3.2. Les exigences du management dans la gestion de la
BCC/Lubumbashi
Le management en soi possède quartes exigences à
savoir :
a. La rationalité : la
démarche intellectuelle du management se fera selon le processus
suivants :
- la recherche des faits
- l'analyse
- la mesure permanente d'une préparation
méthodique
b. La concurrence : au niveau
de la personne, la concurrence amène les hommes à ne pas rester
sur les positions ou de droits acquis, la concurrence impose les changements et
au niveau de l'économie, elles le poussent à surpasser, elle
sélectionne ou de droits compétents, en outre au niveau des
idées ou projets, la concurrence conduit à mesurer leurs
compétences et elle permet aussi de mettre en balance leurs avantages et
leurs inconvénients pour dégager la solution.
c. La recherche de la
rationalité, cette exigence ne concerne que les
entreprises. Les économistes libéraux affirment que dans une
économie de concurrence, l'existence du profit traduit le fait que
l'entreprise produit de richesse qu'elle en consomme, le profit serait alors la
sanction du progrès, la mesure de l'efficacité de l'équipe
dirigeantes, l'honneur du manager.
d. L'adaptation : l'adaptation
entraine des fréquences bouleversement dans la structure technologique
de l'entreprise, ces produits, ces techniques et se débouchées,
il faut donc que l'entreprise soit en mesure de s'adapter à ces
changements. Qu'elle soit douée à une certaine
flexibilité. cette flexibilité est parfois rechercher avec la
diversification, mais elle résulte surtout dans la mobilité des
hommes qu'elle emploie, dirigeant, chercheur qui provoquent les changements,
mais aussi la mobilité de ceux subissent, ouvrier et employer dans le
changement d'habitude, des cadres du travail et le changement dans le lieu de
travail.
Ce changement exige une certaine souplesse dans l'organisation
générale de l'entreprise. Nous disons en bref que le management
désigne tout ce qui est nécessaire pour mener à bien une
entreprise. Ce concept englobe les fonctions de direction et de gouvernement de
l'entreprise.
3.3. La banque centrale du Congo et sa structure de
production
Au niveau des produits, les banques sont des prestataires de
services. Leurs produits sont peu sujets à l'obsolescence, ne sont pas
protèges par des brevets mais font fréquemment l'objet d'une
réglementation.
En plus de cette grande source qui fait d'elle la
caissière du gouvernement, la banque dispose également d'autre
moyens de financement, c'est notamment ;
3.3.1. Les opérations de change
Les opérations de change sont celles qui sont
liées :
Ø au paiement en monnaies étrangères des
biens et services,
Ø aux transferts et mouvements de capitaux
libellés en monnaies étrangères,
Ø aux échanges de la monnaie nationale contre
une devise étrangère.
Ø Ces opérations portent sur les
activités ci-après :
Ø importation et exportation des numéraires
libelles en monnaie étrangères,
Ø transferts et chèque libellés en
monnaie étrangers (achat et ventes)
Ø crédits documentaires ;
Ø encaissement sur l'étranger
Ø suivi des opérations de change
Ø immatriculation des titulaires des droits miniers et
d'hydrocarbures.
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