1983, il
crée le projet GNU qui a pour objectif de construire un Système
d'Exploitation compatible avec Linux et dont la totalité des logiciels
est librement partageable. Afin de donner une assise solide à son
projet, Richard STALLMAN définit précisément la notion de
« Logiciel Libre » et rédige la Licence Publique
Générale GNU(GPL) qui utilise le droit d'auteur pour garantir la
pérennité du droit de partage. Les Logiciels Libres sont soumis
comme tout logiciel public au droit d'auteur. La particularité des
logiciels libres est que l'auteur exerce son droit en distribuant le logiciel
accompagné d'une licence libre qui énumère les droits
donnés à l'utilisateur.
Etant donné que le logiciel Kannel que
nous avons choisi pour la mise en place de la passerelle SMS fait partie des
solutions Open Source dont la licence ne doit pas exiger une redevance et
d'éviter que la licence soit utilisée commercialement, nous nous
sommes
confrontés jà pas mal de difficultés dans
l'élaboration de cette Revue de la Littérature par manque
d'ouvrage et documentation via Internet. Les auteurs préfèrent se
focaliser sur des logiciels libres dont la commercialisation est possible. Nous
avons été très étonnés de constater ce grand
manque d'ouvrages et de traités littéraires se rapportant
à cet important logiciel. Cela est dû aussi, peut-être, par
sa nouveauté et sa méconnaissance auprès des usagers. Ou
bien encore, sa licence n'étant pas orientée à 4tre
utilisée commercialement, les chercheurs n'ont pas cru bon s'y investir
massivement, parce qu'ils n'y trouvent pas leur intérêt.
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