BIBLIOGRAPHIE
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contrôle de gestion bancaire ; notes de
Conference CESAG.
* Anthony R.N& Dearden J (1976): Management
control systems, Richard D Irwin, Homewood, Illinois, 1976 pp.8-10
* BRI (2004) Banking Institution and financial markets
seminar MBA, CESAG DAKAR
* Chandler A. (1977, 1988), the visible hand: the
managerial revolution in American business, Belkmap Press, 1977.Edition
française: La main visible des managers, Economica, Paris,
1988.
* ECOBANK Cameroun (2003) Rapport annuel,
Douala
* ECOBANK Cameroun (2004) Rapport annuel,
Douala
* ECOBANK Transnational Incorporated (2002) Rapport
annuel, Lomé
* ECOBANK Transnational Incorporated (2004) Rapport
annuel, Lomé
* Homealo Gbeasor (juin 2005); Notes de cours sur
la réglementation bancaire dans les zones CEMAC et
UEMOA ; CESAG.
* Jean Luc Siruguet ; Le contrôle
comptable bancaire, tome II ;
* Meir KOHN (2004), Financial activities in emerging
market éd. John HOPKINS
* Meir KOHN op. Cit. pages 3
* Michel Rouach & Gérard Naulleau
(1998) : Le contrôle de gestion bancaire et financier 5eme
édition ; Banque ed.
* Prof Wade El Bachir (2005): Notes de cours de
contrôle de gestion bancaire ; CESAG
* Sloan A.P (1964): «Mes années à
la General Motors «, Hommes et Techniques.
ANNEXES
ANNEXES 1 PRINCIPES FONDAMENTAUX DU COMITE DE BALE
POUR UN CONTROLE BANCAIRE EFFICACE
Principe 1
Un système de contrôle bancaire efficace doit
assigner des responsabilités et objectifs clairs à chaque
instance participant à la surveillance des organisations bancaires.
Chacune de ces instances devrait disposer d'une indépendance
opérationnelle et des ressources adéquates. Un cadre juridique
approprié est également nécessaire pour couvrir entre
autres l'autorisation désorganisations bancaires et leur contrôle
permanent, les pouvoirs en matières de respect des lois et à
l'égard des questions de sécurité et de stabilité,
la protection juridique des autorités prudentielles. Des dispositions
devraient régir, entre autres, l'échange d'information entre
celle-ci ainsi que la protection des données.
Principe 2
Les activités autorisées des
établissements agrées et soumis à la surveillance
prudentielle en tant que banques doivent être clairement définies
,et l'emploi du mot banque dans les raisons sociales devrait être autant
que possible contrôlé.
Principe 3
L'autorité qui accorde l'agrément doit
être habilitée à fixer des critères d'aptitude et
à rejeter les candidatures d'établissements n'y satisfaisant pas.
La procédure d'agrément devrait consister, au minimum, en une
évaluation de la structure de propriété, des
administrateurs et de la direction générale de l'organisation
bancaire, de son plan d'exploitation et de ses contrôle internes ainsi
que de sa situation financière projetée, y compris de ses fonds
propres ; s'il est prévu que le propriétaire ou
l'organisation mère sera une banque étrangère
Principe 4
Les autorités de contrôle bancaire doivent
être habilitées à examiner et à rejeter toute
proposition visant à transférer à des tiers des parts
importantes de propriété ou des participations de contrôle
de banques existantes.
Principe 5
Les autorités de contrôle bancaire doivent
être habilitées à définir des critères pour
examiner les grandes opérations d'acquisition ou d'investissement d'une
banque et pour s'assurer que ses affiliations ou structures d'entreprises ne
l'exposent pas à des risques excessifs ou ne s'opposent à un
contrôle efficace.
Principe 6
Les autorités de contrôle bancaire doivent fixer
à toutes les banques des exigences de fonds propres minimales prudentes
et appropriées. Celles ci devraient refléter les risques qu'elles
encourent et doivent déterminer les composantes du capital, en tenant
compte de leur capacité d'absorber des pertes .Pour les banques, au
moins, qui, opèrent à l'échelle internationale, ces
exigences de fonds propres ne doivent pas être intérieures
à celles qui sont prévues dans l'accord de Bâle et ses
amendements.
Principe 7
Un élément essentiel à tout
système prudentiel réside dans l'évaluation des
politiques, pratiques et procédures des banques en matière
d'octroi de prêts et d'investissements ainsi que de leur gestion courante
de ces portefeuilles.
Principe 8
Les autorités de contrôle doivent s'assurer que
les banques définissent et suivent des politiques, pratiques et
procédures adéquates pour évaluer la qualité de
leurs actifs et l'adéquation de leur provisions et réserves pour
pertes sur prêts.
Principe 9
Les autorités de contrôle bancaire doivent
s'assurer que les banques disposent de systèmes d'information de la
direction permettant à celles-ci d'identifier des concentrations au sein
du portefeuille ; elles doivent également fixer des seuils prudents
limitant l'exposition au risque envers un emprunteur ou un groupe d'emprunteurs
liés.
Principe 10
Afin d'éviter des abus liés à l'octroi
des prêts à des emprunteurs apparentés a
l'établissement, les autorités de contrôle bancaire doivent
disposer de normes stipulant que les banques prêtent aux conditions du
marché aux entreprises et particuliers apparentés, que ces
octrois font l'objet d'un suivi efficace et que d'autres dispositions
appropriées sont prises pour contrôler ou réduire les
risques.
Principe 11
Les autorités de contrôle bancaire doivent
s'assurer que les banques sont dotées de politiques et de
procédures adéquates pour identifier, suivre et contrôler
le risque pays et le risque de transfert dans leurs activités
internationales de prêt et d'investissement, ainsi que pour constituer
des réserves appropriées en regard de ces risques.
Principe 12
Les autorités de contrôle bancaire doivent
s'assurer que les banques disposent de systèmes permettant une mesure
précise, un suivi et un contrôle adéquat des risques de
marché ; elles devraient si nécessaires, être
habilitées à imposer des limites et/ou exigences de fonds propres
spécifiques en regard de l'exposition aux risques de marché.
Principe 13
Les autorités de contrôle bancaire doivent
s'assurer que les banques disposent d'un dispositif de gestion des risques
(comportant une surveillance appropriée de la part du conseil
d'administration et de la direction générale) pour identifier,
mesurer suivre et contrôler tous les autres risques essentiels et, s'il
y'a lieu constituer une couverture de fonds propres à l'égard de
ces risques.
Principe 14
Les autorités de contrôle bancaire doivent
s'assurer que les banques sont dotées de contrôles internes
adaptés à la nature et à l'ampleur de leurs
activités et recouvrant plusieurs aspects : dispositions claires de
délégation de pouvoirs et de responsabilités,
séparation des fonctions impliquant un engagement de la banque , une
libération de ses capitaux et la comptabilisation de ses actifs, audit
indépendant approprié , interne ou externe ; fonctions de
contrôle de conformité à ces dispositions ainsi qu'aux lois
et règlements applicables
Principe 15
Les autorités de contrôle bancaire doivent
s'assurer que les banques disposent de politiques, pratiques et
procédures appropriées, notamment de critères stricts de
connaissance de la clientèle, assurant un haut degré
d'éthique et de professionnalisme dans le secteur financier et
empêchant que la banque ne soit utilisée, intentionnellement ou
non, par des éléments criminels.
Principe 16
Un système de contrôle efficace devrait comporte
à la fois, sous une forme ou sous une autre, un contrôle sur place
et sur pièces.
Principe 17
Les autorités de contrôle bancaire doivent avoir
des contacts réguliers avec la direction de la banque et une
connaissance approfondie de ses activités.
Principe 18
Les autorités de contrôle bancaire doivent se
donner les moyens de rassembler, d'examiner et d'analyser, sur une base
individuelle et consolidée, les rapports prudentiels et états
statistiques fournis par les banques.
Principe 19
Les autorités de contrôle bancaire doivent
être en mesure de vérifier, en toute indépendance, les
informations prudentielles en effectuant des inspections sur place ou en
recourant à des auditeurs externes.
Principes 20
Un élément essentiel du contrôle bancaire
réside dans la capacité des autorités de surveilles un
groupe bancaire sur une base consolidée.
Principe 21
Les autorités de contrôle bancaire doivent
s'assurer que chaque banque tient ses registres de manière
adéquate, conformément à des conventions pratiques
comptables cohérentes fournissant une présentation sincère
et régulière de sa situation financière ainsi que la
rentabilité de ses activités, et qu'elle publie
régulièrement des états financiers reflétant
fidèlement cette situation.
Principe 22
Les autorités de contrôle bancaire doivent avoir
à leur disposition des instruments adéquats pour mettre en oeuvre
en temps opportun une action correctrice lorsque les banques ne remplissent pas
les exigences prudentielles (telles que les normes minimales de fonds propres),
lorsque les réglementations ne sont pas respectées ou lorsque les
déposants sont menacés de toute autre façon. Dans des
circonstances extrêmes, cela devrait inclure la capacité d'annuler
l'agrément ou d'en recommander la révocation.
Principe 23
Les autorités de contrôle bancaire doivent
effectuer un contrôle global consolidé , assurant un suivi
adéquat et l'application des normes prudentielles appropriée pour
tous les aspects des activités menées par les organisations
bancaires à l'échelle mondiale , principalement au sein de leur
succursales en participation et filiales à l'étranger.
Principe 24
Un élément fondamental du contrôle
consolidé réside dans l'établissement de contacts et
d'échanges avec les diverses autres autorités prudentielles
concernées, principalement celles du pays d'accueil.
Principe 25
Les autorités de contrôle bancaire doivent exiger
que les activités de banques étrangères opérant sur
le territoire national obéissent à des critères aussi
rigoureux que ceux auxquels sont soumis les établissements
domestiques ; elles doivent être habilitées en outre ; a
partager avec leur homologues du pays d'origine les informations dont celles-ci
ont besoin pour leur contrôle consolidé.
ANNEXE 2
DEC1503
|
|
|
|
|
Calcul du ratio de couverture des risques
|
30/09/2005
|
10029 - Ecobank Cameroun
|
Cameroun
|
Statut de l'état : Définitif
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
(en millions de francs CFA)
|
|
|
|
|
|
Autres titres de participations
|
B63
|
103
|
1.00
|
103
|
Titres publics immobilisés
|
B64
|
905
|
1.00
|
905
|
Titres privés immobilisés
|
B65
|
0
|
1.00
|
0
|
Titres en souffrance
|
B66
|
0
|
1.00
|
0
|
Opérations avec la clientèle
|
C00
|
39421
|
1.00
|
39421
|
Titres de placement et de transaction
|
E1B
|
652
|
1.00
|
652
|
Créances en souffrance
|
E8B
|
210
|
1.00
|
210
|
Opérations interbancaires (BEAC exclue)
|
E0D
|
10554
|
0.20
|
2111
|
Cautions et avals par actes sépares
|
L02
|
0
|
0.20
|
0
|
Confirmations de crédit documentaires
|
L03
|
517
|
0.50
|
258
|
Acceptations à payer
|
L04
|
0
|
0.50
|
0
|
Autres garanties irrévocables ou inconditionnels
|
L05
|
0
|
0.20
|
0
|
Contre garanties en faveur des correspondants
|
L06
|
0
|
0.20
|
0
|
Acceptations à payer
|
M21
|
1141
|
1.00
|
1141
|
Ouvertures de crédits documentaires confirmes
|
M22
|
2413
|
0.50
|
1206
|
Autres ouvertures de crédit confirmes
|
M23
|
0
|
1.00
|
0
|
Cautions et avals
|
M24
|
5504
|
0.20
|
1101
|
Garanties de remboursement de crédit
|
M25
|
0
|
1.00
|
0
|
Autres garanties
|
M29
|
0
|
0.20
|
0
|
Encours financier des contrats de crédit-bail en force
|
N4D
|
0
|
0.50
|
0
|
Risques pondérés bruts
|
X23
|
|
|
48023
|
Engagements excèdent 5 % des fonds propres nets
portes sur les actionnaires et associes détenant au moins 10 % du
capital et sur les administrateurs, dirigeants et personnel
|
X18
|
0
|
1.00
|
0
|
Compléments de provisions à constituer sur les
autres risques
|
Y07
|
0
|
1.00
|
0
|
Complément de provisions à constituer sur
créances douteuses
|
X24
|
0
|
1.00
|
0
|
Créances sur les correspondants hors CEMAC
déductibles sur accord COBAC
|
Y08
|
0
|
1.00
|
0
|
Contre garanties bancaires et nantissement de dettes
subordonnées et de dépôts
|
X04
|
2932
|
1.00
|
2932
|
Contre garanties bancaires et nantissement de dettes
subordonnées et de dépôts
|
X04
|
0
|
1.00
|
0
|
Contregaranties bancaires et nantissement de dettes
subordonnées et de dépôts
|
X04
|
261
|
0.20
|
52
|
Engagements pondérés à 50 %
|
X88
|
7756
|
0.50
|
3878
|
Montants déductibles des risques
pondérés bruts
|
X25
|
|
|
10714
|
Risques pondérés nets
|
X26
|
|
|
37309
|
Couverture des risques par les fonds propres nets (en
pourcentage)
|
X27
|
|
|
7
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
ANNEXE 3
DEC1512
|
|
|
|
|
|
|
Contrôle des normes de division des risques
|
30/09/2005
|
10029 - Ecobank Cameroun
|
Cameroun
|
Statut de l'état : Définitif
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
(en millions de francs CFA)
|
Libellé
|
Code poste
|
Montant
|
Fonds propres nets corrigés
|
X19
|
2747
|
Seuil des grands risques
|
X68
|
412
|
Engagements pondérés maximum sur un même
débiteur
|
X69
|
1236
|
Engagements pondérés maximum pour l'ensemble des
grands risques
|
X70
|
21976
|
|
|
|
|
|
|
|
Liste des débiteurs dont les engagements
pondérés excèdent 15% des fonds propres
|
Bénéficiaire
|
Titres et crédits retenus à
100%
|
Titres et crédits retenus à
50%
|
Titres et crédits retenus à
25%
|
Total des engagements.
|
Encours brut
|
Encours pondéré
|
Encours brut
|
Encours pondéré
|
|
A
|
|
B
|
|
C
|
A+B+C
|
"GROUPE SOMDIAA/VILGRAIN (SOSUCAM & SGMC )"
|
1113
|
130
|
65
|
0
|
0
|
1178
|
"SHO CAMEROUN"
|
1099
|
31
|
16
|
0
|
0
|
1115
|
"SOCIETE CAMEROUNAISE DE PALMERAIE"
|
1059
|
0
|
0
|
0
|
0
|
1059
|
"ADER"
|
1024
|
0
|
0
|
0
|
0
|
1024
|
"PORT AUTONOME DE DOUALA"
|
1003
|
0
|
0
|
0
|
0
|
1003
|
"CAMRAIL"
|
0
|
1952
|
976
|
0
|
0
|
976
|
"TELCAR COCOA LTD"
|
850
|
0
|
0
|
0
|
0
|
850
|
"SOCIETE DE TRANSPORT ET DE NEGOCE"
|
778
|
0
|
0
|
0
|
0
|
778
|
"BOCOM INTERNATIONAL SARL"
|
759
|
11
|
6
|
0
|
0
|
765
|
"GROUPE PPR (CFAO TECH. & SUPERDOLL & ICRAFON )"
|
757
|
0
|
0
|
0
|
0
|
757
|
"CHANTIER NAVAL ET INDU. |"
|
733
|
0
|
0
|
0
|
0
|
733
|
"ECOBANK TRANSNATIONAL INC"
|
716
|
0
|
0
|
0
|
0
|
716
|
"C.I.C.B."
|
535
|
347
|
174
|
0
|
0
|
709
|
"WIJMA DOUALA"
|
660
|
0
|
0
|
0
|
0
|
660
|
"BELGOLAISE BRUXELLES"
|
632
|
0
|
0
|
0
|
0
|
632
|
"LA PASTA S.A"
|
556
|
0
|
0
|
0
|
0
|
556
|
"COMETAL SA"
|
549
|
0
|
0
|
0
|
0
|
549
|
"VATICAN COMPANY LIMITED"
|
498
|
0
|
0
|
0
|
0
|
498
|
"AFRICA SECURITY CAMEROON"
|
418
|
0
|
0
|
0
|
0
|
418
|
"AES SONEL SA"
|
4231
|
0
|
0
|
0
|
0
|
4231
|
"CREDIT SYNDIQUE MTN"
|
2800
|
0
|
0
|
0
|
0
|
2800
|
"SOCIETE NATIONALE DE RAFFINAGE"
|
0
|
5285
|
2643
|
0
|
0
|
2643
|
"BRITISH AMERICAN TOBACCO"
|
1431
|
0
|
0
|
0
|
0
|
1431
|
Total des grands risques (X71)
|
|
|
|
|
|
26081
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
ANNEXE 4
DEC1507
|
|
|
Calcul du coefficient de transformation
|
30/09/2005
|
10029 - Ecobank Cameroun
|
Cameroun
|
Statut de l'état : Définitif
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
(en millions de francs CFA)
|
Libellé poste
|
Code poste
|
Montant
|
Fonds propres nets corrigés
|
X19
|
2747
|
Ressources assimilées aux fonds propres
|
X14
|
0
|
Fonds propres net corrigés hors ressources
assimilées
|
X48
|
2747
|
Ressources et engagements donnés
|
X06
|
0
|
Fonds de garantie mutuels
|
F63
|
0
|
Autres ressources permanentes
|
F8B
|
0
|
Ressources extérieures à plus de 5 ans de
durée résiduelle hors ressources assimilables aux fonds
propres
|
X49
|
0
|
Ressources à long terme hors ressources assimilables aux
fonds propres
|
X52
|
2747
|
Ressources assimilables aux fonds propres
|
X13
|
0
|
Possibilités de refinancement BEAC à plus de cinq
ans inutilisées
|
Y11
|
0
|
Numérateur du coefficient de
transformation
|
X50
|
2747
|
Immobilisations en exploitation bancaire
|
B0B
|
1179
|
Immobilisations en location simple
|
B0C
|
0
|
Immobilisations non louées
|
B0U
|
0
|
Immobilisations acquises en réalisation de garanties
|
B0E
|
0
|
Autres immobilisations
|
B0F
|
65
|
Immobilisations corporelles en cours
|
B30
|
365
|
Avances et acomptes sur immobilisations
|
B40
|
0
|
Dépôts et cautionnements
|
B50
|
25
|
Autres titres de participations
|
B63
|
103
|
Titres en souffrance
|
B66
|
0
|
Prêts et titres impayés
|
B76
|
0
|
Créances nettes en souffrances
|
C40
|
1075
|
Créances en souffrance
|
D8B
|
0
|
Créances en souffrance
|
E8B
|
210
|
Emplois et engagements reçus
|
X05
|
17
|
Emplois à long terme
|
X51
|
3039
|
Complément de provisions à constituer sur
créances douteuses
|
X24
|
0
|
Dénominateur du coefficient de transformation
à long terme
|
X53
|
3039
|
Coefficient de transformation à long
terme
|
X54
|
90
|
ANNEXE 5
DEC1504
|
|
|
Calcul du ratio de couverture des immobilisations
|
30/09/2005
|
10029 - Ecobank Cameroun
|
Cameroun
|
Statut de l'état : Définitif
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
(en millions de francs CFA)
|
Libellé poste
|
Code poste
|
Montant
|
Immobilisations en exploitation bancaire
|
B0B
|
1179
|
Immobilisations en location simple
|
B0C
|
0
|
Immobilisations acquises en réalisation de garanties
|
B0E
|
0
|
Immobilisations non louées
|
B0U
|
0
|
Autres immobilisations
|
B0F
|
65
|
Immobilisations corporelles en cours
|
B30
|
365
|
Avances et acomptes sur immobilisations
|
B40
|
0
|
Dépôts et cautionnements
|
B50
|
25
|
Autres titres de participations
|
B63
|
103
|
Titres publics immobilisés
|
B64
|
905
|
Titres privés immobilisés
|
B65
|
0
|
Titres en souffrance
|
B66
|
0
|
Immobilisations corporelles
|
X28
|
2642
|
Autres emprunts auprès des correspondants
|
F8C
|
0
|
Prêts et comptes à terme des correspondants
|
E4B
|
0
|
Excédent des emprunts bancaires à plus de
cinq ans sur les prêts de même nature
|
X29
|
0
|
Autres capitaux permanents
|
X03
|
0
|
Fonds propres nets corrigés
|
X19
|
2747
|
Ressources permanentes
|
X30
|
2747
|
Couverture des immobilisations par les ressources
permanentes
|
X31
|
104
|
ANNEXE 6
DEC1506
|
|
|
|
|
Calcul du rapport de liquidité
|
30/09/2005
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10029 - Ecobank Cameroun
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Cameroun
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Statut de l'état : Définitif
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(en millions de francs CFA)
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Libellé poste
|
Code poste
|
Montant
|
Coeff.
|
Montant pondéré
|
Solde prêteur de trésorerie à vue ou à
moins d'un mois
|
X34
|
6197
|
1.00
|
6197
|
Solde débiteur de recouvrement
|
X36
|
212
|
1.00
|
212
|
Excédent lignes interbancaires reçues
|
X44
|
0
|
1.00
|
0
|
Possibilités de refinancement BEAC inutilisées
|
Y10
|
0
|
1.00
|
0
|
Crédits à long terme
|
C0C
|
0
|
0.75
|
0
|
Crédits à moyen terme
|
C1B
|
121
|
0.75
|
91
|
Crédits à court terme
|
B
|
5325
|
0.75
|
3994
|
Comptes débiteurs de la clientèle
|
C7B
|
12773
|
0.10
|
1277
|
Autres sommes dues par la clientèle
|
C86
|
2
|
0.10
|
0
|
Valeurs non imputées
|
C87
|
0
|
0.10
|
0
|
Disponibilités à vue ou à moins d'un
mois
|
X45
|
|
|
11771
|
Solde emprunteur trésorerie à vue ou à moins
d'un mois
|
X35
|
0
|
1.00
|
0
|
Solde créditeur de recouvrement
|
X37
|
0
|
1.00
|
0
|
Solde créditeur régularisation
|
X38
|
363
|
1.00
|
363
|
Solde créditeur des divers
|
X41
|
0
|
1.00
|
0
|
Solde créditeur succursales et agences locales
|
X42
|
60
|
1.00
|
60
|
Excédent lignes interbancaires données
|
X43
|
0
|
1.00
|
0
|
Bons de caisse
|
H51
|
825
|
0.50
|
412
|
Certificats de dépôts
|
H52
|
0
|
0.50
|
0
|
Comptes et plans d'épargne logement
|
H53
|
0
|
0.10
|
0
|
Plans d'épargne retraite
|
H54
|
0
|
0.10
|
0
|
Autres compte à régime spécial
|
H55
|
0
|
0.10
|
0
|
Comptes de dépôts à terme
|
H61
|
1450
|
0.50
|
725
|
Comptes courants créditeurs
|
H71
|
11153
|
0.25
|
2788
|
Comptes de chèques créditeurs
|
H72
|
3247
|
0.25
|
812
|
Comptes sur livrets
|
H73
|
3483
|
0.10
|
348
|
Dépôts de garantie
|
H74
|
2233
|
0.25
|
558
|
Dépôts de garantie de crédit-bail
|
H77
|
0
|
0.25
|
0
|
Autres comptes créditeurs
|
H8B
|
2183
|
0.25
|
546
|
Engagements sur ordre de la clientèle
|
M20
|
9058
|
0.02
|
181
|
Exigibilités à vue ou à moins d'un
mois
|
X46
|
|
|
6794
|
Rapport de liquidité
|
X47
|
|
|
173
|
|
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|
ANNEXE 7
DEC1508
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|
Calcul du rapport de structure du portefeuille /
crédits
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30/09/2005
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10029 - Ecobank Cameroun
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Cameroun
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Statut de l'état : Définitif
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|
(en millions de francs CFA)
|
Libellé poste
|
Code poste
|
Montant
|
Crédits à long terme
|
C0C
|
0
|
Crédits à moyen terme
|
C1B
|
0
|
Crédits à court terme
|
B
|
0
|
Comptes courants débiteurs
|
C71
|
0
|
Numérateur du rapport de structure du
portefeuille-credits
|
X55
|
0
|
Crédits à long terme
|
C0C
|
0
|
Crédits à moyen terme
|
C1B
|
7488
|
Crédits à court terme
|
B
|
17899
|
Créances nettes en souffrances
|
C40
|
1075
|
Comptes débiteurs de la clientèle
|
C7B
|
12773
|
Crédits constituant le dénominateur du rapport de
structure du portefeuille-credits avant déduction des créances
moratoriées sur l'état
|
X56
|
39235
|
Encours des créances moratoriées sur l'État
avant le 24 juin 1996
|
Y12
|
0
|
Dénominateur du rapport de structure du
portefeuille-credits
|
X57
|
39235
|
Rapport de structure du portefeuille-credits
|
X58
|
0
|
Annexe 8 - Les autorités
réglementaires de la CEMAC.
Elles sont au nombre de quatre et seront
énumérés comme suit :
- Tout d'abord nous avons le comité Ministériel
de L'union monétaire de l'Afrique Centrale. C'est l'instance
chargée de veiller à la conformité des politiques
économiques des états avec l'orientation commune entreprise dans
le cadre de l'union. Cette instance est libre de prendre toutes les
dispositions qu'elle jugera nécessaire en vue d'assurer la bonne marche
du système bancaire de la CEMAC.
- Ensuite nous avons la Banque des Etats de l'Afrique Centrale
(BEAC) qui est chargée de conduire la politique monétaire de la
zone et de veiller à la stabilité de la monnaie. Elle recueille
les informations des banques et établit des statistiques de la zone qui
peuvent être bien utile à l'instar de la centrale des bilans, la
présentation de la situation monétaire de la zone.
- La Commission Bancaire de l'Afrique Centrale (COBAC) dont
les attributions sont de trois ordres : compétences
réglementaire et pouvoir d'autorisation préalable, supervision
des établissements de crédit, fonction juridictionnelle.
a)- Par compétences réglementaires nous voulons
dire que la COBAC est chargées d'édicter toutes les mesures
susceptibles d'assurer une bonne protection des déposants. Egalement,
elle veille à la mise en oeuvres des mesures prises par les instances de
régulation internationales et auxquels les états de la CEMAC ont
souscrit. Notamment l'application des 25 principes du comité de Bale
pour un contrôle bancaire efficace ; les diligences exigées
par le groupe d'action financière sur le blanchiment des capitaux (GAFI)
de la part des banques.
b)- Le pouvoir d'autorisation préalable de la part de
la COBAC, faite ici allusion à la nécessité
préalable pour toutes les banques et établissement de
crédit d'obtenir l'accord de celle ci pour s'installer, grandir ou
même fermer.
c)- L'un des rôles principaux de la commission bancaire
est de veiller au respect scrupuleux par les banques de la
réglementation prudentielle. Pour cela la banque procède à
une vérification périodique des documents des banques. Ce
contrôle s'effectue sur place ou sur pièce au siège de la
commission. Le but de ce contrôle est de prévenir les
difficultés financière des banques, afin de protéger les
déposants et d'assurer la viabilité du secteur bancaire (dont
l'importance en termes de financement de l'économie n'est plus à
démontrer)
d)- L'aspect juridictionnel fait ici appel au pouvoir de
sanction qui est dévolue à la commission bancaire. Ainsi les
banques qui ne respecteraient pas les normes édictées par la
COBAC se verront sanctionnés par celle ci, proportionnellement à
la gravité de la faute .Ceci se fera sans considération des lois
locales en la matière. La COBAC peux même après
consultation et avis du ministre des finances du pays concernés
décidés de retiré la licence d'exploitation à une
banque si elle le juge nécessaire.
- La cour de justice communautaire qui est un
organe juridictionnel indépendant. Elle est chargée d'assurer le
respect par les états de la CEMAC des décisions prises de
manière commune et dans le cadre du processus d'intégration.
B- Les autorités
nationales
Elles sont aux nombres de trois et se retrouve dans chacun des
pays de la CEMAC. Nous allons faire une brève présentation de
celle ci :
- L'autorité Monétaire au sens de l'article 2
de l'annexe de la convention du 17 janvier 1992, est le ministre en charge de
l'économie et des finances. Il seconde la COBAC sur le territoire dans
la mesure ou, c'est lui qui délivre l'agrément final pour
l'ouverture d'une banque après avis de la COBAC ; c'est
également lui qui agrée la décision de termination du
contrat d'une banque sur proposition de la COBAC. Par ailleurs elle exerce
toutes les fonctions de supervision autres que celles dévolue à
la COBAC.
- Le conseil National du Crédit qui est un organe
essentiellement consultatif à l'exclusion du Gabon ou il à
reçu délégation de la part du ministère des finance
pour l'agrément des établissements de crédit. En
règle générale il donne son avis sur l'orientation de la
politique monétaire et étudie les conditions de fonctionnement
des banques. Il est également chargé de délivrer les
numéros d'enregistrement des établissements de crédit qui
ont reçus l'autorisation de fonctionner.
- L'association Professionnelle des établissements de
crédit qui existent dans chacun des pays de la CEMAC. Cette association
regroupe tout les établissement de crédit agréer. Ceux ci
disons le sont obligés d'en être membres. Cette association
défend les intérêts de la profession et peux établir
des codes de conduites à respecter par les différents membres.
Ce sont les organes sus cités qui sont chargés
à des niveaux différents de l'élaboration ainsi que de la
mise en oeuvre de la réglementation bancaire dans la zone CEMAC. Il faut
préciser ici que la même réglementation s'applique dans
tous les états de la zone, ainsi que la procédure de
contrôle. La réglementation bancaire couvre pratiquement tous les
aspects pouvant affecter une banque, notamment :
- Les conditions d'ouvertures d'un établissement de
crédit, le montant minimum de capital requis selon les pays ainsi que la
composition de ce capital. La commission bancaire intervient en amont et en
aval du processus ; car c'est elle qui fixe les règles applicables
et qui donne son accord avant qu'une banque soit agrée.
- Les conditions de fonctionnement de la banque. Ceci concerne
ici la définition des activités autorisées aux
banques ; ainsi que la circonscription du cadre dans lequel ces
activités doivent être faite. Ainsi les conditions des placements
des banques dans les autres entreprises sont clairement limitées
à un certain seuil par la réglementation.
- Les conditions de mise en place des systèmes de
contrôle internes des banques. Ainsi il est expressément
demandé aux banques de se doter d'un contrôle interne ; d'un
comité d'audit et d'outils de contrôle interne spécifique.
Par ailleurs les banques sont tenus d'avoir chacune deux commissaires aux
comptes et ceux ci doivent être agréer par la COBAC.
- Les méthodes comptables appliqués dans les
banques. Il faut dire que depuis le 15 février 1998(règlement
98/01) un nouveau plan comptable est entré en application dans la zone
.Ce plan comptable est appelé le Plan Comptable des Etablissement de
Crédit (PCEC) .Il a été mis sur pied par la Commission
bancaire et détermine les pratiques comptable applicables dans la
CEMAC.
- Les normes de gestion requises de chaque banque de la
zone .Ces normes très importantes permettent aux banques de mieux
identifier les risques auxquelles il faut le dire leur activités les
exposent. En effet l'activité des banques consiste pour une large part
dans l'emploi des ressources mise à leur disposition par les
épargnants. Une telle activité on s'en doute comporte des risques
élevés dans la mesure ou si tout les déposants demandaient
leur argents au même moment à la banque ,celle ci sera incapable
d'y faire face. Les normes de gestion comporte donc des ratios qui doivent
être respectées par les banques afin de réduire les risques
encourus.
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